Selon le magazine Challenges, “le déficit public de la France va devenir le plus important de l’UE en 2016, selon la Commission européenne.
Que va dire Pierre Moscovici ?
“C’est pas ma faute ! “
François Hollande lui, s’est déjà exprimé. L’an dernier, il a déclaré: « il faut réformer, réunir, réussir. ». En français, ça voulait dire ne rien faire, et il a tenu promesse.
Et Emmanuel Macron ?
“Il faut un new deal européen.” Le New deal, c’est ce mythe que l’on a longtemps doté à tort de la responsabilité de la sortie de la récession de 1929. On sait depuis qu’il n’en fut rien, et qu’il a, au contraire, fait durer la débâcle.
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En mars 2012, Jean-Patrick écrivait ici sur Dreuz que François Hollande fera plonger la France aussi bas que la Grèce, après avoir observé que s’il avait fait de sa région, la Corrèze, la plus endettée de France, il saurait faire au moins aussi bien avec la France. Voilà chose faite. Aucun des talentueux économistes qui occupent les plateaux des télévisions françaises n’avaient fait une prédiction aussi juste que Dreuz.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
Malgré tout il pense avoir encore ses chances pour 2017 ,pour se faire il a invité des journalistes pendant une semaine à l’Elysée, ensuite ces journalistes impressionnés par l’homme et ses qualité humaine “normales quoi” pourront semer et faire savoir qu’il faut le garder . En plus Hollande sait qu’i n’y a pas de REJET de sa personne comme il y en a eu une de Nicolas Sarkozy et que donc quand la courbe du chomage etc etc vont s’inverser il sera plébicité !
de l’autre coté il y a la candidate que le PS laisse progresser à loisir , car chez PS on pense que l’on peut recommencer la technique de mimite à savoir affaiblir au possible la droite et se retrouver PS/FN et que forcément Hollande remportera la mise . Ceux qui vont voté pour la blonde (NW) ne se font pas de soucis de leur coté , il y a l’élection de la présidence du FN mais comment la “présenteé pourrait-elle perdre ? meme avec 4 tours elle est la seule donc sure d’etre réélue !
MAIS !
on peut remercier tous ceux qui ont votés pour un incapable un amateur en
politique.. il aurait du aller dans les champs pour planter des choux :heh:
Quand meme, c`est sont les Francaises qui l`ont vote, et les choux, aussi vous qui`l faudra les manger.!! :turtle:
un peu d’humour dans cette vidéo
http://www.youtube.com/watch?v=E9i7Z9I_4Ak
Pour ceux qui connaissent Lovecraft, Francois Hollande me fait penser à Niarlatotep. Il avance en rampant, il maitrise des techniques miraculeuses comme la GPA, il prepare la venue du chaos destructeur.
Il est surprenant qu’un économiste comme Emmanuel Macron “soi-disant pointu” ait pu se joindre à une équipe de nullités pareille ce doit être un adepte de Thomas Piketty qui souhaitait faire payer un droit d’habiter dans son propre bien .
On y vient doucement les gens vont devoir payer un impôt supplémentaire pour conserver leur résidence secondaire libre pour leur utilisation personnelle !
Un épicier est plus calé en économie que tous ces pingouins .
On ne peut dépenser plus que l’on ne gagne et prendre à ceux qui travaillent pour donner à ceux qui ne font rien n’est plus possible .
Le système pyramidal … Madoff dans toute sa splendeur ?:-)
Attention au Krach final, il faut se déplacer pour voir que les autres pays avancent et évoluent pendant ce temps .
Moi il me dégoute profondément, et en plus il est plein de fric MAIS grâce à des SCI il passe à coté de l’ ISF :pissedoff: , elle est belle la gauche même le mot est glauque GAUCHE.
Voilà une gaffe présidentielle que le Canada n’est pas près d’oublier. Le 22 octobre dernier, un djihadiste faisait irruption au Parlement canadien, à Ottawa, armes à la main. C’est le sergent d’armes en charge de la sécurité du Parlement, devenu un véritable héros national, qui a abattu le djihadiste.
François Hollande a prononcé un discours hier, dans le parlement d’Ottawa, justement sur le thème de la lutte contre le terrorisme. Un sujet lourd et important après les événements canadiens du 22 octobre.
Le chef de l’Etat Français devait donc tout naturellement saluer Kevin Vickers, véritable héros national dans le pays. Alors que François Hollande arrive dans le Parlement, l’homme est là, “avec ses médailles, son arme à la ceinture, au côté du président du Sénat et de la Chambre des Députés”, comme le rapporte RTL. Et c’est à ce moment-là que François Hollande a fait un couac: le chef de l’Etat passe devant l’homme, lui serre à peine la main, pas d’accolades, de félicitations ou de questions… il n’a tout simplement pas reconnu Kevin Vickers.
Et oui Caroline, il est tellement c.o.n et donc ignorant des infos.
Mais le pire, le staff censé le renseigner sur et ceux qui il va voir, aussi c.o.n que lui, 1 chef d’ état ne peut pas tout voir, mais il ce doit d’ être informé, surtout pour un déplacement. Voila ou nous en sommes, dans le miséréré, ou misère. :wilt:
sur la BBC
https://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&uact=8&ved=0CCkQqQIwAQ&url=http://www.bbc.co.uk/news/uk-29899571&ei=pF1ZVPieBcPUOaekgbgG&usg=AFQjCNFxl9NOU098_EneLJg6TJHuMTTEpw&bvm=bv.78677474%2cd.ZWU
French ‘mess’ threatens real civil strife
Hugh Schofield
By Hugh Schofield
BBC News, Paris
Hollande
The Hollande presidency is not popular
Continue reading the main story
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Third time lucky for Hollande?
To grasp the extent of the shambles that is French politics today, take the story of the “eco-tax”.
It could be a case study in how to induce paroxysms of voter fury.
The eco-tax was a levy, agreed on by all France’s main parties, which would charge goods vehicles for using the roads. The money raised would help fund infrastructure and encourage other, cleaner, means of transport.
But some French people decided they didn’t like it. They tore down the metal bridges where cameras for road-monitoring had been installed. They threatened to march on Paris.
The Socialist government, whose ministers had previously extolled its virtues, suspended the eco-tax. Then they binned it for good.
The end result is this. The private company contracted to organise the tax is claiming 1bn euros in damages from the state. It has built a nationwide grid of electronic monitors – destined now to rust – and employs hundreds of people.
At the same time, the money that would have been gathered from the tax – some 400m euros a year – is missing from the budget.
To replace it, the government has ruled that the price of diesel will go up – for all drivers. In other words, ordinary householders will foot part of a bill that was intended for the big polluters.
As for the rest of the shortfall, the government is casting about for ideas. One day, Ecology Minister Segolene Royal calls for a tax on all foreign lorries that drive through France. The next, Finance Minister Michel Sapin scotches her proposal because it is against European law.
So there you have it – all the ingredients of a modern French mess.
A “noble” cause taken up by the Paris establishment, which then buckles with fear when confronted by the “street”, reneges on its commitments and plumps yet another tax on ordinary folk – all the while publicly disagreeing about what on Earth to do next and invoking Brussels as a higher authority.
Widespread pessimism
As the Hollande presidency stumbles past its half-way point, it is hard to overstate the depths of pessimism in the country.
For the eco-tax fiasco was not an unlucky one-off. It typifies perfectly the melange of incompetence, powerless, timidity and indecision to which the country’s government has fallen prey.
To be fair, just about every French government of the past 30 years could be accused of similar shortcomings. L’immobilisme – basically a pride in the French model and a resulting failure to react to the world outside – began under Francois Mitterrand.
But now the crisis is deeper. The public accounts are close to ruin and yet state spending is still not coming down in any significant way. Unemployment is at 11% and yet the labour market is still not being put through serious reform. The young and the ambitious continue to look abroad.
Marine Le Pen
Marine Le Pen is thought to stand a chance of becoming president
And to cap it all, France has in Francois Hollande a leader who is about as far as is possible from being the man-of-the-hour.
The president makes a boast of being “normal”, when the times require exception. He invites ridicule, when France needs someone of stature. He vacillates, when France looks for steel.
President Hollande said he loathed finance, when that was the expedient thing to do. Afterwards, he discovered the virtues of business, and appointed a former Rotchschild banker to run the economy.
Foolhardy indeed to conjecture what the president actually believes in.
Writing recently, veteran political commentator Alain Duhamel described the crisis confronting France today as “the worst since World War Two”. He is not the only one to feel that the country is heading for something very bad.
For Jean-Sebastien Ferjou, editor of the right-wing news website Atlantico: “The political situation today is completely unpredictable. Anything could happen.”
On the left, Liberation newspaper’s Daniel Schneidermann says: “The volatility means we cannot rule out trouble on the streets.”
All scenarios, of course, centre round the far-right Front National (FN) – the party that has been by far the greatest beneficiary of both the economic crisis and the popular turning-away from establishment politics.
Qui peut croire une chose pareille ? Des gogos peut-être ? Il est vrai qu’ils sont nombreux, mais tout de même ! C’est un peu comme l’histoire racontée par François Hollande nous annonçant 50 milliards d’euros d'”économies” dans les dépenses publiques pour la période 2015-2017, dont 21 milliards pour le seul budget 2015, alors qu’il s’agit simplement d’un ralentissement de l’augmentation structurelle de ces dépenses. Les dépenses publiques en 2015 continueront d’augmenter mécaniquement par rapport à 2014 et le déficit budgétaire de dépasser les 75 milliards d’euros. Et encore, pour arriver à “limiter” ce déficit à 75 milliards en 2015, il faudra une croissance de l’ordre de 1 %, ce qui paraît une hypothèse beaucoup trop optimiste. Pour les années suivantes, on prévoit même une croissance de 1,7 % en 2016 et 1,9 % en 2017. Du grand n’importe quoi ! Pas un seul économiste sérieux ne peut soutenir, ni d’ailleurs n’a soutenu, de pareilles billevesées.
Dans ces conditions, au point où nous en sommes, le général en chef de l’Élysée, assisté de son chef d’état-major, Manuel Valls, de plus en plus discrédité pour ses louvoiements liés à ses visées politiques sur 2017, entouré de ses bataillons d’énarques qui prennent des vessies politiques pour des lanternes sociales, et conseillé par ses experts financiers de l’Inspection des finances installés à Bercy, la base secrète du régime, peut continuer à balancer des promesses comme les grand-mères du bois de Boulogne et leurs petits-enfants qui jettent des quignons de pain aux cygnes du lac Supérieur.
Une fourberie de Sapin ?
Ainsi, pendant deux heures et demie, le 30 octobre dernier dans la salle des fêtes de l’Élysée, entouré de Manuel Valls et de pas moins de neuf membres du gouvernement, a-t-il cherché à faire accréditer l’idée, sans pouvoir être contredit – plus c’est gros, plus ça passe, du moins peut-il le croire -, que son “choc de simplification” allait représenter un gain pour la France de 11 milliards d’euros d’ici à la fin 2016. Pourquoi 11 et pas 8, ou 15 ? Ce chiffre, comme sorti d’une pochette-surprise, n’est justifié par aucune explication, aucune évaluation fondée, aucune étude, rien de sérieux ni de crédible. Des promesses, des annonces, rien d’autre ! Le secrétaire d’État à la Simplification (sic), Thierry Mandon, a même pu déclarer, sans rire, que ce qui avait été lancé jusqu’à présent – les 14 premières “mesures de simplification” ont été adoptées en juillet dernier sur la première tranche de 50 mesures – avait fait “gagner” 2,4 milliards d’euros. Pourquoi pas 3 ou 4 milliards, tant qu’on y est ? C’est la valse des milliards…
Le président, qui a annoncé une nouvelle tranche de 50 mesures, a jugé “considérable” le chemin parcouru, ajoutant que “le train est parti et ne s’arrêtera plus”. Le Premier ministre a fait savoir qu’il s’agit d’une “grande réforme structurelle”. Michel Sapin – une nouvelle fourberie de Sapin ? – a promis, juré, que la rétroactivité fiscale pour les entreprises, “c’est fini”. Qui va le croire ? Promesse pour promesse, François Hollande en a rajouté une couche, s’engageant à ce que “la déclaration fiscale unifiée” soit “mise en place”. Très bien, mais quand ? En 2018, après la présidentielle, ou pourquoi pas en 2023 ?
400 000 normes
Le poids insensé d’une administration pléthorique et l’étatisme forcené de nos politiciens, issus pour la majorité de la fonction publique, ont abouti à la construction symbolique de gratte-ciel remplis à ras bord de milliers de tonnes de paperasse représentant 400 000 normes qui empêchent les Français de respirer normalement, et on veut nous faire croire que quelques mesurettes marginales auraient déjà permis au pays d’économiser 2,4 milliards, et qu’on arrivera à un total de gains de 11 milliards d’ici à deux ans ! C’est une véritable supercherie et le fait que cette comédie se soit déroulée dans la salle des fêtes de l’Élysée devant des caméras énamourées ne fait que confirmer que nous sommes bien dans un théâtre pour assister à une comédie – sans doute destinée à Bruxelles et aux investisseurs internationaux – qui se veut enjouée et qui n’est, en réalité, qu’une sinistre farce.
En effet, il n’y a pas trente-six façons de faire des économies, et tous les Français le savent bien, surtout en ce moment : il faut que l’État se serre la ceinture et diminue ses dépenses. Se contenter de baisser l’augmentation mécanique des dépenses ne suffit pas, quand celle-ci est due pour une part importante à l’avancement automatique et permanent des salariés de la fonction publique. Il n’y a pas d’autre solution que de baisser le nombre des fonctionnaires et des “contrats aidés” ou autres emplois subventionnés, alors qu’on continue à les augmenter. Il faut interdire de recrutement les irresponsables de Matignon et de la fonction publique territoriale, ce qui permettra en outre de faire des calculs précis des économies vraiment réalisées. Le reste, tout le reste, n’est que discours, paroles et promesses parfois ébauchées, jamais tenues.
L’affabulateur en chef sera de nouveau en scène ce jeudi 6 novembre sur TF1 et il trouvera certainement à proposer à son peuple – si crédule, n’est-ce pas ? – de nouveaux bonbons jetés négligemment comme les quignons de pain lancés par nos grands-mères aux cygnes du bois de Boulogne…
La taxe de 20% sur les résidences secondaires toute aussi débile soit-elle ne permettra pas de mettre sur le marché de nouveaux logement à la location mais , entendu entre les lignes, la gauche ça cause beaucoup il suffit d’écouter, donc la taxe anciennement week end permettra de dégager 150 millions qui aideront les régions à cours de budget !
http://www.valeursactuelles.com/politique-intervention-francois-hollande-trou-noir-48939
quoi de plus normal pour un trou du …
quand vous entendez N.V.Belkacem vous vous dites qu’est-ce qui va nous tomber dessus :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/11/05/01016-20141105ARTFIG00232-inegalites-territoriales-najat-vallaud-belkacem-veut-revoir-le-calcul-des-budgets-des-academies.php
notre fils est inscrit dans un lycée rpivé sous contrat depuis l’année cette année nous payons les livres donc il faut s’attendre à une progression dans ce sens : moins pour les quartier non dit défavorisés et beaucoup plus pour les autres !
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/05/97001-20141105FILWWW00354-suicides-dans-la-police-des-mesures-en-2015.php
ça se comprend quoi en ce moment il est question de la réélection de “LUI IL ” alors ….2015 pour les policiers