Publié par Jean-Patrick Grumberg le 13 septembre 2016

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Vol Genève-Alger. Six voyageurs agressifs sèment le désordre pour une histoire de sièges. Incapable de contenir la violence, l’avion a dû faire demi-tour.

La question de savoir ce qui, dans leur culture, dans leur religion, rend si antipathiques, si agressifs, tant de musulmans, mérite d’être posée à des sociologues honnêtes.

Les 110 passagers du vol de samedi soir auront eu le temps de se poser la question : des passagers violents ont haussé le ton, alors que l’avion était prêt à partir à 18 h 10, le contraignant à revenir à Genève, et forçant les passagers à y passer la nuit.

Il n’y avait pas d’erreur dans l’attribution des sièges, source apparente du conflit. Pourtant, un groupe de passagers agressifs avait décidé de s’asseoir où ils voulaient, et un autre groupe n’a pas obtempéré. Le ton est monté, le personnel de bord a donné l’ordre aux voyous de se calmer, mais ils ont refusé.

L’équipage a alors considéré que ces individus étaient indésirables, et pouvaient devenir dangereux, et « qu’il n’était pas raisonnable de continuer avec eux », a déclaré la porte-parole de la compagnie helvétique Evelyne Lozeron Gentile.

L’appareil a fait demi-tour et la police attendait six adultes et trois enfants, qui ont été débarqués, certains menottés.

« L’avion n’a pu repartir, car il était trop tard pour qu’il puisse revenir le soir même à Genève », a indiqué la porte-parole. Les passagers ont donc passé la nuit à l’hôtel, aux frais de Swiss, et ont pris un vol du lendemain, avec escale à Paris, Madrid et pour certains, Istanbul.

Les six agresseurs ont été entendus, mais relâchés, précise la police genevoise.

L’Algérie a demandé à la Suisse l’identité des personnes interpellées.

La compagnie n’a pas indiqué le montant du préjudice subi, mais a déclaré se réserver le droit de poursuivre les deux familles concernées, qui ont depuis rejoint Alger, en justice.

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Ah la religion de paix et de tolérance… toujours elle.

Et ces journalistes qui font tout pour la défendre, comme ils défendaient Staline, le goulag, Pol Pot et les communistes, et maintenant l’islam. Aucun média n’a relayé. Sauf Dreuz.

Toujours du mauvais côté de l’histoire, toujours du côté des pires ennemis de la race humaine. Leurs cerveaux sont montés à l’envers ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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