Publié par Hervé Roubaix le 14 mars 2014

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Ca a mis le temps, les journalistes ont tout fait pour le cacher, mais tout finissant pas se savoir, nous savons maintenant qu’un futur mur des cons pourra avoir ses connes.

Françoise Martres, la présidente rouge du Syndicat de la magistrature de la même couleur (SM), a été mise en examen le 17 février pour « injures publiques » par la doyenne des juges, Sylvia Zimmermann, dans l’affaire du « mur des cons » affiché dans les locaux du syndicats, et révélé grâce à l’héroïque journaliste de France 3, Clément Weill-Raynal, qui avait été mis à pied par France Télévisions pour une durée de sept jours, prouvant ainsi que la solidarité que l’on prêtait à la corporation n’est que du flan et les journalistes des pleutres.

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Une pétition de soutien lui avait apporté 10 000 signataires, dont celles de nombreuses personnalités de droite – la solidarité n’est pas dans l’ADN de la gauche.

Et Valeurs actuelle nous apprend que Martres Françoise se paye le culot d’être “excédée d’être convoquée pour ce dossier”… Nul est au dessus des lois professe pourtant la magistrate de la gauche extrême.

Et donc Martres Françoise devra répondre d’injure publique envers particulier et probablement aussi de destruction de preuve – car elle s’était empressée – ça fait désordre pour un magistrat qui punit ceux qui enfreignent la loi, de détruire le mur des cons pour échapper à la justice.

Au nom de l’égalité entre les genres, je propose de créer le mur des connes.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

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