Publié par Christian Larnet le 13 mai 2015

femme violée dreuz

Une jeune mère de famille violée découvre terrorisée que son violeur, multi-récidiviste, relâché de prison au bout de 6 mois, a été autorisé à habiter à 150 mètres de chez elle, à Croissy-Beaubourg, en Seine-et-Marne.

“Je vis dans la crainte, dans la peur. J’emmène mes enfants à l’école en espérant qu’il ne se passe rien, j’espère être en vie le soir” a expliqué la victime, Marilyne G, au micro d’Europe 1.

“Pour moi il faut changer la loi”, a-t-elle ajouté. “Il faudrait obliger les coupables à déménager, qu’il y ait un éloignement géographique systématique et automatique”

Comment a-t-elle osé ?

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Ne sait-elle pas que la ministre Christiane Taubira est trop occupée à médiatiser sa propre souffrance pour avoir le temps de s’intéresser au petit peuple ? Aux orties les femmes blanches violées ! Pas question de mettre les violeurs derrière les barreaux, ces bons soldats de la gauche révolutionnaire toujours en lutte contre la classe moyenne, ces nouveaux bourgeois.

“Non, je ne capitulerai pas !”, a déclaré ces jours-ci la ministre qui invente sa propre vie gramsciste de victime attaquée. “On peut multiplier [les attaques] par 100 0000″ je ne rendrai pas les armes”.

Les armes ? La gauche pacifique est armée et agressive ? Hypocrite gauche qui ne parvient plus à cacher ses vices lorsqu’elle sent sa fin approcher. Etrange ministre de la résistance à un racisme fabriqué.

Car Mme Taubira sait tourner le dos aux grands principes humanistes, lorsque le besoin l’impose. Souvenez-vous comment elle a – pour une lourde condamnation – découvert les vertus de la prison et fait condamner à 6 mois ferme une militante FN qui avait partagé sur Facebook une caricature d’elle.

“Je passe devant chez lui tous les jours pour aller à l’école, aller à la boulangerie, au centre commercial… Le bus de mon fils le dépose devant chez lui” lance Marilyne G., qui n’est hélas qu’une femme du peuple, méprisée par la gauche caviar, sourde à ses appels de détresse.

Voilà l’hypocrisie du combat soi-disant féministe : avez-vous entendu Caroline Fourest et les mouvements féministes dénoncer la garde des Sceaux ? Les Femen, le nom Taubira peint en lettres de sang en travers du corps, nues devant le Ministère de la justice ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

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