Alors que l’Union européenne vient de rendre un rapport pour imposer le respect des droits des LGBT+I et la lutte contre l’homophobie (le i est nouveau, ce sont les “intersexuées” qui avaient traité les LGBT d’intersexophobes pour les avoir oubliés), le Parlement européen recommande aux Etats membres d’établir une “feuille de route” pour les droits des LGBT+I concernant l’emploi, la reconnaissance du mariage et l’éducation (l’éducation, c’est la théorie du genre qui n’existe pas et qui est une rumeur).
Ils réclament aussi le droit à la PMA (procréation médicale assistée) car les lesbiennes considèrent que le sperme d’un homme est la seule chose qui vaille (pourvu qu’elles accouchent pas d’un garçon), et la GPA (gestation pour autrui) pour que les gays – qui sont contre la mondialisation – puissent passer commande d’enfants à des pondeuses de pays sous développés.
Ainsi l’Europe est en train de protéger les droits fondamentaux des LGBT+I. On se demande par quel déviance mentale les députés européens en arrivent à vouloir préserver l’identité de micro-minorités tout en détruisant les racines de la majorité – et son identité.
« L’homophobie ne devrait plus exister en Europe. Nous, lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexués, sommes nombreux à avoir vécu dans la peur pendant trop longtemps : la peur de se tenir la main dans la rue, de se faire insulter, de ne pas avoir accès à un logement, de se faire renvoyer d’un établissement scolaire, de se faire licencier », a déclaré une députée européenne.
Les députés européens ont également réclamé que chaque état membre s’active pour « promouvoir l’égalité et la lutte contre les discriminations fondées sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre dans l’ensemble de ses programmes destinés à la jeunesse et à l’éducation ». Saloperie d’Union européenne d’extrême droite qui entretient la rumeur de la théorie du genre.
Le vrai problème est que l’islam traite les femmes comme du bétail, considère les européennes comme des catins, et emprisonne ou pend les homosexuels, et que cet islam est maintenant enraciné en Europe et appelle à des mesures de protections des homosexuels.
On se souvient du reportage de cette jeune journaliste qui se filmait en caméra cachée dans les rues islamisées de Bruxelles et se prit une volée d’insultes misogynes. Son reportage a inspiré une journaliste française qui a fait une expérience semblable sur les Champs Elysée, harcelée par des descendants bien français d’immigrés africains.
Dans les mosquées de France, l’homophobie fait partie de la routine, comme ces appels sur la page Facebook de la mosquée de Quimper – que les LBGT+I se gardent bien de dénoncer car ils veulent réserver l’homophobie comme arme politique contre la droite.
“Le Prophète a maudit les hommes efféminés et les femmes masculines. D’après ‘Abdallah Ibn ‘Abbas … le Prophète … a maudit les hommes efféminés et les femmes masculines et il a dit : Faites les sortir de vos maisons.” (Rapporté par Boukhari dans son Sahih n°5886)
“D’après Ibn Abbas…. , le Prophète …. a maudit les hommes qui ressemblent aux femmes et les femmes qui ressemblent aux hommes.” (Rapporté par Boukhari dans son sahih n°5885)
Les homosexuels étaient bien intégrés et depuis longtemps à la société française – le travail de tolérance avait commencé dans les années 70 et était accompli, même s’il n’était pas parfait. Seulement le changement de population a fait régresser les valeurs humanistes, et ce sont tous les Français, hébétés qu’on leur demande des efforts sur des droits de l’homme qui ne posent pas problème, qui payent la note.
Gilles-William Goldnadel l’explique très bien. Dans un premier temps, la gauche censurait tout débat en imposant l’idée que “l’immigration …. ne progressait absolument pas, sinon dans l’esprit malfaisant de racistes bas d’un front. Défense donc d’en parler”. “Puis, ajoute Goldnadel, à l’instant précis où le déni est devenu impossible: trop tard pour en débattre, la France est devenue multiculturelle…”
De nouvelles lois viendront pour éduquer cette population qui n’a pas suivi les évolutions de la démocratie et dont une partie insiste pour vivre comme il y a 1000 ans, lois nécessaires pour les uns, et inutiles pour les autres : qui a besoin, au pays qui s’est fait une réputation pour posséder 60 millions d’amis, qu’on lui fasse la morale pour ne pas fracasser des chatons sur les murs.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
pour le fun: http://www.midilibre.fr/2014/02/06/jura-un-maire-ump-veut-appeler-deux-femelles-lamas-valerie-et-segolene-le-ps-consterne,818557.php#reactions :deadrose: :deadrose: :deadrose:
Il y a une version LGBTQIA, et d’autres variantes.
+Z, pour les zoophiles :dog:
Eh oui, ce n’est pas interdit que je sache…
Si ! L’acte sexuel avec un animal est un délit, article 521-1 du code pénal.
Un délit, un délit… c’est vite dit ! Il suffit de changer de loi et….hop ce n’est plus interdit !! Quel argument pour être contre une telle loi, seriez-vous contre égalitude et la libertude ? Ho que c’est pas bien, pas bien du tout ! Seriez-vous d’extrêeeme drouaite !! brbrbrbr quel horreur…
Effectivement, comme toute loi, il suffit de la modifier pour que cela ne soit plus un délit. Je donnais là une précision sur une loi en vigueur, pas sur une éventuelle loi modifiée. L’argument est qu’une pratique sexuelle n’est tolérée que si elle a lieu entre deux adultes consentants.
A titre d’exemple, un lapin ne peut être considéré comme un adulte consentant.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Thomas-Hollande-militant-Queer-17512.html
https://www.facebook.com/sansvoile
http://sansvoile.org/2014/02/02/journee-mondiale-sans-voile-quen-pensez-vous/
Le Québec en a marre de payer pour eux :
https://www.facebook.com/sansvoile http://sansvoile.org/2014/02/02/journee-mondiale-sans-voile-quen-pensez-vous/ – See more at: http://www.dreuz.info/2014/02/theorie-du-genre-protection-des-homosexuels-la-majorite-des-francais-paye-pour-lislam/#comment-338730
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/02/06/31003-20140206ARTFIG00344-malika-sorel-le-pouvoir-bascule-dans-la-preference-etrangere.php
Malika Sorel : «Le pouvoir bascule dans la préférence étrangère»
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Par Alexandre Devecchio
Mis à jour le 06/02/2014 à 19:55
Publié le 06/02/2014 à 17:12
Marianne, le 14 juillet. Alain AUBERT / Le Figaro
INTERVIEW – Malika Sorel-Sutter, spécialiste des questions d’intégration, décrypte la nouvelle feuille de route du gouvernement avec 44 propositions pour lutter contre les discriminations.
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Malika Sorel-Sutter est ancien membre du collège du Haut Conseil à l’Intégration et de sa mission Laïcité. Elle est administrateur de l’association de Défense et de géopolitique Géostratégies 2000. Elle est notamment l’auteur d’«Immigration, intégration: le langage de vérité». Fayard/Mille et une nuits, 2011
Les 5 rapports sur l’intégration remis au Premier ministre en décembre 2013 avaient suscité un tollé. Itélé a révélé ce mercredi soir la nouvelle feuille de route du gouvernement avec 44 propositions pour lutter contre les discriminations. S’agit-il d’un projet réellement nouveau ou d’un retour aux rapports qui ont fait scandale en décembre 2013?
Malika Sorel-Sutter: L’habillage est différent, mais la philosophie est la même. Elle consiste à attribuer la responsabilité de l’échec de l’intégration aux Français qui entraveraient la réussite des immigrés et de leurs descendants et c’est à ce titre qu’il convient de lutter contre les discriminations. La feuille de route s’ouvre en rappelant qu’elle vient après le rapport Tuot et les cinq rapports remis au Premier ministre et qu’elle s’inscrit, en quelque sorte, dans la continuité. C’est une manière de rappeler sa filiation. C’est bien la preuve que, contrairement aux dénégations qui avaient été formulées en décembre par le pouvoir politique, la publication des cinq rapports sur le site de Matignon correspondait bien à une intention politique de fond.
«La décision d’autoriser ou non le voile reposerait désormais sur les épaules des chefs d’établissements.»
Dans cette feuille de route, on retrouve notamment ce qui avait choqué dans les cinq rapports au sujet de l’enseignement des langues étrangères, alors qu’il faudrait se focaliser sur la transmission de la langue française. Nous savons en effet que c’est l’une des raisons majeures de la sur-représentation des enfants de l’immigration dans l’échec scolaire comme en attestent, une nouvelle fois, les dernières enquêtes Pisa et comme cela est également mentionné dans la feuille de route. La langue participe aussi, par ailleurs, à la transmission de la culture.
Les précédents rapports prévoyaient de revenir sur l’interdiction du port du voile à l’école. Qu’en est-il de cette mesure?
L’abrogation de la loi de 2004 sur l’interdiction du voile à l’école n’est plus mentionnée, mais la feuille de route s’aligne sur la décision récente du Conseil d’État qui consiste en quelque sorte à abroger la loi Chatel sur l’accompagnement des mères voilées dans le cadre des sorties scolaires. La décision d’autoriser ou non le voile reposerait désormais sur les épaules des chefs d’établissements. Nous revenons à la case départ, lorsque Lionel Jospin s’était tourné vers le Conseil d’État.
Quelles sont les éventuelles mesures nouvelles? Prennent-elles le contre-pied des précédents rapports?
Les mesures qui n’apparaissaient pas dans les précédents rapports ne sont en aucun cas des mesures qui
«Il y a bien une volonté de surveillance généralisée au travers de plusieurs mesures»
auraient pu prétendre faire partie d’une quelconque politique d’intégration. Ainsi en est-il de la mesure 39 qui consiste à renforcer l’offre publique de médias multilingues, ou encore de la création d’un office franco-maghrébin pour la jeunesse, qui aurait vocation à devenir «un organisme public». De même, la feuille de route mentionne l’«accompagnement individualisé des primo-arrivants par des référents de l’OFII, dans une dynamique d’accès le plus rapide au droit commun (éducation, emploi, logement, droits sociaux…)». Comme chacun sait et comme en atteste le niveau de sa dette, la France est immensément riche!
La feuille de route prévoit notamment des mesures de «testing». De quoi s’agit-il exactement? Existe-t-il un risque de dérive vers un système de surveillance généralisée?
Clairement, il y a bien une volonté de surveillance généralisée au travers de plusieurs mesures dont la mesure 17, qui consiste à effectuer du «testing» auprès des milieux médicaux pour traquer les éventuels refus de soins. De même pour la mesure 26, qui stipule que l’État doit s’assurer que la fonction publique incarne bien «la diversité de la société française dans toutes ses composantes et à tous les niveaux de responsabilité.»
«Des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français.»
Au sein de l’administration, l’une des pistes développées dans la feuille de route consisterait à «ouvrir et élargir les concours à des populations pour lesquelles la fonction publique reste trop souvent méconnue». Peut-on parler de discrimination positive?
Oui, le pouvoir bascule vers la préférence étrangère. Cela se lit très bien au travers de plusieurs mesures comme, entre autres, la mesure 29: «Cette démarche conduira le gouvernement à promouvoir l’obtention du Label Diversité par l’ensemble des administrations publiques (…). A retenir en particulier: la mise en place de classes préparatoires intégrées, la formation des membres de jury de concours sur les stéréotypes, le développement des recrutements hors concours (…)» De nombreuses mesures sont destinées à donner la préférence aux personnes d’origine extra-européenne. Ce qui se traduira mécaniquement par le fait que des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français.
Le gouvernement est-il tout simplement en train d’enterrer sans le dire le modèle républicain d’intégration au profit d’un modèle de type multiculturaliste?
Le mot «discrimination» apparaît 73 fois et le mot «droits» 60 fois, tandis que le mot «devoir» apparaît moins de 10 fois. L’axe du rapport est énoncé dans la feuille de route: «il ne doit plus y avoir de confusion entre intégration et immigration». Or, ces deux sujets sont inséparables si l’on souhaite véritablement conduire une politique d’intégration! Nous ne sommes plus du tout dans une approche politique d’égalité des moyens, mais dans une politique d’égalité des droits. C’est la consécration de la déresponsabilisation totale des immigrés et de leurs descendants. Clairement, le modèle français d’intégration, qui prend en compte l’existence d’une identité culturelle française, disparaît. Il convient de permettre à toutes les cultures présentes sur le sol français d’être prises en considération et cela va très loin, puisque la feuille de route veut mettre en route: «le développement d’un dispositif d’observation de la présence des langues des migrants dans les différents secteurs de la vie sociale, économique et culturelle de notre pays».
«Le projet est clairement affiché. Il s’agit de rééduquer les Français en leur inculquant ce que la bien-pensance identifie comme la pensée juste.»
En toute cohérence avec la politique conduite depuis le début de ce quinquennat, un étranger qui foule le sol français est appelé à devenir français quasiment automatiquement. Il n’y a donc plus de processus d’intégration. D’ailleurs, la Direction de l’accueil et de l’intégration a déjà été transformée en Direction Générale des Étrangers en France. Dès l’entrée en matière, la feuille de route rappelle que «La politique de naturalisation a été profondément remaniée» par le biais de «la circulaire d’octobre 2012 et l’instruction de juin 2013 (…) et les décrets d’août 2013 modifiant les conditions d’instruction des dossiers de demandes de naturalisations par les préfectures, en visant une meilleure harmonisation et une plus grande efficacité.» Le Figaro avait récemment fait état dans ses colonnes de l’augmentation des régularisations de clandestins et des naturalisations. Rappelons également que ces circulaires et autres décrets émanent du ministère de l’Intérieur.
Le modèle républicain est pourtant plébiscité par la majorité des français. Comme expliquez-vous ce renoncement? Quel est le projet idéologique du gouvernement?
Le projet est clairement affiché. Il s’agit de rééduquer les Français en leur inculquant ce que la bien-pensance identifie comme la pensée juste. En conséquence, «des plans de formation du personnel éducatif en matière de lutte contre les discriminations devront être déployés». De même pour «les professionnels du secteur médico-social» et «les agents de Pôle Emploi». Nous sommes confrontés à une volonté de changer le peuple au travers du changement en profondeur de tout son référentiel culturel. Il n’y a d’ailleurs pas que dans ce domaine de l’intégration que cette idéologie est à l’oeuvre. Nous la voyons également se déployer dans le registre de l’égalité hommes/femmes avec les fameux ABCD de l’égalité qui ne sont pas autre chose, par certains aspects, qu’une entreprise de lavage de cerveau des enfants. Pour avoir travaillé sur cette question de l’égalité hommes/femmes, je peux dire que, là aussi, le gouvernement fait fausse route.
Face au défi de la mondialisation, notre modèle ne doit-il pas nécessairement s’adapter?
«L’abandon du modèle républicain engage officiellement la France sur la voie de la libanisation.»
En réalité, le modèle d’intégration français n’a jamais vraiment été appliqué pour l’immigration extra-européenne. Depuis les années 80, les élites politiques ont versé dans l’accommodement de nos principes républicains. Peu à peu, Ils les ont vidés de leur contenu, et pour faire diversion ont tout de même continué à s’y référer. En outre, il n’y a eu aucune volonté de réduire de manière drastique les flux migratoires. Or ils constituent l’un des vecteurs principaux du ré-enracinement des enfants de l’immigration dans la culture de leurs pays d’origine. La feuille de route n’aborde absolument pas ce point crucial sur lequel il est urgent d’agir. Alors que ces enfants avaient besoin, plus encore que les autres, de la transmission de la culture française, les ministres de l’Éducation successifs ont le plus souvent engagé des réformes qui se sont traduites sur le terrain, donc entre les murs de l’école, par une dépréciation d’exigences. La droite qui a longtemps gouverné durant ces trente dernières années doit faire son examen de conscience et renouer avec la défense des intérêts de la France et de son peuple. Notre modèle d’intégration garantissait la concorde civile. Son abandon engage officiellement la France sur la voie de la libanisation.
L’auteur
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http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/02/06/01016-20140206ARTFIG00440-ayrault-remet-l-integration-sur-la-table.php
«Le multiculturalisme ne fait pas partie des valeurs de la République. La France doit toutefois reconnaître l’héritage légué par les migrants au fil des âges, et leur participation quotidienne au dynamisme de notre nation.»
Extrait de la «feuille de route» pour «la refondation de la politique d’intégration»
J’EN SUIS MALADE DE RAGE !!!!!
Toutes les conditions sont réunies pour que la poudrière explose. Les cerveaux malades qui sévissent à l’UE et en France vont-ils enfin lâcher l’allumette qu’ils agitent au-dessus de nos têtes, qu’on en finisse ?
Les lesbiennes en burka -LGBT y a t il pensé ? Liberté sexuelle ? Dans une Société Islamophile ?? Quelle manipulation..pendant ce temps on ne parle pas des problèmes économiques et des 77% d’investisseurs Étrangers qui ont fui la France, de l’échec de Flanby et de son PS qui mettent le pays à genou.
Je ne comprends pas bien. D’un côté on condamne justement l’Islam qui persécute (entre autres) les homosexuels, de l’autre on rend l’Islam responsable des nouveaux droits accordés aux homosexuels. Tout cela n’est pas bien cohérent.
Comme libéral et pragmatique, j’attends qu’on m’apporte la preuve qu’en dehors de ses orientations sexuelles, un homosexuel serait moins productif, moins novateur, moins entrepreneur et moins compétent qu’un hétéro. J’attends la preuve que les enfants élevés par des homos, et ils sont des centaines de milliers dans le monde, des dizaines de milliers en France, seraient moins performants à l’école, plus enclins à la drogue et à la violence. Nos prisons sont-elles pleines de jeunes élevés par des couples homos ? Si c’est le cas, les homos noirs et musulmans adorent élever des enfants !
Tout cela n’est qu’une vaste hypocrisie. On interdit l’avortement en Espagne ? Les cliniques françaises frontalières s’équipent pour accueillir les femmes en quête d’IVG ? On défile contre la PMA ? Les lesbiennes continueront à lier week end à Bruxelles et rendez-vous médical. On discute sur la fin de vie assistée ? Elle se pratique en Suisse à 5 heures de Paris en Clio.
Si on est contre la PMA, l’adoption par des couples homos, le suicide assisté,…Il ne sert à rien de défiler. L’interdiction ne fait que profiter à quelques intérêts privés. Il faut convaincre. C’est plus dur, c’est plus long, c’est aléatoire mais tout le reste n’est qu’agitation et folklore.
@Jean. C’est un des paradoxes de l’élection de François Hollande qu’elle a été permise par le vote musulman, le PS étant d’après eux favorable aux immigrés. Or, le PS est aussi porteur des réformes « sociétales » réclamées par les lobbies LGBT et c’est donc paradoxalement le vote musulman qui en grande partie a permis ces réformes. Quant aux dites réformes… oui, on peut toujours dire qu’en interdisant quelque chose, les gens iront le faire ailleurs. Mais là n’est pas le problème. Il faut savoir affirmer ses valeurs. Ce n’est pas parce que des gens pratiquent le meurtre, par exemple, qu’il faut l’autoriser. La loi, bien sûr, n’empêche pas tout, mais elle signale ce qu’un peuple trouve acceptable, et les valeurs qu’il se battra pour garder.
Je suis d’accord avec vous, Freddie. Cependant la question est tout de même, lorsque l’on est attaché à une valeur, que celle-ci soit respectée, non qu’elle soit simplement admise par une majorité fluctuante.
Par exemple, l’avortement. Qu’est-ce qui importe, qu’il ne soit pas pratiqué ou qu’il ait lieu clandestinement ou à l’étranger ? Si on pense que l’avortement est nuisible, il faut surtout convaincre de ne pas le pratiquer. Je crains que beaucoup se contentent de voir l’existence de pratiques qu’ils réprouvent se dérouler clandestinement ou avec une couverture moralement admissible. Ainsi, des homosexuels élèvent des enfants depuis des lustres dans la quasi indifférence. Par contre, qu’ils le fassent légalement est ce qui semble le plus scandaliser.
C’est pourquoi je parle d’hypocrisie ou de folklore comme autrefois, quand le divorce était interdit et que les couples vivaient sous le même toit comme des étrangers cultivant les liaisons secrètes. Les apparences étaient sauves mais les valeurs de l’époque bafouées.