Jeudi 27 mars, le président américain Barack Obama rencontrait le pape François au Vatican.
Ils n’ont pas, comme aiment à le rapporter les médias – mais reconnaissons qu’ils n’osent plus se revendiquer de la neutralité que leur métier suppose – échangé que des bons mots et des plaisanteries.
Pendant la rencontre où quelques journalistes étaient invités, le président américain était à l’aise et faisait des plaisanteries, mais le communiqué publié par le Vatican indique que leur échange privé fut, disons… plus sérieux.
Selon le communiqué, le Vatican a fait part à Obama, qui était accompagné de son secrétaire d’Etat John Kerry, de ses inquiétudes concernant “l’exercice de la liberté religieuse, du droit à la vie et à l’objection de conscience” aux Etats Unis – un comble pour le pays qui jusqu’à l’élection d’Obama était considéré (sauf par l’extrême gauche et les islamistes) comme le pays le plus avancé en matière de libertés fondamentales.
Le communiqué faisait directement référence à la loi sur la couverture médicale universelle, l’Obamacare, qui oblige les employeurs à couvrir les frais de contraception et d’avortement de leurs employés.
Les Catholiques et membres d’autres religions se plaignent que la loi, qui fait l’objet de plus d’une centaine de procès en dénonciation au travers des Etats Unis, viole leur croyance car elle les force à soutenir la contraception et la stérilisation.
“Je m’engage à continuer le dialogue avec la Conférence des évêques catholiques américains afin de trouver le bon équilibre,” a déclaré Obama un peu plus tard, reconnaissant qu’il existe une différence d’opinion entre le pape et lui sur un certain nombre de sujets, même si le pape “pourrait être une source d’inspiration pour les politiciens”, a-t-il ajouté.
“Sa fonction est un peu plus élevée. Nous sommes sur le terrain, réglant des sujets profanes, alors qu’il s’occupe de puissances plus élevées. Je pense qu’il existe une convergence entre les sujets auxquels les politiciens doivent réfléchir, et ce dont il parle,” a déclaré Obama.
Il n’est pas facile de savoir si les propos du président Obama étaient sincères. La réalité ne le sert pas, car la loi sur la couverture médicale contraint les entreprises dirigées par des Catholiques pratiquants à des choix qu’ils ne peuvent pas accepter, et la liberté religieuse est un des piliers de la constitution américaine. Le scandale des Petites soeurs des pauvres, qui se sont vues contraindre de cotiser pour le remboursement de la pilule et de l’avortement, n’attestent pas de sa bonne foi.
Seuls la réalité des faits dira si les promesses du président faites au pape iront dans le sens d’un “bon équilibre”.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Il est drole le Pape. Demander a Obama d`etre sincere, de bonne foi, et respecter la liberte, quand la seule chose q`il sait faire, de conscience, sont ses plaisanteries idiotes ??? :clown: :devil: avec ses promesses !!!
Le Pape François a compris depuis longtemps la véritable nature de la personnalité d’Obama, l’homme qui a deux visages, l’un enjoué, l’autre fourbe; le Saint-Père sait que ce président s’est mis dans la tête de détruire la civilisation Judéo-chrétienne dans le but de faire prospérer l’Islam à sa place ; l’Obamacare en est l’illustration de par le caractère diabolique de cette loi qui contraint, notamment, les membres du clergé américain à financer, malgré eux, des actes incompatibles avec leur foi catholique, comme l’avortement.
Et nous en France?on nous oblige à cotiser pour qui?
Sans compter les nombreuses fausses cartes vitales qui circulent..
Obama devait nous envier , donc il nous a copiés.
Les américains ne sont pas mieux lotis que nous en ” président”.