Laurence Rossignol, actuelle secrétaire d’État à la famille et aux personnes âgées, a été salariée de la Mutuelle des étudiants (LMDE ex MNEF), pendant 18 ans de 1993 à 2011, mais “la seule trace de son activité … est un rapport datant de 2006” affirme la très sérieuse revue Que Choisir.
UFC-Que Choisir, qui enquêtait suite aux plaintes des étudiants concernant des dysfonctionnements de la mutuelle étudiante LMDE, apprit d’un de ses anciens responsables que « cette mutuelle a trop de cadres au sommet et pas assez de petites mains pour faire le travail administratif. Et ces cadres, qui plus est, sont souvent choisis sur des critères politiques. »
“Un cas particulier sur la question des recrutements des cadres gestionnaires de la LMDE, où l’appartenance politique semble être un critère de sélection” attira l’attention de la revue de défense des consommateurs, “c’est celui de Laurence Rossignol,” explique Que Choisir.
Que Choisir: “Interrogé, son cabinet nous a fait savoir qu’elle avait été chargée d’études à la direction Santé et Prévention de la mutuelle, à temps plein jusqu’en 2004, puis à tiers-temps jusqu’en 2011, avec une rémunération de l’ordre de 1 200 € nets par mois (soit 3 600 € nets équivalent plein temps)”
Mais la réalité que découvrit Que Choisir est toute différente, et a toutes les apparences d’un emploi fictif.
Elle venait très rarement. Son bureau, pas très loin du mien, était toujours fermé
Un ex employé apporta le témoignage suivant, qui fut confirmé à Que Choisir par un ancien cadre :
« Elle est créditée comme rédactrice en chef pour quelques brochures, mais je sais qu’elle ne les a pas écrites parce que c’est moi et des collègues qui les avons faites, soutient de son côté un ancien salarié de la LMDE. Elle venait très rarement. Son bureau, pas très loin du mien, était toujours fermé. Les syndicats ont d’ailleurs fini par s’émouvoir de cette situation quand on a commencé à parler de suppressions de postes à la LMDE. La question s’est réglée car elle a démissionné quand elle est devenue sénatrice. »
Que Choisir ne s’est pas arrêté là, et il a poussé l’enquête sur les autres postes occupés par l’actuelle Secrétaire d’Etat :
“Ces 10 dernières années, avant de devenir sénatrice, Mme Rossignol a occupé plusieurs fonctions : conseillère municipale d’opposition à Compiègne, vice-présidente du Conseil régional de Picardie chargée de la vie associative, de la jeunesse et de l’économie sociale, mais également secrétaire nationale du PS chargée des droits des femmes, puis de l’environnement.”
Des personnalités politiques ignoraient sa “longue carrière” à la mutuelle
La conclusion sans appel confirme les soupçons d’emploi fictif :
“Des personnalités politiques de Picardie que nous avons interrogées ignoraient sa longue carrière à la mutuelle.”
“Tant à Compiègne qu’à la Région, Mme Rossignol a été une élue travailleuse et assidue, les comptes rendus de conseils en attestent. Il est difficile de ne pas s’interroger sur le temps que la chargée d’étude LMDE a pu réellement consacrer aux étudiants pendant de longues périodes, en particulier les campagnes électorales.”
Que Choisir, avec l’autorité dont il dispose, n’a pas été en mesure de briser l’omerta et d’aller au fond du sujet :
“Nous avons évidemment sollicité la LMDE et le cabinet de Mme Rossignol à ce sujet, sans obtenir de réponse claire…”
La gauche immorale est décidément difficile à suivre : de Jérôme Cahuzac à Thomas Tevenoud en passant par Aquilino Morelle, forcé de démissionner pour conflit d’intérêt avec des laboratoires pharmaceutiques, Florence Lamblin, élue EELV et adjointe au maire du 13e, mise en examen pour blanchiment d’argent de la drogue, Kader Arif, l’actuel ministre des Anciens combattants objet d’une enquête préliminaire par le parquet de Toulouse sur une possible affaire de corruption, ou encore Jean-Marie Le Guen, qui a “juste oublié” 700.000 euros dans sa déclaration de patrimoine, sans compter ceux que j’oublie, les Républiques bananières ont trouvé source d’inspiration.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
au PS il n’y a que des rossignols pas très honnêtes .. Dehors :deadrose:
Non plutôt en taule et jetez la clé, marre de ces donneurs de leçons pourris jusqu’à la moelle !
Quel drole d’oiseau cette dame :
” les enfants appartiennent à l’Etat ” et lorsque par hasard l’oiseau fait un retrait au distributeur de billet sans garde du corps, donc dans la vraie vie, on lui pique sa carte bleue et l’oiseau de nous faire la leçon ” inadmissible personne ne m’a aidée ” je cite sa chanson de mémoire ; en gros nous sommes de gros beufs de français, qui ne savons pas porter assistance à autrui. Tout cela est normal madame, vous donnez le bon exemple
et ça donne des leçons et ça nous parle de casseroles !
Pour ce qui est de Le Guen , je le remercie d’avoir prouvé, en minoirant sa déclaration, que l’ISF est un impôt imbécile…..
Un emploi fictif ????
Pour une socialiste rien que de très normal.
Comment voulez-vous que de tels incompétents puissent avoir un emploi réel ?????
Ah oui, j’oubliais, il peuvent être politiciens, députés, sénateurs, ministres….. et même présidents !!!!!
une question quand on ne fiche que dalle- emplois fictifs , garde-t’on tous les bébéfices des emplois non travaillés ? ou alors doit-on en verser un peu aux généreux membres du parti ?
Seulment les apparence sont du fictif. La longue carriere de la dame, les 18 ans, c`est pour q`elle atteint le majorat.!!! :laugh:
ENCORE !? Mais on n’a même pas fini avec Cambadélis et ses diplômes bidons.
“La gauche immorale est décidément difficile à suivre :” Effectivement ça n’arrête plus.
le FOU QUE TS
François Hollande, c’est Valérie Trierweiler qui le connaît le mieux. “Notre différence d’origine sociale est criante. (…) Il ne comprend pas ce blocage sur l’argent. Il ne peut pas l’imaginer, lui qui n’a jamais manqué de rien. Il lui faut toujours le meilleur, rien que le meilleur. Il aime les grands restaurants quand je préfère les bistrots, les grands hôtels quand moi je suis heureuse dans les petites auberges”, écrit-elle page 185 de Merci pour ce moment. Un penchant présidentiel démenti avec force par Stéphane Le Foll : “Franchement, moi, en vingt ans j’en ai fait des déplacements avec François Hollande. Si c’est pas dix fois des bistrots, des brasseries. (…) Steak-frites, entrecôte-frites, peut-être béarnaise, avec François Hollande de temps en temps.”
Samedi, Stéphane Le Foll n’était pas là, mais le président de la République a déjeuné à La Farnesina, un resto chic de la rue Boissy-d’Anglas (Paris 8e), à un jet de pavé du très luxueux hôtel Crillon. “Ils étaient huit à la table numéro 8”, a noté un témoin. François Hollande inaugurait pour l’occasion le premier déjeuner des chefs de pôle de son cabinet élyséen. Jusqu’à présent, les responsables de chaque division du cabinet se réunissaient le samedi au palais de l’Élysée.
100 euros par personne
Désormais, sur proposition de Jean-Pierre Jouyet, le secrétaire général, et de Sylvie Hubac, directrice de cabinet, ces brainstormings se dérouleront à l’extérieur “à la rencontre des Français… à gros pouvoir d’achat”, se moque un visiteur du soir. L’ex-secrétaire d’État de Nicolas Sarkozy et néanmoins ami intime du président Hollande depuis 40 ans ainsi que la conseillère d’État issue de la promotion Voltaire ont sélectionné les meilleures tables parisiennes du guide Michelin. Nicolas Revel, chef du pôle “politiques publiques”, Gaspard Gantzer pour la communication, Laurence Boone pour l’économie et les finances, Jacques Audibert à la diplomatie et Vincent Feltesse, chef du pôle “parlementaires et études”, ont partagé le déjeuner du président de la République : à environ 100 euros par personne, des témoins ont pu constater que les convives ont choisi de bonnes bouteilles.
À gauche, on aime faire partager ses goûts de luxe. C’est au domaine national de Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), ancienne propriété de Monsieur, frère du roi Louis XIV, aujourd’hui géré par le Centre des monuments nationaux, que le prochain séminaire de l’ensemble du cabinet du président de la République – et non plus des seuls chefs de pôle – devrait avoir lieu. Selon un haut fonctionnaire clodoaldien (c’est-à-dire habitant Saint-Cloud), Jean-Pierre Jouyet, lorsqu’il était encore secrétaire d’État des Affaires européennes du gouvernement Fillon, était tombé en admiration devant le domaine.
Le service de presse de l’Elysée tient à préciser :
1/ Samedi dernier, dans l’impossibilité, en raison de l’ouverture du Palais aux Journées européennes du Patrimoine, d’organiser le déjeuner de travail qui se tient tous les samedis autour du Président de la République, ce déjeuner a eu lieu dans un restaurant du quartier. Il a rassemblé autour du Président de la République six de ses collaborateurs. Le prix du repas, d’un montant de 80 euros par personne, a été réglé par la directrice de cabinet sur ses deniers personnels à charge pour chaque participant de lui régler ensuite sa quote-part.
2/Il n’est pas prévu d’autres déjeuners à l’extérieur des chefs de pôles qui continueront de se retrouver à l’Elysée tous les samedis.
et dire,que ces soit disants de gauche,nous dirigent
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