Publié par Jean-Patrick Grumberg le 25 novembre 2015

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Deux terroristes qui ont participé aux attentats de Paris étaient infiltrés parmi les réfugiés. La France est incapable de savoir comment s’appelle le second.

Le gouvernement socialiste ne cherche pas tant à protéger sa population que ses principes. La racine de son idéologie, le communisme, a fait 100 millions de morts en 70 ans au nom du dogme. Son procès n’ayant jamais eu lieu, le coupable récidive contre le peuple européen.

Les réfugiés arrivent par milliers d’un Moyen Orient musulman largement hostile aux valeurs de l’Occident, et aucune administration ne possède les informations pour vérifier s’ils sont terroristes ou victimes – et pardonnez-moi de douter de la capacité des structures grecques, vu l’état de délabrement économique de leur pays, à valider le passé des migrants.

Même si l’UE avait l’intention sincère de trier entre migrants et combattants, elle ne dispose d’aucune base de donnée de leurs pays d’origine pour le faire et ne sait pas qui entre sur le sol européen. Un criminel porteur des papiers d’identité falsifiés d’un ingénieur décédé entrera sur le sol sans qu’aucune police européenne ne voit rien, faute de renseignements. Un djihadiste aussi.

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Malgré cela, la gauche européenne a décidé d’ignorer ceux qui nourrissent des préoccupations sécuritaires et d’en faire un sujet strictement moral – après s’être auto-déclaré en être l’unique défenseur.

Le débat, même s’il avait lieu, serait vicié. Les rares personnalités concernées par la sécurité des citoyens et le respect de leur identité se voient refuser ce droit et accusés de xénophobie. C’est le cas du président Viktor Orban, qui a été envoyé au goulag médiatique : il est presque tout seul à élever une voix discordante, mais même une seule voix discordante leur est insupportable, c’est encore de trop.

Au milieu des attentats, les gens inquiets de la migration incontrôlée sont par avance désignés comme appartenant au camp du mal, et se voient refuser jusqu’au droit d’exposer les motifs de leurs craintes.

Ce déferlement de réfugiés aura pourtant les mêmes conséquences que la marée montante sur le plus beau chateau de sable. Les yeux sont braqués sur la menace terroriste pendant qu’ils continuent à entrer.

Lorsqu’ils étudieront cette période inconsciente et folle, les historiens du futur pointeront du doigt les responsables : les idéologues de gauche pour qui la protection de la vie humaine ne doit pas s’imposer à la doctrine.

Aucun attentat ne les fera changer de ligne : 100 millions de morts n’y sont pas parvenus.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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