Quatre individus, soupçonnés d’être impliqués dans deux fusillades survenues en décembre et en janvier à Lille, ont été présentées lundi soir à un juge d’instruction après l’ouverture d’une information judiciaire. Ils sont poursuivis pour «modification de l’état des lieux d’une scène de crime ou de délit, non-dénonciation de crime, violence avec arme et en réunion, dégradations volontaires et recel de malfaiteurs».
Ces quatre hommes, un majeur et trois mineurs de 15, 16 et 17 ans, sont tous déjà connus «très défavorablement» de la justice, a déclaré le procureur Frédéric Fèvre, qui a requis un mandat de dépôt contre les trois plus âgés. La bande a été interpellée samedi lors d’une vaste opération de police dans le quartier lillois de Moulins, qui appartient à la Zone de sécurité prioritaire (ZSP) de Lille.
«Une arme de guerre»
C’est dans ce même quartier de Moulins que David, un étudiant de 20 ans, avait été grièvement blessé à l’arme automatique aux jambes, au bassin et au ventre à la sortie d’une boîte de nuit le 19 janvier, «pour le seul motif qu’il a pris la défense de jeunes filles qui se faisaient insulter à la sortie d’une boîte de nuit», a relaté le procureur. Les enquêteurs ont établi un lien avec un précédent mitraillage, sur la façade d’un hôtel de Villeneuve d’Ascq, dans la nuit du 12 au 13 décembre.
L’homme suspecté d’avoir tiré sur David, un autre jeune de 17 ans, est toujours en fuite. Si son arme n’a pas été retrouvée, il s’agit «vraisemblablement d’un pistolet mitrailleur 9 mm», «d’une arme de guerre», selon le procureur. David a reçu au moins cinq balles. «S’il en a réchappé, ça relève du miracle», a souligné Frédéric Fèvre. «C’est un garçon qui jusqu’à la fin de ses jours souffrira des violences dont il a été victime».
Dans une affaire distincte, des traces de sang ont été retrouvées le 19 janvier dans une voiture visée par des tirs à Lille. L’enquête est toujours en cours.
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Ce sont toujours les mêmes ville,Lille,Marseille etc qui ont une forte population immigrée qui reviennent sur la sellette.Evidemment ces racailles là sont toujours très défavorablement connus de la justice mais toujours en liberté,bizarre non?
La ministre de la justice est elle même encore toujours en liberté, encore plus bizarre non ?
Ce sont toujours dans les mêmes villes:Lille,Marseille etc.. Qu’ont toujours lieu des fusillades par des gens de banlieus défavorablement connu de la justice mais toujours en liberté,c’est quand même bizarre.
C’est bizarre en effet et ce n’est donc pas dû au hasard. Suivons les pointillés, ce sont ceux de la maffia et de la drogue qui sont les deux mamelles nourricières de la gauche au pouvoir totalitaire. Elles lui fournissent les ” moyens” qu’elle n’a cessé de réclamer et qu’elle a enfin.
qu’attendons nous pour rétablir la peine de mort en France et renvoyer tous ces délinquants dans leurs pays d’origines avec suppression de la nationalité Française, qui eux seront très contents de les recevoir !!!!!!!
” L’enquête est toujours en cours.”
Ça ne sert à rien, la taupe-ira les délivrer !