Publié par Jean-Patrick Grumberg le 26 avril 2016

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Il a été porté à notre attention qu’un élu a insulté la mémoire d’une des victimes de Mohamed Merah, et les médias refusent de dénoncer l’ignoble individu pour toute une série de mauvaises raisons.

Amin Ben Ali est un islamo-gauchiste, il est de la mouvance d’extrême gauche qui légitime le terrorisme. C’est un élu du Front de gauche.

Par sympathie politique pour les idées extrémistes de ce parti, par absence de courage (l’élu en question a un nom à consonance musulmane – et dans les médias, on ne blâme jamais les “minorités” fussent-elles des bourreaux), et par inversion des valeurs (les victimes sont les coupables et les criminels sont des victimes), les médias si prompts à lyncher toute personnalité de droite qui dérape, font la sourde oreille et regardent ailleurs.

Le double standard, le deux poids deux mesures qui révèle l’absence de moralité et d’honnêteté des journalistes vous dégoûte ? Bienvenue au club, nous sommes des millions dans ce cas, et sachez-le, ils n’ont pas le moindre état d’âme à cracher sur leurs propres valeurs.

Je me défend pas, je persiste est signe, dommage que son fils soit mort, mon RSA va baisser !

Albert Chennouf-Meyer est le père d’Abel Chennouf, l’un des militaires abattu par le terroriste Mohamed Merah à Montauban en 2012.

Comme si la douleur de perdre son fils n’était pas assez grande aux yeux d’Amin Ben Ali, co-responsable national des jeunes du Parti de Gauche, et conseiller municipal de Tullins, ce dernier a cherché à provoquer plus grande douleur encore, à la rendre insoutenable aux parents dont la vie est brisée, en se moquant de leur fils mort.

Ben Ali a-t-il des sympathies pour Mohamed Merah ?

Considère-t-il, comme ces jeunes qui ont fait de Merah leur héros, que le jihad est conforme aux préceptes d’Allah ?

Son mépris pour les victimes de l’islam radical le laisse penser :

 

Je me défend pas, je persiste est signe, dommage que son fils soit mort, mon RSA va baisser !
Je me défend pas, je persiste est signe, dommage que son fils soit mort, mon RSA va baisser !

Impuissant à obtenir justice, les médias refusant de mettre en cause l’immoral élu, Albert Chennouf-Meyer, le père du soldat froidement assassiné, n’a que seul recours de s’ouvrir au maire de Tullins et de s’en remettre à lui :

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A supposer – à supposer répétai-je, que le maire entende la douleur de ce père et ait un geste d’humanité, un geste d’empathie et de bon sens, et écarte l’élu indigne, je vous certifie qu’il trouvera au sein de son parti de nombreux soutiens – ceux-là même qui défilaient en janvier 2015 avec des petits panneaux Je suis Charlie pour dénoncer l’attentat. Oui, Ben Ali trouvera, au Front de gauche, assez de gens pour le soutenir, le défendre, et le traiter en héros, et cracher avec lui sur la mémoire des victimes de Mohamed Merah.

Et le soir, ils se regarderont dans la glace en pensant contempler un juste.

Triste humanité.

Pour ma part, je réitère aux parents des victimes de la barbarie islamiste qui cette fois prit le visage de Merah, mes profondes condoléances pour leurs pertes.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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