Le 11 janvier, Ruth Elkrief, comme toute la corporation des journalistes, défendait avec fierté la liberté d’expression après les attentats contre Charlie Hebdo.
Elle a tenu un mois… et elle a craqué.
Le fardeau était trop lourd à porter. Je veux parler du respect de la liberté d’expression. Insoutenable… enfin surtout la liberté des autres, parce que la sienne, c’est sacré.
La voici redevenue journaliste de la pensée imposée, journaliste normale, coupant la parole à plusieurs reprise à son interlocuteur en lui interdisant de parler, normale donc :
La fierté, l’incarnation, du journalisme français.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Merci Monsieur Larnet, comme je l’ai écrit hier, j’espère que jamais, quelqu’un ne me parlera de cette façon. Un mépris total de l’interlocuteur, qu’importe ce qu’il allait dire, son devoir était de l’écouter, en plus ce n’était pas une conversation à deux que je sache.
Il est très triste que cette affaire concerne les Juifs. Cette cruche nous fait dorénavant passer pour communautaristes et des ennemis de la liberté d’expression.
La liberté d’expression selon BFMTV…
je crois que vous faites un contre sens …
Ruth Elkrief dit bien que les propos de Branlant du Mat comme l’appelle Canteloup était inadmissibles … Et si elle coupe la parole à son interlocuteur , c’est bien pour empêcher qu’il les répète …
Ruth Elkrief a eu 3 enfants , 1 fils et 2 filles . Même si vous effectuez des recherches sur Internet vous ne trouverez aucune trace du nom du père de son fils , uniquement celui du père de ses 2 filles , un patron d’entreprise . Arrivez en à la conclusion par vous même : elle ne souhaite pas que soit connue la liaison qu’elle a eu avec le président de l’époque , 9 mois avant la naissance de cet enfant . ( Il avait 44 ans de plus qu’elle et a été opéré peu après de la prostate ) .