“Un jour, Hillary Clinton a jeté une Bible à la tête d’un agent affecté à son service, dans l’une de ses fréquentes crises de rage”.
Gary Byrne, ancien agent des services secrets affecté à la Maison blanche dans les années 1990, raconte en détail dans son livre à paraître la semaine prochaine, Crisis of Character*, le fonctionnement du couple Clinton. Il a été en poste durant trois ans juste à l’extérieur du Bureau ovale.
Après avoir présenté le caractère « enjoué », de Bill Clinton, Byrne présente Hillary, qui « était expansive d’une autre manière ».
«Un jour, elle a jeté une Bible à l’arrière de la tête d’un agent affecté à son service. Il lui a dit froidement que c’était inacceptable ».
D’après Byrne, pour les agents des services secrets, être affecté auprès d’Hillary Clinton « représentait une forme de punition que faisait retomber sur eux une hiérarchie de type passif-agressif ».
Le tempérament colérique d’Hillary Clinton se laissait voir de plus en plus, à mesure qu’elle se sentait de plus en plus chez elle à la Maison blanche. « Elle passait ses colères sur tout le monde et cela a empiré avec le temps ».
« La plupart d’entre nous étions parés à assister à ses inévitables irruptions de colère », écrit Byrne. « Cela n’arrivait pas tous les jours, mais derrière les portes closes, nous en entendions parler très vite. En public, elle était la meilleure amie de tout le monde. En privé, elle était elle-même ».
Un jour, écrit Byrne, elle a dit à un agent des services secrets « d’aller se faire foutre » après avoir dit à un autre « d’aller au diable ».
“Lors d’une réunion des officiers en uniforme, un jeune officier s’était présenté, tout perplexe : ‘Hé, nous n’allez jamais me croire, mais quand j’ai croisé la Première dame, elle m’a dit d’aller me faire foutre !’. Ce à quoi un autre jeune officier répondit : ‘Tu trouves ça épouvantable ? Je l’ai croisée sous la colonnade ouest, et je lui ai seulement dit : ‘Bonjour Madame’. Elle m’a répondu ‘Va te faire enculer’. ‘Tu veux rire ?’ ‘Va te faire enculer !’. Il l’imitait, le doigt tendu.
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Le sergent de l’unité se refusait à croire cette histoire, « mais un autre officier la corrobora ». « Le sergent est resté sans voix », écrit Byrne. « Nous avons certifié au bleu que cela ne se passait pas comme ça en temps normal – du moins, pas sous l’administration précédente. Le sergent fulminait ».
[…]
Elle traitait les agents des services secrets de « trous du cul »
Dans un autre extrait obtenu en exclusivité par Breitbart News, Byrne raconte un épisode dans lequel Hillary Clinton, dans un accès de rage, hurlant des obscénités, traitait les agents des services secrets de « trous du cul », convaincue qu’ils étaient « contre eux ».
« Ils nous ont baisés, Bill ! » hurlait-elle. J’essayais de contenir mon fou rire. Le président faisait de son mieux pour la calmer, mais elle était incapable de relativiser. « Nous devons nous débarrasser de ces trous du cul, Bill ! » Elle se croyait forte, elle croyait avoir l’autorité… Elle fulminait, parce que pour elle, les hommes dont je faisais partie, la Division en uniforme des services secrets, n’étaient que des restes laissés par Bush père, des hommes déloyaux qui conspiraient contre l’administration. « Ils étaient contre nous depuis le début ! » hurlait-elle.
« Nous n’étions que du mobilier pour eux », écrit Byrne, parlant du couple Clinton, ajoutant que des carrières se faisaient ou se défaisaient sous le coup des colères d’Hillary et de ses lubies. « Mais mon travail était intéressant, grâce aux vitupérations d’Hillary. Elle m’explosait à la figure, sans aucune retenue, sans se soucier des convenances ».
Le livre de Gary Byrne, dont la sortie est prévue dans une semaine, fait déjà partie des meilleures ventes d’Amazon, et il préoccupe quelque peu l’équipe de campagne d’Hillary Clinton. Mais il leur sera difficile de discréditer Byrne et ses mémoires, l’homme étant extrêmement décoré et loué par ses supérieurs. Il connaissait si bien les Clinton qu’il avait été appelé à témoigner devant un grand jury au moment du scandale Lewinsky.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © traduction et adaptation Azénor pour Dreuz.info.
Source Breitbart News : breitbart.com
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Désolé, il y a certainement une erreur, … le diable, c’est Trump, … pas une dame démocrate, … peut-être la première dame Présidente des USA.
Et il va y avoir des hordes de moutons qui vont voter pour elle, … parce qu’en aucun cas ces moutons voteraient pour ce Trump si diabolisé.
Quelqu’un a dit si justement: Toute l’intelligence du monde est impuissante contre une idiotie à la mode !
Mme Thatcher, voilà une toute grande Dame !
Bon ça peut arriver de se mettre en colère…. ou d’être énervée par les membres du service de sécurité. Ce qui me choque le plus c’est le vocabulaire de ladite dame qui faisait des mines de mijaurée quand Monica turlutait Bill. C’est pourtant Hystélary qui avait dû le déniaiser…… au moins verbalement à défaut de le faire oralement !!!!
une mal baisée …
et on peut comprendre Bill d ‘aller voir ailleurs
Pier,
C’est exactement ce que je pensais.
En fait cette femme ne pense qu’au pouvoir et à rien d’autre, si jamais elle était élue ce serait encore pire qu’avec Obama pour Israël, alors aux américains conscients, si vous me lisez, votez Trump.
Trump for President
ILS NOUS AONT BAISÉS, BILL! qui ? vite envoyons Closer.
Assurément; une bonne personne, mais un peu, beaucoup, passionnément hystérique, l’Hilary, l’hystérique dame de la maison obscure, naguère blanche.
Puisse-t-elle disparaître en orient ou ailleurs, puisse-t-elle exercer ses talents uniquement dans des clubs sélects, genre CAIR et autres immondices à son image.
Cette créature imbue d’elle même n’a, à coup sûr, rien à faire à la tête des States.
Qu’elle commence par expliquer son rôle exacte dans l’affaire de Benghazi, et on verra (mais c’est tout vu)!
Oui, enfin c’est une personne qui gère ses emails professionnels de Secrétaire d’Etat avec sa boite Gmail, hein.
Donc elle ose tout pour le pouvoir…et c’est à cela même qu’on reconnait les c***, souvenez-vous des dialogues d’Audiard…
Mais si elle est élue avec sa colistière ce seras encore pire ,ce seras deux féministes gauchistes enragées qui seront aux commande de la nation
Les hommes de l’Amérique vont passer un mauvais quart d’heure
elle vas se venger sur les hommes du service de sécurité
A moins qu’elle fasse comme kadhafi ..qu’elle engage des amazones pour le service de sécurité
Kadhafi et les 40 amazones
http://madame.lefigaro.fr/societe/kadhafi-40-amazones-010411-148064