Mise à jour :
L’éditeur nous précise que,
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- Le livre est préfacé par Alexandre del Valle.
- Une bande-annonce de présentation du livre a été réalisée :
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La haine antisémite et le djihadisme touchent la France, le pays des Lumières.
Attentats de janvier 2015 en France contre Charlie Hebdo, des policiers et des clients d’une supérette cacher, décapitation en Isère du patron du site d’Air Products, massacre de Tunisie, attaque prévue contre des Eglises à Villejuif : ces évènements ne sont pas tombés comme un coup de tonnerre dans un ciel serein.
Médias Djihad Antisémitisme ne cherche pas à établir des listes noires délatrices, non plus à désigner de façon comminatoire des responsables imaginaires, pas davantage à instruire des procès d’intention stériles.
Comme on le sait, “mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde” (Camus) ; aussi est-il nécessaire, et vite, de se poser les bonnes questions, de savoir ce que parler veut dire et de garantir les règles du débat contradictoire. Il devient urgent de présenter, dans les conflits, les limites imposées d’entrée de jeu à la négociation, dès lors que les parties ne mettent pas le même sens derrière les mêmes mots.
Quid, par exemple, de la charte définissant l’antisionisme comme catégorie collective de l’antisémitisme contre les droits des Juifs, État-nation et peuple (cette définition de travail – “working definition”* – a existé et a été supprimée du site des organismes contre la discrimination de l’UE) ?
Quid de l’application effective des chartes éthiques des journalistes, trop fréquemment négligées, à cause du caractère complexe du (ou des) conflits et de leurs perceptions équivoques ou approximatives ?
Quid, encore, du rapport Rufin (Chantier sur la lutte contre le racisme et l’antisémitisme), sorti le 19 octobre 2004 – et enterré depuis ?
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Promotion été 2015 :
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Car il y a des complaisances, des procédés de blanchiment d’idéologies nocives, une connivence qui fait parfois la courte échelle aux assassins.
C’est ce que démontre ce petit traité de désoccultation des ressorts psychologiques et idéologiques qui alimentent le terrorisme.
Sartre disait que les mots sont comme des « pistolets chargés ». Marc Brzustowski démontre que ce n’est pas au hasard que ces armes ont visé des cibles juives.
Marc Brzustowski, docteur en Sociologie et Sciences Sociales, titulaire d’un DEA sur les violences urbaines est l’auteur de “Daesh et Hamas, les deux visages du califat
En vente sur le site des éditions Valensin-David Reinharc : EditionsValensin.fr.
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