Incident peu banal à la piscine de Bréquigny, à Rennes. Un enfant de 10 ans a été interpellé par la police pour avoir menacé d’égorger un maitre nageur qui le réprimandait.
Lundi après-midi dans la piscine de Bréquigny. Un garçon de 10 se baigne en compagnie de ses deux grands frères. Selon des témoignages, le trio chahute un peu trop et un maître nageur intervient.
À partir de là, les choses s’enveniment. Le jeune garçon n’apprécie pas de se faire réprimander et, selon sa mère, encore moins que le maître nageur le saisisse par le bras. Il lui lance des insultes, le gratifie d’un doigt d’honneur et surtout le menace, de l’égorger en mimant le geste avec son doigt. Trop pour le maître nageur qui décide d’appeler la police. Toujours selon des témoignages, les incivilités se multiplieraient dans le bassin.
La police arrive sur place et interpelle le garçon pour l’amener à la brigade des mineurs au commissariat. « Ce sont ses grands frères qui m’ont prévenue, s’insurge sa maman. Quand j’ai reçu l’appel de la police, j’étais déjà rendue devant le commissariat de la Tour d’Auvergne. » Une maman qui ne cautionne pas le comportement de son enfant mais estime que faire intervenir la police nationale était disproportionné. « J’ai refusé qu’il soit auditionné. Il était en larmes et traumatisé. »
L’enfant est rentré chez lui et devrait faire l’objet d’une convocation ultérieure pour s’expliquer sur son comportement et ses gestes.
http://www.ouest-france.fr/faits-divers-rennes-10-ans-il-menace-degorger-le-maitre-nageur-3653364
© Gaïa pour www.Dreuz.info
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C’est une famille de musulmans ” modérés ” mais l’égorgement est une punition naturelle , et ce maître nageur est sûrement un mécréant .
Je ne suis pas d’accord avec la mère qui se contredit elle même : elle ne cautionne pas le comportement de son fils, mais refuse la sanction ! Voilà bien de la graine de terrorisme quasiment encouragée par la mère ! Honte à elle !
Il n’y a pas que les musulmans hélas, qui soutiennent leurs enfants dans des cas graves ! Voyez lors de l’incendie de Melun, le commissaire de cette ville qui a auditionné les 22 enfants, a trouvé qu’à leur âge, c’était difficile de se rendre compte de la gravité de ses actes ! Et l’âge de raison à 7 ans, alors, ça n’existe plus ?
Ce sont les parents qui doivent inculquer les notions de bien de mal, de respect de la personne, du bien public, de l’autorité etc. Et à Melun il y avait un enfant de 5 ans dans la bande : les parents ne se soucient-ils donc pas de ce que fait de ses journées leur très jeune enfant ?