Voilà qu’un imam brise un mythe si cher aux islamophiles. A quand des poursuites à l’encontre de cet imam pour mensonge et incitation à la haine ?

« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés. » Sourate 9 :29

Lors d’une série de conférences sur le jihad en 2015, Sabah Shabr, imam irakien chiite, discuta de la manière dont l’islam se propagea. Il confirma que la seule vraie religion, celle d’Allah, se répandit par l’épée. Il fustigea les musulmans qui essayent d’apaiser les Juifs et les Chrétiens en niant ce fait historique et réaffirma que l’islam doit être répandu par l’épée. La série complète des conférences fut postée sur YouTube et dédiée à l’ayatollah Sistani, personnalité politique influente en Irak depuis le renversement du gouvernement de Saddam Hussein.

Nos grands savants de l’islam, le Pape François, Barack Obama, Hillary Clinton, John Kerry, Anglea Merkel, David Cameron, Schulz, Mogherini, Hollande, Valls, etc. doivent absolument expliquer à cet imam chiite qu’il n’a absolument rien, mais alors rien compris à cette grande religion de paix qu’est l’islam.

Traduction :

« La plupart des pays musulmans furent conquis violemment par la force. Rares furent les pays conquis autrement.

Les gens de Médine se convertirent volontairement à l’islam. Quand le prophète fit son hijra (émigration ) vers cette ville, l’islam y régnait déjà. Médine ne fut pas conquise par la force, mais La Mecque oui, de même, l’Irak l’Iran, l’Egypte, la Turquie et les pays d’Afrique du nord.

La plupart des pays aujourd’hui islamiques furent conquis par la force, par le combat.

Certains affirment que l’islam s’est répandu par l’épée. Ils ont raison ! C’est vrai. L’islam s’est répandu par l’épée. Et alors ! L’islam, la seule vraie religion, celle d’Allah doit être répandu par l’épée, par la force. Si vous ne pouvez parler aux gens pour les convertir à l’islam, ils doivent être convertis par l’épée.

Tel est le commandement d’Allah ! Toute cette flagornerie n’est pas nécessaire, ni ces tentatives d’apaisement des Juifs et des Chrétiens, dans le but de leur faire croire, que l’islam ne s’est pas réellement répandu par l’épée… que nous n’avions pas d’autre choix.

Ce n’est pas qu’ils n’avaient pas d’autre choix. Ils conquirent ces pays aujourd’hui islamiques par la force, car c’est notre devoir selon la charia. C’est le jihad volontaire.

Que signifie le jihad volontaire ?

Que les armées islamiques marchent sur les terres des infidèles et leur proposent de se convertir à l’islam.

S’ils acceptent de devenir musulmans, c’est bien. Les Gens du Livre – les Juifs et les Chrétiens – doivent payer l’impôt de la capitation, la jizya, S’ils refusent, ils seront combattus.

S’ils n’appartiennent pas aux Gens du Livre, ils n’auront même pas cette chance de payer la jizya : soit ils se convertissent, soit ils sont tués. Il n’ y a rien de mal à cela !

Que l’islam se répande par l’épée !

Il n’y a rien de mal à ce que la religion d’ Allah soit répandue par l’épée !

Les Chrétiens et les Juifs, qui vivent dans les pays musulmans, doivent payer l’impôt, annuellement mais on peut leur demander de le payer mensuellement ou tous les six mois. Ils payent suivant leurs possibilités financières, mais ils doivent payer, car ils ne peuvent vivre dans les pays musulmans gratuitement. »

Quelle générosité ! J’en suis toute éblouie !

Par contre, les musulmans, les “Uebermensch” peuvent vivre dans les pays des infidèles gratuitement, c’est leur droit le plus strict. N’appartiennent-ils pas à la meilleure communauté qui soit, selon Allah ?

Dans la vidéo ci-dessous, un musulman reconnaissant, chaleureusement accueilli dans ce petit paradis que fut autrefois la Suède, exprime sans langue de bois tout son amour pour les mécréants suédois et son soutien à l’EI :

Le discours, franc et net de l’imam chiite sur la propagation de l’islam par la violence, à la pointe du sabre, ne vient-il pas contredire la légende préférée de nos élites occidentales : l’islam n’a jamais été violent, le christianisme par contre, quelle horreur !

Parler de la propagation de l’islam sans mentionner la violence, la terreur, l’horreur qui l’accompagnaient, c’est la réécriture mensongère de l’histoire des conquêtes islamiques, et ce afin de complaire aux organisations musulmanes financées par les l’Arabie saoudite, le Qatar et autres monarchies du Golfe.

Au lieu de s’assurer que nos enfants acquièrent de meilleures connaissances en mathématiques, en sciences, en littérature, en lecture, en grammaire, nos élites veillent à ce qu’ils soient sournoisement endoctrinés par une propagande mensongère – véritable inversion de la réalité historique – sur les bienfaits apportés par l’islam à l’humanité, ses conquêtes pacifiques, sans verser une seule goutte de sang, une rose à la pointe du sabre et une colombe de la paix sur l’épaule. Un véritable conte des Mille et une nuits.

Tandis que les dirigeants occidentaux n’arrêtent pas de se culpabiliser et de demander pardon aux Arabo-musulmans et aux Africains pour des évènements du passé et à venir, la Turquie d’Erdogan, fière de son histoire pourtant sanglante, vient de commémorer avec faste le 563e anniversaire de la chute de Constantinople en 1453.

Imaginez la colère du Sultan d’Ankara et ses protestations virulentes, assorties de chantage et de menaces d’inonder l’Europe de clandestins, si l’Occident, redevenu par miracle fier de son passé, décidait de célébrer avec pompe :

• La défaite du Sultan Soliman le Magnifique au siège de Vienne en 1529 ;

(Les Turcs éprouvaient une sainte terreur des épées à deux mains utilisées par les Chrétiens lors du siège de Vienne en 1529, qui partageaient sans effort un homme en deux.)

• La destruction de la flotte ottomane en 1571 à Lépante par la flotte de la coalition chrétienne ;
• La défaite des Ottomans de Kara Mustafa Pacha, Grand Vizir du Sultan Mehmet IV, lors de la bataille de Vienne en 1683, par l’armé chrétienne, commandée par le roi de Pologne, Jean Sobieski III et le duc Charles de Lorraine.

« S’adressant à ses troupes avant le combat, Sobieski leur dit : « Nous n’avons pas qu’une ville à sauver, mais l’ensemble du monde chrétien, et Vienne est son rempart. C’est une guerre sainte. »

Roi Sobieski, l’ensemble du monde chrétien est à nouveau en danger et cette fois-ci avec la complicité de nos dirigeants, à la botte du nouveau sultan ottoman : Erdogan 1^er le mégalomane et grand maître-chanteur.

L’une des façons de combattre avec succès le fléau qui menace le monde encore libre est d’informer les gens sur les objectifs du totalitarisme islamique et empêcher que sa perversion ne soit gravée dans l’esprit de nos enfants dans les écoles publiques.

Malheureusement, aux USA comme en Occident, la réécriture de l’Histoire de nos pays à la lumière glauque de l’islam s’accélère. On présente les conquêtes musulmanes de manière totalement biaisée, tout en accusant le Christianisme des pires atrocités.

Dans les pays musulmans, les conquêtes musulmanes sont non seulement enseignées avec fierté dans les écoles, mais glorifiées, comme une preuve qu’Allah était du côté des musulmans et le sera à nouveau, aussi longtemps que les musulmans accompliront leur mission de mener le jihad contre les infidèles.

Dans nos écoles, on supprime des pans entiers de notre histoire et nos symboles religieux, pour ne pas heurter la sensibilité des nouveaux Européens.

On impose aux élèves une histoire de l’islam édulcorée, à la confiture à la rose. On laisse croire que la plupart des peuples se convertirent à l’islam par la douceur, grâce, entre autres, aux contacts pacifiques avec des marchands et qu’ils répondirent à l’appel de cette si belle et douce religion avec un enthousiasme vivifiant.

Inviter des musulmans dans les écoles pour parler de l’islam aux étudiants ne relève pas de l’éducation, mais du prosélytisme et de la propagande mensongère islamique, dans le seul but de blanchir la véritable histoire des conquêtes islamiques : 270 millions de victimes au cours d’un millénaire de guerres au nom d’Allah, appropriation de terres, nettoyages ethniques, annihilations culturelles et historiques des pays conquis, esclavage des Noirs d’Afrique.

Aux USA, le Département d’Etat appelle les éducateurs à inclure l’étude de l’islam dans le programme afin de faire cesser le harcèlement des étudiants musulmans. Or selon les statistiques du FBI, les étudiants juifs sont les premières victimes de harcèlement de la part des … étudiants musulmans.

Ainsi, les écoles publiques aux USA permettent aux membres du CAIR de donner des conférences aux étudiants sur l’islam. Ces conférences ne mentionnent jamais la déshumanisation systématique des femmes , les crimes d’honneur, les amputations, les pendaisons des homosexuels, les mutilations génitales des femmes, les mariages forcés des petites filles, la permission de battre sa femme et autres douceurs inhérentes à l’islam.

Les écoles publiques, quasi exclusivement dirigées par les gauchistes, abhorrent tout symbole religieux ou discussions sur les religions, à l’exception de l’islam.

Les enfants sont endoctrinés par la propagande islamique sans même le réaliser. De nombreuses écoles utilisent des livres révisionnistes financés par l’Arabie saoudite, encensant l’islam et condamnant le Christianisme. Certains livres « historiques » affirment même que les musulmans ont découvert l’Amérique et qu’ils font partie de l’histoire américaine depuis 400 ans ! Mensonges repris par Obama dans ses discours magnifiant l’islam et l’énorme contribution des musulmans américains au développement des USA.

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En 2003, des parents d’élèves intentèrent un procès à une école, en Californie du Nord, suite à l’application d’un programme intitulé « Islam : une simulation de l’histoire islamique et de sa culture, 610-1100 » . Les étudiants devaient simuler le jihad guerrier contre les Croisés chrétiens et autres infidèles. Après chaque victoire, les faux jihadistes louaient Allah.

Les étudiants étaient priés de devenir musulmans pendant trois semaine. Ils devaient se choisir un prénom musulman, réciter des prières islamiques, y compris la chahada, profession de foi musulmane :

« أشهد أن لآ إلَـهَ اِلا الله وأشهد أن محمدا رسول الله (ašhadu an lâ ilâha illa-llâh, wa-ašhadu anna muḥammad^an rasûlu-llâh), ‘ J’atteste qu’il n’y a de divinité digne d’adoration qu’Allah et j’atteste que Mouhammad est le messager d’Allah”

Ils devaient participer à des pèlerinages imaginaires à La Mecque, jeûner lors du lunch pour simuler le jeûne des musulmans pendant le ramadan, porter des habits musulmans traditionnels et réciter l’incantation : « Allah est le plus grand ». ( Source : « The case was Eklund v. Byron Union Sch. Dist »)

La plainte des parents fut rejetée par la Cour Suprême en 2006, estimant que ce programme éducatif ne violait pas “l’Establishment Clause” du Premier Amendement ! Apprendre aux enfants à devenir musulmans dans une école publique ne serait donc pas du prosélytisme, ni du favoritisme à l’égard d’une religion par rapport à une autre, mais juste une façon ludique d’éduquer les élèves aux plus grandes civilisations et religions du monde.

A noter, que seul l’islam bénéficie de cette approche “éducative” !

on enseigne l’interprétation soufi du mot jihad, qui signifie « une lutte spirituelle contre ses propres vices ». Mais les Soufis représentent un pour cent du monde islamique et sont souvent considérés comme des hérétiques par les autres musulmans.

En Occident, on adore dissimuler la manière violente dont l’islam s’est répandu.

Le mot jihad a toujours signifié au cours des siècles « guerre sainte » au nom de l’islam, or, depuis quelques années, on enseigne aux étudiants américains l’interprétation soufi du mot jihad, qui signifie « une lutte spirituelle contre ses propres vices ». Mais les Soufis représentent un pour cent du monde islamique et sont souvent considérés comme des hérétiques par les autres musulmans.

S’opposant à cette version soufi du jihad, la vénérable « Encyclopaedia of Islam » affirme :

« La propagation de l’islam par les armes est un devoir religieux, qui incombe à tous les musulmans. Le jihad doit se poursuivre jusqu’à ce que le monde entier soit soumis à la charia. L’islam doit régner sur toute la terre, avant que la doctrine du jihad puisse être éliminée ».

Les manuels juridiques musulmans écrits en arabe sont encore plus explicites.

Les conquêtes islamiques relatées dans les récits musulmans reflètent la concrétisation des obligations doctrinales des textes théologiques islamiques : le coran et les hadiths. Les historiens musulmans justifient les invasions islamiques en se référant aux injonctions jihadistes citées dans le coran et les hadiths.

Pour les musulmans, les conquêtes islamiques sont vues comme des actes d’altruisme : elles permirent aux pays conquis de s’ouvrir à la lumière de l’islam, qui guida ses habitants infidèles vers la seule et unique vraie religion : l’islam.

Dès lors, mener le jihad contre les non musulmans, afin qu’ils se convertissent à l’islam et soient ainsi sauvés de la damnation éternelle, ce n’est pas par esprit de conquête, non, mais par générosité et altruisme. En d’autres termes, le jihad offensif et son cortège d’horreurs est la mission sacrée confiée à chaque musulman par Allah le Miséricordieux pour le salut des mécréants.

Les musulmans ne doivent ni regretter, encore moins s’excuser pour les conquêtes du passé, elles le furent pour le bien des peuples soumis, les ancêtres de nos musulmans d’aujourd’hui.

Si les épisodes peu glorieux du passé de l’histoire chrétienne occidentale, comme l’inquisition ou la conquête des Amériques par les Conquistadors, sont régulièrement enseignés dans les écoles publiques, sans se soucier de heurter une quelconque sensibilité, les conquêtes barbares et sanglantes musulmanes ne devraient-elles pas également figurer dans les cours d’histoire, sans excuse ni crainte d’être politiquement incorrect ?

Car, l’histoire se répète et l’ignorer ou la blanchir ne sert à rien. Tôt ou tard, la vérité remonte à la surface.

« Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre. » Winston Churchil.

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