Le 25 mai dernier, l’Assemblée Nationale à Québec a adopté une résolution selon laquelle toute la partie 1 du projet de loi 59 qui portait sur le «discours haineux» est retirée.
Après plus de soixante heures de débat en commission parlementaire, la ministre de la Justice, Stéphanie Vallée, a retiré la partie du projet de loi 59 qui visait à contrer les discours incitant à la violence envers les groupes sexuels, ethniques ou religieux.
C’est une victoire pour les députés de l’opposition, particulièrement Agnès Maltais du Parti Québécois (PQ) et Nathalie Roy de la Coalition Avenir Québec (CAQ).
Mais c’est surtout la victoire de Fatima Houda-Pépin, une Québécoise arabo-musulmane d’origine marocaine, née à Meknès et diplômée en Science politique, de l’Université Mohamed V, qui avait quitté avec fracas le caucus libéral en janvier 2014 (à la veille d’une campagne électorale), en raison de ses différends profonds avec son chef Philippe Couillard sur la question de la Charte de la Laïcité proposée par le gouvernement péquiste, et sur la façon de traiter avec l’islam radical.
Depuis, l’ex-députée du Parti libéral du Québec (PLQ) pour la circonscription de La Pinière a inlassablement dénoncé la mollesse de son parti sur cette question.
La ministre Vallée a fini par baisser les bras devant l’opposition et la plupart des médias qui étaient vent debout devant ce projet de loi.
Nathalie Roy, députée de la CAQ a mis les points sur les «i» :
« Cette loi aurait dû cibler ceux qui causent les problèmes, ceux qui influencent les jeunes à un point tel que certains passent aux actes, et qu’ils quittent même le Québec et le Canada pour aller combattre en Syrie. (…) Le vrai problème qui a amené le gouvernement à légiférer était un problème directement créé par l’islam radical. Oui (…) j’ai dit le gros, gros mot, islam radical (…) ça prend du courage pour dire que le vrai problème, c’est l’islamisme radical. (…) le gouvernement n’a pas ce courage-là (…) Nous croyons qu’il est là, le problème, et qu’il faut absolument s’y attarder, poser de sérieuses questions et voir dans quelle mesure nous devrions contrer l’islamisme radical sur les terres du Québec» (citée par Poste de Veille)
- En septembre 2015, Fatima Houda-Pépin, ex-députée libérale, avait déclaré en commission parlementaire à propos du projet de loi 59 :
« (…) avec son projet de loi n° 59, le gouvernement libéral protège les islamistes radicaux au lieu de protéger la société contre eux.»
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- L’ancienne vice-présidente de l’Assemblée nationale, se disait estomaquée, devant le contenu du projet de loi visant à interdire le discours haineux et l’appel à la violence.
- « Les leaders islamistes radicaux veulent implanter la charia, la loi islamique, au Canada, et pour y arriver cherchent des protections juridiques supplémentaires comme celle qui leur serait accordée dans l’article 1 du projet de loi 59 », avait-elle déclaré.
- En septembre 2015, l’ex-députée de La Pinière avait fait publier une lettre dénonçant le fait que le Québec était devenu «le paradis» de l’islamisme radical, grâce aux garanties fournies par les chartes des droits.
La présence croissante au Québec de l’islamisme radical « est la conséquence tangible d’un endoctrinement idéologique systématique, fait dans l’indifférence générale depuis plus de 30 ans, quand l’Arabie saoudite a commencé l’envoi de ses imams de service », écrivait-elle en 2015.
La première partie de la loi 59 aurait donné des pouvoirs d’enquête à la Commission des droits de la personne pour identifier et sanctionner toute personne tenant un «discours haineux» envers un groupe particulier susceptible d’être stigmatisé, y inclus les organismes religieux.
C’est ce qui a fait dire à plusieurs intervenants entendus en commission parlementaire que le projet de loi allait limiter la liberté d’expression, en rendant suspecte toute critique des religions.
Mme Houda-Pépin avait martelé que « c’est ce discours-là (des islamistes radicaux) qu’il faudrait empêcher, parce qu’il est dangereux. Il faut le contrôler et non pas leur donner plus de moyens pour s’exprimer ».
Les Islamistes et leurs idiots utiles au Québec ont perdu une bataille. Personne ne sera dénoncé ou poursuivi pour avoir insulté l’Islam.
Mais la guerre est loin d’être finie, car encore faut-il se donner les moyens de lutter contre la radicalisation islamique, particulièrement chez les jeunes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Magali Marc (@magalimarc15) pour Dreuz.info.
c’est toujours mieux de traiter les problèmes avant, que de chercher de vains remèdes à des problèmes que l’on aura crées ou laisser s’installer, pour cela, ne suivez surtout pas les méthodes laxistes de la France, pour l’instant à cause de ces politicards gauche droite réunie, nous sommes dans l’impossibilité d’appeler un chat un chat, ce qui fait le beau jeux des extrémistes, des idiots utiles et des masses silencieuses mais néanmoins consentante de ces islamistes!!!
Les misilmons vont donc pouvoir continuer à proférer leurs discours haineux notamment envers les juifs mais les canadiens pourront leur répondre avec les mêmes armes sans être vilipendés. C’est ça la liberté !!!
C’est juste, à condition de pouvoir dire tout le mal que l’on pense de l’islam en tant que système politico-religieux sans être inquiété par la justice, ou menacé de mort par les islamistes… ce que n’a pas exactement fait cette politicienne, puisqu’elle a encore pris des précautions oratoires en parlant d’islam(isme) “radical”.
Il y a encore du chemin à faire, à la fois dans l’information des gens sur l’islam, et sur la liberté de penser et de parler.
Du reste, je remarque qu’au Québec comme ailleurs, les non-musulmans sont sur la défensive, et que ce sont les islamistes qui sont à l’offensive.
Le problème est que les discours pro-islam ne sont pas ne sont pas censurés …. bénéficiant de protections médiatiques et gouvernementales .
“N’oublions pas que c’est une religion d’amour….”
En revanche tous ceux qui les dénoncent sont interdits, taxés de racisme et traités de fachiste , et sont poursuivis….
C’est une sélection d’ouverture de gueule .
Cette politicienne s’est trouvée elle-même courageuse pour avoir dit “islamisme radical”.
Et pourtant, ce n’est pas de l’islamisme radical dont il s’agit, mais bien de l’islam radical.
Et en fait, même parler de l’islam radical n’a pas de sens ; car l’islam est un, indivisible, fondé sur le coran et les hadiths, ou il n’est pas.
Le seul vrai problème, c’est l’islam, système politico-mafieux totalitaire déguisé en religion.
Tant que nos politiciens n’auront pas le courage de le dire, nous reculerons encore et toujours, et nous préparons des lendemains encore plus difficiles.
J’avais un très bon copain qui se prénommait Mounir , c ‘était un très mauvais musulman !
Don Rodrigue, vous avez tout compris.
Jacques Ady: Vous avez raison, mais c’est quand même mieux de dire «islamisme radical» que de ne jamais prononcer le mot «islam» comme les politiciens européens …
C’est juste, nos dirigeants, Hollande en particulier, sont tombés plus bas que tout : ils servent de carpette aux islamistes.
Cela dit, il faut se battre sans relâche, et arrêter de faire des concessions pour ne pas “blesser” les musulmans.
Une semi-vérité est aussi un semi-mensonge, or seule la vérité libère, y compris les musulmans, du moins ceux qui souhaitent être libérés.
J’ai encore en tête le souvenir poignant de cette habitante de banlieue française, qui disait tout son désarroi, elle qui vivait à la française et souhaitait vraiment pouvoir continuer à le faire (une “mauvaise” musulmane, diraient certains), en constatant dans son quartier les résultats de l’aplaventrisme de nos dirigeants politiques devant les islamistes : elle se sentait trahie par NOUS, les Occidentaux, qui n’avons pas (nos politiciens en tout cas) le courage de nos valeurs démocratiques !
Et cela commence par les mots !
“mal nommer les choses ajoute aux malheurs du monde”
Bravo ! Vive le Canada Libre !
Bravo à cette dame, elle devrait venir en France donner des leçons à nos chers politiques:
Il ne faut pas oublier le travail extraordinaire d’Agnès Maltais, du Parti Québécois dans cette victoire. Il faut aussi savoir, pour les lecteurs des autres pays, que l’ordure qui contrôle le Québec, Philippe Couillard, a passé 4 an en Arabie saoudite pour en revenir l’esprit corrompu par les concepts de l’islam. Cet individu est excessivement dangereux pour la démocratie et la liberté d’expression, chez-nous, au Québec.
« Personne ne sera dénoncé ou poursuivi pour avoir insulté l’Islam. »
Merci Magali pour cette information positive du jour, même si elle ne concerne que le Québec ! C’est toujours rassurant de constater que les « coupeurs de langue » islamiques et leurs idiots utiles rencontrent de la résistance. Bravo à nos amis canadiens!
En Europe, par contre, nos « coupeurs de langue » de l’UE, sous la coupe de cette monstrueuse organisation islamique, qu’est l’OCI, oeuvrent à interdire toute critique de l’idéologie islamo-nazie, sous prétexte de lutter contre les discours de haine.
Selon ces illuminés, amoureux de la « religion » de guerre, d’intolérance et de haine, les critiques à l’encontre de l’islam et de l’immigration de masse suicidaire pour notre vieux continent, sont qualifiées de « discours de haine ». Mais, les prêches jihadistes, les appels à instaurer la charia, à islamiser l’Occident, etc. relèvent de la liberté d’expression, cette dernière étant toujours à sens unique, direction La Mecque.
Dès lors, dans sa grande sagesse, la commission européenne amoureuse de la si douce “Pax islamica”, mène une réflexion intensive avec les grandes plateformes en ligne sur un code de conduite pour combattre les discours haineux en ligne.
Elle présentera les fruits venimeux de cette réflexion à visée liberticide dans les prochaines semaines.
A l’avenir, si personne ne réagit, il sera sans l’ombre d’un doute interdit de dire :
« Il est tout à fait clair que les valeurs de l’islam et de la démocratie occidentale sont fondamentalement incompatibles, et, pour autant que nous souhaitions vivre en paix, il est indispensable que nous vivions chacun dans notre pays et que nous n’imposions pas à l’autre des valeurs antinomiques. L’islam, la liberté et la démocratie ne se mélangent pas. En Europe il y aura soit la liberté et la démocratie, soit l’islam. L’un ou l’autre. Il n’y a pas d’entre-deux. »
Notre seul espoir d’éviter de devenir des citoyens muselés de seconde ou tierce zone dans nos propres pays, c’est de soutenir les femmes et hommes politiques islamolucides, patriotes, fiers de leur histoire, de leur identité.
Des petits pas pour remonter une par une les marches de nos libertés..
Et il faudra bien, interdire les aides aux femmes voilées et hommes en babouche, car cela veut dire qu’ils ne veulent pas s’intégrer. Et arrêter de nous surtaxer d’impôts pour des gens qui ne veulent pas s’intégrer.
I havé a dream ! Un gvt Européen qui légifèrerai pour interdire l’islam politique, car l’islam est le parti politique de l’oumma !
Comme quoi il ne faut pas lâcher. Reste maintenant à enlever la prépondérance du religieux dans les chartes des droits et libertés!
Ouf il était moins une !
Se battre pour empêcher l’islam de nous détruire par des lois iniques, comme dans ce cas-ci, est certes une victoire, mais …
Mais faut arrêter le délire, comment est-il possible d’assister à de tels dérives imposées par les ennemis avérés de la liberté.
Encore une fois islam et socialisme, même combat : négation de la liberté individuelle et revendication du collectivisme le plus abject comme modèle.
Vraiment cela me désole de voir les “démocraties” sauvées du bout des lèvres par de rares individus lucides. Cela n’augure rien de bon. Trop d’énergie pour un résultat somme toute bien faible.
A quand le vrai débat et la mise en accusation de l’islam et non plus de ses opposants ?