L’ancien responsable de la Commission britannique pour l’Egalité et les Droits de l’Homme a reconnu s’être trompé, quasi sur toute la ligne, sur l’immigration musulmane.

Dans un nouveau rapport accablant, Trevor Phillips, ex-immigrationniste patenté et directeur de la Commission des Droits de l’homme et de l’égalité (EHRC) dénonce l’intégration et la façon dont les adeptes de l’islam créent des nations à l’intérieur des nations.

Cet homme, qui vulgarisa le terme « islamophobie », revient de son idéal immigrationniste :

« Je pensais que les musulmans s’intégreraient à la Grande Bretagne.. J’avais tout faux ! Il y a une rupture entre eux et leurs compatriotes britanniques. »

Phillips, un ancien élu du Labor Party, qui fut également président de la Commission de 2003 à 2012, a présenté sur Channel 4, le mercredi 13 avril, un reportage, dont le thème était :

« Ce que les musulmans britanniques pensent réellement. »

Selon un sondage réalisé par l’institut ICM divulgué par le journal « The Times » avant l’émission :

• un musulman sur cinq n’est jamais entré dans une maison non musulmane ;
• 39% des musulmans, hommes et femmes confondus, pensent que la femme devrait toujours obéir à l’homme ;
• 31% des musulmans soutiennent le droit de l’homme à être polygame ;
• 52% des musulmans ne croient pas que l’homosexualité devrait être légalisée ;
• 23% des musulmans préconisent l’introduction de la charia, en lieu et place des lois britanniques ;

Ces résultats sont très révélateurs de l’état d’esprit des musulmans, non seulement en Grande Bretagne, mais partout en Occident. Et ils corroborent ceux d’autres études menées aux USA :

• 46 % des musulmans américains souhaitent des sanctions légales contre le blasphème et 12% recommandent même la peine de mort ;
• 58 % souhaitent l’abrogation du premier amendement garantissant la liberté d’expression et notamment la critique de l’islam ;
• 51 % des musulmans américains préféreraient avoir le choix d’être gouvernés selon la charia ;
• 60 % des musulmans américains de moins de trente ans ont déclaré au Pew Research, qu’ils sont plus loyaux envers l’islam qu’envers l’Amérique.

Les leaders et érudits musulmans les plus respectés d’Amérique préféreraient aussi vivre en théocratie et recommandent même le remplacement de la Constitution par le coran.

La cinquième colonne musulmane est en train de se former aux USA.

En Occident le mal est fait : elles sont déjà présentes et agissent de plus en plus ouvertement.

Evoquant ce sujet dans le journal « The Times », Phillips a admis que l’opinion libérale en Grande Bretagne a cru, pendant plus de deux décennies, que la plupart des musulmans allaient s’intégrer, comme d’autres migrants avant eux … Or, les migrants musulmans apportent avec eux leur propre système de société et de gouvernement régi par la loi d’Allah, la charia, ce qui empêche toute intégration dans leur société d’accueil.

« Les Britanniques veulent désespérément voir en leurs musulmans une version de Nadiya Hussain la grande gagnante voilée de l’émission « Great British Bake off », devenue la meilleure pâtissière de Grande Bretagne, ou l’athlète Mo Farah. Mais grâce à ce sondage, nous savons maintenant que la réalité est bien différente. »

En 1997, Trevor Philipps, l’immigrationniste le plus virulent d’Angleterre, commanda une étude “The Runnymede report” sur l’islamophobie en Grande Bretagne, ce mot devenu depuis synonyme de toute critique, légitime ou non, de l’islam et des musulmans.

En 2007, le journal du département d’anthropologie de l’université de Durham fit la constatation suivante :

‘Une décennie s’est écoulée depuis que la Commission, via son rapport « Islamophobie, un défi pour nous tous » (the Runnymede Report), fit prendre conscience de l’essor de l’hostilité anti-musulmane et du sentiment anti-islam en Grande Bretagne. Ce rapport propulsa le mot « islamophobie » dans le langage de tous les jours, et dans les discours publics et politiques. »

Pour Phillips, les résultats du sondage montrent le gouffre existant entre les musulmans et les non musulmans sur certains sujets comme le mariage pour tous, les relations entre les hommes et les femmes, la mixité dans les écoles, la liberté d’expression et la légitimité de la violence pour défendre l’islam.

Prudent, Phillips fit toutefois remarquer que si de nombreux musulmans en Grande Bretagne étaient reconnaissants et heureux d’y vivre, l’écart s’agrandissait, car de plus en plus de musulmans s’isolent eux-mêmes du reste de la société britannique.

« Ce n’est pas, comme si nous ne l’avions pas vu venir, mais nous avons échoué à détecter les signes annonciateurs.

Il y a vingt ans, je publiais un rapport intitulé « Islamophobie : un défi pour tous ! » Nous pensions, qu’il existait un risque réel de discrimination à l’encontre des communautés musulmanes. Et de fait, en 1996, un rapport fit état de nombreux incidents islamophobes. Mais nous avions tort sur presque tout le reste. »

Les déclarations de Phillips vont certainement choquer les islamophiles britanniques, toujours prêts à vilipender quiconque se sent concerné et inquiet par l’immigration musulmane et la non intégration d’une partie de ces “nouveaux ” britanniques.

En outre, cette prise de conscience de Phillips pourrait conforter les déclarations de Donald Trump, ce dernier proposant de ralentir momentanément l’immigration musulmane aux USA le temps de comprendre ce qui motive vraiment ceux qui veulent immigrer.

“Nous estimions que la population musulmane de Grande Bretagne approcherait les 2 millions en 2020. Nous l’avions sous-estimée d’environ 1 million.

Nous avions prédit que la menace la plus létale contre les musulmans proviendrait d’attaques racistes et de l’exclusion sociale. Nous avions complètement échoué à prévoir les conflits urbains de 2001, qui ravagèrent nos villes du nord. Et nous ne « rêvions » pas d’un 9/11, ni des atrocités de Madrid, de Paris, de Bruxelles, de Londres. »

« Pendant longtemps, j’ai aussi cru que les musulmans en Europe se comporteraient comme les précédentes vagues de migrants, qu’ils abandonneraient graduellement leurs coutumes ancestrales, qu’ils allègeraient leurs bagages religieux et culturel et s’intégreraient dans le paysage identitaire britannique.

J’avais tout faux. »

Et Phillips reconnaît que les scandales des gangs de violeurs, véritables plaies dans les villes à forte majorité musulmane, étaient bien le fait de musulmans et non de personnes « d’Asie », terme officiellement utilisé pour éviter de désigner et stigmatiser par là les musulmans.

« Le mépris pour les femmes blanches, de la part de certains musulmans, a été mis à jour par les récents scandales de Rotherham, d’Oxford, de Rochdale et autres villes. Ceci reflète un sexisme profondément ancré dans les communautés musulmanes britanniques. »

Les déclarations de Phillips résonnent comme une claque à la face de ces lâches qui nièrent les faits pendant des années : politiques, médias, police. Tétanisés par la crainte d’être traités d’islamophobes, de racistes, de xénophobes, ils n’hésitèrent pas à couvrir ces scandales et sacrifièrent les enfants britanniques au politiquement correct, les livrant, en détournant les yeux, entre les griffes des gangs musulmans.

“Certains de mes amis journalistes s’imaginent qu’avec le temps, les musulmans s’en sortiront. Ils ont tort ! » a déclaré Phillips. Et de blâmer les élites libérales, métropolitaines et les médias pour cet échec.

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« Ironiquement, les plus grands obstacles, auxquels nous faisons face maintenant en abordant ce thème de la croissance d’une nation dans la nation, ne sont pas créés par les musulmans britanniques. Nombreux sont les irresponsables qui, parmi nos distinguées élites politiques et médiatiques, refusent tout simplement de reconnaitre la vérité. Toute attitude indésirable est attribuée à la pauvreté et à l’aliénation dont souffre la population musulmane. »

Si certains musulmans, de plus en plus nombreux d’ailleurs, soutiennent l’extrémisme violent, c’est à cause des Américains, disent-ils comme excuse.

L’oppression des femmes, c’est une tradition culturelle, elle disparaîtra avec le temps, et cela n’a rien à voir avec le véritable visage de l’islam.

Même confrontés à une pile de preuves et à la crainte de la minorité libérale de musulmans britanniques, des gens importants et intelligents continuent à s’accrocher à la certitude que les musulmans britanniques finiront par comprendre que notre façon de vivre est la meilleure. Ils se trompent sur toute la ligne. »

En guise de solutions, Phillips propose :

• d’arrêter la progression des tribunaux de la charia, de les réglementer ;
• de veiller à ce que la gestion scolaire ne soit jamais confiée à un seul groupe minoritaire ;
• de s’assurer que les mosquées financées par des gouvernements étrangers comme l’Arabie saoudite de manière déguisée, soient forcées de réduire leur dépendance de leur mécènes wahhabites ;
• de mettre fin aux accords entre les politiciens locaux et les leaders musulmans : silence contre votes. Ce genre d’accord à la Ponce Pilate conduisit aux catastrophes de Rotherham et de Rochdale.

Les commentaires de Phillips rejoignent ceux du président tchèque et les études et sondages menées en Europe, révélant l’endurcissement et la fanatisation des musulmans sur le continent.

Plus le musulman est jeune, plus ses prises de position sont tranchées et suprématistes.

Peuples européens, écoutez la mise en garde de l’Evêque orthodoxe syrien Isa Gürbüz :

« Les musulmans sont là pour prendre le pouvoir.

D’ici 20 à 30 ans, il y aura une majorité musulmane en Europe. De plus en plus de femmes européennes porteront alors le hijab.

Cette prédiction ne vient pas de Michel Houellebecq ou de Thilo Sarrazin, mais de Dionysos Isa Gürbuz, l’Evêque orthodoxe syrien résidant en Suisse.

L’Evêque est traumatisé par la persécution des chrétiens au Moyen Orient. Dès lors pour lui, il est très urgent d’appeler à la vigilance, notamment les églises qui pratiquent le politiquement correct. (à commencer par le Vatican, qui vient d’accueillir « par hasard » trois familles de réfugiés musulmans … en oubliant les familles chrétiennes persécutées par les musulmans et les familles italiennes vivant dans la rue, en face de “centres d’accueil de luxe pour réfugiés». La charité médiatique, une spécialité du Pape François)

« Il serait naïf de croire que les millions de réfugiés arrivant en Europe via la Turquie s’adapteront et vivront dans l’harmonie et la paix avec les Chrétiens européens.

Parmi, les réfugiés, il a des terroristes.

Pourquoi les Etats du Golfe, les Emirats et le Qatar ne prennent-ils pas les réfugiés musulmans ? Parce que c’est dans leur agenda de convertir l’Europe à l’islam.”

Isa Gürbüz semble déjà voir Eurabia baignant dans le sang des infidèles :

« Par le jihad démographique, le nombre de musulmans croîtra très rapidement, ils prendront le pouvoir et commenceront les persécutions, comme ce fut toujours le cas par le passé.

Ce qui nous arrive aujourd’hui a commencé il y a 14 siècles. Les génocides des non musulmans débutèrent avec Mahomet au 7e siècle ; à l’époque, ce fut dans l’obscurité, à présent, ils se déroulent sous les projecteurs des médias et une quasi indifférence mondiale.

L’objectif de l’islam a toujours été le même : expulser les chrétiens du Moyen-Orient. L’esprit de terreur qui caractérise l’islam régnera aussi en Occident dans les années à venir, si rien n’est fait pour arrêter sa progression.

Ce qui motive aujourd’hui des milliers de musulmans à rejoindre les groupes des égorgeurs de l’Etat islamique, des talibans ou d’al-Qaïda est dans la continuité du génocide de 1915.

A cette époque, près de deux millions de chrétiens – Araméens, Syriens, Grecs orthodoxes – furent tués, des millions d’autres se convertirent à l’islam pour échapper à la mort. »

Si l’Evêque insiste pour dire qu’il n’appelle pas à la haine, il ajoute, toutefois, que les 14 siècles de persécutions islamiques à l’encontre des Chrétiens et des non musulmans lui ont appris à ne pas faire confiance aux musulmans. Et il est de moins en moins seul à partager cette pensée.

La grande duperie des maîtres à penser de l’Occident consiste à faire croire aux peuples que tous les musulmans installés dans nos pays, ayant soi disant bien intégré nos valeurs, rejettent la violence inhérente à l’islam et n’aspirent plus à soumettre les incroyants à l’islam. Pourtant, que ce soit par la ruse ou par le jihad guerrier, répandre l’islam est le devoir sacré de tout pieux musulman, exigé par Allah lui-même.

Or, les prêches incitant à la violence envers les non musulmans, les incitations à la haine des mécréants, le prosélytisme islamique, principalement financé par l’Arabie saoudite, le Qatar et l’Iran, des modèles en matière de démocratie et de tolérance, et les attaques islamistes meurtrières de ces dernières années toujours perpétrées par des musulmans « bien intégrés », brisent ce mythe.

Et gare à celui qui le conteste !

La police de la pensée, toute acquise à l’idéologie islamique, veille…

Les futures générations de non musulmans payeront le prix fort pour ce mensonge érigé en vérité absolue par les tristes sires qui nous gouvernent, déjà soumis corps et âmes à cette funeste « religion » de malheur.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources:

UK Equalities Chief Who Popularised The Term ‘Islamophobia’ Admits: ‘I Thought Muslims Would Blend into Britain… I Should Have Known Better,’ by Raheem Kassam, Breibart

“Meanwhile, an Islamic fifth column builds inside America” Paul Sperry, IBD.

“What is happening in the Middle East will happen in Europe” Tages Anzeiger/Jihad Watch