Des sondages récents dont j’ai déjà traité ici montraient que la population française était plongée dans l’angoisse et le désarroi, l’absence d’espoir dans l’avenir, la quête éventuelle d’un homme fort ou d’un sauveur suprême. Ces mêmes sondages montraient aussi une assez grande incompréhension des règles du marché et des enjeux de la globalisation, et une tendance au repli.
J’ai perçu ces sondages comme très inquiétants, et comme indicateurs du déclin que connait ce pays, et de l’inexistence de perspectives dynamiques pour sortir de ce déclin.
Le paysage économique confirme ces perceptions. Pauvreté et chômage insistent. La stagnation aussi. Les rappels à l’ordre de la technocratie bruxelloise ne sont, en ces circonstances, que des rappels à la réalité : si la France ne cesse pas rapidement de gaspiller des milliards d’argent pris aux contribuables, garde le niveau présent d’impôts, de taxes, de réglementations, elle va vers l’asphyxie et l’agonie.
Le paysage politique confirme ce que je viens d’écrire sur le paysage économique : aucun parti et aucun mouvement ne vient incarner tout à la fois la défense de l’économie de marché, la liberté d’entreprise, et l’affirmation des valeurs de civilisation qui seules permettent à l’économie de marché et à la liberté d’entreprise de durer et de prospérer. Les rares hommes politiques susceptibles d’incarner effectivement et efficacement ce qui devrait l’être ont quitté la carrière ou sont, présentement, marginalisés, salis, souillés.
Le paysage médiatique vient expliquer le paysage politique. Il existe des journalistes et des commentateurs pertinents et scrupuleux. J’aurais tendance à les compter sur les doigts d’une seule main.
A côté d’eux, c’est la meute aveugle de ceux qui ne comprennent pas ce qu’ils font et ce qu’ils contribuent à faire advenir.
Journaux, émissions de radio et de télévision, regorgent ces derniers temps de scandales aux allures insalubres de coups montés. De prétendues investigations ressemblent à des machinations sordides venues d’on ne sait quels égouts ou quelles officines.
Un jour, c’est Jean-François Copé qui se trouve accusé d’avoir été complice de « surfacturations », et il n’est plus question que de cela, qui fait passer au second plan la misère qui ronge le pays comme une lèpre : depuis que Jean-François Copé a parlé de pain au chocolat confisqués en période de ramadan, ce qui était abominablement incorrect aux yeux des bien pensants qui prient chaque jour dans les absidioles (islamisées) du politiquement correct, il est devenu le diable.
Un autre jour, c’est Nicolas Sarkozy qui est censé avoir reçu des enveloppes d’une vieille milliardaire, puis avoir commandé trop de sondages ou avoir reçu de l’argent de feu Mouamar Kadhafi, et enfin (last but not least) avoir fait avancer la carrière d’un juge réputé de « droite » en échange de renseignements confidentiels. Tout cela est affirmé sans preuves, mais depuis le temps de Beaumarchais, on connaît l’air de la calomnie dans les salles de rédaction. Les conversations entre Nicolas Sarkozy et ses avocats ont été enregistrées, elles, sur la demande d’un juge réputé de gauche, mais, quand bien même c’est une violation du secret professionnel des avocats et du secret de l’instruction, c’est, dit-on, très normal, puisqu’il s’agit d’un juge réputé de gauche.
Un troisième jour, c’est Patrick Buisson qui se trouve décrit comme une incarnation de Lucifer. Il aurait enregistré des conversations avec celui qu’il conseillait, et il existe effectivement des enregistrements de conversations. Nul ne se demande si ces enregistrements ont été clandestins ou non. La chose est jugée d’avance parce que Patrick Buisson ne pense pas comme il faut (imaginez : il a osé parler d’ « identité nationale »!).
Nul ne sait exactement, précisément, comment ces enregistrement sont parvenus à la presse. Des suppositions circulent. Certaines laissent entrevoir qu’il aurait pu y avoir violation du secret de l’instruction (encore!) dans une affaire dont la justice est (abusivement) saisie, et, peut être, divulgation de documents saisis par la justice : mais qui s’encombrerait de scrupules dès lors qu’il s’agit de Patrick Buisson !
Ces mises au pilori successives, ces jugements péremptoires, ces absences de scrupules, ces façons de prétendre faire « avancer la vérité » en utilisant sans cesse des arbres fabriqués pour cacher une forêt en feu dégagent une odeur de pourriture. Les abus multiples et multiformes qui grouillent au pied de ces arbres renforcent l’odeur de pourriture.
Il se peut que l’odeur de pourriture vienne de manœuvres politiciennes, et il se trouve qu’elle sert le gouvernement dans un moment où sa crédibilité s’approche du zéro absolu. Socialisme et pourriture voisinent souvent dans les poubelles les plus sales de l’histoire.
Il se trouve que l’odeur de pourriture vient aussi des pages des journaux, même si celles-ci sont désormais souvent virtuelles, affichées sur un écran d’ordinateur connecté au net. Il se trouve qu’elle monte aussi des clameurs radiophoniques et télévisuelles.
Quand une odeur de pourriture se généralise dans un pays qui va déjà très mal, quand le sensationnalisme remplace la connaissance dans un moment où la connaissance est déjà très absente, quand des « coups » politiques semblent surgir de tripots fangeux, quand la présomption d’innocence est remplacée par la présomption de culpabilité et par l’insinuation crapoteuse, quand des juges sont bâtisseurs d’un « mur des cons » et se rêvent Saint-Just ou Jean-Paul Marat, quand l’information tenue par des gens formés dans des écoles où on enseigne moins le journalisme que la stérilisation des cerveaux, les conditions sont réunies pour qu’une avancée vers le pire survienne.
Je ne souhaite pas cette avancée vers le pire. Mais je ne peux m’empêcher de penser qu’elle s’opère.
Je vais publier bientôt un petit livre décrivant l’état du pays. De semaine en semaine, je me demande avec tristesse si l’état du pays ne sera pas, quand le livre paraîtra, bien pire encore que celui que je me suis efforcé de décrire.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Guy Millière pour Dreuz.info.
et des millions de Français attendent le grand soir rêvant d’un pays sans hétéro sans juifs, sans riches, sans patrons
Arretez avec votre numéro, de:” la France ne veut pas des juifs”. Vous savez (ou alors vous etes parano) que la majorité des français n’a pas de pb avec les juifs.
C’est absolument exact ce que vous dites. les français ne sont pas antisémite… Ce que les français rejètent, ce son les muzzs et pour cause.
Vous avez raison marcel !
A force de généraliser ils vont finir par arriver à nous mettre tous les uns contre les autres.
Partout il y a des bons et des mauvais, chez les français et chez les juifs !
parce que nous n’y sommes pas déjà “les uns contre les autres ?
Des millions contre l’hétérosexualité ? Je doute que les pédés de gauche soient des millions.
580 000 juifs sur les 1 500 000 qui vivent en Europe vivent en France, alors comme le dit Marcel arrêtez votre numéro de victime, plus d’un tiers, c’est qu’ils n’y sont pas si mal que ça en France.
vous avez la mémoire bien courte ils étaient des milliers à hurlé “juif la France n’est pas à toi” en faisant des quenelles et en chantant des monstruosité, ils étaient également des milliers à acheter des billets pour voir Dieudonné et rigolé sur les juifs morts pendant la seconde guerre mondial et pour couronné le tous ils étaient des millions à voté en masse pour François hollande qui avait détailler dans son programme la fin des hétéros et les pleins pouvoirs pour les gays ( rafles d’hétéro pendant les manifestations, promotion des gays à la télé dans les écoles etc.)
Je reprend à mon compte la formule chère à nos bobo de gauche:
“Pasdamalgame”.
A ne pas mettre tous les français dans le même sac, car en effet s’ils étaient des milliers à hurler « juif la France n’est pas à toi »,ils étaient beaucoup plus nombreux à ne pas approuver.
D’ailleurs, les cuisiniers de quenelles sont en majorité les chances pour la France, qui ont crié il y à peu de temps: mort aux juifs, devant les forces de l’ordre, sans réaction de celles-ci. Ces gens, que l’on impose aux français bien propres sur eux, sont aidés en cela par l’extrême gauche qui se dit elle “anti fasciste”.
anton ils désapprouvaient peut-etre mais on ne les a pas entendu
Guainot expliquait que pour avoir condamner cette manif il avait reçu des milliers de messages d’insultes et de menaces de mort ! Lisez certains posts ici sur dreuz si vous avez des doutes
ils étaient aussi des milliers un soir de mai 2012 brandissant des drapeaux étrangers et hurlant : maintenant la FRANCE est à nous,
À Pepe !
allah babar n’a jamais dit que les juifs seraient mal en France.
Il a juste dit qu’il y a un grand nombre d’abrutis de gauche qui aimeraient une France sans hétéros, sans sans juifs, sans OGM, sans églises, sans Co², sans huile de palme et sans préservatif.
Et les Juifs, c’est pas des Martiens. C’est comme les chrétiens, les muz, les cyclistes, les évangélistes et les polyglottes: il y en a qui se sentent bien en France, et il y en a qui se sentent pas bien en France. Je répète: Les juifs c’est pas des Martiens.
En regardant la photo j ‘ai eu l’impression qu’il y avait des mecs en djellaba blanche et noire en train de prier agenouilles. C’est l’impression que ça m’a donné au premier regard.
Maintenant que vous le dites, on dirait une mosquée, un peu, disons, épurée…
D’après vous Guy quand est-ce que l’avènement vers le socialisme réel se produira en France ?
Comment voyez vous l’avenir dans 10 20 50 ans ? Police politique, fermeture des frontières, propagande, réquisitions, censure, purges, dékoulakisation ?
Cordialement
Wàng
Si vous posez une question à Guy Millière sur l’avenir du pays, il est peut-être assez grand pour y répondre tout seul sans que vous lui dictiez la réponse, non ?
À Wàng:
Dans moins de 10 ans, l’UMPS, les médias et la magistrature auront mis la France en dépôt de bilan, en faillite, en cessation de paiements, comme la Grèce et le Portugal actuellement.
Certains pays peuvent essayer un “printemps” (Tunisie, Lybie, Ukraine…)
mais les Français sont bien trop comateux pour oser aussi leur printemps.
Donc dans le meilleur des cas, on sera passé sous régime Qatari, Chinois, Américain ou Saoudien.
Dans le pire des cas, voyez du côté de Damas. Un printemps peut en cacher un autre.
Bravo une nouvelle fois pour votre article intelligent. Vous êtes la première personne qui énonce cette évidence que les métastases du cancer de l’ignorance trouvent leurs origines dans le système éducatif. En France, le système éducatif pourrit les cerveaux depuis trois générations. Cela suffit largement pour lobotomiser les comportements, à commencer bien évidemment par les profs qui vont diffuser leurs miasmes aux journalistes et aux juges. Et le constat est malheureusement apocalyptique mais tellement prévisible lorsqu’on constate que 100 % des étudiants journalistes ont voté Hollande (sondage IFOP réalisé au moment du second tour de la présidentielle), et les deux tiers des juges sont des fascistes rouges qui n’hésitent pas à punaiser des visages sur un mur . Il m’étonnerait fort d’ailleurs que le dernier tiers soit d’ardent défenseur d’Alexis de Tocqueville.
…..soit constitué d’ardents défenseurs d’Alexis de Tocqueville.
A propos du “MUR des CONS”, Madame TAUBIRA, où en sont les poursuites ?….. Où en sont les condamnations ?
Est-ce que tous ces juges ont été mis sur écoute ?
Quand allez-vous portez plainte ?
Est-ce que vous avez laissé la police enquêter ?
Est-ce que vous avez remis de l’ordre dans vos rangs ?
Où en sont les blâmes, les rappels à l’ordre, les mises en garde ?
Vous qui mettez si facilement la DROITE en “Garde à vue”, où en sont les p’tits juges de leur garde à vue ?
Vous avez beau parler et faire des phrases redondantes, lorsque vous les décortiquez, elles sont vides de sens. Tout juste bonnes à vous faire mousser à l’Assemblée Nationale où le pouvoir vous est tout acquis quelque soit votre honnêteté.
Bon enfin !,………………….Voilà c’est fait
Et ce n’est pas trop tard,
Mur des cons du Syndicat de la magistrature : sa présidente, Françoise Martres mise en examen
L’existence d’un “Mur des cons” dans les locaux du Syndicat avait été révélée par Atlantico, le 24 avril 2013.
L’affaire du “mur des cons” resurgit. Révélée par Atlantico en avril 2013, l’affaire n’est toujours pas close. Jeudi soir, Valeurs Actuelles a indiqué sur son site que Françoise Martres, la présidente du Syndicat de la magistrature a été mise en examen le 17 février. Elle était visée par douze plaintes de personnalités épinglées sur le mur. Robert Ménard ou le général Schmitt faisaient partie des plaignants. Selon le magazine, “Françoise Martres est notamment poursuivie pour injure publique envers un particulier. Elle pourrait également l’être pour destruction de preuves”.
http://www.atlantico.fr/pepites/mur-cons-syndicat-magistrature-presidente-francoise-martres-mise-en-examen-1010697.html
Oui Professeur Millière bien des odeurs de saletés et de poubelles pour salir le leader de l’opposition et l’ancien Président ; jusqu’en 2017 tout sera de la faute à Sarko . ” A force de tout voir, l’ on finit par tout supporter …. A force de tout supporter l’on finit par tout tolérer ….à force de tout tolérer on finit par tout accepter … à force de tout accepter on finit par tout approuver ..” St Augustin en visionnaire de notre XXIème siècle décrivait fort bien comment on manipule les esprits en tenant la population dans l’obscurentisme ! Je ne peux m’empécher néanmoins, de garder quelque espoir à minima pour faire barrage aux socialos-communo-écolos en tout genre
Bien à vous
Bravo Monsieur Millière .Quelle lucidité…
Hier une interview de Renaud Camus , aujourd’hui votre analyse ,Dreuz est en pointe sur la vraie nature de ce régime .
Bien triste constat que nous faisons ensemble, cher Guy. Pour revenir à Buisson, l’ignoble fut atteint hier sur, évidement le plateau du “grand journal”, l’exhibition du fils Buisson, accablant son père. Pas même un oedipe, mais une petite raclure de bidet, remit heureusement à sa place par Maître Kiejman, présent, qui lui reprochait de manière lapidaire d’accabler son père. On atteint en effet des fonds jamais encore vécu dans l’histoire de France contemporaine. Même pas entre les deux guerres. Et, vous avez raison, ces socialistes sont le mal absolu qui nous font dériver vers la balkanisation de ce qui fut un grand pays !
BUISSON a sans doute mal agit (quoique d’autres aient agit de la même manière par le passé) pour autant il est une victime car jusqu’à preuve du contraire ON lui a volé ses enregistrements qu’à ma connaissance il n’avait pas rendu public, tout comme les archives GUEANT qui ont disparues !…Opportunément ?!….Et curieusement personne ne cherche vraiment à savoir qui est à l’origine du vol de ces enregistrements ? Commençons par ça !
D’accord Guy, mais l’odeur de pourriture dont vous parlez, elle vient de la tête, comme dans le poisson (proverbe chinois).
Pessimiste…….. Flamby est arrivé é é é, sans s’pressé
Gauche-Droite même cimetierre!
Ils ont voté pour un fantoche ,ils ont un pitre !!!
Ils voulaient le changement !!!!! ils l’ont !!
…ET LA RUINE MORALE ET FINANCIERE , LE DESHONNEUR ET LA LACHETE SE PAIERONT TRES CHER !!!
Quelle décadence ,quelque chose est pourrie dans ce royaume de France. Quel triste spectacle de nos hommes de pouvoir. A mon âge , à présent j’ai honte d’etre français. La solution la vrait démocratie à la SUISSE . Le pouvoir du peuple ,pour le peuple ,par le peuple. Et non par des crapules de la pire espéce, dans une France médiocratique et bananiére.
La meilleure façon d’éliminer les mauvaises odeurs et la dératisation. Vive la France !
Franchement les Français se foutent complètement des scandales et d leurs détails. Ils savent que depuis trente ans c’est une sorte de mafia intellectuelle qui dirigent le pays. Ils savent aussi que en trois élections, ils peuvent mettre fin à ce régime.
La France a connu plus de 1 500 ans de royauté ou meurtre, emprisonnement et exil faisaient partis du quotidien de la régence…
Des traites comme Sarko, des trouillards comme Hollande, des menteurs comme Chirac, des magouilleurs comme Mitterrand ont en a connu plein. Alors un Buisson de plus ou de moins…. Mais on aussi connu des Jeanne d’Arc, des Jeanne hachette, bref des femmes qui en avaient ! Alors pourquoi pas une autre en 2017 ?
Hélas M. Millière, je suis d’accord avec vous sur tous ces sujets mais j’ai l’impression que beaucoup trop de Français ne réalisent pas ce qui nous attend dans un futur très proche. Car je suis persuadée, malgré l’espoir qu’il me reste, que notre avenir est tout tracé et que très rapidement nous en verrons les effets !!! Moi aussi, j’attends un “Messie” pour nous aider à vaincre ce “cancer” qui ronge la France. Je n’ai plus aucune tolérance envers ces barbares, ces gens de rien qui nous gouvernent. Ils espèrent être encore là en 2017, mais notre pays sera à bout de souffle bien avant, et une guerre civile ( qui finira bien par arriver) me fait très peur.pour nos enfants et petits enfants.
Mes respects M. Millière
tout est dit
justice, politiques, journalistes …
merci Mr Millière d’exprimer si bien ce que je pense
Je ne comprends pas… On a bien en France une “police des polices”, oui ou non ?
Ne pourrait-on pas avoir une police de la magistrature
qui puisse nous dégager tous ces gros lards surpayés ?
Question mauvaise odeur, les Etats Unis ne sont pas en reste. Sans parler de l’ONU qui pue. Et la vieille Europe qui de grabataire s’apprête au trépas. La France s’enfonce, comme la plupart des Etats démocratiques. Le socialisme, à force de combattre l’élitisme (je pense particulièrement à l”enseignement) s’aligne sur les instincts les plus bas. Finalement j’ai l’impression que l’idéal socialiste comme celui de l’islam est de prendre l’argent dans la poche de ceux qui le gagne honnêtement, sans travailler, au nom de l’idéologie la plus arriérée Comme si parler d’économie serait une déviance capitaliste, gagner de l’argent une tare d’extrême droite et créer une entreprise (start up) un crime de lèse majesté socialiste ou une insulte à l’islam (au choix).
“La prochaine fois, votez pour Ali Baba.
Comme ça vous serez sûrs de n’avoir que 40 voleurs !”
(l’excellent Jean d’Ormesson)
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/03/11/97002-20140311FILWWW00440-villepin-100000-euros-pour-un-jour-de-travail-au-quai-d-orsay.php
http://www.english.rfi.fr/france/20140310-french-bar-council-threatens-legal-action-against-hollande-over-sarkozy-phone-tap
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/11/97001-20140311FILWWW00359-affaire-guerini-un-avocat-mis-en-examen.php
ça c’est pour les affaires de la gauche qui parfois sont publiées à l’étranger car en France on ne touche pas à la gauche
pendant ce temps les futures électeurs de le pen and co plongent tete en avant dans le piège tendu par la gauche on regarde ailleurs ..
Cet article démontre surtout que tout ce qui compte pour un certain nombre important de journalstes,c’ est plus le buzz et la “publicité” que la déontologie,quitte parfois à tronquer des déclarations ou des communiqués pour favoriser le camp dans lequel se situe ce journal ! La presse est aussi un puissant moyen de propagande, aux mains de gens pas toujours “propres” …
votre analyse est parfaite !!! il est vrai et incompréhensible que emprunté
de l’argent et le distribuer a gogo ne peut pas duré longtemps, et fait appel
d’air a beaucoup de profiteurs en tout genre d’ou cette surpopulations et cette natalité galopante qui ne veut pas en majorité s’intégrer
je suis à peu près sure que N. Sarkozy était sur écoutes depuis mai 2012. Hollande le hait ,ses propos tenus à une petite fille puis à de jeunes députés PS le démontrent .C’est un pervers qui nous abuse sans vergogne de sa position tellement espérée .Quel drole d’avenir pour la France
c’est vrai, on a oublié l’histoire des enfants qui lui ont demandé quand Nicolas Sarkozy viendrait et la réponse de hollande complètement pété !
http://www.lefigaro.fr/politique/2014/03/13/01002-20140313ARTFIG00075-le-lapsus-de-michel-sapin-on-va-s-occuper-de-nicolas-sarkozy.php
Invité d’Europe 1, Michel Sapin a assuré que le gouvernement «s’occupe» de l’ancien chef de l’Etat. Avant de se reprendre : «les juges vont s’en occuper».
http://www.lepoint.fr/politique/selon-sapin-sarkozy-etait-un-ministre-de-l-interieur-pervers-13-03-2014-1800312_20.php
Que dire de plus ? Tout le monde le sait, le voit, le sent… mais voter pour qui ? Changer comment ?
Merci à Dreuz.info, pour cet espace de liberté, seul média, non communautaire, — c’est en cela votre grandeur —, de nous laisser nous exprimer librement.
Je reconnais dans votre titre votre mépris pour la France,mais je tiens à vous dire que l’odeur de pourriture qui monte du pays ne monte pas uniquement du mien mais de beaucoup d’autres dans le monde,mes idées ne vous plaisent pas,j’ai pu le constater,mais les votres ne me plaisent pas non plus,on est pas idiots vous savez ,on sait dans quel état est la France inutile de vous focaliser là dessus à moins que ça ne soit pour récolter des louanges de la part de certains !!!
Mais Madame, d’où provient cette pourriture et que faire……contre comme on dirait à Bruxelles ?
Sarkozy bugging scandal engulfs French ministers
The French government has been forced to deny accusations of “political espionage” over the decision to tap the mobile phone of former President Nicolas Sarkozy as the scandal appears to have engulfed top ministers.
Top French court rejects Sarkozy plea (11 Mar 14)
Sarkozy’s phones ‘tapped over Libya cash’ scandal (07 Mar 14)
Sarkozy moves to halt release of leaked tapes (06 Mar 14)
A scandal that initially landed former French leader Nicolas Sarkozy in hot water has boomeranged on to the Socialist government which now stands accused of “political espionage” and threatens a star minister.
Several leading members of France’s right-wing opposition, itself reeling from a string of corruption cases allegedly implicating Sarkozy and several others, have called for the resignation of Justice Minister Christiane Taubira over the affair.
The scandal centres on explosive revelations on Friday that Sarkozy is being probed over suspicions he attempted to pervert the course of justice by trying to obtain secret information about an ongoing court case from a friendly judge.
According to Le Monde newspaper, judges allegedly obtained the information as they had tapped the phones of Sarkozy and his lawyer over a separate probe into allegations the late Libyan leader Muammar Gaddafi had helped finance his 2007 election campaign.
The phone-tapping revelations – a first for a former president – caused outrage among Sarkozy’s supporters and the focus soon shifted on to whether the Socialist government knew about the taps amid concerns the constitutional separation of powers had been breached.
On Monday, Taubira said she had no prior knowledge of the phone taps and had learnt about them at the same time as the French public. And Interior Minister Manuel Valls said he found out about them by reading Le Monde.
But in comments that contradicted her claims, Prime Minister Jean Marc Ayrault revealed Tuesday that he was informed of the taps much earlier on February 26 – as was Taubira.
Philippe Marliere a professor in French politics told The Local: “This could now affect a number of people as the ball certainly seems to have rolled into the court of the Socialist government. Whether their version of events turns out to be true, only time will tell. You hope for their sake they have told us the truth.
“But the main question here is whether in a democracy we should be listening in to conversations between someone and their lawyer,” he adds.
Marliere says lawyer client privilege is “is one the sacrosanct protections” of the French democracy. “This is why the French government could be in trouble,” he said.
Jean-Francois Cope, the head of the main opposition UMP party, slammed the phone-tapping as “political espionage”, labelling it an “affair of state”.
The justice minister “lied” and “it’s not possible for her to stay in her post. Her resignation over this lie is inevitable,” Cope said Tuesday.
Just 10 days ago, Cope himself was under fire following press revelations that lucrative contracts given out by the UMP party benefited people close to him.
Taubira herself later Tuesday denied having lied, ruled out resigning and said she was not aware of the contents of the tapped phone conversations.
Meanwhile Alain Vidalies, the Socialist minister in charge of government relations with parliament, lashed out at the UMP for what he labelled “a successful smokescreen.”
Panthéon: l’entrée de Jean Zay contestée
j’ai regardé wiki et en passant il y a pourquoi le poème contre le drapeau en passant il avait 20 ans . j’invite ceux qui parlent et ne connaissent rien
connu la connaissance moins on en a plus on l’étale
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Zay
Jean Zay au ministère de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts[modifier | modifier le code]
Le sens des réformes[modifier | modifier le code]
« Pour Jean Zay, la République repose avant tout sur le civisme et l’intelligence des citoyens, c’est-à-dire sur leur éducation intellectuelle et morale. […] Contre la conservation sociale mais aussi contre les utopies révolutionnaires, la politique est ce mouvement par lequel l’humanité s’approfondit et devient en quelque sorte plus digne d’elle-même. »21.
Jean Zay estime dès sa majorité que « l’intellectuel ne peut pas ne pas prendre parti dans la controverse qui chaque jour sur le forum dresse les citoyens les uns contre les autres »22.
Une des caractéristiques du système éducatif que Jean Zay déplorait le plus était celle qui occasionnait la perte, pour la République, de sujets précieux, travailleurs et doués, qui, faute d’argent, ne pouvaient accéder à des postes où ils auraient pu donner le meilleur d’eux-mêmes. À l’inverse, des esprits médiocres et nonchalants, grâce à leur fortune, pouvaient sans difficulté accéder à la haute fonction publique, sans même disposer d’une formation adéquate. Ce fut alors l’idée de l’ENA, qui ne vit le jour qu’après la guerre.
Son grand projet de réforme du système éducatif (déposé en 1937, mais « torpillé » par la commission de l’enseignement de la Chambre des députés qui ne l’a jamais discuté), un des plus élaborés jamais conçus et un des plus démocratiques pour l’époque, partait de la même conviction que la vertu, les capacités intellectuelles, et, pour employer une expression désuète, le cœur, n’étaient pas l’apanage des classes aisées, et que la société avait tout à gagner à accorder le maximum de chance à tous, ainsi qu’à former au mieux le plus grand nombre. Son projet de réforme a notamment concerné les lycées de jeunes filles et les Écoles normales primaires. Il faut aussi replacer son action, d’un point de vue plus temporel, dans l’action du gouvernement de Front populaire, qui avait pour optique d’étendre jusqu’aux classes laborieuses une vie de bien meilleure qualité, ce qui pour Jean Zay passait par la culture et l’instruction, tout autant que par les loisirs, ces fameux « congés payés », que l’on retient davantage aujourd’hui comme emblématiques de cette période.
Les réformes effectives[modifier | modifier le code]
Jean Zay prolonge de 13 à 14 ans l’obligation scolaire par la loi du 6 août 1936) dès la rentrée scolaire 1936. Au lieu de définir aussitôt par circulaire le contenu et les programmes de cette année de fin d’études primaires, il laisse « toute liberté d’initiative » aux instituteurs. Il leur fixe seulement la triple mission d’assurer dans ces classes un complément d’instruction, une initiation à la culture et une orientation professionnelle. Sa méthode consiste à susciter les initiatives, pour faire ensuite le tri. Pour introduire trois heures d’éducation physique dans le primaire, il lance une expérimentation dans trois départements, puis dans vingt neuf. Il développe de même les activités dirigées, les classes promenades, l’étude du milieu par l’observation active dans le primaire, les loisirs dirigés dans le secondaire. En septembre 1938, de nouvelles instructions officielles viennent encadrer et étendre ces innovations.
Le 2 mars 1937, il dépose au nom du gouvernement un projet de réforme de l’enseignement qui s’inspire des réflexions et propositions d’école unique depuis la Première Guerre mondiale. Ce projet de démocratisation heurte les défenseurs du secondaire traditionnel qui l’enterrent.
Jean Zay réorganise par décret l’administration, remplaçant les directions du secondaire et du primaire par celles du second et du premier degré. Il donne au premier cycle du second degré et au primaire supérieur les mêmes programmes. Il expérimente à la rentrée 1937 dans 175 établissements une classe de 6e d’orientation pour observer les élèves avant de les diriger vers l’une ou l’autre section du second degré, un tronc commun d’où partiraient plusieurs branches23,24. Cette architecture sera reprise et étendue par les classes nouvelles de la Libération, et adoptée, mais sans véritable tronc commun, dans les années 1959-1963.
D’autres mesures sont prises telles que la mise en réseau des centres d’orientation professionnelle, la création du comité supérieur des œuvres en faveur de la jeunesse scolaire et universitaire (ancêtre des Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS) qui verront le jour après la Seconde Guerre mondiale. Avec l’aide d’Irène Joliot-Curie puis de Jean Perrin, comme sous-secrétaires d’État, il organise la recherche scientifique et prépare la création, en octobre 1939, du Centre national de la recherche scientifique (CNRS)25. Il tente de créer une École nationale d’administration, mais le projet de loi, déposé le 1er août 1936, se heurte à de nombreuses oppositions26. Il arrête les procédures qui visent à supprimer l’école du Pioulier de Célestin Freinet, à Vence. Il conçoit un stage de formation de trois mois pour donner une spécialisation à des instituteurs en fonction. À Pâques 1937 s’organise le stage qui donne naissance aux centres d’entraînement aux méthodes d’éducation actives (CEMEA). Jean Zay estime souhaitable de faciliter l’étude de l’espéranto. Son enseignement est admis dans le cadre des activités socioéducatives par une circulaire ministérielle du 11 octobre 193827.
Comme ministre des Beaux-Arts, on lui doit la création de la réunion des théâtres lyriques nationaux et le musée national des arts et traditions populaires25, il encourage par ailleurs le principe de bibliothèques mobiles appelées bibliobus28,29. Il propose également la création du festival de Cannes, dont la première édition aurait dû se tenir en septembre 1939 si la Seconde Guerre mondiale n’avait pas débuté25.
Écrits[modifier | modifier le code]
Les Carnets secrets de Jean Zay sont des notes prises par Jean Zay pendant son ministère. Confiées par lui à l’un de ses amis, elles ont en fait été vendues à la presse. Les premiers documents paraissent dans Je suis partout le 28 février 1941, puis dans Gringoire. Ces « documents » sont enfin publiés sous forme de livre par les éditions de France en 1942, accompagnés de commentaires de Philippe Henriot30. La publication était sans doute orientée, afin de confirmer les positions du régime de Vichy ; il s’agissait de dénoncer à des fins de propagande le « bellicisme » de Jean Zay31. Toutefois, les originaux ayant disparu, toute comparaison est impossible. Cette publication tronquée porte atteinte à l’honneur de Jean Zay et, en 1948, sa veuve, Madeleine Zay, obtient en partie réparation en justice en faisant condamner Gringoire et les héritiers de Philippe Henriot à verser des dommages-intérêts pour la calomnie de cette publication.
Le 20 juin 1944, trois miliciens du collaborateur Joseph Darnand viennent le chercher à la prison. Il s’agit de Henri Millou, responsable de la sécurité de la Milice à Vichy, Charles Develle et Pierre Cordier13. Les trois miliciens présentent un ordre de transfert14 pour Melun signé par le directeur de l’administration pénitentiaire, Baillet, également milicien. Ce document contient aussi des instructions de Raymond Clémoz, alors chef de cabinet de Joseph Darnand à Vichy. Les trois miliciens lui laissent entendre ensuite qu’ils sont des résistants déguisés qui ont pour mission de lui faire rejoindre le maquis, et l’assassinent dans un bois, près d’une carrière abandonnée, au lieu-dit Les Malavaux dans la faille du Puits du diable, à Molles, dans l’Allier15,16.
Jean Zay est abattu par le milicien Henri Millou. Puis afin qu’il ne soit pas identifié, les tueurs le déshabillent, lui ôtent son alliance, jettent la dépouille dans une faille et y lancent quelques grenades pour cacher le corps par des éboulis.
Le 22 septembre 194617, son corps et ceux de deux autres personnes sont retrouvés, enfouis sous un tas de pierres, par des chasseurs de Molles et de Cusset, et enterrés sur ordre de la municipalité de Cusset dans une même fosse du cimetière communal18.
Pendant des mois, Jean Zay devient « la cible notoire de la campagne antisémite »6 et une violente campagne de presse orchestrée par Philippe Henriot, ministre de l’Information du gouvernement de Vichy, réclame la condamnation à mort du « juif Jean Zay » comme juif, franc-maçon, anti-munichois, anti-hitlérien et ministre du Front populaire7.
À l’âge de vingt ans, horrifié par les massacres de la Première guerre mondiale, il écrit Le Drapeau, poème en vers (daté du 6 mars 1924, il est dédié à Paul Dreux)2. Le poème contient ces mots : « Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement, Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes […] tu es pour moi de la race vile des torche-culs ». Ce texte antimilitariste, écrit par un jeune homme de vingt ans, à quelques années de la guerre de 1914-1918, a fait évidemment polémique.
en raison d’un pic d’élection les transport sont gratuits
.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/pic-de-pollution-gratuite-des-transports-dans-plusieurs-villes_1499988.html