Michel Garroté, réd en chef — J’ai rencontré le Père Daniel Ange (photo ci-dessus), une première fois à Rome, lors des Journées Mondiales de la Jeunesse de l’An 2000 avec Jean-Paul II, une deuxième fois à Fribourg (Suisse) et une troisième fois à la Maison St-Joseph de Venthône (Valais, Suisse). Ce prêtre a reçu les dons de la simplicité, du courage et de la persuasion. Ci-après, le Père Daniel-Ange — sous la forme d’une réflexion politiquement incorrecte — donne ses réponses à quelques questions récurrentes sur les Manifs pour Tous, y compris celle du 2 février dernier et celles à venir : « Comment ne pas exulter en voyant le succès des Manifs pour tous le 2 février. Mobilisation, bien sûr insuffisante, mais inespérée après tant de polémique et de dissensions, endeuillant ces derniers mois. J’aimerais ici répondre brièvement à ceux qui hésitaient fortement à y participer ou qui – encore nombreux -se posent encore la question pour les manifestations suivantes ».
Les Manifs pour tous : ça sert à quoi ?
On entend des réflexions désabusées, des gens découragés : les méga-manifs de 2013 n’ont servi à rien ! Il est vrai que le gouvernement, non seulement n’en n’a tenu aucun compte, comme pour les 700 000 signatures au CSESE, capsulé qu’il est dans son obstination idéologique, mais ont tout fait pour les relativiser (chiffres, photos scandaleusement faussées, etc.). Mais par ailleurs, ces manifs ont d’ores et déjà eu un impact indéniable et une utilité stratégique en plusieurs domaines. J’y constate 10 acquis :
1. Elles ont permis à une multitude de personnes d’enfin « pouvoir faire quelque chose », même si ce n’est que battre le pavé. Quel réconfort pour tous ceux qui n’ont aucune autre manière de crier leur écœurement, leur ras-le-bol, presque leur désespoir, écrasé qu’ils sont sous le rouleau compresseur d’un régime virant à la dictature. Il ne leur reste plus que cela plutôt que d’assister totalement impuissant au naufrage d’une société, au torpillage d’une civilisation, la leur depuis des siècles.
2. Elles ont prouvé que nous étions capables d’organiser à grande échelle, des méga-manifs, paisibles, sans un dérapage à la stupeur de tous. Par-là, elles nous ont rendu confiance en nos capacités de résistance passive et massive face à un régime de type totalitaire. Nous ne serons jamais assez reconnaissants à tous les différents mouvements, réseaux, organismes, personnes qui se sont dévouées non-stop pour les réaliser. Cela avec une stratégie impeccable, une solidarité inter-réseaux exemplaire. Sommes-nous vraiment conscients de cette réussite fabuleuse de l’ordre d’un chef-d’œuvre social si ce n’est du miracle ?
3. Elles ont eu, malgré les apparences, bien plus d’impact qu’on ne le pense sur le gouvernement qui n’a pu en nier l’ampleur malgré les mensonges des medias censurés par l’Etat. Grâce à elles, les projets de PMA pour personnes de même sexe, et de GPA ont été renvoyés à plus tard, alors qu’elles devaient passer expéditivement en catimini. Même s’il ne s’agit que d’un répit, cela donne le temps d’y réfléchir, et de susciter une prise de conscience juridique et politique.
4. Par leur masse, elles ont réussi à crever les écrans, même ceux télécommandés par l’Etat. Obligés qu’ils ont été d’en montrer malgré tout quelques images, même en faussant chiffres et vues.
5. Ainsi, elles ont sûrement contribué à faire réfléchir un grand nombre de citoyens lambda qui jusque-là gobaient aveuglément les projets de loi qu’on leur imposait. Quelques simples slogans, aperçus dans les medias (un papa, une maman : on ne ment pas aux enfants ; père, mère, c’est élémentaire ; etc.) ont au moins fait poser la question à beaucoup : « pas de fumée sans feu ».
6. Pour les jeunes – nombreux parmi les manifestants (et la grande majorité chez les Veilleurs), cela a été une expérience fabuleuse, historique, marquant leur vie, au moins leur jeunesse. Ils ont vu, de visu, qu’ils n’étaient pas les malheureux derniers des mohicans, marginalisés scolairement, quasi exclus socialement n’osant plus affirmer leurs convictions sans risquer le mépris ou pire : le sarcasme. Ils font partie de toute une génération en train de se lever. Et sachant affirmer ses valeurs, paisiblement, dans l’humble fierté d’être enfant de Dieu, du moins pour les croyants.
7. Elles ont suscité une fantastique créativité juvénile, joyeuse, enthousiaste. Les arrachant à la morosité ambiante, au « bof » désabusé, aux amères désillusions. Oui, on peut faire quelque chose pour changer les choses. Nous ne sommes pas voués à l’impuissance exaspérante, à l’ennui d’une société qui vous robotise et vous marchandise. On peut lutter. On peut combattre. On peut résister. On peut entraîner en dissidence. On peut suivre nos aînés sous les régimes totalitaires précédents. On n’a pas moins de courage, pas moins d’imagination, pas moins d’intrépidité qu’eux. Nous ne sommes plus des pions ou des jouets ou des perroquets, des objets de consommation. Etre pour l’enfant à naître, pour l’enfant à protéger de la désexualisation, des perversions, du viol de son intelligence, de son bon sens, de sa confiance, de son innocence : non, ce n’est pas ringard, vieux jeu, c’est le top 50 ! Ce combat donne sens à ma vie, l’entraîne vers les hauteurs. Je puis me battre paisiblement, non pour du fric mais gratuitement, pour le plus fragile à défendre. C’est l’humanitaire à son maximum, la charité en son sommet, la générosité n° 1, l’évangélisation en sa fine pointe. Ce sont les grandes manifs qui ont suscité, éveillé, provoqué cette incroyable créativité : les veilleurs, les veilleurs debout, les mères veilleuses, les Hommen, les 1000 initiatives pour manifester notre résistance, etc.
8. Elles ont eu un impact sur les députés, sénateurs et maires luttant courageusement contre l’idéologie destructrice de nos valeurs, de notre peuple. S’ils peuvent le faire avec autant de courage, c’est qu’ils se sentent entourés, soutenus par tout un peuple : oui, nous parlons au nom d’un grand nombre que nous représentons comme tout élu doit le faire.
9. Dialogue ou manif : il faut les deux. Il y faut les deux indissociablement. Mais comment faire, quand le dialogue devient un dialogue de sourds. Les débats au parlement frisent le ridicule. On n’écoute même pas les opposants à ces lois iniques, (on y joue au Scrabble pendant que sont abordées des questions cruciales de bioéthique, on truque les votes en utilisant le boitier du voisin).
10. Ce sont elles qui ont, enfin cassé l’amalgame terrifiant dans le monde islamique traditionnel : cette décadence morale occidentale, cette disparition du sens même de la vie et du respect du plus fragile, c’est le christianisme identifié à l’Occident. Incapables qu’ils sont d’imaginer une cassure entre Etat et religion.
11. Enfin, the last but not the least : l’impact énorme dans les autres pays. Seules de telles manifs étaient capables de crever les écrans, de s’imposer à la une des journaux, dans le monde entier. Elles suscitent un gigantesque espoir, particulièrement dans les pays d’Europe qui ont déjà subi pendant 50 ou 70 ans la férule de fer d’un régime totalitaire. Elles leur ont rappelé tout le vécu des fantastiques années 1980-1989. Car, ce sont ces irrépressibles mouvements de foules qui ont fini par engloutir le communisme rassis, en le dynamitant de l’intérieur. Tremblant devant la menace imminente de se retrouver pieds et poings liés économiquement, sous une nouvelle idéologie dictatoriale, ils ont vu qu’il est possible de réagir, de lutter, de résister et finalement de vaincre, comme l’ont fait leurs parents voici 30 ans. D’où le 2 février, les manifs dans diverses capitales d’Europe. Rien n’aurait pu les susciter que notre peuple se dressant en refusant d’être anesthésié, bâillonné, écrasé.
Dans les bureaux ou sur la place Beauvau ?
Tout est joué, pipé d’avance. Obligé qu’ils sont de voter suivant les consignes du parti à peine majoritaire, sans aucun respect pour leur conscience personnelle, tels marionnettes et perroquets, sûrs d’être en tout cas vainqueurs. Bien sûr, il faut privilégier partout la discussion sereine, l’explication objective, l’argumentation précise, l’information exacte, citant les faits et les textes, mais si souvent le dialogue est passionnel, vire à la confrontation violente. Avec qui dialoguer paisiblement ? Et même quand il y a une écoute sincère entre deux personnes, aucun des nombreux avantages signalés plus haut n’aurait eu lieu. Bien sûr, il faut tout tenter, mais simultanément et dans les bureaux et sur les boulevards. Je trouve regrettable que certains menant finalement le même combat de fond aient appelé à ne pas y participer. Alors que seul l’aspect massif permet un impact. Pour qui donc roulent-ils en finale ?
S’engager en politique, mais pourquoi ?
Les manifs pour tous ont réveillé chez beaucoup de jeunes une conscience aigüe de leur responsabilité politique. Or certains accusent aussi les Manifestants pour tous et certains organisateurs d’entrer en politique, de se présenter aux prochaines municipales et européennes. Etrange. D’un côté, on sait qu’en régime démocratique occidental, les seuls qui détiennent le pouvoir législatif sont les élus. A une seule voix près, une loi passe, même parfois une loi engageant le pays pour des années si ce n’est des décennies, et dont l’enjeu peut être de vie et de mort des personnes. Chaque voix compte. De l’autre, les papes successifs ne cessent de pousser les jeunes à s’investir courageusement en politique.
Il est utopique de crier dans la rue, si par ailleurs on délaisse l’engagement politique, laissant la place aux autres. Il est incohérent de manifester et en même temps de se plaindre que le Parlement n’est pas de notre côté. A qui la faute ? Et dans la situation actuelle comme tous les partis nous ont déçus, aucune ne répondant pleinement à ce qu’un grand nombre en attendent, il faut urgemment injecter du sang neuf, dans ce monde de requins, où tous s’excluent mutuellement, sortir une fois pour toutes de ces ornières parallèles droite-gauche qui virent au manichéisme. Or, où respire-t-on cet air frais ? Très évidemment dans la jeune génération. Où sont-ils ? En grande partie précisément dans les Manifs pour tous, et particulièrement chez les audacieux veilleurs. Il faudrait qu’une multitude s’engage de suite pour les élections proches, sans pour autant adhérer à un parti, ou se classer droite-gauche. La vie humaine, l’enfant, la sexualité, la famille : c’est tout simplement humain. Il n’y a pas que je sache une existence de droite et une autre de gauche, un bébé de droite et un autre de gauche.
Je salue le courage de tous les jeunes qui bravent leurs craintes de l’engagement dans l’espoir de devenir nos maires, députés, sénateurs et peut-être un jour Président. En commençant par l’humble échelon du Conseiller municipal.
Extrémisme et violence : de quel côté ?
Stigmatiser tous les participants comme intégristes, extrémistes, fachos, racistes, homophobes : odieux amalgame ! Pour cela, on monte en épingle tel slogan hélas relevant de ces qualificatifs, ignorant les 99% de braves gens, les premiers à s’insurger contre intégrisme, fascisme ou racisme. Comment peut-on faire un tel amalgame entre quelques groupes effectivement intégristes ou violents et cette gigantesque masse de braves citoyens, croyants ou non, qui ne trouvent plus d’autre moyen de s’exprimer que leurs pieds sur le pavé ?
Et si certains peuvent être tentés par la violence devant l’inefficacité des méthodes non-violentes, l’impasse des dialogues, je pose la question : de quel côté la violence se trouve-t-elle ? Quand un parti et son gouvernement – élu à un minuscule pourcentage, ne représentant qu’une minorité de la population – vu le nombre d’abstentions – s’arroge le droit d’imposer à tout un peuple, sans la moindre consultation populaire, une idéologie destructrice et de l’identité nationale et de la matrice chrétienne de l’Europe et de la France : n’est-ce pas de la violence ?
Quand on prétend carrément changer de civilisation, créer un homme nouveau (« on ne peut construire une république avec la religion catholique »), n’est-ce pas de la violence ? Quand on s’attaque au respect même de la vie en sa fragilité, déstabilisant la famille par tous les moyens : n’est-ce pas de la violence ?
Quand on impose quasiment manu militari des cours d’éducation sexuelle pervertissant l’enfant, lui inoculant dès la maternelle une idéologie sapant l’ultime repère qui lui restait : un homme est un homme, une femme est une femme, un enfant est un enfant, n’est-ce pas de la violence ?
Quand on veut a-sexualiser, désexualiser et parfois trans-sexualiser l’enfant, débranchant anatomie et psychologie, falsifiant ainsi son intelligence, sapant sa confiance, bousillant finalement son existence, violant sa conscience, et tout viol n’est-il pas violence ?
Quand aucun psy, et pédo-psy, enseignant, ni surtout parent, n’est consulté ; quand des profs sont obligés de « déconstruire les stéréotypes sexuels et familiaux », quand on arrache l’enfant à sa famille y compris via les nouveaux rythmes scolaires, n’est-ce pas de la violence ? Quand les parents osent protester et qu’ils sont vilipendés publiquement par le pouvoir, sinon pénalisés et leurs enfants persécutés : n’est-ce pas de la violence ?
Quand on fait passer des lois au forcing, en catimini, glissés en quelques heures de niches parlementaires, Quand on ment effrontément pour tromper l’opinion publique (« pas question de gender » alors que tous les documents cautionnés par l’E.N l’imposent dès la 1ere), n’est-ce pas de la violence ? Quand une politicienne déclare froidement : « l’enfant appartient à l’Etat » (thèse de Hitler et Staline) et qu’effectivement l’Etat s’arroge le droit de le kidnapper moralement, n’est-ce pas violer les droits imprescriptibles des parents ?
Quand de paisibles étudiants sont agressés, arrêtés, matraqués, molestés pour le seul crime de ne pas penser la pensée unique imposée, le seul crime de réfléchir, et de le dire, le seul crime de rester debout, silencieusement, en pleine nuit, n’est-ce pas de la violence ?
Quand notre gouvernement approuve les méga-manifs de Kiev, y condamne la répression violente, alors qu’ils luttent jour et nuit contre une dictature, mais de l’autre réprime violemment nos propres manif : n’est-ce pas de l’incohérence ? Quand on s’apprête à fabriquer des orphelins qui ne connaîtront jamais rien de leur ascendance et généalogie, car : « papa c’est des paillettes en Suède, maman des ovocytes au Japon, achetés suivant son QI, n’est-ce pas de la violence ?
Quand on oblige un enfant à dire Papa à une jeune femme, Maman à un monsieur barbu, Quand on dit à l’enfant dès la maternelle : ton corps est mâle mais tu peux être féminin n’est-ce pas de la violence extrême ?
Quand un médecin peut s’arroger (aux Pays-Bas) le droit exorbitant de tuer un enfant handicapé, même sans consentement des parents car ceux-ci ne peuvent être objectifs puisqu’ils l’aiment : n’est-ce pas de la violence extrême ?
Quand on va zigouiller en douce un malade qui coûte trop cher à la société, ou non économiquement rentable, sans même son accord ou celui de la famille, quand on va aider un ado en déprime à s’arracher la vie avant de s’en vouloir amèrement, n’est-ce pas de la violence ?
Tout cela cumulé : n’est-ce pas de l’intégrisme idéologique ? De l’extrémisme dictatorial ? Bref, un néofascisme ? Alors quand on sait tout cela, quand on voit sous nos yeux nos enfants ainsi trompés, comment oser reprocher aux gens, au bon sens encore intact, de faire la seule chose qui leur reste : crier par les pieds, résister par leurs cris devant l’Arc de Triomphe ? Oui, et oui nous refusons d’être bâillonnés, anesthésiés, floués, trompés, paralysés, terrorisés. Au nom des sans-voix et des plus petits : l’enfant in sinu, l’enfant handicapé, l’enfant à l’école.
Reproduction autorisée avec mention :
Michel Garroté réd en chef www.dreuz.info
Source :
http://www.france-catholique.fr/Les-Manifs-pour-tous-breves.html
Je refais paraître ici l’article sur Hitler. C’est long et c’est en anglais. Mais tout y est.
Adolf Hitler: Progressive Pioneer
http://joshuapundit.blogspot.be/2013/02/adolf-hitler-progressive-pioneer.html
President Obama’s second inaugural was a speech that the Obama Media literally drooled over as a straight forward and forceful expression of progressivism unmatched in American history. I agree, it was, but there was one thing that bothered me…the tendency of these media personalities to ignore the sources of many of the ideas the president expressed so well.
In the interest of fairness and as a debt to history, I think it’s important that we take a minute to give due credit to one of the greatest progressives in history, someone who undoubtedly should be an inspiration and influence to all progressives – former German leader Adolf Hitler, who against strong odds rose to power and fundamentally changed Germany and for a while, the world.
Like our president, Adolf Hitler came from humble beginnings, the son of an Austrian civil servant in Linz whom died when he was fourteen. Some biographers have said that Alois Heidler provided the young Adolf with his first example of government in action and how it could affect people’s lives. Young Hitler’s early years also undoubtedly gave him a sense of the importance of education and how government could strengthen it. As a young student, Adolf Hitler was frequently at odds with his non-unionized teachers, who seemed content to teach by rote and lacked strong support from government.
When Adolf Hitler gravitated to Vienna as a young man to pursue a career as a painter, not only was he influenced by other progressive thinkers like Houston Stewart Chamberlain and Heinrich Gotthard von Treitschke, but also by an extraordinary activist progressive politician, Karl Lueger, the Burgomaster (Mayor)of Vienna, whom Hitler later called ‘a genius’ and claimed as a model. Lueger, whose Christian Socialist Party was organized along many of the same lines that Hitler would later adopt for his National Socialist Party could best be described as a early practitioner of Saul Alinky’s political ethics, balancing one special interest group against another for his own political advancement. At one point, when some of his anti-Semitic supporters questioned his taking campaign contributions from wealthy Jewish donors, Luegar famously shut them down by telling them that he was the one whom would decide who was a Jew! Lueger is also credited with municipalizing utilities and instituting public transportation in Vienna, along with a number of other shovel ready public works projects.
During this period, Hitler also experienced first hand what happens when government does not institute an adequate social safety net. After falling into dire poverty in Vienna, Hitler was forced to live in a homeless shelter for some time, and later a men’s hostel for the disadvantaged. He remained a socialist and a champion of the 99% ever after, although rejecting pure Marxism as being unworkable and unsuitable to those who favored strong, nationalist views and German exceptionalism.
In WWI, Hitler served in the German Army, suffered combat wounds and was a decorated veteran.
He later decided to truly make a difference in his adopted homeland by entering the public sector via the National Socialist Democratic German Worker’s Party (NSDAP in German, or Nazi using the typical German diminutive).
Hitler, being a spell binding orator and a charismatic speaker soon took over the party and refined its progressive agenda and message. With the exception of calling for a strong military and a renunciation of the restrictions of the Versailles Treaty, two issues unique to that place and time, Hitler and the Nazi’s message hardly sounds out of place in our political climate of today.
The German Hyperinflation and resulting economic crisis of 1921 occurred just as the Party and Adolf Hitler came of political age.
It destroyed the savings of Germany’s middle class, created massive unemployment and was blamed by most Germans on the financial establishment, poor governmental fiscal management, profiteers, and speculators. Or as today’s progressives call them, ‘banksters’, ‘Wall Street’ and the ‘one per cent’.
In this 3 year period, 1921-1923, Hitler’s political star rose as he became a vociferous champion of the middle class and Germany’s 99%. He and the Nazis called for reining in German financial institutions , job creation, making the fat cats pay their fair share and for increased spending on social welfare programs. The main difference in Hitler’s program as opposed to main stream socialists and communists was his championing of a resurgent German military and his fierce opposition to the restrictions and the huge reparations demanded by the Versailles Treaty. Hitler’s patriotic message, particularly coming from a decorated war hero resonated with a surprising amount of the German people.
The Nazi Party also won friends and influenced people by community organizing. They ran soup kitchens, promoted youth programs and championed the 99% in issues like landlord tenant relations, particularly in their main base of Munich.
And it was in Munich that Adolf Hitler made his first serious political miscalculation, misjudging his popular support in Bavaria with an attempted ‘putsch’, a takeover. It failed, but Hitler’s personal popularity ensured that he received an extraordinarily light sentence of 8 months in comfortable circumstances, where, like a lot of other revolutionary figures, he used the time to refine his message further and wrote his political testament, Mein Kampf (‘My Struggle’).
After he was released in 1924, Hitler used the rest of the 1920′s to consolidate the Nazis and turn them into a nationwide movement. The SA (known colloquially as Brownshirts) were reorganized into an effective force of street activists, Hitler established his own national daily newspaper, the Völkischer Beobachter, and continued to build his following and spread his message of nationalism mixed with progressive social policies. The Nazi banner is a superb symbol of Hitler’s ideology – the red banner of socialism with the Aryan nationalist symbol of the swastika in the middle.
Hitler was one of the first modern politicians to recognize how important media and messaging were to popularizing progressive policies:
« The art of propaganda consists precisely in being able to awaken the imagination of the public through an appeal to their feelings, in finding the appropriate psychological form that will arrest the attention and appeal to the hearts of the national masses. » […]
« This sentiment, however, is not complex, but simple and consistent. It is not highly differentiated, but has only the negative and positive notions of love and hatred, right and wrong, truth and falsehood. »
« Propaganda must not investigate the truth objectively and, in so far as it is favorable to the other side, present it according to the theoretical rules of justice; yet it must present only that aspect of the truth which is favorable to its own side. (…) The receptive powers of the masses are very restricted, and their understanding is feeble. On the other hand, they quickly forget. Such being the case, all effective propaganda must be confined to a few bare essentials and those must be expressed as far as possible in stereotyped formulas. These slogans should be persistently repeated until the very last individual has come to grasp the idea that has been put forward. (…) Every change that is made in the subject of a propagandist message must always emphasize the same conclusion. The leading slogan must of course be illustrated in many ways and from several angles, but in the end one must always return to the assertion of the same formula. »
What Adolf Hitler wrote about messaging in Mein Kampf predates and almost exactly mirrors what Sol Alinsky wrote many years later in Rules For Radicals, a book that many progressives consider their political bible, but with one exception…Hitler was much more open about referring to what he was doing as propaganda for political purposes.
In fact, Hitler could be said to be the originator of Alinsky’s famous Rule 13: ‘Pick the target, freeze the target, personalize it and polarize it.’
Adolf Hitler and the Nazi’s moment came with the worldwide depression of the 1930′s which devastated Germany’s economy. The chancellor at that time, the Catholic Centre Party’s Heinrich Brüning attempted to stave off some of the worst effects with various austerity measures, similar to those of President Hoover in America. However, the measures were unsuccessful and only added to dissatisfaction with the Weimar government, which many Germans felt had been forced on them by the victorious allies anyway.
The same sentiments ordinary Germans had voiced during the Hyperinflation were repeated…that the misery was due to the government’s policies, the fat cats, the speculators. This was amplified by the failure of several large banks .
Such an environment was almost tailor made for Hitler, his Nazis, and their message, targeting the 99% and assuming the mantle of the champions of the middle class and social justice. In the 1931 elections, the Nazis gained 18.3% of the votes and became the second largest party in the Reichstag.
In the years between 1931 and 1933, The Nazis increased their share of the German electorate, getting to 43.9% of the vote. Germany’s government was ineffectual and unable to act because of partisan politics and the difficulty in consensus between the Nazis, the Communists, The Catholic Centre Party, President Paul Hindenburg’s German National People’s Party (DNVP) and some of the other smaller parties. In those conditions, Hindenburg was convinced to appoint Hitler as Chancellor in 1933 as part of a coalition of the Nazis, DNVP, And Catholic Centre Party. The idea was to unify and take action for the good of the nation, or as a group of influential German politicians, industrialists and military figures wrote to President Hindenburg, to appoint Hitler as leader of a government « independent from parliamentary parties », which could turn into a movement that would « enrapture millions of people ».
Hope and change with a gemütlichkeit flavor, nicht wahr?
After the burning of the Reichstag ( which, really, can be considered street theater and legitimate protest designed to provoke a public response) Adolf Hitler wasn’t one to let a good crisis go to waste. He promptly brought the Ermächtigungsgesetz (Enabling Act) to a vote in the newly elected Reichstag. It was designed to bypass partisan gridlock in Berlin, gave Hitler’s cabinet full legislative powers for four years and allowed Hitler’s cabinet to bypass Germany’s constitution. After the Catholic Centre Party agreed to support it, it passed by a vote of 441–84.
Adolf Hitler was now in power to enact a number of important reforms and institute his progressive program without being impeded by a set-in-stone constitution or partisan bickering. He promised Germans a new society and his word for this was ‘volksgemeinschaft’, a ‘people’s community.’
He ended labor abuses and a number of strikes plaguing Germany by creating the German Labor Front as an umbrella organization to represent all workers, administrators, and company owners. He banned strikes, firings without government approval and lockouts. This ensured that government would be the ultimate protector of worker’s rights and the arbitrator of all labor disputes, something American labor leaders like Richard Trumka and Jimmy Hoffa Jr. have been advocating for years.
Farmers received subsidies and guaranteed prices for their crops in exchange for increased government supervision over what they grew and how they did it, and were given loans for tools, livestock and seed, as well as labor to work their farms by the state if needed.
While Hitler recognized the sanctity of private property, he also was emphatic that the government should have the power to regulate the use of private property for the good of the nation since it had been acquired with the help and use of public personnel and infrastructure, thus anticipating Elizabeth Warren by over seven decades.
At Hitler’s direction his finance minister Hjalmar Schacht instituted Keynesnian policies with large deficits and low interest rates combined with stimulus programs of pubic works to reduce unemployment. Hitler also mandated price freezes to prevent a recurrence of inflation. He started numerous public sector programs that actually got built, including the construction of dams, the autobahns, railroads, and public buildings as well as a military build up that later superseded the public works policies while maintaining high employment and job creation.
Hitler financed much of Germany’s rearmament and rebuilding with promissory notes known as MEFO bills, which ensured that the 1% contributed their fair share of the cost. While Hitler’s government like FDR’s here in America ran a deficit, the MEFO bills allowed the German government to defer payment on goods and materials for needed projects while keeping Germans working and moving the economy forward. Another progressive idea was Hitler’s creation of the « Reinhardt Program » for growth that combined indirect incentives like tax credits and reductions with government investments in infrastructure.
Hitler and the Nazis also were very involved in picking winners and losers among Germany’s corporate and manufacturing concerns, swapping preferential treatment, government contracts and loans and policies that benefited specific well connected and supportive companies in exchange for political and financial support for Hitler and his policies.In essence, Hitler made sectors of German business his partners in building the Third Reich while suppressing other, non-supportive players…certainly a tactic we’ve seen used recently with great success.
Another aid to the German economic recovery was the gradual removal of Jews and other political enemies from business, the arts. the professions and civil service, about which more later. German unemployment, which stood at six million in 1932 had been reduced to one million by 1936, the year the world saw a refurbished and invigorated Germany first hand as it hosted the Olympics.
Like his economic program, many of Hitler’s social programs also struck a resounding progressive chord.
Hitler revamped Germany’s healthcare system and made it truly universal as well as state subsidized. Hitler and the Nazis considered healthcare to be the right of all Germans, and there were numerous public-health campaigns in Nazi Germany urging healthy eating and exercise, and even no smoking campaigns at a time when cigarettes and cigars were being puffed with abandon worldwide. Water supplies were cleaned up, lead and mercury were removed from consumer products, and women were urged to undergo regular screenings for breast cancer.
Hitler enacted strong environmentalist legislation, such as the 1935 « Reich Nature Protection Act » which sought to control air and water pollution, reduce the use of coal and promote forest management and preservation. While the necessities of WWII eventually overrode many of these laws, it’s no exaggeration to refer to Adolf Hitler as a staunch environmentalist. And an outspoken champion of animal rights. As an animal lover and a strict vegetarian whom PETA would have been proud of, Hitler saw to it that extensive animal rights laws were passed, and even made an effort to ban hunting. He was a pioneer in this regard also. Many of the current animal welfare laws in Germany are adapted from laws originally introduced by Hitler and the Nazis.
But where Adolf Hitler showed himself a true progressive in his interest in education and children. All teachers were required to join the German Teacher’s League (Nationalsozialistischer Lehrerbund) and were required to attend seminars and classes in teaching progressive values in the classroom. All German university professors were required to be members of the National Socialist Association of University Lecturers.
For Germany’s children, Hitler formed two compulsory organizations, the Hitler Youth for ages 14-18 and the Jungvolk, for ages 10-14. They were trained in Hitler’s progressive national Socialism, wore uniforms, performed public service, did physical fitness and were given meals and other benefits by the State. For girls, there were the League of German Maidens and the Young Girls League where girls along with similar activities to the boy’s groups were taught homemaking skills. Both the German Maidens and the Hitler Youth had to complete a year of ‘land service’ working on Germany’s farms or performing other public service.German women were encouraged to be mothers and homemakers, and had their own organizations, the National Socialist Women’s League and the Strength Through Joy movement.
Hitler deviated from the progressive ideal in that he was not a feminist, although he employed women as secretaries and was universally remembered by all of them as an ideal, courteous and sympathetic employer. Nor did he favor abortion on demand. But you have to consider both the prevailing social climate and morals of that time and place, the fact that much of Germany was Catholic, and the fact that he knew Germany needed a larger population to fulfil his political and territorial ambitions. To Hitler, Germany’s children were its future.
But in reality Hitler actually did introduce certain progressive policies in this regard as well.
The Nazis enthusiastically embraced eugenics and had no qualms about abortion and sterilization for those they considered unfit, weak minded, or inferior. In this, they agreed with progressive heroine Margaret Sanger, likewise a strong believer in eugenics who formed Planned Parenthood expressly with the idea of limiting non-white births and the reproduction of ‘the unfit’.
The Nazis were also were quite open about the need to ration healthcare when it came to what they called ‘useless mouths’, This included the mentally ill, the disabled and handicapped, and in many cases people whom were simply terminally ill. Almost 300,000 people – that we know about – were killed by lethal injection in this way, not in concentration camps but in German medical facilities. Horrific as this may seem to some, this bears remembering when we look at the conversations about healthcare in our own time and examine the views of some of President Obama’s healthcare appointees. Hitler may once again to be proven to be a pioneer.
One of the major problems progressives have with embracing Hitler totally are his racial policies, particularly the ones directed at Jews. He also was anti-gay, although several prominent Nazis are rumored to have been gay or at least bi-sexual. Yes, these policies were problematic, even horrible. But if we examine these policies in detail, we find them to be largely a product of the existing political and moral climate of that time. Certainly that shouldn’t stop progressives from celebrating Hitler’s achievements while disapproving of some of his excesses and mistakes.
Anti-Semitism in Germany has a long history and was a mainstream attitude in Germany’s social and political culture, as it was in much of Europe and perhaps remains so even in our own time. When Germans talked about profiteers, speculators and the financiers they blamed for the Hyperinflation and the miseries of the Depression, not a few of them meant ‘Jews’, and certainly not just in Germany.
Some of the progressives here in America like Father Coughlin and his Silver Shirts, among others, certainly employed similar language and code words.
Our own times are certainly not divorced from this. As the idealistic protestors of the OWS movement and other parts of the progressive movement have shown us, many of them use terms like ‘banksters’, ‘Wall Street’, ‘neocons’, ‘Zionists’ and the like as code words for ‘Jews’ today, and mask actual anti-Semitism under the cover of ‘anti-Zionism’.
Obviously, these particular progressives in America have never gone quite as far as Hitler did when it came to Jews, but it’s also true that they’ve never had the power to do so either, and that anti-Semitism in America was never as much of a mainstream popular belief as it was in Europe.
But in Germany in the 1920′s and 1930′s, it definitely was. And Adolf Hitler, as a populist progressive gave voice to those feelings, just as he also reflected the popular attitude in the Germany of his time towards homosexuals. If Hitler were alive here in America and say, running as a Democrat for the Senate in California or Massachusetts, would gay bashing even be one of his issues, at least on the surface? Would opposition to abortion? Of course not. Hitler was a pragmatic and canny politician. If anyone asked, or even pointed to something he’d written or said, he’s simply say his views had evolved on the subject. And if he had, shall we say, certain views on Jews, he would undoubtedly be able to express them in vague terms about the need for a two state solution, a public embrace of the Muslim Brotherhood and its various front groups, endorsing military aid to anti-Semitic Arab regimes or maybe even a few quips about the Jewish lobby or the need for daylight between America and Israel. There’s no doubt in my mind that in many respects, a modern Adolf Hitler with evolved positions on abortion and gay rights would be an acceptable candidate for office in our own era. I could certainly see the New York Times endorsing him!
Without the unfortunate history, the errors and excesses that stigmatized him, today’s progressives would feel much better about embracing a true pioneer of their movement – Adolf Hitler.
Rob Miller is a free lance writer whose work has appeared in The Jerusalem Post, Ynet, American Thinker, The Los Angeles Times, The Atlanta Journal-Constitution, The San Francisco Chronicle, Real Clear Politics, The Seattle Pilot, Andrew Breitbart.com’s Big Peace and many other publicatio
Comme mobile pour venir à la manifpourtous, il y a aussi l’honneur. Quel que soit le résultat, quelles que soient nos chances, c’est la honte de ne rien faire. Comment continuer à vivre dans un pays où tous les habitants accepteraient sans rien faire les exactions politiques ? Ce serait impossible. Il n’y aurait plus qu’à fuir, le plus vite possible, ce peuple dégénéré. La manifpourtous est l’une des rares raisons de rester en France. Je suis athée, j’ai participé à presque toutes les manifs, et continuerai jusqu’au bout. On ne lâche rien !
Moi aussi j’y étais , j’y suis allé pour pouvoir dire que “j’y étais” alors je le dis. Voila. Bon maintenant l’échiquier politique ne permet pas vraiement déalternative pour les prochaines élections. Tout est vérolé. C’était tout de même amusant de voir de vielles personnes sur les terrasses des cafés insulter des enfants vennus avec leur famille, les traitant de “réac”, personnellement j’ai mis quelques coup de pieds au derierre à certains. Ce n’est pas de la violence, un pécher minion.
Merci beaucoup
Glad you liked it.
Rob Miller
Quel homme ! ça fait du bien de lire cet article ! surtout que je viens de voir une vidéo avec V. Peillon, voulant détruire la religion catholique ! c’est sidérant et on se demande comment on a pu mettre à la tête de l’Education Nationale un tel gus, ne respectant rien. Ayant bien écouté ce qu’il disait j’en suis arrivée à me dire qu’il est jaloux ! oui jaloux de ce qu’a apporté cette religion et les manifs arrivent à point si on peut parler ainsi.
Je garde ce texte précieusement car c’est un vrai bijou merci du fond du cœur au Père Daniel-Ange quel joli nom et si mérité. Mon mari et moi avons fait toutes les manifestations tant à Paris qu’en Bretagne ainsi que les veillées et nous sommes prêts à recommencer s’il le faut.
:rose:
pourquoi Hollande se lance-t-il dans ces “réformes” ? simplement pour obéir au Grand Orient de Franc, dont la destructionn du christianisme est l’obesssion statutaire ! ce sont les FM l’ont fait élir : et ce qui est honteux, c’est que personne ne le dit clairement !
S’il a été choisi c’est pour sa maladresse et son incompétence , faire barrage à Sarko se n’était que pour avoir le champ libre pour mettre ne application les délires
A la dernière manifpourtous le 2 février, il y avait un manifestant qui avait une pancarte : vive une laïcité qui soit la séparation de l’Etat et de la franc-maçonnerie !
Un homme d’esprit !
Hum, je n’aurais pas pensé le dire mais au delà de : une seule solution la manifestation, je crois qu’il est grand temps de songer à la REVOLUTION,
J’espère qu’elle arrive, vraiment!
Oui, Christopher, la solution ! ? une AUTRE REVOLUTION !
Nous sommes repassés sous “l’Ancien Régime” : avec le Roy Flamby ! le “Clergé” intello-gocho de la BIENPENSANCE !, et bientôt “l’inquisition” ! FINI ! la LIBERTE D’EXPRESSION !
Quand je dis révolution, je ne veux pas dire retour à zéro.
Que du contraire? je veux dire prise du pouvoir, fin de la récré!!!
non nous ne sommes pas des fachos .juste des citoyens du monde qui font la différence entre le réel Progrès et la destruction systématique des valeurs essentielles au bien vivre ensemble.
Oui plus de 80% des français sont prêts à secouer le joug qui tous les jours nous écrase un peu plus et nous impose la pensée unique au service de la Franc-maçonnerie et de la grande finance internationale. Oui tous les français sont prêts, hormis ceux qui directement ou indirectement prfitent de ce régime et collaborent.
Mais il est très peu de français qui soient prêts à descendre dans la rue pour faire une révolution musclée. Pourquoi?
1) D’une part notre population est vieillissante et bridée par son petit confort matériel, ses crédits pour les uns et ses placements pour les autres, ou bien l’assistanat distribué par le régime au détriment des premiers et qui permet à tous de subsister sans se soucier de devoir gagner sa nourriture au contraire des deux tiers de l’humanité.
2) Nous vivons en paix depuis plus de soixante ans, et nous avons totalement perdu le réflexe d’auto défense, aussi bien pour nos intérêts particuliers que pour un intérêt commun. comme des animaux de laboratoire, nous sommes amortis, anesthésiés, prêts à subir comme inéluctable toutes les agressions, les sévices, et même les invasions.
Et pourtant, seule une révolution nous permettra de renverser les collabos, de faire rendre gorge aux pilleurs de notre nation en les obligeant à restituer tous les avoirs qu’ils nous ont substitué.
Alors que faire?
1) Manifester pacifiquement en famille, de plus en plus nombreux et et dans toutes les villes de France, pas seulement dans les métropoles, car tout un chacun n’a pas ou plus les moyens de se déplacer.
2) Faire la révolution la plus pacifique qui consiste à arrêter de se plier au système tout simplement en arrêtant de produire pendant deux à trois mois. Oui cela va suffire et tout le monde peut le faire.
Voici la procédure:
1) Faisons des réserves de produits alimentaires de première nécessité se conservant sans consommation d’électricité. Faisons aussi des réserves de gaz en bouteille d’alcool, de bougies ou de bois pour la cuisson des aliments.
2) Retirons tous nos avoirs des banques qui sont d’ailleurs tout prêt de la faillite avec des engagements jusqu’à 60 fois plus importants que leurs réserves et à jamais incapables de tout nous restituer nos dépôts.
3) Lorsque nous serons prêts, en période d’été pour ne pas avoir besoin de chauffage, restons sagement chez nous, arrêtons de travailler, arrêtons de payer nos impôts et nos remboursements de prêts,arrêtons de consommer gaz et électricité, prenons trois mois de vacances en campant chez nous et en aidant nos voisins les plus démunis. Les plus téméraires d’entre nous, ceux qui ont manifesté sans crainte de représailles, continueront à maintenir hôpitaux et urgences en activité et a défendre les entrées de nos immeubles.
Que va-t-il se passer?………..Tous les rats vont quitter le navire, aussi bien les oligarques les plus gras que leurs vassaux politiques véreux et beau parleurs, que les envahisseurs affamés.
Ensuite il nous restera à fermer hermétiquement nos frontières, à aider les derniers rats à sortir après leur avoir totalement vidé les poches, puis à tous retrousser nos manches pour reconstruire une vraie démocratie équitable, proche de notre morale et de nos traditions.
BR
Faites circuler cette idée, c’est la seule solution qui puisse nous permettre de remettre de l’ordre dans notre maison France,et d’éviter une révolution sanglante.
A une action sans violence le pouvoir ne peut répondre par la violence. Il n’aura aucune arme contre nous et aucune alternative que de démissionner et de fuir.
Merci pour cet article excellent et dont je partage l’esprit.
Urgence de prendre conscience que tout se décide au niveau de l’Europe, je vous invite a aller lire le site de l’Europe (le 4 février 2014, cf rapport Lunacek).
Oui, j’invite aussi a voir cette vidéo de V Peillon !
Dramatique, on veut faire un ” lavage de cerveau” a nos enfants…pire que les communistes et le Hitler.
Il y a urgence!
Que devons nous faire?
Nous ne pouvons plus faire confiance a nos politiques…
Mais, nous allons tout droit a la destruction de notre civilisation.
Nous allons tout droit vers des guerres civiles.
J’ai la foi en l’intelligence des hommes, mais, je crains que le parcours soit douloureux.
Ce que les Soviets n’ont pas réussi à faire, on voit mal comment le pauvre bouffon impuissant qu’est Peillon réussirait à le faire. Leur idéologie qui remonte à la Terreur (première manifestation du totalitarisme moderne), c’est ça la référence “républicaine” d’un certain nombre de dirigeants actuels. Mais si la famille défend les valeurs, la famille gagnera la guerre. L’URSS n’a pas réussi à annihiler le christianisme (et pas non plus l’islamisme d’ailleurs), ni chez elle ni chez ses satellites (pour preuve, avec peut-être l’Irlande, la Pologne reste le pays le plus catholique). Il faut que chaque famille soit un front intérieur. Que pourront alors les petits idéologues minables dont les jours au pouvoir sont comptés ? (je ne compte d’ailleurs le bouffon-président dans les idéologues, lui, c’est un opportuniste jouisseur et cynique sans aucune conviction ni aucune morale mais qui se contrefiche de LGBT et du Mariage pédé, mais il les utilise tant qu’il en a besoin ; apparemment, il en a beaucoup moins besoin -on remarquera qu’il n’est guère montré au créneau pour défendre Peillon d’ailleurs…)
Bravo Michel… continuez, et merci les drapeaux ne servent à rien dans les poches!
Une multitude de français ne sait rien, ne regardant que la TV pour s’instruire. Ils n’ont pas l’intérêt ni le gout de s’informer en cherchant l’info, ailleurs que dans les médias officiels qui ne demandent aucun effort!
Mais avec des gens comme vous, j’ai l’espoir de voir les choses continuer à évoluer. Quand on voit un hebdomadaire comme Valeurs Actuelles augmenter ses chiffres de vente chaque année, on ne désespère plus! Le nombre de lecteurs d’infos conservatrices et modernes augmente.
RAYSSEGUIER : + 10
Merci au Père Daniel Ange pour cet encouragement.
Merci bien sur à Dreuz qui traite avec clarté un très grand nombre de sujets brulants.
Pour moi nos gouvernants et l’UE nous amènent peu à peu vers une guerre civile ou tout au moins à de graves affrontements.
C’est une vraie désolation.
il nous redonne courage !