Publié par Michel Garroté le 13 mai 2014

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Michel Garroté, réd en chef  —  A nouveau jugé coupable de corruption, l’ex-Premier ministre Ehud Olmert, voit brisés ses espoirs de rejouer un rôle politique, déshonoré par les scandales à répétition qui ont éclaboussé sa carrière.

En effet, Ehud Olmert a été condamné à six ans de prison et une amende de 1,5 millions de shekels par la Cour de district de Tel Aviv mardi 13 mai 2014. Le juge en outre délivré un blâme cinglant à l’ancien Premier ministre affirmant que les crimes pour lesquels il a été condamné étaient « parmi les pires dans le code pénal ». Israël reste donc un Etat de droit et personne n’y échappe à la justice, pas même un ancien Premier ministre.

Lundi 31 mars 2014, Olmert, 68 ans, avait déjà été reconnu coupable par un tribunal de Tel Aviv d’avoir touché des pots-de-vin dans l’affaire Holyland, un scandale immobilier à Jérusalem, une première pour un chef de gouvernement en Israël. Olmert pourrait bien, cette fois, finir en prison. Ancien avocat d’affaires, grand amateur de costumes chics, de cigares, de bonne chère et de voyages, Ehud Olmert a souvent eu maille à partir avec la justice, mais s’en est toujours sorti plus ou moins indemne.

L’affaire Holyland, du nom d’un colossal projet immobilier de luxe sur une hauteur de la Ville sainte, qui lui a rapporté 750’000 shekels, soit 156’000 euros, quand il était maire de Jérusalem de 1993 à 2003, cette affaire a scellé son sort. Sa chute avait commencé en juillet 2008, quand, de plus en plus fragilisé par les accusations de corruption, il a renoncé à se présenter aux élections primaires de son parti Kadima. D’abord figure de proue du parti droite Likoud, il a évolué vers des positions plus gauchisantes. Ehud Olmert accède au pouvoir en 2006 avec un nouveau parti de centre-gauche, Kadima, créé en novembre 2005.

Il portera la responsabilité de la mollesse de la guerre contre les terroristes du Hezbollah au Liban en juillet-août 2006 ; et de la mollesse de la guerre contre les terroristes du Hamas dans la bande de Gaza fin 2008. Ehud Olmert a mené des négociations intensives, mais infructueuses, avec Mahmoud Abbas. Olmert était pour un retrait de la plus grande partie des territoires disputés en échange d’une paix théorique. En 2008, il a proposé aux Palestiniens une tutelle internationale sur le secteur incluant la Vieille ville et les lieux saints de Jérusalem. Dans ses mémoires, l’ex-secrétaire d’Etat américaine Condoleezza Rice confesse sa surprise quand Olmert lui a secrètement proposé, en mai 2008, de restituer aux Palestiniens 94% de la Judée-Samarie et un partage de Jérusalem, qui serait devenue la capitale de deux Etats.

Le 15 janvier 2008, j’écrivais à propos d’Olmert : Ce ne sont – évidemment – pas nos médias européens qui vont nous dire la vérité sur ce qui se passe réellement en Israël. Lire les traductions – généralement anglaises – de ce que raconte la presse israélienne, cela non plus, ne nous révèle pas ce qui se passe réellement en Israël. Il reste, pour nous informer, le Web. Et celles et ceux – ils sont rarissimes – qui intègrent, les analyses qu’ils ont trouvées sur le Web, dans les articles qu’ils publient dans la presse écrite.

Dans la première catégorie – les journalistes d’investigation sur le Web – nous avons, par exemple, Yoav Yitzhak. Dans la deuxième catégorie – les journalistes qui intègrent, les analyses qu’ils ont trouvées sur le Web, dans les articles qu’ils publient dans la presse écrite – nous avons, par exemple, Caroline Glick du Jerusalem Post (source en bas de page). Si je suis aujourd’hui en mesure de rédiger le présent article, c’est en grande partie grâce au travail sur place, en Israël, de mes confrères Yoav Yitzhak et Caroline Glick. Et grâce au réseau anglophone d’information d’Aaron Lerner (source en bas de page). Mais venons-en aux faits.

La ministre israélienne des Affaires étrangères Tzipi Livni vient d’ouvrir des négociations vitales avec son homologue palestinien Ahmed Qurei. Ces négociations sont vitales car elles impliquent : 1- la partition de Jérusalem ; 2- la destruction de centaines de communautés israéliennes en Judée-Samarie et à Jérusalem; 3- l’expulsion de 100’000 à 500’00 Israéliens de leurs maisons ; 4- les frontières d’Israël ; 5- le droit à l’émigration de quelques millions d’arabes d’origine palestinienne (hostiles à Israël) vers Israël.

Or, dans les sondages les plus récents, les deux tiers des Israéliens déclarent que l’actuel gouvernement israélien n’a aucun mandat pour conduire des négociations sur ces points. Et les deux tiers des Israéliens déclarent qu’ils sont actuellement opposés à toute négociation sur Jérusalem. Vendredi 11 janvier, les sondages parus dans les médias israéliens confirmaient que le Premier ministre israélien Ehud Olmert et son gouvernement sont soutenus par seulement huit pour cent de leurs citoyens.

Lundi 14 janvier, le journaliste d’investigation Yoav Yitzhak a révélé que les services du Premier ministre Olmert ont garanti une couverture médiatique positive de la visite du Président américain Georges Bush en Israël la semaine dernière. Concrètement, les services du Premier ministre Olmert ont orchestré, des interviews exclusives, de Bush, avec Yonit Levy de la télévision israélienne Channel 2 et avec Shimon Shiffer et Nahum Barnea du journal israélien Yediot Aharonot. Tout ceci reste extrêmement court et sélectif. La majorité des Israéliens se contrefichent des théories gauchisantes de Yonit Levy, Shimon Shiffer et Nahum Barnea.

Afin d’empêcher toute manifestation contre la création d’un Etat palestinien dans le contexte actuel (manifestation pourtant légitime puisque Israël était, jusqu’à la semaine dernière, une démocratie), le gouvernement israélien et la police israélienne ont placé la semaine dernière Jérusalem sous le coup d’une loi quasi martiale. Un tiers du total des policiers israéliens a été transféré des quatre coins du pays à Jérusalem. Ecoles et entreprises ont été fermées. On a intimé les Israéliens de Jérusalem de rester chez eux ou tout au moins d’éviter la rue.

Cependant, le mercredi 9 janvier, trois manifestants se sont postés en face de l’hôtel Dan Panorama, à Jérusalem, hôtel où la presse étrangère était hébergée lors de la visite de Bush. Trois manifestants, Jeff Daube, Susie Dym et Yehudit Dassberg ont simplement essayé de distribuer à la presse étrangère un rapport sur le Fatah palestinien et l’implication de celui-ci dans des attaques terroristes contre Israël. Le rapport a été rédigé par un éminent chercheur, Arlene Kushner.

Le rapport ne contient aucune recommandation politique. Il documente simplement sur les activités terroristes du Fatah. Les trois manifestants, Jeff Daube, Susie Dym et Yehudit Dassberg ont étés détenus par la police et accusés de distribuer du matériel séditieux (est séditieux ce qui trouble l’ordre public et ce qui est concerté par des meneurs) et de causer des nuisances publiques (qui cause torts et dommages à la société).

J’en conclus que sous le règne de Ehud Olmert, soutenu par seulement huit pour cent des Israéliens, un rapport rigoureux du chercheur Arlene Kushner est donc un matériel qui trouble l’ordre public et qui est concerté par des meneurs. J’en conclus, aussi, que sous le règne de Ehud Olmert, soutenu par seulement huit pour cent des Israéliens, trois manifestants causent des torts et des dommages à la société.

J’en conclus, surtout, qu’Olmert n’est pas un démocrate. Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas, qu’attendent les Israéliens : pour investir massivement les rues ? Pour exiger tout de suite des élections anticipées ? Et pour obtenir à Olmert, coupable de corruptions, un visa et un billet d’avion aller-simple, à destination de Moscou, par exemple ?

Outre faire le ménage persan à Busher et à Natanz, une excellente chose d’ailleurs, il faudrait peut-être, aussi, donner un bon coup de balais à Jérusalem, par exemple, sur le perron de la (très belle) villa de Monsieur Olmert. Surtout maintenant où la police est retournée dans ses quartiers habituels, ce qui devrait faciliter les manifestations libres et démocratiques à Jérusalem, y compris devant le domicile de Sire Ehud. Ce serait un beau rodage, pour cette année 2008 qui commence.

Le 16 juillet 2008, j’écrivais à propos d’Olmert : Un « prêt » de $ 75.000, voilà ce qu’Olmert a reçu de Joe Elmaleh – un riche businessman israélien. Olmert a reçu ce joli montant le 1er janvier 1993 alors qu’il était député dans l’opposition et à quelques mois de battre Teddy Kollek dans la course à la mairie de Jérusalem. Olmert a allégué en 2008 que la date de remboursement ne lui est pas encore parvenue et ce malgré le fait que le « prêt » remonte à 1993.

C’est le vendredi 23 mai 2008 que des enquêteurs de l’Office israélien des Fraudes, dont le Brigadier Général Shlomi Ayalon, se sont pointés, à la résidence du Premier ministre en fonction Olmert, à Jérusalem, pour l’interroger. Avec les intérêts cumulés le « prêt » vaut en 2008 $ 150.000. Le businessman Joe Elmaleh est une des figures les plus controversées de l’histoire du marché israélien de capitaux.

Le 10 septembre 2008, j’écrivais à propos d’Olmert : Selon une source au sein de l’appareil judiciaire israélien, il y a de bonnes chances pour que le Premier ministre Ehud Olmert soit incriminé de délits relatifs à la loi sur le blanchiment de fonds. Dans ce cas-là, estime cette source, il risque d’être condamné à une peine de prison ferme, la peine maximale prévue par la loi pour ce genre de délits étant de dix ans d’emprisonnement. En effet, affirme une autre source juridique, les délits relatifs au blanchiment de fonds sont des délits relativement faciles à prouver, d’autant que selon la loi israélienne actuelle, adoptée dans le cadre de l’adhésion israélienne à la campagne internationale contre le blanchiment de fonds, il n’est pas nécessaire pour la police et le parquet de prouver qu’une activité criminelle est à l’origine des fonds non déclaré.

Dans le cas d’Ehud Olmert, il suffirait d’établir qu’il ait reçu des sommes importantes en liquide sans en informer les autorités compétentes et sans garder de trace écrite officielle pour le condamner. Une experte juridique citée par le journal explique que, dans le cas des délits relatifs à la loi sur le blanchiment de fonds, la gravité de la sanction dépend notamment de l’intention du condamné, c’est-à-dire de sa volonté réelle de ne pas informer le fisc des fonds reçus, et de l’importance des sommes. La police et le parquet tente de faire entendre raison à deux proches d’Ehud Olmert, son assistante personnelle Shula Zaken et son ancien associé Me Uri Messer, afin qu’ils coopèrent avec la justice et aident à incriminer le Premier ministre.

La police a recommandé d’inculper ces deux anciens collaborateurs du Premier ministre, mais des sources impliquées dans l’enquête estiment que la principale raison de cette démarche est la volonté de les pousser à incriminer Ehud Olmert. Jusqu’à présent, Mme Zaken a refusé de collaborer avec les policiers, toutefois son avocat a déclaré qu’après que la police ait recommandé d’inculper le Premier ministre, les circonstances ont changé. Des proches de Mme Zaken affirment qu’elle continuera à garder le silence au moins jusqu’à l’audition à laquelle elle a droit avant son inculpation.

Le 18 septembre 2008, j’écrivais à propos d’Olmert : Sur tf1.lci, hier soir mercredi 17 septembre 2008, à 23:29, on pouvait lire que « Selon les sondages de sortie des urnes diffusés mercredi, la ministre (israélienne) des Affaires étrangères (Tzipi Livni) va succéder à Ehud Olmert (Premier ministre d’Israël) à la tête du parti majoritaire (ndlr : le parti centriste Kadima au demeurant peu majoritaire). Ce succès n’assure toutefois pas à Tzipi Livni sa nomination automatique au poste de Premier ministre à la place d’Ehud Olmert qui va démissionner », précise tf1.lci. Il faut ici ajouter qu’il s’agit d’élections internes au parti Kadima. Autrement dit, ce sont uniquement les 74.000 membres de Kadima qui avaient la possibilité – facultative – de voter (ou de ne pas voter et c’est du reste ce qui est arrivé).

« Selon la législation israélienne, poursuit tf1-lci, Tzipi Livni doit désormais être désignée par le président Shimon Peres dans les sept prochains jours pour mobiliser une majorité parlementaire et former un gouvernement. Elle disposera d’un délai de 42 jours, faute de quoi des élections anticipées pourraient avoir lieu dans les 90 jours ». Voilà qui est déjà plus réaliste et plus concret.

Sur israel-infos.net, aujourd’hui jeudi 18 septembre 2008, on peut lire « que la ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, a remporté les primaires du parti Kadima, et obtenu 47,2% des voix, contre 37,1% pour son principal rival Shaul Mofaz, le ministre des Transports (…) Mais cet écart s’est réduit avec le décompte nocturne des bulletins, à seulement 431 voix de plus en faveur de Tzipi Livni. Un de ses proches, le député Yitzhak Ben Israël, a d’ailleurs indiqué à l’AFP (hier soir), peu après la diffusion des résultats : Le processus de paix fait partie de la plateforme de Mme Livni et c’est une des principales raisons de son élection. Ce que le député Yitzhak Ben Israël « indique » à l’AFP est révélateur. Dans une démocratie de sept millions d’habitants, Tzipi Livni l’emporte grâce à 431 voix, dans le cadre d’une élection interne à son parti, Kadima, parti en perte de vitesse dans les sondages depuis des mois.

Et le député Yitzhak Ben Israël ose dire après cela à l’AFP, ce que celle-ci a envie d’entendre, à savoir, je cite, que « le processus de paix fait partie de la plateforme de Mme Livni et c’est une des principales raisons de son élection ».

Ce que le député Yitzhak Ben Israël, membre du parti centriste Kadima et proche collaborateur de Tzipi Livni ne dit pas à l’AFP, et que tf1lci ne dit pas non plus, c’est qu’en cas d’élections générales anticipées, le nombre de députés à la Knesset – le Parlement israélien – diminuerait de 29 à 25 sièges pour le parti centriste Kadima ; et augmenterait de 12 à 29 sièges pour le parti de droite Likoud (au contraire, hier soir 17 septembre, à 23:29, tf1.lci parlait encore de « parti majoritaire » à propos de Kadima, alors que les derniers chiffres que je viens de mentionner datent du 11 septembre et que tout le monde en Israël en a pris connaissance).

Ces chiffres très parlants sont le résultat du dernier sondage effectué par l’institut israélien Teleseker. Ces chiffres ont été publiés le 11 septembre 2008 dans le quotidien israélien de gauche Maariv : 29 députés pour le Likoud et 25 députés pour Kadima.

Mais en France, ni l’AFP, ni tf1.lci n’en font état. Pourtant, les correspondants de l’AFP et de TF1 à Jérusalem lisent forcément Maariv puisque Maariv est un quotidien de gauche. J’en conclus que les correspondants de presse français accrédités en Israël sont encore plus gauchistes que leurs confrères de Maariv qui sont pourtant considérés là-bas comme bien à gauche.

Y compris Monsieur Landau, qui a demandé à Condi Rice de « violer » les Israéliens en donnant la Judée Samarie aux palestiniens et en précisant à Condi que si elle y parvenait il en aurait, lui, Landau, un « orgasme dans son sommeil ». L’anecdote a été relatée par Caroline Glick il n’y a pas si longtemps que cela. Mais je ne lis toujours rien sur le sujet dans les médias francophones.

Toujours à propos de propagande, Marius Schattner, depuis Jérusalem, pour l’AFP, raconte, aujourd’hui jeudi 18 septembre 2008, à propos de Madame Livni : « Elle pourra compter sur sa popularité et sa réputation de battante fondée sur une ascension politique fulgurante. C’est également une Mme propre, non éclaboussée par des scandales de corruption qui ont forcé l’actuel Premier ministre Ehud Olmert à annoncer sa démission prochaine.

Si Tzipi Livni l’a emporté, c’est avant tout parce que l’opinion publique aspire à un autre type de dirigeant. Elle a appelé par ailleurs à ‘l’union’ au sein du Kadima, après la bataille interne pour la direction du parti (ah tiens !). Tzipi Livni l’a emporté de 431 voix seulement, avec 43,1% des suffrages exprimés contre 42% pour Shaul Mofaz », conclut Monsieur Schattner de l’AFP. Au fait, on aurait aimé savoir – aussi – combien de membres de Kadima, sur un total de 74.000, se sont déplacés pour voter.

La réponse est ici : « Livni emporte de peu les élections pour la direction de Kadima », écrivent aujourd’hui jeudi 18 septembre Attila Somfalvi et Amnon Meranda pour http://ynetnews.com (source en bas de page). Texte original : Livni wins Kadima primaries by narrow margin (source en bas de page). Extraits : « Livni l’a emporté avec 43,1 % (16.936 votes). Mofaz vient juste après, avec 42% (16.505 voix). Meïr Shitrit arrive en troisième position avec 8,5 % (3.327 voix) et Avi Dichter, en quatrième position, avec 6,5% (2.563 voix). En tout, seuls 32.872 membres enregistrés de Kadima ont voté, soit 53,7 % (ndlr : ce qui laisse supposer que tf1.lci a gonflé les effectifs de Kadima en parlant de 74.000 membres).

Mofaz a ensuite téléphoné à Livni pour la féliciter de sa victoire, mais la marge étroite est déjà contestée et il est probable que le ministre des transports fasse appel des résultats. Son état-major demande également que les votes d’Ashkelon soient disqualifiés. L’état-major de Mofaz a repris espoir lorsque les résultats finaux sont tombés, et on s’attend à ce que Mofaz lui-même revienne. Livni est restée prudente après la publication des résultats du vote. Elle n’a pas fait de discours de victoire, mais s’est contentée de brefs appels téléphoniques aux membres de son équipe. Toute la journée, Livni a été préoccupée de ce qu’une faible participation des électeurs donne l’avantage au camp de Mofaz, mieux organisé.

Elle a demandé de prolonger d’une heure l’accès aux urnes. Le comité central des élections de Kadima lui a concédé une demi-heure supplémentaire. Le député Kadima, Zeev Elkin, proche allié de Mofaz, a dit plus tard que l’état-major de ce dernier envisage de demander un recomptage des votes pour les primaires de Kadima ». Intéressant. En tout cas plus intéressant que l’AFP et le petit lci de TF1.

Les groupes parlementaires israéliens sont appelés à fixer la date d’élections générales anticipées. Le chef du groupe parlementaire Likoud, Guideon Saar, demande à ses collègues de ‘faire preuve de responsabilité nationale. Le Premier ministre doit être élu par tout le peuple lors d’élections démocratiques, et non par 431 adhérents’, a-t-il ajouté. Pour rappel, Tsipi Livni a remporté les primaires de Kadima avec une courte avance de 431 voix sur Shaoul Mofaz.

Reproduction autorisée avec mention :

Michel Garroté réd en chef www.dreuz.info

Sources :

http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1200308085522&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull

http://www.imra.org.il/

http://ynetnews.com

Livni wins Kadima primaries by narrow margin

http://www.paperblog.fr/1101364/israel-petite-enquete-sur-une-curieuse-election/#4IF2kGADDRsdRXFj.99

 

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