Pour la ministre Lise Thériault, les jeunes jihadistes du Québec rejoignent l’État Islamique pour « sauver des vies, sauver des enfants », et ils sont “animés par un esprit communautaire ».

Wouah ! Des enfants de chœur en quelque sorte.

Après la Suède qui décide de les réinsérer, de leurs offrir des logements, des aides sociales, des emplois, à leur retour de décapitation halal pour l’Etat islamique, les déclarations de la ministre font froid dans le dos.

Ce sont bien les pacifistes qui créent le malheur du monde par un angélisme qui laisse les mains libres aux criminels.

Si elle était ministre des paquerettes ou des papillons, on se dirait bon… mais ce qui inquiète, c’est qu’elle est ministre de la Sécurité Publique !

Rapelons que madame Thériault est en charge du dossier de la radicalisation des jeunes musulmans. Ca promet des décisions, hum … comment dirais-je avec humour pour dédramatiser… “pertinentes.”

Comme dit Richard Martineau dans Le Journal de Montréal : “Voilà une femme qui comprend les enjeux, les amis.” J’en reste muet, je croyais que la France avait le pompon de la betise politiquement correcte.

La ministre est sans doute si occupée à se repasser Bye Bye 2014 en boucle qu’elle n’a pas entendu que l’État islamique :

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• crucifie des enfants, les enterre vivants ou les décapite et expose leurs têtes au bout d’un pieu.
• Qu’ils capturent des femmes et des enfants et les vendent comme esclaves sexuels.
• Qu’ils utilisent des handicapés mentaux comme kamikazes.
• Qu’ils brûlent des prisonniers enfermés dans des cages, filment la scène et la diffusent sur Youtube.
• Qu’ils ligotent les mains des homosexuels et les jettent dans le vide du haut des immeubles.
• Qu’ils violent les femmes, les vendent aux enchères avec des étiquettes de prix accrochées à leur cou.
• Qu’ils violent des fillettes de neuf ans devant leurs parents, et des femmes devant leur mari.
• Qu’ils kidnappent des familles chrétiennes, forcent les parents à assister à la décapitation de leurs enfants.
• Qu’ils ont ordonné à trois frères de violer leur propre sœur. Le premier a refusé, ils lui ont tranché la tête. Le second a refusé, ils lui ont tranché la tête. Le troisième a accepté, et quand ce fut terminé, c’est la fille qu’ils ont décapitée.
• Qu’ils insèrent des bâtons électriques dans l’anus et dans le vagin de fillettes.
• Qu’ils violent des femmes, filment ces viols, puis envoient les vidéos aux familles.
• Et qu’ils vont même jusqu’à injecter des substances paralysantes dans les cuisses des femmes pour qu’elles cessent de gigoter quand ils les violent devant leurs enfants.

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Oui, le monde entier laisse faire ces monstruosités en toute bonne conscience – sauf quand ils risquent de détruire Palmyre dont ils viennent de prendre le contrôle (non, ils ne détruirons probablement pas Palmyre tout de suite car qu’ils sont pervers et aiment faire durer le supplice).

Oui, ces jeunes canadiens, européens, qui partent faire le djihad deviennent des monstres. Il faut appeler un chat un chat.

Croire qu’en franchissant la frontière au retour, ils redeviennent de bons citoyens obéissants relève du fantasme criminel.

Qu’un tel fantasme puisse naitre dans le cerveau d’une personne en charge de la sécurité publique suggèrerait dans un Etat de droit ou prime la morale qu’elle démissionne ou soit démissionnée. Même si elle présente des excuses, sa pensée a germée et elle dictera ses actions.

Ces jeunes québécois sont partis semer la mort, ce sont des terroristes, pas des “sauveurs d’enfants” où des désœuvrés madame la ministre.

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