Un ressortissant algérien, Karim D., condamné il y a dix ans par contumace pour un meurtrecommis à Paris en 1995 a été interpellé à bord d’un train, dans les Pyrénées-Orientales, et confondu ce vendredi par ses empreintes digitales.
Né en 1971, l’homme a été intercepté lundi dernier par les douanes de Port-Vendres (Pyrénées orientales) dans un train en provenance d’Espagne.
Il était porteur de trois faux documents d’identité de deux nationalités différentes, française et italienne. Son passeport italien était au nom de Cappeli.
Le suspect a alors été confié aux agents de la Police aux frontières (PAF) qui, en passant ses empreintes au fichier, ont découvert qu’il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt international.
Il avait en effet été condamné en 2004, en son absence, à 25 ans de prison par la cour d’assises de Paris: ses empreintes digitales avaient été relevées sur la scène d’un homicide commis dans le XVIe arrondissement de Paris le 26 novembre 1995.
Le suspect a immédiatement été écroué.
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Un tir “ciblé” façon Tsahal nous aurait couté moins cher….En ces temps où la recherche d’économies est primordiale, c’était toujours ça de gagné….
un algérien! Etonnant non.
Ca prouve bien qu’ils sont bêtes, revenir dans le pays alors que recherché et condamné, la police française n’est pas la police de la bas.
Je ne comprends pas pourquoi son nom n’est pas publié . karim D a été condamné légalement en France à 25 ans de prisons . Pourquoi cette discrétion pour la publication de son nom .
J’aimerai que Dreuz qui connaît bien les lois nous informe . Ce n’est pas un reproche à Dreuz car je sais que Dreuz est surveillé par la Gestapo de la pensée qui n’hésiterait pas a fermer ce site .
Aie …Aie … 25 ans plus tard ! Je ne suis pas juriste, mais je crains qu’il y ait prescription hélas !!
La prescription en matière de crime est de 10 ans. Mais ce délai commence à courir à compter de la date de la dernière pièce de procédure rédigée. Si le juge chargé de l’affaire a rédigé une nouvelle pièce chaque année, Karim est cuit.
À moins qu’il n’y ait plus d’encre dans le fax