Publié par Hervé Roubaix le 24 octobre 2014

Private and public sector workers hold CGT union flags as they attend a demonstration over pension reforms in Nice

Des peines d’emprisonnement de 2 mois à 18 mois avec sursis, des amendes de 4.000 à 75.000 euros, les communistes morflent et les copains-coquins journalistes étouffent l’affaire…

Le 1er octobre dernier, la CGT, l’Humanité, le Parti communiste et sa nébuleuse opaque et corrompue ont été lourdement condamnés par le tribunal correctionnel de Paris.

Malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs, détournements de fonds

Douze condamnations ont été prononcées dans les rangs communistes et syndicaux pour malversations, abus de confiance, recel, emplois fictifs, et détournements de plusieurs millions d’euros. La liste est aussi longue que pour un procès de la mafia.

Et rien dans vos médias … profession de pourris

Vous devez de toute urgence arrêter de lire les journaux et arrêter de regarder à la télé, si vous voulez garder les idées claires !

Des têtes sont tombées dans le panier de crabe aux escrocs communistes en col blanc, et ont été publiquement humiliées. Les journalistes ont pris soin de les taire.

Les voici :

Jean Lavielle, ex président du Comité d’entreprise EDF, a écopé d’une lourde condamnation : 18 mois d’emprisonnement avec sursis et 4 000 euros d’amende – il était le principal inculpé et présidait le Comité d’entreprise EDF, la CCAS, ou Caisse centrale d’activités sociales,

• Son ancien directeur général, Jean-Paul Blandino, en prend pour 8 mois de prison avec sursis.

• La sénatrice communiste Brigitte Gonthier-Maurin écope de 10 mois de prison avec sursis pour emploi fictif grassement rémunéré par le CE alors qu’elle travaillait pour la fédération du parti communiste des Hauts-de-Seine.

Jacques Lefèvre, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis,

Jean-Paul Escoffier, ex-président de l’IFOREP, 12 mois d’emprisonnement avec sursis,

Pascal Aubrée, ex-président de l’IFOREP, 6 mois d’emprisonnement avec sursis,

Pascal Lazarre, ex-vice-président de la CCAS, 8 mois d’emprisonnement avec sursis,

• La CGT a été condamnée à 20 000 euros d’amende,

• La fédération des Mines et de l’Énergie CGT, 20 000 euros d’amende,

• L’Iforep, qui a détourné plus d’un million d’euros avec l’Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende,

• L’Humanité, condamnée à 75 000 euros d’amende aussi.

Au total, huit personnes et quatre organisations ont été condamnées.

En juin, l’audience avait duré trois semaines, “trois semaines de silences gênés des médias”

“Trois semaines de silences gênés dans les grands médias audiovisuels et les principaux quotidiens” fait remarquer Jean Nouailhac dans le Point – en précisant que “les quotidiens parisiens sont dépendants de la CGT pour être imprimés par le Syndicat du livre CGT” comme pour passer sous silence les connivences et liens idéologiques forts qui lient les uns aux autres.

Cet article vous a intéressé ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les nouveaux articles de Dreuz, une fois par jour en fin d’après-midi.

Le comité d’entreprise EDF, ou CCAS, détient plus d’1 milliard d’euros d’actifs et un budget de 500 millions d’euros par an – sans aucune raison – sur vos factures EDF.

Et cette grosse machine à fric, caisse noire du Parti communiste, est entre les mains de la CGT, camarade !

Ainsi, tandis que les journalistes étalent leur jouissance et leur orgasme à évoquer l’affaire Bygmalion – qui n’est encore que rumeurs contre des hommes de droite, ils ont observé un silence de mort sur les condamnations fermes et lourdes des voyous en cols blancs de la CGT, du Parti communiste, du journal l’Humanité, et du fournisseur d’argent sale, le “comité” d’entreprise EDF.

La presse et la télé française, c’est la honte.

D’une anecdote, ils font des gros titres pour détruire une personnalité de droite.

Pendant quatre ans ils ont ressassé le dîner de Nicolas Sarkozy au Fouquet’s, mais ils ont “oublié” celui de François Hollande au restaurant Chez Laurent deux fois plus cher.

Il y a une semaine, ils s’acharnaient – le mot est encore faible – à 40 journalistes et leur force de frappe médiatique contre 1 seule personne, contre le tweet de Philippe Karsenty qui tournait en ridicule le pauvre petit journaliste de Rue89 “en danger”, Pierre Haski.

Et ils n’ont pas trouvé une minute pour parler du retentissant procès de la mafia communiste, la branche pourrie de la République française.

Pourrie comme la presse.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous