Je participe à la conférence internationale sur la liberté de la presse organisée par le Jérusalem press club, du 25 au 27 mai.
Nous sommes une quarantaine de journalistes de tous les pays.
Hier, faisant allusion aux dénonciations européennes et de l’ONU concernant les constructions dans les quartiers situés à l’est de Jérusalem, le maire de Jérusalem a rappelé qu’il n’existe aucun pays industrialisé où la religion et la couleur de peau sont exigés pour construire une villa ou un appartement, et qu’il n’est pas dans son intention de faire exception. “Si un juif, un musulman, un noir, possèdent un titre de propriété et un permis de construire régulier, je n’interdirais jamais la construction”.
La journaliste musulmane Asra Nomani, amie et collègue du journaliste Daniel Pearl, était au Pakistan avec lui lorsqu’il a été enlevé et exécuté, notamment pour venger “la mort” de l’enfant al Dura. Je lui ai demandé comment elle vivait le fait que son ami est mort en partie à cause du faux reportage d’un autre journaliste, Charles Enderlin, qui a faussement rapporté que al Dura a été tué par l’armée israélienne.
Son émotion était visible. Elle m’a répondu qu’elle a choisi d’enterrer son ressentiment et d’aller de l’avant. J’imagine sa rage enfouie.
Ce matin, la séance commence par une dénonciation explicite de l’indépendance de la presse israélienne, 93% des répondants d’une étude ayant affirmé que les propriétaires des médias interfèrent avec la ligne éditoriale.
En fait, directement ou indirectement, tous les médias, radios et chaines de télévision privés sont entre les mains de 5 familles, a expliqué le conférencier.
Considérant ses critiques du gouvernement Netanyahou, je ne suis pas certain que le conférencier se soit rendu compte qu’il dénonçait en fait la gauche israélienne, puisque la grande majorité des médias sont à gauche, et que les 5 familles mentionnées sont toutes de gauche, ce n’est pas un secret d’état.
Je tenterais de résumer au cours de la journée les moments forts de cette conférence.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Je crois qu’en France, la liberté de la presse est passée aux oubliettes…
En France , la liberté de la presse est baillonnée par les subventions salvatrices des états alternatifs UMP et PS ( 5 ans pour moi , 5 ans pour toi , mais pas touche à l’Islam ) sinon panpan cucul !
Le maire UMP de Venelles qui est sorti du rang islamocompatible est au secret psychiatrique !
Vu que vous etes au congrés de la liberté de la Presse , pouvez vous faire quelque chose pour ces pseudos journaux le Monde et Figarro ? Pour que leur liberté de cracher sur Israel s’arrete une bonne fois pour toute
Jean Patrick, bienvenu en Israel.!!! D`apres moi, la liberte et l`independance de la presse, c`est quand elle appartiens au 3-5 ou 7 famille, gauche ou droite n`importe pas, mais prive, pas au gouvernement. Seulement comme ca, on peut se permetre le luxe d`approbe ou critique, d`etre pour ou contre, meme du PM. ou President. Autrement, il n`y a, ni presse, ni libre
La situation en France est bien plus grave dans le mesure où tous ou presque sont à gauche subventionnés par l’état autrement dit par le contribuable ; contribution directe par les subventions, contribution par la taxe sur la télévision ; de surcroit les journalistes français sont défrayés de 7500 € par an sur leur imposition personnelle …. Et avec tout ça on nous fait la leçon à longueur d’antenne et d’émissions télé à genous devant le pouvoir ….. La liberté de la presse c’est de nous dire : le socialisme c’est magique
@ANNI, La situation en Israel, n`est pas grave du tout. Si le journal appartien a une famille, et la famille est de gauche, et aussi intervienne, on achette plus, et c`est sont eux qui perde, et leur journaliste, pas moi, et pas celui q`on critique, car chaque un est libre a lire ca q`il l`interesse, et pas ca qui interesse le journaux ou la famille. La presse doite etre libre, et moi aussi.
“il n’existe aucun pays industrialisé où la religion et la couleur de peau sont exigés pour construire une villa ou un appartement”. En tous cas le bourgmestre de Grimbergen (la fameuse bière belge) fait tout pour empêcher les francophones de s’installer dans sa ville…