Wolfgang Schäuble, le puissant ministre allemand des finances – dont l’expression lugubre et menaçante du visage sur la photo préfigure l’avenir radieux qu’il nous concocte avec ses amis européistes – a déclaré au journal « Zeit » :
« Si l’Europe se ferme à l’immigration, ce sera la fin. L’isolement nous fera dégénérer dans la consanguinité. Les migrants islamiques, en Allemagne, par exemple, apportent un enrichissement à notre diversité et un potentiel innovant pour la société allemande ».
Argument fallacieux, car les peuples européens de souche sont suffisamment diversifiés pour éviter des problèmes de consanguinité. Rien n’arrête ces fossoyeurs eurocrates pour imposer aux peuples européens leur folle politique de substitution de population, même le mensonge le plus éhonté, le plus ignoble.
Ce puissant ministre allemand semble ignorer que ce sont les migrants islamiques qui apportent chez nous leurs problèmes de consanguinité.
Les mariages consanguins sont fréquents au sein des populations originaires d’Afrique orientale, du Moyen-Orient, du Pakistan et du Bangladesh.
En Grande-Bretagne, plus de 50% des Britanniques d’origine pakistanaise épousent leurs cousins. A Bradford, la proportion est de 75 %. Les enfants de cousins germains risquent dix fois plus que les autres de naître avec des maladies génétiques. Le tiers des enfants atteints de maladies génétiques récessives rares sont issus de la communauté pakistanaise. Ils ne constituent pourtant que 1,5 % de la population. Pour ces personnes, toute remise en cause de cette pratique est une attaque contre leur communauté ou, pire encore, contre l’islam.
C’est un problème majeur de santé publique, qui a des répercussions énormes sur les autres services et coûte plusieurs millions de livres au NHS (système d’assurance santé public).
Mais la peur d’être accusé de racisme empêche toute prévention !
Ce représentant de l’Eurocratie n’est pas le premier à s’être exprimé en termes « biologiques » en faveur de l’immigration, dévoilant ainsi très clairement le racisme anti-européen qui domine la pensée de l’élite mondialiste.
Le 17 décembre 2008, Nicolas Sarkozy prôna également le “métissage” et la “diversité” pour éviter à la France les risques de consanguinité :
« L’objectif, c’est relever le défi du métissage. Défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. En relevant le défi du métissage, la France est fidèle à son histoire. D’ailleurs, c’est la consanguinité qui a toujours provoqué la fin des civilisations et des sociétés. La France a toujours été, au cours des siècles, métissée.»
Le donneur de leçon s’est métissé avec … une Européenne italienne !
L’Europe et les peuples européens représentent déjà un ensemble de diversités non seulement ethniques, mais aussi culturelles et linguistiques. Diversités qui ont un dénominateur commun, dicté par la mémoire historique et par une identité stratifiée, qui découle de leurs racines judéo-chrétiennes communes, dans le patrimoine de l’héritage gréco-romain et dans le parcours douloureux de la modernité du siècle des lumières.
Par contre, l’islam ne fait pas partie de l’Europe et ce qui est en train de se passer est une expérience de laboratoire social dont l’objectif sacré est de remplacer les peuples européens par des masses de migrants, porteurs d’identités différentes et conflictuelles par rapport à celles des pays hôtes.
Les paroles de Schäuble confirment ce que nous soupçonnons depuis longtemps : l’exode massif des migrants vers l’Europe depuis de nombreuses années n’est pas dû à une conjoncture fortuite, encore moins au hasard. Il est le résultat d’une politique délibérée, planifiée par les européistes des gouvernements et la Commission européenne. Lois et réglementations ont été élaborées afin de transformer l’Europe en une vaste zone d’accueil sans frontières, ouverte à tous les migrants du Tiers-monde, attirés par le plus formidable des aimants : la distribution de généreuses aides sociales à quiconque pose le pied sur le sol européen, au détriment des Européens.
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Moins de la moitié ce ceux qui arrivent en Europe illégalement sont de vrais réfugiés. L’immigration de masse est un plan préétabli, voulu par l’élite internationaliste, dans le but de créer une Europe hybride, privée de racines, d’identité, d’histoire, habitée par des masses indifférenciées.
Génocide par substitution des peuples européens
Il s’agit bien d’une migration de remplacement et non d’un fantasme, n’en déplaise aux partisans aveugles d’une Europe sans frontières, soutenus par le maléfique George Soros, un fléau de l’humanité, à l’instar de l’islam.
Ce processus de rapide érosion des populations européennes d’origine et leur remplacement par les populations immigrées n’est pas issu de nulle part. Cette politique, qui va aboutir à la mise en minorité de la population chrétienne ou traditionnelle de l’Europe, fut décidée à New York à l’ONU et à Bruxelles à l’UE.Il suffit de se référer à ce document de l’ONU : « Nouveau rapport sur les migrations de remplacement publié par la Division de la population des Nations Unies » pour le comprendre.
A la fin de la décennie 1990-2000, l’ONU recommandait une « importation » d’immigrés à hauteur de 4,5 millions d’individus par an, sachant que les populations déjà présentes d’origine immigrée aidaient les « Européens de souche » à améliorer leur fécondité. Curieusement, le chiffre est passé au cours de cette décennie à 13,5 millions par an. A ce rythme, les mêmes experts prévoient qu’en 2050, certains pays passeront le cap de la moitié (ou presque) de la population d’origine immigrée. Ce qui signifie que les grandes métropoles européennes n’auront bientôt plus de chrétiens que leurs monuments et leurs cimetières (s’ils ne sont pas détruits d’ici là). Ces derniers étant les seuls endroits où les « blancs » seront majoritaires.
Ce processus de désintégration de l’identité européenne, maintenant lancé, est irréversible.
Ida Magli, dans son livre « Contro l’Europa » l’a clairement expliqué :
« La baisse de la population européenne augmentera et ne diminuera pas avec l’arrivée de personnes dont nous percevons le danger de la domination future ( … ) Les enfants transmettent le nom, la langue, la religion, l’identité des parents, puis celle du groupe . Mais en enlevant tout cela à partir de l’identité européenne, la conclusion est incontournable : Nous n’ avons pas d’avenir et il est donc inutile d’avoir des enfants … »
Un crime contre l’humanité
Les paroles racistes de Schäuble font écho aux déclarations de nombreux représentants de l’Eurocratie. Il suffit de se rappeler celle de Laura Boldrini, la présidente de la Chambre italienne, qui affirma :
« Les migrants représentent l’avant-garde de la globalisation, ils sont l’avant-garde d’un mode de vie, qui bientôt sera notre style de vie. »
Ces mots ne décrivent pas une théorie inconsistante, mais dessinent le cadre d’un projet précis dûment planifié.
La destruction de l’identité des peuples européens doit être considérée comme un crime contre l’humanité. Ces européistes irresponsables, exécuteurs d’une dictature impitoyable, qui sont en train d’effacer tout ce que nous sommes, devraient être traduits devant le tribunal de l’histoire, afin d’y être jugés pour crime contre l’humanité.
Notre Europe, façonnée au cours des siècles par nos ancêtres dans la joie et la souffrance est si belle, ne la laissons pas la détruire par ces utopistes dangereux, dont la vision d’une Europe nouvelle à majorité musulmane entraînera nos peuples vers l’abîme.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Sources : « Il razzismo degli eurocrati » Giampaolo Rossi – Il Giornale.it ( traduit et adapté par Rosaly)/ “The greatest taboo: One woman lifts the lid on n the tragic genetic consequences of when first cousins marry) par Tazeen AhmadIl
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Dégénérer dans la consanguinité , non mais ça devrait pas être permis de déblatérer des conneries pareilles , et la Musulmanie arabique , elle va pas dégénérer peut-être ?
@jecriej’écris… Mais non! C’est déjà fait .
Rosaly Sarko en parlant de lui-même je suis un sang mêlé ! Purée ça fait plus de 4 ans qu’il n’est plus président mais qu’importe on en remet une couche, la super campagne menée par la gauche et reprise par le FN nous a pondu un nullard , tricheur , incompétent, menteur etc etc … peu importe on continue tout droit tant pis si on va direct dans le mur !
hier soir en zappant , j’ai regardé l’invité de Ruquier quelques minutes , peut-être 5 ou 6 en (un exploit me concernant) 5 ou 6 minutes il a répété 2 fois le nom de Sarkozy. Faut-il que ça décoiffe un certains nombres d’individus ………………………………….
celle-là aussi obsession quand tu nous tiens :
Marine Le Pen était au rendez-vous, ce dimanche sur France 3. Elle n’a pas manqué de brocarder les principales figures attendues en campagne pour la primaire du parti Les Républicains fixée en septembre 2016.
Sur Alain Juppé d’abord : “il est le symbole de l’UMPS” a-t-elle rappelé d’entrée de jeu, “en ce sens qu’il a d’ores et déjà indiqué qu’il s’ouvrirait au Parti socialiste pour gouverner avec lui”, a-t-elle ajouté.
Sur Nicolas Sarkozy ensuite, Mme Le Pen estime qu’il incarne “une véritable caricature.
Entendre Nicolas Sarkozy venir parler de souveraineté quand il est le responsable de la trahison du traité de Lisbonne”, qui a remplacé la Constitution européenne en 2007 sans referendum, pourtant voulu par une majorité de citoyens européens sont les Français.
Avant d’ajouter : “Venir l’entendre parler des racines chrétiennes (de la France, ndlr) et du refus communautarisme alors qu’il a installé le Conseil français du culte musulman et qu’il l’a offert à l’UOIF, c’est-à-dire les fondamentalistes précisément en question”.
“Je crois que plus personne aujourd’hui ne croit à la sincérité de Nicolas Sarkozy”, a-t-elle conclu sur le plateau de France 3 le 12 juin. Voilà pour ses deux adversaires potentiels dans la course aux Présidentielles 2017.
Enfin, Marine Le Pen a estimé que le mot laïcité et l’évocation des “racines chrétiennes” de la France étaient “parfaitement compatibles”.
vu sur France TV Info
Read more at http://www.atlantico.fr/pepitesvideo/marine-pen-nicolas-sarkozy-c-est-veritable-caricature-2732011.html#dold2j9zS5qTy0rH.99
un autre exemple qui nie la propagande anti Sarko
“Sarkozy «attise le feu» contre les musulmans (n°2 du CFCM)
N.Sarkozy a raison n’en déplaise à ce monsieur qui devrait comparer la tolérance accordée aux chrétiens et aux juifs dans son pays d’origine ……et celle accordée aux musulmans en France !”
le Figaro
Ne vous faites pas trop de mouron pour le grand remplacement car la 3ème guerre mondiale viendra ratiboiser les plans des eurocrottes et cie !
A lire votre article, Madame, je ressens les propos de Schäuble comme étant peu différents de ceux des nazis qui concevaient une hiérarchie entre les races; ce qui revenait à éliminer celles jugées inférieures.
Ainsi fut fait, concernant les Juifs, les Tziganes, etc…
L’on voit , chez ces eurocrates criminels, une obsession de la race, à l’envers, si je puis dire.
Cette fois, il n’y a PAS DE REJET EVIDENT DES NOIRS, des Juifs ou des Arabes;
c’est pire: il y a la volonté pernicieuse de noyer les populations européennes dans un flux démographique impossible à contenir, en provenance d’Afrique, du Pakistan et autres zones littéralement aimantées par l’Occident, afin d’en faire un magma sans identité, sans âme.
Seule, sera préservée de cette noyade, l’élite qui n’aura eu garde de se métisser.
Aldous HUXLEY, dans “LE MEILLEUR DES MONDES”, avait pris un peu d’avance.
Je prépare une question, Madame, à soumettre, par le biais de mon élu d’arrondissement, aux candidats de l’opposition, pour leurs primaires.
Faudrait voir à ne pas prendre les gens pour des cons, la plupart des énergumènes qui font de la propagande pour le métissage arabo-musulman ne sont pas mariés avec des fatoumata babongo ou des toufik boulaouane issus d’la té-ci.
La photo qui illustre cet excellent article fiche la trouille, on dirait nosferatu ou alors ce vieux con fridolin souffre de constipation chronique.
sur qu’en France quelqu’un sur une chaise roulante n’aurait aucune chance de tenir un poste de responsabilité !
C’est dégoutant et répugnant la sale propagande a la Goebell que ces individus sortent pour terroriser les européens et les forcer a accepter l’islamisation de l’europe
Ce sont des traitres collabos de l’islam qui n’hésitent pas un instant a utiliser le terrorisme psychologique comme arme de destruction massive des cerveaux
À voir la tête de Schäuble je ne lui donne pas tout à fait tort. Il est manifestement le résultat d’un mariage consanguin et il doit en souffrir le pauvre. Il doit en vouloir à son père d’avoir épousé sa sœur. Donc il ne faut pas trop lui en vouloir pour ses propos débiles :o).
Quand on voit la gueule de Wolfgang Schäuble, on comprend que ces eurocrates veuillent des immigrés venus d’un autre pays que l’Allemagne….
Ce type est fou à lier.
” L’isolement nous fera dégénérer dans la consanguinité.” Rester isolé entre 500 millions d’habitants, oui Monsieur.
“un potentiel innovant pour la société allemande ” Et cette façon écœurante de parler des sociétés et des nations comme des entreprises et autres entités purement économiques, me donne la gerbe.
Je n’arrive même pas a trouver des mots pour exprimer le dégoût que j’ai pour ces gens et qui parle comme lui et surtout pour ce ministre avec sa gueule de croque mort lugubre
A propos de métissage , un excellent article du Fig ce WE nous explique le pourquoi du comment :
FIGAROVOX/ENTRETIEN – L’islam et sa place dans la société française suscitent débats et interrogations. «Il faut faire avec les musulmans ce que Napoléon a fait avec les juifs», entend-on souvent. Mais qu’a fait exactement Napoléon ?
Grand historien de la Révolution française et de l’Empire, Patrice Gueniffey, ancien élève de François Furet, est directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Il explique comment l’Empereur a accompli politiquement le vœu de Clermont-Tonnerre en 1789: «Il faut tout refuser aux juifs comme nation et tout accorder aux juifs comme individus.»
LE FIGARO. – Quelle est la situation des juifs en France à la fin de l’Ancien Régime?
Patrice GUENIFFEY. – Dans la France de Louis XVI vivent trois communautés juives d’importance assez modeste. D’une part, 10.000 Séfarades, en majorité établis à Bordeaux, les autres à Avignon, alors possession pontificale. À Bordeaux, les Séfarades étaient intégrés de longue date à la société locale et un édit royal les avait émancipés en 1776. À Avignon, les mesures discriminatoires qui les frappaient étaient tombées en désuétude. Très différente demeurait la situation des 50.000 Ashkénazes établis en Alsace et en Lorraine. Ils n’étaient ni intégrés ni assimilés, vivaient en communauté, ne parlaient pas français, demeuraient frappés d’une taxe spéciale, restaient interdits de séjour dans certaines villes et même concentrés dans un ghetto à Metz. En 1787, après l’édit qui rend une existence civile aux protestants, Louis XVI met en place une commission chargée de réfléchir sur la condition des juifs en France. Celle-ci se heurte à plusieurs obstacles. En Alsace et en Lorraine, l’Église et l’opinion sont très hostiles aux Ashkénazes qui, notamment, comptent parmi eux des prêteurs détenant des créances sur les communautés rurales. Par ailleurs, les juifs bordelais, assimilés et devenus sujets du roi à part entière, craignent d’être confondus avec leurs coreligionnaires de l’est, et les regardent souvent avec méfiance et hauteur.
Quels changements la Révolution apporte-t-elle aux juifs?
«Sous l’Empire, à la demande des pouvoirs publics, l’Église insère dans la messe une prière pour le salut de l’Empereur»
Dès 1789, l’Assemblée constituante confirme l’émancipation des juifs bordelais, dès lors citoyens français, et étend cette décision à tous les juifs en 1791. Pour autant, en Alsace et en Lorraine, la situation n’évolue pas vraiment. L’hostilité de la population locale reste vive, relayée par les jacobins qui ont pris le pouvoir après la chute du roi en 1792. En Alsace, ils s’opposent à l’émancipation. Après la fin de la Terreur, le Directoire est faible et a des préoccupations plus urgentes. En revanche, partout où pénètrent les armées françaises, en Italie, en Allemagne, les juifs sont immédiatement émancipés. Certains le paieront très cher, comme à Sienne, lorsque les Français seront obligés de se retirer. Perdant leurs protecteurs, ils seront victimes de pogroms. Lorsque Bonaparte prend le pouvoir en 1799, sa priorité est de rétablir la paix civile en trouvant un accord avec l’Église catholique et Rome. En échange de la réouverture des églises et de la liberté pastorale, le Concordat (1801) place l’Église de France sous l’autorité du gouvernement. Bonaparte renoue avec le gallicanisme de la monarchie – liberté des cultes en plus. Le gouvernement propose les candidats aux fonctions d’évêques, ensuite investis par le pape et salariés par l’État. Sous l’Empire, à la demande des pouvoirs publics, l’Église insère dans la messe une prière pour le salut de l’Empereur. Le même esprit préside à la réorganisation du culte protestant, qui s’est perpétuée jusqu’à nous.
Pourquoi Napoléon décide-t-il de s’occuper de la condition des juifs en 1806?
En 1805, dans l’est de la France, les emprunteurs, fragilisés par une crise économique, ne peuvent rembourser leurs dettes. Une vague d’antijudaïsme se développe contre les prêteurs. Napoléon est saisi de plaintes de créanciers et décide de traiter cette question. En mai 1806, il convoque une assemblée représentative des communautés juives. La présidence est confiée à un influent notable bordelais, Abraham Furtado. Ses membres sont choisis par les préfets. Les questions posées par Napoléon à cette assemblée sont moins des questions neutres que des recommandations pressantes.
«L’idée de Napoléon est de rendre le métissage obligatoire pour, à terme, fondre les juifs au sein de la population française et faire disparaître toute spécificité»
Quelles préoccupations traduisentles questions de Napoléon?
Les premières questions portent sur les mœurs: «Est-il licite aux juifs d’épouser plusieurs femmes? Le divorce est-il permis par la religion juive? Une juive peut-elle se marier avec un chrétien et une chrétienne avec un juif?» Napoléon interroge ensuite les juifs sur la citoyenneté: considèrent-ils les Français comme des «frères» ou des «étrangers»? Voient-ils la France comme leur patrie? Sont-ils prêts à mourir pour elle et à se soumettre aux lois? L’Empereur les questionne aussi sur l’organisation du culte: «Qui nomme les rabbins? Quelle juridiction de police exercent les rabbins parmi les juifs?» Ces compétences sont-elles prescrites par la religion juive ou «simplement consacrées par l’usage»? Napoléon pose enfin des questions d’ordre économique et social. «Est-il des professions que la loi leur défende? La loi des juifs leur défend-elle de faire l’usure à leurs frères? Leur défend-elle ou leur permet-elle de faire l’usure aux étrangers?»
Que répondent les représentants des juifs aux questions de l’Empereur?
L’assemblée rend ses conclusions en avril 1807. Elle répond un oui sans équivoque s’agissant de l’obéissance à l’État et de la conscription, mais elle se montre plus réservée sur les mariages mixtes et l’usure. L’Empereur estime qu’une simple loi de l’État n’aura pas le pouvoir d’obliger les juifs. Aussi Napoléon décide-t-il de réunir une nouvelle assemblée, composée d’une majorité de rabbins, pour engager les juifs en conscience. C’est le «Grand Sanhédrin» dont la présidence est confiée au rabbin de Strasbourg. Napoléon lui adresse cinq «recommandations»: l’Empereur demande une distinction claire entre ce qui relève de la foi, du ressort des rabbins, et ce qui relève des obligations envers l’État. Pas question, donc, de toucher au dogme, mais, en revanche, il s’agit de soumettre à la loi tout ce qui relève de l’exercice du culte et des mœurs ; il enjoint à l’assemblée d’organiser le culte hébraïque ; il l’invite à fixer les conditions d’exercice du commerce et de l’industrie par les juifs ; Napoléon la somme d’accepter que les juifs appelés au service militaire ne puissent pas payer un remplaçant, comme peuvent le faire les autres conscrits français (l’Empereur argue que cette contrainte prouvera le dévouement des juifs envers la nation) ; et il exige que l’assemblée accepte de fixer un quota de mariages mixtes qu’il juge devoir être d’un tiers. L’idée de Napoléon est de rendre le métissage obligatoire pour, à terme, fondre les juifs au sein de la population française et faire disparaître toute spécificité. Il avait conçu cette idée en Égypte, au spectacle des ethnies différentes qui y cohabitaient. Le métissage seul, pensait-il, permettrait par les mariages mixtes de faire de tant de peuples différents une nation. Pour l’anecdote, l’Empereur prend toutes ces décisions entre deux batailles contre les Russes, alors qu’il se trouve en Prusse-Orientale.
Comment les représentants des juifs réagissent-ils aux exigences de Napoléon?
«Les juifs sont obligés d’abandonner tout signe distinctif. Il leur est interdit d’adopter un nom de famille d’origine hébraïque et ils doivent choisir leur prénom dans le calendrier»
L’exigence d’un quota de mariages mixtes provoque un tollé. Napoléon cède sur ce point, mais obtient satisfaction sur les autres. Deux décrets, le 17 mars 1808 et le 20 juillet 1808, dessinent la nouvelle organisation du judaïsme français. Le pays est divisé en circonscriptions pourvues chacune d’un consistoire dont les membres sont des laïcs désignés par un collège de notables eux-mêmes choisis par les préfets. Le consistoire assure la police du culte, gère les finances de la communauté, veille au respect de la conscription par les fidèles. Les rabbins doivent enseigner le patriotisme et glorifier l’Empereur. Les juifs sont obligés d’abandonner tout signe distinctif. Il leur est interdit d’adopter un nom de famille d’origine hébraïque (la mesure fut peu respectée) et ils doivent choisir leur prénom dans le calendrier. Les Ashkénazes sont tenus d’apprendre le français et d’adopter les mêmes vêtements que leurs concitoyens. Les juifs deviennent des Français comme les autres, avec les mêmes droits, les mêmes devoirs et les mêmes mœurs. La foi se voit réduite à une question purement privée. Napoléon était en cela enfant des Lumières: l’émancipation était pour lui la condition de l’assimilation – l’objectif principal. Il accomplit les projets conçus avant lui par Condorcet, et par l’abbé Grégoire. «Il faut tout refuser aux juifs comme nation et tout accorder aux juifs comme individus», avait dit Clermont-Tonnerre en 1789. La différence est que Napoléon était plus respectueux des croyances. Il savait qu’on ne peut forcer les gens à renoncer à leur religion. Ses décrets de 1808 donnent aux juifs les moyens de pratiquer pleinement leur religion, tout comme ceux de 1801 avaient permis la reprise de l’activité pastorale de l’Église catholique. Pas de morale sans convictions religieuses, pense-t-il, et pas de citoyens sans morale.
Ce bouleversement a-t-il suscité des réticences à l’époque?
L’Empereur a dû montrer beaucoup de détermination. Sur ce dossier, personne ou presque ne le soutenait. Pour faire accepter par l’opinion en Alsace et en Lorraine des décisions perçues comme favorables aux Ashkénazes, Napoléon gèle le remboursement des dettes souscrites dans ces régions auprès des prêteurs juifs. Il confie aux tribunaux civils la charge de réduire, voire d’annuler ces dettes. Cette mesure se soldera par une véritable spoliation. Cependant, aux yeux de l’Empereur, chacune des parties doit faire un sacrifice pour obtenir une contrepartie. Les juifs obtiennent l’égalité des droits, mais les prêteurs sont spoliés. De même, quelques années plus tôt, les émigrés avaient été autorisés à rentrer en France, mais ils avaient dû renoncer à récupérer leurs propriétés, devenues entre-temps biens nationaux. Dans l’esprit de l’Empereur, c’est un compromis du même ordre, conclu du fort au faible. Une sorte de clémence d’Auguste. Les conséquences de ces réformes ont été très rapides. Au XIXe siècle, les Français juifs sont les plus assimilés d’Europe.
Peut-on faire avec l’islam ce que Napoléon a fait avec le judaïsme?
Je crains que non. Les circonstances sont trop différentes. La légitimité de Napoléon, donc son autorité politique, était forte, celles de nos gouvernants inexistantes ou presque. Napoléon avait du courage, nos gouvernants se distinguent par leur faiblesse. On imagine quelle serait leur capacité de conclure un accord avec une religion qui, de surcroît, est dans une phase d’affirmation d’elle-même, tandis que la société d’accueil est engagée dans un processus inverse d’autodénigrement et de repentance sans fin. Napoléon, héritier de la Révolution, pouvait se montrer d’autant plus accueillant aux catholiques, aux protestants et aux juifs qu’il avait confiance dans l’excellence des valeurs européennes en général et des principes de la Révolution en particulier. S’ajoute une contrainte juridique. Les cultes étaient alors subordonnés à la puissance publique et assimilés à un service public. Or, depuis la loi de 1905, les moyens de pression de l’État envers les religions sont beaucoup plus modestes. En outre, aujourd’hui, l’État ne dispose pas, parmi les Français musulmans, d’interlocuteurs qui seraient des notables disposant d’une forte légitimité et d’une autorité auprès de leurs coreligionnaires. Napoléon, lui, avait de tels interlocuteurs. Enfin, sous l’Empire, les juifs ne représentaient que 0,002 % environ de la population française, et non au moins 10 %. Ce seul fait invalide la comparaison.”
Le balancier de la pensée unique est parti dans la direction opposée : alors que la phobie des Nazis était de voir la « race aryenne » souillée par les Juifs (en dépit de la proportion infime des mariages mixtes à l’époque où il y avait des juifs allemands, que l’on retrouve dans le faible taux d’unions entre catholiques et protestants dans ce pays), la bien pensance nouvelle ordonne le métissage systématique.
Signe d’ignorance crasse de Schäuble des sociétés dont sont issus les colons : même dans les pays multi ethniques comme l’Algérie ou l’Egypte d’antan, il n’y avait que très exceptionnellement des unions entre musulmans et non musulmans (sauf enlèvement et conversion forcée approuvée par la Charia). Et dès l’indépendance, ces pays n’ont eu d’autre obsession que la purification ethnique.
http://www.liguedefensejuive.com/quand-un-elu-fn-insulte-pierre-mendes-france-2016-06-13.html
chut ! éviter d’en parler !
http://www.liguedefensejuive.com/crise-a-radio-courtoisie-une-pique-promise-a-la-tete-du-patron-henry-de-lesquen-2016-06-14.html#comment-101349
Rien qu’a voir sa tête, il respire la haine, le sadisme, et tout ce qu’il peut y avoir de détestable dans l’humanité.
Chaque génération modifie systématiquement son patrimoine génétique, donc de consanguinité point avant plusieurs milliers d’années.
De plus les progrès de la génétique apporteront une solution à ce phénomène.
Avant de parler de problème génétiques, en mettant tout en oeuvre pour provoquer un POGROM des accidentaux, il faudrait s’assurer que les problèmes en cette matière ne soient pas importés. Ce n’est pas certain mais ce n’est pas exclu non plus. Cela marche dans les deux sens.
Il faut que chaque pays et continent maitrise sa natalité et gère, domicile le faut, son agriculture, son développement industriel, son système éducatif, de santé et de retraites. Ainsi plus de problème massif de migration économique et alimentaire.
Mais c’est trop dur pour nos politiques nationaux et européens de dire les choses.
Lorsque la barque de l’occident sera trop chargée elle coulera mais ce ministre et sa consoeur italienne s’en moquent…à leur âge ils n’auront bientôt plus à gérer la survie de l’occident…nos enfants oui…
“Chaque génération modifie systématiquement son patrimoine génétique, donc de consanguinité point avant plusieurs milliers d’années.”
Même pas : le patrimoine génétique global au niveau d’une population de ce niveau (plusieurs dizaines de millions d’individus) ne se modifie pas, il se réorganise différemment, selon les milliards de possibilités de recombinaisons génétiques possibles mathématiquement (et que l’on observe dans la pratique, puisqu’il n’existe pas deux personnes dans le monde qui soient exactement identiques).
Le patrimoine génétique ne fait que se réorganiser, sans s’appauvrir, d’une génération à l’autre. De plus, nos sociétés modernes sont beaucoup plus ouvertes que les sociétés des siècles passés, avec pas mal de mariages mixtes, liés à l’immigration : ne serait-ce que l’immigration intra-européenne est largement suffisante pour introduire encore un peu plus de diversité génétique chez les Allemands.
Ne pas oublier que nous avons chacun environ 3 millions de gènes, avec pour chacun plusieurs allèles (= différentes formes possibles d’un gène donné – exemple cheveux bruns ou blonds), ce qui donne un nombre tel de possibilités de combinaisons, que prétendre comme cet individu que l’Allemagne risque la régression pour cause de consanguinité prêterait à rire s’il ne le disait pas sérieusement, mentant pour le coup encore plus effrontément que ses nombreux collègues immigrationnistes.
Il n’y a absolument AUCUN risque de consanguinité dans nos pays européens, même à l’échelle de millions d’années et même avec une immigration réduite à zéro. Notre problème est bien plutôt un problème de taux de fécondité, avec les conséquences sur l’équilibre des caisses de retraites, problème qui a bien d’autres solutions que l’immigrationnisme débridé, évidemment.
Wolfgang me fais penser à Gollum dans le seigneur des annaux.
Wolfgang Schäuble…son sourire respire le bonheur total
Depuis quand la reproduction et la consanguinité doivent être du domaine des politiques ??? Quand des politiques se mêlent de génétique, ça ne donne rien d’autre qu’un Parti Nazi.
On a déjà eu un précédent. Bilan: 20 millions de morts, dont 8 millions gazés.