Publié par Salem Ben Ammar le 25 mars 2014

islam violent

“Ceux qui combattent l’islam par leur plume périront par la lame du couteau”. Une phrase que nos amis algériens connaissent bien et dont Djaout, Maktoub et tant d’autres combattants irréductibles de l’obscurantisme colonial arabo-musulman ont font les frais au prix de leur vie.

Des milliers de vies humaines ont été fauchées partout dans le monde musulman à cause de leur défiance intellectuelle à l’égard de cette religion qui n’en est pas une. D’autres ont trouvé leur salut en Occident. Ne dites jamais qu’ils sont lâches, ils joignent toujours l’acte à la parole. Notre naïveté est leur meilleure alliée. Ils ne reculent devant rien pour mettre à exécution la sentence. Les justiciers de l’islam sont une cinquième colonne, composée de dizaines de millions d’hommes tapis dans l’ombre, prêts à tout pour venger l’honneur de l’islam dès que l’ordre leur en est donné.

Il suffit que des cheikhs ou des prétendus gardiens des dogmes de l’islam, des ulemas, comme si l’islam était une science fondamentale, décrètent que tel individu est ennemi de l’islam, et son sort est scellé, sa mort rendue licite, et irréversible.

L’honneur de l’islam ne peut être lavé que dans le sang

Depuis l’avènement de cette doctrine totalitaire et néfaste pour l’humanité, tous ceux qui osent s’attaquer à l’islam, et que le Coran qualifie “d’insolents” doivent payer de leur vie l’affront qu’ils lui font. L’honneur de l’islam ne peut être lavé que dans le sang.

Ce n’est certainement pas Mahomet, pionnier dans l’assassinat des intellectuels, qui démontre le contraire, avec le meurtre ordonné de la grande poétesse arabe Asma Bint Marwan dont le seul crime, à supposer qu’il en fût un, a été d’avoir condamné le meurtre du vieux poète Afak à Yéthrib (l’actuel Médine).

Censés appliquer à la lettre les recommandations de Mahomet et s’inscrire dans la continuité idéologique de son action, ils ne peuvent en aucun cas commettre la moindre entorse à leur feuille de route s’ils ne veulent pas finir eux-mêmes dans les feux ardents de l’enfer. Nourris de sa Sira, ils doivent veiller à préserver leur religion contre toute attaque que ses imams et cheikhs jugent hostile et inamicale. Leurs seuls mots d’ordre : venger, punir, châtier, décapiter, crucifier et broyer les os de tous ceux qui sèment la discorde et jettent le discrédit sur leur religion. Et comme le leur ordonne Mahomet : ” Tuez mes ennemis, mes ennemis sont aussi les vôtres ? Tuez-les.”

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Les assassins de Farag Foda en 1992, des analphabètes qui n’ont jamais lu un traître mot de son oeuvre, n’avaient pas eu besoin de faire preuve de discernement ni d’évaluer les conséquences de leurs actes. Les gardiens du temple musulman, ordonnateurs des crimes contre l’intelligence et le savoir, leur avaient offert une opportunité inespérée en les désignant comme exécutants privilégiés de l’oukase (fatwa) émise à l’encontre de Farag Foda, et qui leur vaudrait la reconnaissance éternelle d’Allah et le bénéfice de sa villégiature paradisiaque.

Des illustres intellectuels comme le libanais Mustapha Jéha, tombé sous leurs balles, ou le grand Naguib Mahfoudh, qui avait échappé à une tentative d’assassinat, l’ont également appris aussi à leurs dépens.

Les vrais musulmans n’ont peur que de rater le rendez-vous du Jugement dernier. Il serait illusoire de croire qu’ils puissent faire preuve de compassion et se montrer magnanimes en sursoyant à l’exécution d’un fatwa décrétée contre les pourfendeurs de leur religion.

Ce que Mahomet a fait, ils doivent le faire aussi. Aucune loi ne peut leur être opposée

Ce que Mahomet a fait, ils doivent le faire aussi. Aucune loi ne peut leur être opposée, car il n’y a qu’une loi à laquelle ils sont tenus : celle qui exprime la volonté d’Allah.

Il est absurde et irresponsable de croire que la voix de la raison finira par guider leur action et que la menace de mort dont je fais personnellement l’objet est une vue de l’esprit et l’œuvre d’un esprit enfiévré.

C’est parce que l’islam est la cause de cette fièvre délirante et endiablée que le danger ne doit pas être sous-estimé.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.

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