Des islamistes Uighurs ont attaqué des innocents citoyens dans une gare. 5 terroristes seraient morts, le nombre de civils tués n’est pas encore précisément connu, mais on parle de 27 tués, 109 blessés.
L’attaque n’a pas été par explosion comme ils l’ont fait dans le métro de Londres, ni avec des armes à feu comme dans le centre commercial de Nairobi en septembre, mais … au couteau comme c’est la coutume en France.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Horreur, c’est terrible !
Cyberpresse au Québec où ils ont bien de la misère à appeler un chat un chat et un chien un chien tout comme Obama qu’on aime à la folie par ici : voir «hommes armés de couteaux»
Vingt-sept personnes ont été tuées et 109 blessées dans des attaques menées par «des hommes armés de couteaux» samedi soir dans la gare de Kunming (sud-ouest de la Chine), annoncé l’agence officielle Chine Nouvelle.
Les barbares ne sont pas nécessairement des gens courageux : ce qui leur donne de l’audace est la passivité tremblante et soumise de ceux qui sont en face d’eux.
Je dirais même que la passivité tremblante et soumise crée des vocations de barbares et constitue une incitation à la barbarie. — (Guy Millière, La passivité est une incitation à la barbarie, 21 avril 2009, )
chaque années ils égorgent des moutons innocent pour se perfectionner dans l’égorgement souvent se sont des enfants musulmans qui tuent le moutons sous les cris de sa famille qui hurlent “allez c’est pas un mouton c’est un juif tuent” le quelques temps plus tard on voit le macabre résultat …
Honnêtement, je n’ai JAMAIS vu des imbéciles, malades mentaux de la sorte!
Je me demande combien d’enfants ont été égorgés lors de cet acte scélérat, scélérat mais conforme au Coran, la religion scélérate du mal absolu.
Sourate 8 Le butin – verset 17. Ce n’est pas vous qui les avez tués : mais c’est Allah qui les a tués. Et lorsque tu lançais (une poignée de terre), ce n’est pas toi qui lançais : mais c’est Allah qui lançait, et ce pour éprouver les croyants d’une belle épreuve de Sa part ! Allah est Audient et Omniscient.
Ce sont des BARBARS
hi
d’une certainnes facon ” c’est une bonne chose ” .
car s’en prendre a la chine 1, 6 milliard d’habitans
est a la force policierer et militaire la plus piussant en terme d’effectif
et vu que la peine de mort est applliquer avec severité
est la monter en piussance de cette armée et de sa connaissance en strategie militaire
est bien si les muzz veulent jouer avec le feu
ils vont s’y bruler
car si la chine decide de livrer bataille aux muzz en chine et alleur
les muzz peuvent faire dans leur froc
ils ont perdu d’avance
que la force chinoise s’additionne avec tous ceux qui sont menacer par le faschisme islamofaschiste
et la civlisation muzz sera de faite vaincu et disparaitra de la surface de la terre et de son histoire huamine
aller la chine declarer donc la guerre aux muzz
et la civlisatio n muzz sera vaincu en peu de temps
by
meme le petrole muzz ne les sauvera pas
quansd a leur intelligence guerriere ( des muzz) , ils pourrront retourner au CP
aller les muzz reveiller donc le dragon chinois ..
Selon les prophéties de Nostradamus, la Chine et la Russie vont s’allier pour faire la guerre aux islamistes; ces deux pays seront les deux plus grosses forces militaires qui, alliés à d’autres pays, élimineront cette peste maudite! L’islam devrait disparaître et le tout se terminera autour des années 2026.
Si on en est encore aux soit-disant “prophéties de Nostradamus”, l’obscurantisme a encore de beaux jours.
Voilà ce que j’ai écrit sur ma page facebook il y a plus d’un mois, en guise de prémonition :
La Chine, nouvelle terre de conquête islamique ?
La Chine est en train peu à peu de sombrer non seulement dans le pire des capitalismes et des népotismes, mais aussi dans l’islamisme. Pour amadouer sa minorité musulmane ouïgour, qui agit avec une violence islamique extrême contre les chinois non musulmans, le gouvernement de la Chine avait déjà, lors des Jeux Olympiques de 2008, publié un circulaire autorisant la lecture du Coran et interdisant celle de la Bible (judaïque et chrétienne). La cause de cette interdiction était, selon le gouvernement chinois, que “la Bible était contre nos valeurs et nuisait à la santé, et que le Coran enseignait des valeurs chinoises”.
Cela a l’air d’un canular, mais ne l’est pas ! L’ignominie des dirigeants chinois ultra capitalistes qui louchent du côté de l’argent sale pétrolier des Etats-fantoches des Emirats islamiques, n’a plus de retenue. C’est à quand un milliard de chinois musulmans ???
David André Belhassen
Réponse @ yoniii et @ David André Belhassen.
Vos deux interventions sont contradictoire, et je souhaite de tout cœur que ce qu’écrit yoniii, se réalise.
Eddy
A Eddy. Voici une article fouillé sur lequel j’avais travaillé il y a de cela une dizaine d’années, concernant la menace islamique en Chine. Même si vous ne pouvez le publier de par sa longueur, il est utile il me semble de diffuser des extraits pour que tous comprennent l’enjeu en Chine.
La menace islamique en Chine
Préambule
La poussée islamique fulgurante en Chine populaire n’a commencé à intéresser l’opinion publique mondiale que depuis Septembre 2001. A tel point qu’aujourd’hui, beaucoup se posent la question: Est-ce qu’une réelle menace plane sur la Chine? Ou n’est-ce qu’un fantasme et la réminiscence d’une peur atavique?
En réalité, la menace islamique date d’une année bien antérieure à l’attentat contre les tours jumelles de New York. Elle a prit son essor en 1988.
Les estimations actuelles du pourcentage de musulmans en Chine varient grandement : certains avancent le chiffre de 40 millions, d’autres affirment que nous en sommes déjà au nombre astronomique de 150 millions.
Qu’en est-il au juste?
Cet article analyse comment et pourquoi, la Chine sera à majorité musulmane en 2070… si, à l’instar des Européens, les Chinois ne réagissent pas!
En corollaire, un remède sera proposé.
Mais avant toute chose, il nous faut faire une digression sur l’histoire de l’infiltration de l’Islam en Chine.
1. Aperçu historique jusqu’en 1945
Dès l’an 650, le processus jihadiste d’expansion de l’islam pousse les conquérants arabo-musulmans vers l’Asie centrale, et les confins des royaumes tributaires de la Chine. Ce processus entraîne la conversion à l’islam des tribus d’origine turque et mongole du centre de l’Asie, déjà en rapport avec l’empire chinois. L’entrée officielle de l’islam en Chine date de 651, quand arrivent en première ambassade à Chang’an les envoyés du calife abbaside Osman Ibn Affan pour convaincre l’empereur chinois Gaozong des Tang de laisser des prédicateurs musulmans répandre ‘la religion d’Allah’. L’Empereur chinois, éduqué dans la tolérance religieuse du Confucianisme, se laissa prendre au piège et permit la construction de mosquées. C’est ainsi que l’Islam pénétra en Chine. Il n’allait, jusqu’aujourd’hui, plus jamais laisser échapper sa proie.
Dans la suite des siècles, spécialement des Tang aux Song du sud (618-1125), se succéderont quarante-sept autres ambassades arabes, venues par terre ou par mer, pour des buts soi-disant pacifiques, mais en réalité pour préparer une infiltration armée. Une bataille entre troupes arabes et chinoises a lieu à Talas en 751.
Avec le continuel va-et-vient des marchands et l’installation de soldats musulmans en Chine, des communautés musulmanes se développent en nombre et en influence dans les principales villes de la route de la soie et dans les ports les plus fréquentés des côtes chinoises. Elles ont le monopole du commerce des marchandises arabes, jouissent de privilèges et d’une relative autonomie de gestion.
Tandis que l’expansion musulmane se poursuit dans l’Asie du centre et du nord, grâce à l’adhésion à l’islam des chefs mongols (à commencer par les neveux mêmes de Gengis Khan), le nombre des convertis à l’Islam s’accroît.
Grâce à l’envoi de ministres musulmans en diverses régions de la Chine, l’islam se répand un peu partout. Il s’implante ainsi au Yunnan surtout parce que Syed Omar Shamsuddin (Sai Dianchi), gouverneur de 1273 à 1279, attire des milliers de personnes à sa foi. A Ningxia et dans les régions voisines, l’islam est répandu par Ah Nan Da, qui convertit ses cent cinquante mille soldats. Les ‘convertis’ constituent, avec les musulmans venus d’autres pays, le gros des communautés musulmanes.
Avec les progrès de l’islam en Chine ses divers courants et ses sectes vont se révéler, surtout à la fin des Ming (1368-1644) et sous la dynastie mandchoue des Qing (1644-1911).
Parallèlement à sa division en sectes, l’islam en Chine s’engage de plus en plus dans la politique en se liant avec des sociétés secrètes. Les musulmans souvent veulent faire sécession.
Après la chute de l’empire chinois (1911) et dans les premières années de la République, les musulmans de Chine sont, pour la première fois, reconnus comme la nationalité Hui. Ce nom de Hui (qui signifie littéralement “retourner”) a supplanté les autres noms pour désigner en Chine les adeptes de l’islam.
Les Huis
C’est le principal groupe musulman, de langue chinois et physiquement indiscernable des autres chinois. On les trouve dans le Gansu, le Shaanxi, le Yunnan, et les ports du Sud-Est. Bien qu’il existe une transcription phonétique de “Islam” en chinois, il est généralement nommé “religion des Huis” (huijiao 回教), et les mosquées se nomment “temple de pureté et de vérité” (qingzhensi 清真寺).
Bien qu’à l’origine, les Huis n’étaient qu’un groupe religieux, le système complexe chinois les a considérés comme une ethnie à part entière. Entre parenthèses, parler de “peuple” au lieu de “confession” rend bien l’imprécision, sinon l’équivoque, qui s’est beaucoup répandue dans le monde chinois avec la présentation courante d’une Chine composée de “cinq races ou nationalités principales” (symbolisées par les cinq étoiles de son drapeau), les Han, en majorité, et les quatre minorités, Mongols, Tibétains, Mandchous et Hui. La confusion consiste à entendre Hui Min, la population Hui, comme le groupe ethnique, la nationalité ou la race Hui, en mêlant les sens multiples que peuvent revêtir, seuls ou ensemble, les termes chinois “min” et “zu” : peuple, nation, race, nationalité, ethnie, clan, groupe ou classe,etc. (voir F.Dikotter, The Discourse of Race in Modern China, Hong Kong University Press, 1992). En fait, le terme Hui semble être la translittération chinoise du nom Uigur, groupe ethnique turc assez bien défini. Par conséquent ce terme avait probablement à l’origine une signification plus étroitement ethnique. Par la suite, toutefois, il a désigné d’une manière générale la population islamisé et qui, comme groupe social, comprenait différents groupes ethniques. La même confusion est faite pour les Han.
En réalité, les Huis seraient un groupe composite issu de l’intermariage de prédicateurs (déguisés en marchands) musulmans et de femmes chinoises. Avant la récente tendance au Fondamentalisme Islamique, les Huis pratiquaient une sorte de syncrétisme Soufisme-Taoïsme. Néanmoins, on ne trouve ensuite aucune mention officielle de participation de Huis au hadj (le pèlerinage à la Mecque) avant 1861.
La constitution nationale comme la proclamation du Kuomintang témoignent clairement en faveur de la liberté de religion. L’islam y est reconnu de manière spécifique. La constitution chinoise prévoit aussi que les représentants musulmans à l’Assemblée nationale sont “élus par les musulmans de tout le pays”.
A partir de 1912, les groupes musulmans cherchent à améliorer et à coordonner leurs relations avec leurs coreligionnaires de l’étranger. Est fondée dans ce but l'”Association musulmane pour le progrès” qui a son siège central à Pékin et des filiales dans toutes les provinces. Elle est remplacée en 1929 par “l’Association islamique chinoise.” Entre temps s’est ajoutée en 1924 l'”Union culturelle musulmane chinoise” qui a pour but de publier et de promouvoir la littérature et la culture musulmanes, en coopération encore avec l’étranger. Une “société pour la prédication islamique” est créée en 1933 à Taiyuan. Pendant l’hiver de 1937, à Hankou, la “fédération islamique chinoise pour le salut national”, entreprend une réorganisation au niveau national qui coiffe et coordonne les structures déjà existantes. Elle envoie deux importantes missions, l’une dans les pays du Moyen-Orient en 1937-1938, l’autre en 1940 dans ceux du sud-est asiatique.
Les musulmans s’engagent aussi de plus en plus dans le domaine de l’enseignement: modernisation des anciennes écoles de mosquée, ouverture de nouveaux établissements, écoles, collèges et centres d’étude, pour la formation des imàm et des enseignants et pour l’instruction religieuse des enfants.
La presse reçoit parallèlement une forte impulsion. Partie d’une simple revue au Yunnan en 1915 elle se dote de publications connues comme Le croissant et La lumière du croissant à Pékin, La revue islamique à Shanghai etc. Selon l’annuaire de la Chine de 1930, il y a alors 48 millions de musulmans dans le pays et environ 40 000 mosquées.
A la veille de la République populaire, la situation de l’islam est ainsi décrite : “Le nombre de ses adeptes doit se situer entre 20 et 30 millions. Les Chinois se convertissent difficilement à l’islam. Dans l’armée, on ne trouve des musulmans chinois que dans les troupes dont les officiers sont musulmans. Bien qu’aucune fille musulmane n’épouserait un Chinois, une certaine croissance vient du fait que des musulmans épousent souvent des Chinoises qui embrassent leur religion. ”
C’est la mise en œuvre de la stratégie démographique, par le biais de rapports sexuels et maritales entre un musulman et une femme chinoise, bien connue dans l’Islam pour ‘etnocider en douceur’ un peuple conquis,.
2. La politique des instances communistes à l’égard de l’Islam (1945-1978)
En 1945, les communistes chinois définissent ainsi leur politique dans les zones contrôlées par eux : “Toutes les religions sont autorisées dans les régions libérées de la Chine, selon le principe de liberté de foi religieuse. Tous les adeptes du protestantisme, du catholicisme, de l’islam, du bouddhisme et des autres croyances jouissent de la protection du gouvernement du peuple à condition qu’ils observent les lois”. (Mao TseToung cité dans D.MacInnis, Religious Policy and Practice in Communist China, MacMillan, New-York 1972 p.14. ).
Afin de montrer sa particulière bonne volonte vis-à-vis de l’Islam, sont formées des organisations islamiques locales selon les besoins. Un Institut islamique est ouvert dans le but exclusif de former des intellectuels musulmans, versés dans le Coran. Des mosquées célèbres de diverses régions du pays sont restaurées. Des classiques de l’islam sont traduits et publiés. Les pèlerinages annuels sont organisés… Le Coran est édité en chinois etc… Tout cela en vain!
“Les contradictions entre les réactionnaires de l’islam et le socialisme se sont graduellement aggravées. Des criminels de droite cachés dans les couches supérieures du peuple Hui et dans les cercles religieux islamiques se sont démenés. Ils ont répandu des idées réactionnaires et dénigré la politique du Parti. Certains parmi eux sont allés jusqu’à comploter une insurrection dans le but de détruire l’unité nationale et de constituer des royaumes indépendants…”
Liu Shengming, activiste islamique Hui, fut accusé d’avoir saboté la solidarité nationale en semant l’inimitié et la discorde entre les Hui et les Han, d’avoir calomnié la politique religieuse du Parti en disant que celui-ci ne voulait pas la liberté mais l’extermination des religions et que le “soin spécial” réservé aux musulmans visait à un contrôle plus complet des régions dans lesquelles ils vivaient. Liu Shengming avait aussi offensé les imàm ‘collaborationnistes’ en les appelant les “moutons noirs de la nationalité Hui qui trahissent l’islam en échange de privilèges et de bonnes places”. (I.MacInnis, op.cit. pp.208-212).
Dans leur entreprise de “libération et unification” de la totalité du pays, les dirigeants communistes rencontrent beaucoup d’opposition chez les populations islamiques. En 1947, entre le Gansu et le Shaanxi, des groupes armés musulmans combattent l’armée communiste et lui infligent de sérieux revers. La région n’est d’ailleurs pas “conquise”, mais pacifiée au terme de pourparlers en 1950.
“Après la Libération, les communistes ont dû affronter l’esprit sectaire des musulmans. Ils ont alors appris à traiter les minorités avec une très grande prudence, y compris dans le domaine de leur religion, parce que les observances et les pratiques de l’islam sont étroitement imbriquées dans la vie quotidienne de ses adeptes. Mais Pékin a pris soin de camoufler ces conditions de faveur en traitant les fidèles musulmans davantage comme une minorité ethnique que comme un groupe religieux. Il faut en outre observer que la politique communiste à l’égard des musulmans en Chine est également dictée en partie par des considérations internationales. Comme ensemble religieux, les musulmans chinois font partie intégrante du monde islamique du sud-est asiatique et du Moyen-Orient à l’égard desquels la Russie et la Chine ont des visées politiques. Supprimer la religion musulmane à l’intérieur du pays rendrait extrêmement difficile l’amélioration des rapports avec ces régions. L’intensification des activités communistes, en particulier au Moyen-Orient, est donc une cause partielle du traitement plus bienveillant de la religion musulmane par rapport à celui d’autres religions” (Yang I-fan, Islam in China, Union Research Institute, Hong Kong 1969, pp.20-22).
Pourtant, le 10 janvier 1951, le Quotidien de l’illumination de Pékin lance une attaque ouverte contre Mahomet en le traitant de “brigand”, “d’instigateur d’un Etat féodal de droit divin, prônant la division en classes et l’injustice sociale, tout ceci prouvant sa nature profondément réactionnaire. La tempête de protestations qu’elle soulève chez les musulmans de la capitale, qui veulent détruire le siège du journal, contraint les autorités à se rétracter. (Burhan Shahidi dans Renmin Ribao (Quotidien du peuple), 20.21 novembre 1951.)
La Révolution culturelle (1966-1976)
Quand la Révolution culturelle éclate, la politique de liberté religieuse se transforme en persécution ouverte, selon les directives qui apparaissent à l’automne 1966 à Pékin : “Fermer toutes les mosquées, dissoudre toutes les associations religieuses, supprimer l’étude du Coran, abolir les mariages entre coreligionnaires et la circoncision” ; “Abolition immédiate de toutes les organisations islamiques de Chine, internement du ‘clergé’ islamique dans des camps de travail forcé, substitution de l’incinération aux rites funéraires musulmans, suppression de la célébration des fêtes et des congés islamiques”.
Les gardes rouges s’engagent à fond dans cette ligne d’action. Au paroxysme de la Révolution culturelle, vers la fin des années 60, les musulmans de la province du Yunnan fomentent une insurrection en proclamant la fondation de la République islamique. Les villages impliqués sont rasés par les troupes gouvernementales.
Les premiers signes de retour d’une certaine liberté religieuse, après les excès de la Révolution culturelle, apparaissent en 1970-1971 quand revient au premier plan la préoccupation de l’unité entre les minorités ethniques et des bons rapports avec les pays islamiques étrangers. Jusqu’en 1978, le Parti Communiste Chinois fait preuve de plus de tolérance vis à vis de l’islam que des autres religions, ne cherchant pas à l’éradiquer totalement, afin de ne pas encourager le séparatisme et de favoriser ses relations diplomatiques avec les pays musulmans. Les Huis furent souvent favorisés et choisis comme fonctionnaires d’état par le gouvernement central qui cherchait à faire preuve de tolérance et à promouvoir les non chinois pour atténuer les protestations mondiales sur l’oppression des tibétains.
3. La nouvelle politique (1979-1988)
Avec la politique de libéralisation lancée par Deng Xiaoping au troisième plenum du onzième Comité central du Parti communiste chinois, en décembre 1978, s’ouvre une ère nouvelle pour les musulmans de Chine.
En 1979, des étapes importantes sont franchies : réouverture des mosquées dont le muezzin du haut du minaret appelle à la prière ; libération et rétablissement dans tous leurs droits des personnalités musulmanes condamnées avant et pendant la Révolution culturelle ; reprise des pèlerinages à La Mecque ; fixation d’un programme d’études islamiques à la Conférence nationale de Kunming; participation de représentants musulmans au Conseil islamique d’Algérie.
A partir de la même année, les musulmans chinois sont considérés comme un pion important dans l’amélioration des rapports et du commerce avec les pays arabes. Au niveau de la population les signes de respect se multiplient. Les traditions alimentaires des musulmans sont favorisées, un peu partout s’ouvrent des boutiques et des restaurants spécialisés dans les plats halàl (purs, permis), plats également présentés dans les buffets des trains, des bateaux et des avions, sur les tables des cantines d’usine. Pour les aliments obligatoires au moment des fêtes, des primes spéciales sont accordées aux ouvriers musulmans ou des distributions leur sont faites. Des inspecteurs sont envoyés dans les abattoirs pour vérifier que les lois islamiques sont respectées dans l’abattage des animaux. Des congés sont accordés pour la célébration des fêtes les plus importantes. L’élection de musulmans comme délégués aux assemblées du peuple est favorisée à tous les niveaux, etc…
En avril 1980, la quatrième assemblée nationale de l’AIC précise de nouveau les objectifs: servir de pont entre le gouvernement et les membres de la communauté islamique pour la mise en oeuvre de la politique religieuse ; restaurer les mosquées ou en construire de nouvelles ainsi que les autres lieux de culte ; reprendre la publication du Coran, des livres religieux et de ses propres publications ; travailler à la formation des imàm et des mullàh en ouvrant des instituts d’étude et de formation islamique ; réorganiser les grandes fêtes traditionnelles et les pèlerinages à La Mecque; favoriser les relations avec les coreligionnaires d’autres pays et la coopération internationale.
A partir d’août 1980, de nouvelles organisations antigouvernementales prêchent la Jihad (la guerre sainte) pour faire sécession et obtenir l’indépendance, en union avec tous les musulmans.
Du 10 au 16 mars 1987 se déroule à Pékin la cinquième assemblée nationale de l’AIC. Des données statistiques sont fournies pour l’occasion : vingt mille mosquées ouvertes, huit cent mille exemplaires d’ouvrages islamiques distribués et, depuis 1980, sept délégations envoyées à La Mecque.
A partir du printemps de 1988 éclatent des conflits de nature diverse entre groupes musulmans, entre sectes, des manifestations se produisent en faveur de l’autonomie locale, contre les Han, contre la nouvelle législation de l’Etat sur le contrôle des naissances, qui limite à trois au maximum le nombre des fils dans les ‘minorités ethniques’ (en particulier les huis musulmans, tandis qu’un seul est permis chez les Han.
4. Le piège islamique se referme sur la Chine (1988-2006)
Tout au long de la période d’après Mao, la Chine a maintenu avec les pays arabes musulmans de bonnes relations politiques et commerciales, tout en s’adaptant de manière flexible aux situations de conflit de cette région du monde. Les visites officielles au plus haut niveau ont été fréquentes. Dans le conflit Iran-Irak et au Liban, la Chine a maintenu un profil bas, ses intérêts dans les ventes d’armes rendant peu convaincants ses appels à une solution pacifique. La Chine a soutenu aussi la cause islamique en Afghanistan. Dans l’isolement où elle s’est trouvée après le massacre des étudiants en juin 1989 sur la place Tiananmen et les sanctions imposées par l’Occident, ses dirigeants ont redoublé d’attention pour les pays musulmans et le Moyen Orient. La Chine a trouvé de leur côté quelques reconnaissances officielles (nouant des rapports diplomatiques avec l’Indonésie et l’Arabie saoudite) et des ressources financières ajoutées à son commerce et à ses ventes d’armes (surtout au Pakistan, à la Lybie etc.). Le 20 octobre 1988 la Chine est un des premiers pays à reconnaître l’Etat palestinien au niveau diplomatique.
L’invasion du Koweit par l’Irak dans l’été de 1990 et la guerre du Golfe qui s’ensuivit ont donné à la Chine une bonne carte qu’elle a su jouer pour la reprise de son rôle international et pour ses objectifs commerciaux.
Dans ce contexte politique et pour mieux atteindre ses objectifs, la Chine a exploité aussi les relations religieuses et l’aide financière apportée par les pays islamiques pour la diffusion de l’islam (par la construction de mosquées, la formation des ministres religieux, les études, etc.). Elle a reçu chaque année des délégations de presque tous les pays islamiques.
En décembre 1987, un symposium international a été organisé à Pékin par la “Ligue islamique mondiale” en coopération avec son homologue chinoise (300 participants de 14 pays). En mars 1988, une délégation chinoise a participé à la onzième conférence internationale islamique au Caire. En février 1990, une délégation chinoise a pris part à la troisième conférence du Grand conseil des affaires islamiques, au Caire, qui a souligné qu'”entre pays islamiques, l’aide économique mutuelle, la coopération et l’unité peuvent résoudre les problèmes que l’islam doit affronter et diminuer les difficultés des musulmans dans le monde”.
En juillet 1990, dans un discours obséquieux prononcé en l’honneur de la reconnaissance diplomatique entre la Chine et l’Arabie saoudite, le président de l’Association islamique chinoise, Shen Xiaxi, a dit : “Les peuples de la Chine et de l’Arabie saoudite ont une longue tradition d’amitié. L’antique route de la soie a facilité entre eux les contacts amicaux dans les domaines du commerce, de la culture et de la religion. En Arabie saoudite, la ville sacrée de La Mecque est le lieu saint vénéré auquel aspirent tous les musulmans, y compris les musulmans chinois. Environ mille croyants de Chine s’y rendent chaque année, remplissant un devoir sacré et manifestant la vénération due au tombeau du saint prophète Mohamet à Médine. Nous espérons que les relations amicales et la coopération au bénéfice des deux parties, déjà établies entre les peuples islamiques des deux nations, iront en se renforçant et en se développant toujours plus…”.
Il est à noter qu’à propos des rapports entre la Chine populaire et l’Arabie saoudite, le Hongkong Muslim Herald (périodique musulman publié en anglais et en chinois à Hongkong, vol.11 n.6, jov.1988) a présenté une interprétation différente: “Profitant des tractations commerciales, le régime saoudien tenta d’insinuer les hérésies des sectes wahhabites dans l’esprit des 66 millions de musulmans chinois en proie aux épreuves inouïes et aux persécutions de la sinistre Révolution culturelle. En fait, les Wahhabites d’Arabie saoudite avaient commencé à s’infiltrer dans la communauté des musulmans chinois dès la chute de la Bande des quatre, à la fin des années 70…”
Mais pour l’occasion, un vol direct entre les deux pays est inauguré afin de favoriser les pèlerinages, et la Chine reçoit de l’Arabie saoudite le don d’un million d’exemplaires du Coran et des subventions pour la formation théologique d’imàm.
En août 1989, la première université musulmane chinoise, celle du Xi’an, est créé. En février 1990, au Tajikistan, l’état d’urgence est décrété. Le premier ministre Li Peng affirme que cette province présente “tous les facteurs d’instabilité” et met en garde contre les forces séparatistes qui “peuvent, sous le manteau de la religion, s’infiltrer dans nos rangs en profitant de nos rapports avec d’autres pays.”
Dans les premiers mois de 1990 la campagne tant nationale que régionale contre le fanatisme islamique vise à maintenir partout l’ordre et la stabilité. Après l’insurrection de Baren en avril 1990, une campagne lancée là auprès des milieux religieux musulmans mobilise clergé et fidèles sur les objectifs : “aimer la patrie, observer les lois, s’opposer au séparatisme et sauvegarder l’unité nationale”, “empêcher les tentatives d’infiltration d’ennemis de la mère-patrie qui mettent en péril l’unité nationale, violent la loi et la discipline”. En mars 1990 une campagne est lancée contre le fondamentalisme islamique et contre “les forces hostiles étrangères qui cherchent à faire des prosélytes et à créer des tensions”. (Recherches de sciences sociales du Xinjiang, revue publiée en chinois à Urumqi par l’Académie des sciences sociales de la région, n.226, 2-1991.)
En avril 1990 un groupe de musulmans organisés en “parti islamique du Turkestan de l’Est”, sous la direction d’Abul Kasim, proclament la Jihad pour établir une république indépendante.
En juillet l990 la Chine noue des rapports diplomatiques avec l’Arabie saoudite. Dans les premiers mois de 1991, surtout pendant la guerre du Golfe, on enregistre des manifestations en faveur de Saddam Hussein, acclamé aussi comme un éventuel libérateur des musulmans chinois.
Derrière toutes les protestations des musulmans il y a leur refus de l’enseignement laïc et athée des communistes chinois, qu’ils regardent avec mépris comme “infidèles”. De leur côté, avec la libération et l’ouverture de la Chine au monde, les autorités chinoises n’ont cessé, en insistant sur l’unité nationale, de s’inquiéter de l’influence que les pays musulmans, en particulier ses voisins d’Asie centrale qui ont obtenu leur autonomie en 1989-1990, peuvent exercer sur leurs coreligionnaires chinois. Dans les années récentes, les forces de sécurité ont déjoué beaucoup de tentatives d’indépendance musulmane, surtout dans le Xinjiang.
Une enquête réalisée par l’académie des sciences sociales dans le Xinjiang rapporte en 1991 : “Au sud de la région autonome du Xinjiang Uigur, l’audience et l’influence des religions ont régulièrement augmenté en plusieurs régions. Le sentiment religieux s’est de plus en plus renforcé dans les masses et on observe une véritable fièvre religieuse. Actuellement le nombre officiel des mosquées ouvertes dépasse vingt-trois mille. Depuis quelques années, leur construction échappe au contrôle de l’Etat et ce sont des cadres de niveau inférieur qui délivrent l’autorisation. Beaucoup de mosquées sont même construites sans la moindre autorisation. En conséquence le nombre des mosquées a été multiplié plusieurs fois en peu d’années… C’est surtout depuis 1984 que les citadins et les villageois se sont mis à rivaliser dans la construction de mosquées grandes ou petites et ce mouvement a atteint un sommet en 1986” (Recherches de sciences sociales du Xinjiang, n.226, 2-1991).
Le développement récent de l’islam en Chine a également porté sur la célébration de ses traditions et de ses fêtes annuelles.
Les musulmans chinois pratiquent la prière cinq fois par jour à l’appel du muezzin du minaret. Ils se réunissent le vendredi pour la cérémonie hebdomadaire et les ablutions rituelles. Ils célèbrent aussi leurs fêtes annuelles. Celle “Du grand sacrifice” (Id al-Adha ou de l’immolation des animaux) le dixième jour du douzième mois, le Ramadàn, au neuvième mois, qui impose un jeûne total du lever au coucher du soleil. La tradition du pèlerinage à La Mecque est l’objet d’une particulière attention: “Cette année (1988), le grand nombre des demandes, plus élevé que l’année précédente, et les conditions nouvelles amènent à en simplifier les formalités.”
Quand à l’instruction religieuse des jeunes, un rapport officiel du Xinjiang le décrit ainsi: “Jusqu’à 1978, le comité central du Parti n’a cessé de répéter la règle qui interdit d’inculquer la moindre idée religieuse aux enfants et aux jeunes de moins de dix-huit ans. A cause de cette défense, aucune mosquée ne devait avoir une école privée, aucun enfant ne pouvait être mené dans les lieux de culte et d’activité religieuse. Par contre, à partir de 1979, on a ouvert partout des écoles privées de mosquée. Toutes les tentatives pour empêcher leur ouverture ont échoué et elles continuent de se multiplier. A Yencheng, par exemple, il n’y avait en 1979 que cinq écoles de mosquée faisant étudier l’islam à 150 élèves, mais à la fin de 1989, on comptait cinq fois plus d’écoles et d’élèves. Les étudiants qui se contentaient auparavant de fréquenter l’école de la mosquée locale sont allés se mettre à l’école de personnalités religieuses en renom. Les étudiants de l’islam à Yenchang viennent de tout le Xinjiang. Ils aspirent tous à poursuivre leurs études théologiques à l’étranger. Depuis 1986, sous couvert de visite à leur famille, 119 étudiants des districts de Kashgar et de Hotan sont partis pour ces études à l’étranger”.
Il y a eu aussi un essor dans la publication de la littérature religieuse. La parution en chinois du périodique Musulmans de Chine a commencé en 1981. Un bureau a été ouvert pour la distribution des ‘écrits sacrés’ de l’islam, qui s’est doté depuis 1984 de services commerciaux. La récente Encyclopédie chinoise a été pourvue d’un chapitre sur l’islam. Les Nouvelles pour les pèlerinages sont publiées depuis 1986. Des oeuvres classiques sont rééditées et l’on favorise la production littéraire de jeunes écrivains musulmans.
Dans les premiers mois de 1990, la télévision chinoise a diffusé une série de programmes sur les doctrines et les pratiques de l’islam.
Toutes ces initiatives ont aussi déclenché des projets plus ambitieux tels qu’une histoire générale de l’islam dans le monde (y compris les pays arabes) et en Chine, une encyclopédie de l’islam chinois, une histoire de l’islam au Xinjiang, une nouvelle traduction du Coran, un dictionnaire de la culture et de la philosophie islamique, etc…
Des initiatives dans le domaine économique musulmanes prolifèrent au même rythme. “Il est important que, par l’aide mutuelle, les cultures chinoise et islamique se donnent les moyens de leur expansion.” (sic !). (Shijie Zhongjiao Yanjiu (“Recherches sur les religions dans le monde”, publié à Pékin par l’Académie des sciences sociales, 1989 n.9.)
Le 9 octobre 1986 a été posée la première pierre d’un grand centre commercial musulman dans Wangfujing, une des artères principales de Pékin. En 1988 un communiqué de l’agence de presse Chine nouvelle a fait savoir que, “dans la région autonome de Ningxia, les mosquées, encouragées par les réformes actuelles au niveau national, ont pris depuis quelques années des initiatives commerciales et que soixante pour cent des mosquées du Xinjiang ont ouvert des boutiques, des hôtels et d’autres services payants”.
En 1988 également, la région de Ningxia Hui a déposé une demande pour constituer avec une zone économique spéciale pour les investissements étrangers, spécialement pour ceux des pays islamiques. La Banque de l’industrie et du commerce de Xining a ouvert en janvier 1989 un Centre des économies musulmanes, recueillant plus de 150 000 yuans de dépôt en un mois. La première entreprise chinoise musulmane de haute technologie, la Beijing Aihaiwei Co, qui se préparait à exporter des outillages et du personnel spécialisé, a embauché en septembre 1989 des représentants et des experts commerciaux de divers pays islamiques pour améliorer le commerce extérieur chinois. La “Banque mondiale islamique pour le développement” a noué en 1985 des relations plus amicales avec les musulmans chinois en apportant son aide financière à quatre projets : les trois instituts islamiques de Pékin, d’Urumqi et de Yinchuan mentionnés plus haut, l’école de langue arabe de Tongxin, qui ont été inaugurés avant 1990.
5. Le coup de grâce.
Selon les résultats d’une enquête de la revue Recherches des sciences sociales du Xinjiang publiée à Urumqi (n.226, 2-1991),” Nous avons découvert dans notre enquête que beaucoup de jeunes, même des membres de la ligue des jeunesses communistes, croient fermement que l’homme a été créé par Allah…La propagande sous divers modes et les activités religieuses, dans la société et dans la famille, constituent une pression invisible sur l’esprit des enfants et des jeunes gens : c’est devenu un des principaux facteurs qui les font croire dans la religion et participer à des activités religieuses…” (rapporté aussi dans China Study Journal, Londres, avril 1992, pp.30-32). L’attitude laxiste du gouvernement chinois face à cette “poussée fondamentaliste” (interférant dans l’administration, le système judiciaire et éducatif, avec la multiplication spectaculaire des ‘livres saints’ et des écoles de mosquée, le grand nombre des cadres du parti et des enseignants qui pratiquent la religion et qui participent à des activités religieuses, la montée du prestige et de la position sociale du clergé et des chefs responsables religieux etc…) a pour effet, non pas de calmer les ‘fous d’Allah’ chinois, mais au contraire d’exacerber les manifestations de mécontentement et les mouvements de protestation. En mai1989, des groupes musulmans dont l’ensemble dépasse cent mille personnes manifestent à Urumqi, à Pékin et en d’autres villes, réclamant la saisie du livre Les coutumes sexuelles, publié à Shanghai, qui traite le sujet de façon “offensante” dans son chapitre consacré à l’islam. Cela rappelle quelque chose? Salman Rushdie? Les caricatures de Mahomet? Et bien les musulmans de Chine furent les précurseurs en la matière!
Mais tout cela n’est rien comparé au danger que représente la déliquescence gouvernementale sur le contrôle des naissances chez les chinois de confession musulmane, et sur la loi interdisant la polygamie.
Avant de poursuivre, voici quelques données statistiques officielles sur les musulmans de la République Populaire de Chine: 1951 = 11 millions; 1953 = 8 millions; 1964 = 9 millions; 1982 = 14,6 millions; 1989 = 14 millions; 1990 = 15 millions; 1992 = 16 millions.
Mais selon les statistiques du Bureau des affaires religieuses, les musulmans chinois (avec plus de 23 000 mosquées et ses 30 000 imàm,) étaient 20 millions.
Le chiffre qui en 1992 approchait le plus de la réalité, selon News Service, devait se situer entre 50 et 65 millions.
Aujourd’hui, la population musulmane en Chine est estimée à plus de 150 millions sur 1 milliard 250 millions d’habitants ! Comment ce saut prodigieux a-t-il pu se produire ? La réponse est sous nos yeux: la politique chinoise de planification des naissances !
C’est en effet le gouvernement chinois lui-même qui, non seulement a laissé introduire dans ses portes le ‘Cheval de Mecque’, mais encore il a discriminé et littéralement ‘harakirisé’ sa propre population non musulmane.
Comment ?
En 1988, pour juguler l’explosion démographique, les autorités chinoises entérine un décret d’une dureté étonnante: pas plus d’un enfant par famille ! Ce décret, qui a vigueur de loi, est accompagné de sanctions draconiennes à l’encontre de qui ose la transgresser: amendes, confiscations de terre, et même la prison !
Un ‘amendement’ est cependant apporté à cette loi, qui est une véritable tragédie pour les petits paysans chinois: Les ‘minorités ethniques’ en sont exemptés; ou pour être précis, le nombre d’enfants autorisés passe à 3.
Il est à noter qu’en réalité, cette limitation à 3 enfants est en elle-même une sinistre supercherie. Elle ne sera jamais appliquée car sous le terme vague et inoffensif de ‘minorités ethniques’, se tapit une autre ‘minorité’, bien plus belliqueuse celle-là: ‘les musulmans’. Ces derniers menacent de mettre le pays à feu et à sang si cette loi s’applique à eux, car aucun programme communiste de planification des naissances ne doit oser entraver la volonté d’Allah de ‘croissez et multipliez’.
Le pugilat n’aura pourtant pas lieu, les autorités chinoises ayant vite jeté l’éponge, et ce avant même le coup de gong. Ce seront les petits paysans chinois non-musulmans qui bientôt feront les frais de la pusillanimité et la lâcheté de leurs dirigeants face au chantage islamique.
Alors que les paysans non- musulmans geignent sous le fardeau de cette loi inhumaine, leurs voisins musulmans les narguent et se dandinent avec une ribambelle de gosses. Pour ne pas perdre leurs terres, beaucoup de ces malheureux acceptent que leurs épouses demandent le divorce et tombent comme un fruit mûr dans les bras du musulman polygame, certains croient trouver la parade en s’islamisant, femme et enfants compris; d’autres, plus courageux transgressent le décret et se retrouvent derrière les barreaux tandis que leurs épouses n’ont d’autre choix que de faire adopter l’enfant ‘illégitime’ par un ‘bienfaiteur’ musulman.
Voilà près de 20 ans que le peuple chinois, victime de ‘l’euthanasie des fœtus’ promulguée par ses propres dirigeants, est en train de subir un des plus grands ethnocides de l’histoire humaine, tandis que les islamistes se frottent les mains de jubilation.
Cette loi de régulation des naissances de 1988 est donc la seule et unique responsable du tsunami démographique islamique qui en près de 20 ans a fait décupler, exponentiellement, les musulmans de Chine de 20 à 150 millions.
Si ce schéma perdure encore 40 ans, les musulmans de Chine seront d’un point de vue purement statistique la majorité en 2070. C’est-à-dire près de 750 millions. Et le rideau tombera sur une des plus brillantes civilisations…
Mais tout n’est pas perdu. La Chine peut encore être sauvée de son empoisonnement et avec elle toute l’Humanité. Il suffit de trouver l’antidote. Cet antidote existe. Le voici. Il se nomme:
La polyandrie.
C’est seulement en légalisant, légitimant, encourageant la polyandrie chez les chinoises que le poison polygame musulman sera vaincu. En effet, tout enfant né de relations sexuelles polyandriques est considéré ‘impur’ par la Shari’a musulmane, et donc ‘inapte’ à son islamisation.
Pour renforcer le principe actif de l’antidote, il faudra évidemment abolir toute loi discriminatrice au détriment des chinois non-musulmans, ainsi que de promouvoir des lois d’héritages privilégiant le matriarcat.
Cet article est diffusé par le C.A.C.O.A: Centre Activiste pour la Coordination de l’Offensive Anti-islamique.
Bonjour David André Belhassen.
Merci pour votre réponse par cet article interposé.
Cela confirme bien, que l’islam est bien le poison qui s’acharne a vouloir tuer l’humanité.
C’est un fléau qu’il est impératif de contrer, de stopper,et de neutraliser.
Eddy
@André BELHASSEN. Merci André pour cette révélation que j’ignorais.
Ceci dit, si c’est très probable que par tactique les dirigeants chinois flattent les déchets nazislamistes, pour empoisonner l’occident et pour leurs pomper un max de pognon, je peux te garantir qu’à la différence de la majorité des occidentaux, les chinois ne sont pas idiots devant les déchets nazislamistes. Ils savent qu’ils ont affaire à des déchets.
Que les nazislamistes continuent à titiller les Chinois, et nous assisterons émerveillés à la plus gigantesque destruction massive de déchets dont nous n’aurons jamais osé rêver !
Cela dit, la propagande de francekipu s’est scrupuleusement gardée d’expliquer qu’il s’agit d’une énième tuerie perpétrée par ses protégés, les déchets nazislamistes. Quand elle le dit, c’est en toute fin d’article, ou de commentaire, et encore, au conditionnel…
les suppôts de satan ont encore frappés!! cette belle religion du diable d’amour et de paix!!
Je vous ai envoyé un commentaire, mais il ne s’affiche pas. Comment faire ?
1 mort palestinien sous les balles israéliennes passerait avant ces 30 morts chinois tués par des islamistes.
L’Islam parvient à fédérer Russes, Chines, Europe, Amérique contre lui-même…
Tu n’y es pas du tout ! Les Israéliens éliminent tellement peu et tellement rarement des déchets, que nos amis des média sautent sur la moindre occasion de nous remonter le moral et de nous faire plaisir, quand cela se produit ! :-)) :-)) :-)) :-))
Regardez cette vidéo: http://www.youtube.com/watch?v=4P-Il1cn7AE
Obama va faire une loi pour interdire les couteaux
A Nairobi c’était aussi au couteau avec des mutilations abominables sur les victimes. Têtes tranchées, ventres ouverts et ablations d’autres parties symboliques du corps.
Le musulmans ont été parmis les premiers à commercer avec l’Empire du Milieu. De ce fait à Canton, il existait des mosquées avant que les concessions de Macao pour le Portugal et Hong Kong pour la Grande Bretagne ouvrent leur porte au commerce vers l’occident.
Force est de constater que ces mosquées ont disparu de nos jours. Le Coran violent n’a pas eu d’emprise durable sur l’Empire dans le berceau de celui-ci CAD Sud Est de la Chine.
Remarque : Une des tribus d’Israël se serait également dissoute dans la masse chinoise. Selon un missionnaire jésuite, il aurait rencontré à Canton, un des représentants de cette tribu, mais cette personne ne pouvait plus lire la Thora, ayant perdu sa culture. Il demanda de l’aide au Jésuite pour pouvoir déchiffrer la Thora, pensant que le jésuite était également de confession juive.
Je ne connait pas les modalités exactent des disparitions de ces deux religions dans la région.
A méditer.
@ AK74 ,
non les musulmans ne sont pas parmi les premiers à avoir commercer avec la Chine . Traditionnellement , l’islam est né en 622 mais en réalité plutôt après l’an 690 .
La Rome antique a commencé à échanger des marchandises avec l’ empire du Milieu vers l’an -130 ; a ouvert des ambassades au II ème siècle de notre ère .
La Chine et l’Egypte pharaonique ont eu certainement des rapports ; voyez la similitude entre les morales extrême-orientales ( confucianisme , taoïsme ) et le concept de Maat du pays des pyramides : vérité , justice , équilibre , ordre , harmonie , paix .
Les musulmans , bien longtemps après , n’étaient que des bédouins crasseux et criminels cherchant à conquérir leurs voisins .
Correction : ” à avoir commercé ” … bien entendu .
Une boucherie digne de l’aïd el-kebir .
Faut dire qu’ils sont bien entraînés les salaudq .
enfin des islamistes puristes,(il n y a que la Chine et la Russie qui semblent conscients du danger).
Je n’ai pas entendu parler d’attentat muzz en Corée du Nord. La fermeté des autorités pourrait-elle en être la raison ????
Je crois que les Chinois vont savoir exterminer ces barbares et interdire comme dans de nombreux pays aujourd’hui , l’accès des musulmans en Chine .
Ils n’auront pas peur comme les couilles molles d’européens de prendre les mesures nécessaires ..;en se foutant pas mal des bien-pensants-collabos qui vont gémir …!!
si nous n’avions pas le plan vigipirate cela aurait pu arriver enFRANCE mais enfin restons vigilant, quand a la chine ont ne connaîtra pas les représailles, ces gens sont discrets mais efficaces et rien ne se perd
Les chinois ont des leçons à donner à personnes. Les tibétains avec leur magnifique culture bouddhique ont été victime d’un génocide. J’espère que la minorité uighur ne subira pas le même sort. C’est l’idéologie meutrière qu’il faut combattre ainsi que les délinquants pas une communauté dans son ensemble.
le plan Vigipirate ou trois militaires se baladent sans avoir de munitions et aucun pouvoir ?
Vous pouvez constater sur les clichés que les pauvres victimes ne
sont que de modestes voyageurs…….proies idéales pour les
courageux djihadistes…….!
Dans l’état du sud-ouest à majorité Ouighure l’état Chinois entretient
une concentration militaire importante , et je ne donne pas cher de
la carcasse des vaillants égorgeurs islamo-faschistes ,même si la
Chine a de gros besoins énergétiques pour l’instant en provenence
du moyen-orient ……
Cet avertissement criminel et sanglant survient
au moment ou les “démocrassies “européennes sous la banniére
de l’OTAN et l’égide de mohamed OBAMA agressent la Russie ,
dans le secret espoir de controler les routes du gaz venant de l’EST
Le pouvoir précaire mis en place à KIEV par quarante
mille manifestants,l’europe confite et l’exécuteur Kelly , n’a aucune
légitimité…….et risque de provoquer des renversements d’alliances
à 180°….! La Chine est aussi acheteuse du Gaz RUSSE , et demain
il se peut que l’ Europe entiére se mette à grelotter……..pour les
beaux yeux d’ Obama et de ses financiers…….
Mais la Chine va vite les calmer !!!
Les télés de France qui ne peuvent plus dissimuler l’événement omettent de préciser l’origine muz de l’attaque.
Bien sûr, c’est une simple omission involontaire …
Les journaux télé, c’est ce qu’on appelle des omission d’information.
…..la télé portugaise est elle aussi stockholmisée …ou infiltrée ?
aucune référence à l’islamisme !
comment traduit-on en Chinois :
La valise ou le cercueil !
Les musulman ont des techniques de manipulations mentales, plus efficace que celles les communistes maoïste et stalinien et des nazis réunis : convaincre des fidèles de se suicider en tuant des innocents !
Le Président Obama est-il musulman car il a fait deux ans d’école Coranique ?
En Chine ça y est !!! Les Chinois ne feront pas dans la demi-mesure…
Non yoni
C vraiment pas une bonne chose car des innocents viennent de perdre la vie d une facon horrible.
Ça ma fait penser à Révélation ou apocalypse 12v 12
“Réjouissez vous cieux.Malheur à la terre et à la mer car le diable est descendu vers vous, animé d’une grande colère sachant qu’il en a pour peu de temps”
Nous sommes tellement dans l’horreur que je me demande à quel point nous ne nous en accoutumons pas.
Que l’islam arrive à conquérir la Chine, c’est déjà un exploit en soit.
Rien n’arrêtera cette horde destructrice et diabolique.
Sauf pour les croyants, le Créateur lui même mettra fin à tout celà.
En attendant j’ai bien peur que “les temps difficiles et durs seront là”
Les beaux jours sont bel et bien derrière nous.
La mauvaise herbe a bien poussé et détruit toute la moisson.
Pourvu que nous puissions garder notre foi jusqu’à la fin.
Voilà qui justifie l’hostilité de bon ton qui règne en France et parmi les socialistes européens, contre le régime post-communiste de Chine.
toujour et toujour ils cesseront jamais jusqu’au jour ou vous serez totalement SOUMIE
@ ALPHA … OMEGA .
Oui, vous avez raison. Je vous prie de mexcuser. Je me suis mal exprimé. Les musulmans ne sont pas les premiers à avoir des échanges et à commercer avec la Chine.
Dans la liste que vous avez mentionné. On peut raisonnablement rajouter les Grecs.
Curieux, mon quotidien m’avait caché que c’étaient des ismlamites…D’ailleurs il n’en parle plus…c’est loin la Chine.
quand je pense a ceux qui les defendent…