William Schabas, le chef de la commission d’enquête de l’ONU sur d’éventuels crimes de guerre lors du conflit à Gaza a démissionné.

Le masque est tombé, le félon a été démasqué, et avec lui l’acharnement de l’ONU contre Israël, qui doit faire une courte pause.

En 2013, William Schabas avait déclaré que Benjamin Netanyahou serait la première personne qu’il aimerait trainer devant la cour pénale internationale.

Et c’est lui que la Commission des droits de l’homme de l’ONU était allée chercher, en octobre dernier, pour enquêter sur d’éventuels crimes de guerre commis par Israël lors du conflit avec le Hamas l’été dernier.

Lorsque son nom avait été connu pour diriger la commission d’enquête, Ron Prosor, l’ambassadeur d’Israël auprès des Nations unies avait déclaré que sa nomination correspondait à “choisir Dracula pour diriger une banque du sang.”

“La commission Schabas n’est pas une commission d’enquête mais un comité qui a déjà des résultats prédéfinis. Il a donc été décidé qu’Israël ne coopérerait pas avec cette dite commission”, avait déclaré Avigdor Lieberman.

Interviewé par i24news en août 2014 durant le conflit, Schabas avait même refusé de répondre aux questions sur les actions terroristes du Hamas à Gaza.

Il avait également refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste.

Schabas avait tout simplement refusé, lors d’une conférence de presse,  en septembre 2014, de dire s’il allait enquêter sur les actions du Hamas.

Finalement, Israël vient de découvrir que Schabas a travaillé pour l’OLP en 2012, ce qu’il s’était empressé de dissimuler.

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Juge et partie, il n’y a qu’à l’ONU que cela ne dérange apparemment personne. Surtout au Conseil des droits de l’homme qui fait siéger l’Arabie saoudite aux commission de défense des droits de la femme, ou proposait la présidence à Khadafi…

“Cette commission était vouée à l’échec dès le départ, et elle devrait être dissolue dans son ensemble”, a déclaré Yariv Levin, le chef de la commission parlementaire des Affaires étrangères, en apprenant la nouvelle.

“Cela prouve que mêmes les pires hypocrites qui siègent aux instances internationales ne peuvent ignorer le fait qu’avoir nommé Schabas pour enquêter sur Israël, c’était comme d’avoir demandé à Cain d’enquêter pour savoir qui avait tué Abel,” a indiqué Lieberman en réaction.

Mais il a ajouté qu’il ne pense pas que la résignation de Schabas changera quoi que ce soit au rapport, car la commission a été créer afin de condamner Israël.

Les révélations sur le parti pris et les positions de Schabas le démontrent au delà des affirmations.

Les commissions d’enquêtes contre Israël de l’ONU puisent leurs éléments de preuves auprès d’organisations non gouvernementales anti-israéliennes financées par l’Europe pour traquer les juifs en train de commettre des fautes, comme B’Tselem. Elle sont constamment dénoncées pour leur biais anti-israélien, mais le gouvernement israélien n’a pas eu, jusqu’à présent, le courage politique pour mettre fin à cette triste farce et faire interdire qu’elles soient financées par des fonds étrangers hostiles, faussant l’équilibre démocratique puisqu’elles représentent une dizaine de personnes, mais possèdent un force d’impact démultipliée.

C’est lorsque le juge Richard Goldstone s’est aperçu qu’il avait été manipulé par les faux rapports de B’Tselem qu’il avait rétracté son rapport accusatoire contre Israël suite à la guerre de 2008-2009 contre le Hamas, que l’ONU a cependant refusé d’annuler.

Goldstone avait réalisé que B’Tselem avait intentionnellement écarté les preuves qui montraient qu’Israël n’avait pas intentionnellement tué des civils palestiniens comme cela le lui était reproché en 2008, et de nouveau en 2015.

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