Hier matin, la chaîne télévisée France Ô faisait parler un sociologue antillais, au sujet du massacre du onze septembre 2001.
Le spécialiste a tourné autour du pot : les mots islam et islamisme n’ont pas été prononcés une seule fois ; par contre, on a eu droit à la mise en cause des victimes. On nous a vendu que si le groupe de Ben Laden avait tué trois mille personnes, sur leur lieu de travail le onze septembre 2001… « C’était la faute aux survivances colonialistes ».
Ah, la faute aux survivances colonialistes…
Ça arrange bien les choses, ça : c’est nous qui sommes coupables des crimes d’autres, les « descendants des colonisés ». Si demain je m’en vais assassiner des Italiens, est-ce que je peux dire que c’est de la faute de Jules César ?
En d’autres termes, le onze septembre 2001, les Mexicanos américains et autres latinos, les Juifs venus des shtetl ukrainiens ou polonais, les Natifs, les Afro-américains, les enfants de Chinois, Japonais et autres asiatiques, ils avaient quoi à voir avec le colonialisme et les « survivances » ?
En d’autres termes, les victimes étaient, pour partie, coupables, et les tueurs de masse, foncièrement innocents de leurs crimes ; le programme politique mahométan n’y étant pour rien. Mieux valait donc ne pas en parler, ce qu’a fait le « sociologue » invité par France Ô.
La base du raisonnement exprimé sur cette chaîne consiste à établir des liens atténuant ou supprimant la responsabilité des djihadistes et du djihadisme : le monde occidental serait foncièrement le coupable.
Ce raisonnement consiste à isoler, déconnecter, les massacres du onze septembre 2001 de l’idéologie fanatique façonnant des tueurs et leurs devanciers depuis 14 siècles.
Le onze septembre serait une tuerie apparaissant comme une sorte de génération spontanée ; il est ainsi présenté comme une déclinaison de luttes armées dites anticolonialistes et anti-impérialistes. Bref, l’islam est innocent et l’occident est le coupable.
Le décérébrage est total ; Il vise à effacer des pans entiers de l’Histoire des deux siècles passés
Du début des années 1950 jusqu’en 2008, les chrétiens et les animistes du Soudan ont subi une vaste offensive armée, de chaque instant, destinée à leur imposer la charia intégrale. Avec des phases d’accalmie, ce djihad s’est traduit par plusieurs millions de victimes civiles soudanaises non-musulmanes (au total, il a coûté entre 5 et 7 millions de vies d’hommes de femmes et d’enfants). Mais pour notre sociologue, comme pour ses semblables, il n’y a pas de lien entre ce vaste génocide djihadiste contre les animistes et les chrétiens soudanais durant un demi-siècle et les massacres du 11 septembre 2001.
On veut, au passage, nous faire oublier que Ben Laden fut l’invité et le protégé des djihadistes gouvernementaux de Khartoum ; que c’est là, depuis Khartoum, que fut organisé un massacre de centaines d’Africains de Nairobi périssant dans l’attentat à la voiture piégée contre l’ambassade US.
Quelques rappels
En 1882, le Soudan n’était pas encore tombé sous le contrôle colonial ; il sera le théâtre de vastes tueries djihadistes. Le chef du djihad, qui s’était proclamé « Mahdi », envahira l’Ethiopie ; il s’y livrera à des massacres contre les Ethiopiens coptes et surtout contre les Juifs locaux (les « falashas ») ; ces Juifs paieront cette guerre fanatique d’un prix très, très lourd. Lors des descentes meurtrières des hordes fanatiques et sanguinaires, pas moins sanguinaires et fanatiques que les bandes d’ISIS ou que les fils de l’élite wahhabite jetant des avions sur les tours jumelles, deux Beta Israël sur trois furent massacrés.
Le futur colonialisme — le partage de l’Afrique sorti du congrès de Berlin (1885) — pouvait-il être la cause de vastes tueries fanatiques se produisant trois ans auparavant ?
Le partage colonial ne vint qu’après plus d’un siècle de djihadisme haoussa
En 1835, cinquante ans avant le congrès de Berlin, la majorité de l’Afrique de l’ouest subissait ce « militantisme » guerrier voulant à imposer à tous la charia.
Ce djihadisme, comme celui soudanais de la seconde moitié du 20e siècle, est intimement lié à la traque négrière des Négro-Africains animistes (chamanistes). Boko Haram ne peut être isolé de cette continuité, il en est un avatar parmi d’autres.
Mais pour notre sociologue antillais, comme pour ses collègues besognant dans les médias parisiens, tout cela n’existe pas ; ou si cela existe, n’en parlons surtout pas et ne nous interrogeons pas pour savoir si cela a un lien quelconque avec le wahhabisme et une de ses déclinaisons, le benladisme utilisant l’affrontement entre les USA et l’URSS pour se faire armer par les services US.
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Le wahhabisme combattant n’est pas né avec le conflit soviéto-américain en Afghanistan
Le fanatisme wahhabite n’est pas apparu avec le colonialisme européen : il précède d’un siècle et demi le partage colonial de l’Afrique, et de presque deux siècles le partage des dépouilles du califat ottoman vaincu comme allié de l’empire austro-hongrois et du Reich allemand des Hohenzollern.
Notre sociologue ignorait-il les événements soudanais ?
N’avait-il jamais entendu parler des tueries à répétition, des traques négrières djihadistes se traduisant par des centaines de razzias chez les animistes Dinkas et Noubas du centre et du sud-ouest Soudan ? Ça n’aurait rien à voir avec le onze septembre 2001, veut-on ainsi nous faire croire ?
Le déni est total
Après les chrétiens et les chamanistes (animistes), le djihad basé à Khartoum s’en est pris aux habitants du Darfour : ils ne seraient pas de vrais musulmans ; ils seraient en réalité des apostats n’appliquant pas la charia intégrale.
En quoi le colonialisme ou ses résidus seraient-ils fautifs ?
Trois cent mille habitants du Darfour (chiffres 2005), femmes, enfants, hommes de tous âges, ont subi le djihad jusqu’à la mort, par le poignard, le fusil d’assaut, l’incendie, le bombardement. Depuis, Khartoum a fait d’autres victimes au Darfour.
Les Fours (Bafours ou Bafors) ont déjà payé le prix fort, lors du vaste djihad almoravide (10e siècle). Leur civilisation a été détruite, leurs archives ont été brûlées ; tout a été anéanti. Les survivants ont été soumis au djihadisme et contraints à la conversion. Mais cela ne suffisait pas. Il fallait aussi qu’ils récitent la shahada et s’infligent la dictature absolue de chaque instant (la charia intégrale).
Mais pour nos spécialistes, tout cela n’aurait aucun lien avec le onze septembre ; le onze septembre n’aurait rien à voir avec les djihads l’ayant précédé. C’est ce que l’on a encore voulu nous faire croire, ce matin, pour protéger le djihadisme en s’employant à culpabiliser les Occidentaux, les Français en particulier.
Effacer, pour tout embrouiller
C’est ainsi aussi, que pas plus cette interview qu’aucun journal d’information n’a rappelé cet homme courageux nommé Jeremy Glick. Ce Juif ne s’était pas laissé intimider par les tueurs fanatiques wahhabites. Avec trois autres passagers, il tentera de reprendre le contrôle du vol 93, un des quatre avions détournés le onze novembre 2001.
Décontenancés par la riposte qu’ils n’attendaient pas, les djihadistes s’en iront jeter l’avion détourné dans un champ du comté de Somerset, dans le Vermont. Une cérémonie a eu lieu dimanche, dans le comté de Bergen (New Jersey) ; elle inaugurait un mémorial dédié à cet homme.
Jeremy Glick avait pu prévenir sa femme (avec son téléphone modulaire), qu’avec trois autres passagers ils se précipiteraient contre les terroristes. Leur courage ne les sauva pas, il réaffirma la dignité, le courage vrai ; il empêcha une des opérations de guerre totale prévues par les assassins fanatiques wahhabites ; il sauva de nombreuses vies humaines.
Mais cela, visiblement, n’intéresse ni France Ô, ni A2, ni Obama-Clinton…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alon Gilad pour Dreuz.info.
Depuis le début il est clair que France Ô est un organe de pure propagande, et de propagande authentiquement raciste.
c’est tout à fait cela. Jamais zapper sur France O; boycot total
Le colonialisme a fait cesser l’esclavage et la traite des noirs , qui engraissaient autant les potentats africains que les armateurs européens !
L’esclavage des noirs par les arabes fut 10 fois plus cruel en durée et en nombre , d’ailleurs il perdure encore !
Seule Mamie Taubira et Dieudonné ne le savent pas !
et on nous fait encore chier avec ce trafic qui enrichît surtout
les gros chef de tribu noirs , ça va durer encore longtemps ?
Un sociologue antillais dites-vous ?
Aimé Césaire, le célèbre poète antillais, disait, à propos des antillais : “lorsque vous leur parlez en petit nègre, ils vous répondant comme à un blanc et lorsque vous les traitez comme des blancs, ils vous répondent répondent comme à des petits nègres : ils ne vous acceptent jamais”.
Il ne faut pas s’étonner de la parfaite mauvaise foi de gens qui n’ont jamais surmonté l’esclavage (contrairement aux réunionnais, qui y sont parvenus) et qui attisent la haine, ne pouvant lâcher leur souffrance, qui est aussi celle de ne pas être blanc, point que l’on évoque jamais, mais qui est capital et bien réel.
Il n’y a pas que les produits destinés à blanchir la peau ou les castes indienne (plus on est noir, plus on est bas dans l’échelle sociale), il y a aussi ces scènes incroyables où l’on peut voir un noir traiter un autre noir de “sale nègre”, parce que la couleur de sa peau est plus claire que celle de l’autre.
Oui, le racisme anti-blanc existe, mais il faut l’avoir vécu, c’est-à-dire l’avoir subi pour s’en rendre compte, car l’on nous a élevés dans l’idée que seul le blanc est raciste et que seul le noir est victime du blanc.
L’avenir est à l’intelligence, à la culture et à la finesse dans les qualifications : on en est loin.
Là je pense qu’il ne faut pas exagérer , certains antillais réussissent dans les études et dans la vie professionnelle , mais c’est sûr que cela en arrange certains de dire qu’ils sont constamment victimes de racisme , cela leur donne une bonne excuse pour ceux qui ont moins bien réussi . Et eux aussi sont soumis à une véritable propagande , mais dans le sens inverse de nous !
Y êtes-vous déjà allé (aux Antilles) ?
Non , je connais juste des antillais vivant en métropole . Un de mes meilleurs copains était antillais , il est aujourd’hui malheureusement décédé – jeune à 43 ans – à cause d’un cancer . Paix à son âme .
Alors comment osez-vous prétendre que mon propos est excessif ?
Allez-y d’abord, après on en reparlera.
J’y suis allé deux fois, et à chaque fois j’ai constaté la violence du racisme de la très grande majorité des gens.
Sans compter les amis qui y ont été vivre durant plusieurs années : les épouses de certains rentraient en Métropole tant leurs enfants subissaient le racisme à l’école et le mari restait sur place parce qu’il avait été muté là-bas et qu’il fallait bien qu’il travaille.
Non pas du tout , je parlais juste de votre dernière phrase que c’est vrai je trouvais un peu excessive !
Ah !
N’eut-il pas été plus simple de le dire immédiatement, afin d’éviter ce regrettable malentendu ?
Quant au manque de culture et d’intelligence, il est clair aujourd’hui que la déculturation en Occident est à l’oeuvre.
Elle a commencé il y a plus de trente ans et se traduit par une désubjectivation de masse, qui passe notamment par l’école.
Tout le monde n’est pas touché, mais l’immense majorité l’est.
Quant à ceux qui sont conscients de ce qui se passe, ils souffrent de plus en plus de voir les dégâts causés par cette déculturation et d’en imaginer les conséquences futures.
Voir son pays sombrer dans l’inculture, la division, la négation des valeurs et de l’Histoire communes, le délitement de la République et l’islamisation, provoque une grande souffrance.
Le plus désolant ( Je parle surtout de la Martinique où j’ai vécu ,ne connaissant la Guadeloupe qu’en “touriste” )c’est que ce sentiment anti blanc esclavagiste aurait du s’estomper mais que a contrario il s’est accentué.
j’avais en ce qui me concerne émis l’idée de prendre ma retraite aux Antilles Françaises,mon dernier voyage en ces lieux m’en a dissuadé !
A titre d’exemple dans les années 70 la majorité des touristes venait des USA et du Canada ;Je ne peux donner de chiffres à l’heure actuelle mais ce qui est patent c’est que ces touristes ont “émigré “dans d’autres iles des Caraîbes et en tout premier lieu en République Dominicaine où il est vrai la population autochtone est assez différente et où même de nombreux français (les métros ) vont s’y installer…Ce qui est très révélateur !!!
C’est très clair, tout métropolitain blanc peut apprécier “l’accueil” assez particulier qu’il reçoit aux Antilles françaises par rapport aux autres pays des Caraïbes… Pour l’anecdote, à Saint-Martin, aucun restaurant de bon niveau n’embauche de Noirs. “Si vous en embauchez, un mois après vous avez la CGT de Guadeloupe sur le dos, puis grève, puis fermeture…”
Je confirme pour avoir séjourné deux ans non stop en Guadeloupe. A mon arrivée en 2000, il y avait cinq escales par semaines de paquebots de luxe, à mon départ plus qu’un seul. Les touristes se faisaient agresser (cascade aux écrevisses) et parfois violer !. Il y a au moins un assassinat par semaine !.Enfin pour un antillais il est difficilement admissible qu’à l’époque de l’abolition de l’esclavage (1848), mes ancêtres travaillaient au moins aussi dur qu’eux parce que eux (qui n’avaient rien à voir avec l’esclavage car vivant en Savoie) n’avaient pas le choix. Si pas de réserves de foin ou d’aliments ou même de bois les hivers étant rudes ils seraient morts. Et par ailleurs ils ont eu a subir depuis 1848 au moins trois guerres majeures ce qui ne fut pas le cas des antillais.Demandez donc pourquoi il y a des hindous aux Antilles : et bien parce que les antillais refusaient en 1848 de travailler étant devenus libres ! Tant mieux mais si on veut manger il faut bien travailler la terre. Je crois avoir lu que le gouverneur GOURBEYRE qui a laissé son nom à une ville de Guadeloupe, le fit savoir aux citoyens nouvellement libres mais qu’il fut contraint de faire venir des hindous. Hindous qui font vivre par leurs cultures maraîchères la Guadeloupe. Comme d’ailleurs les asiatiques en Guyane !. Et pour finir le 11 septembre j’ai vu des Antillais se réjouir des attentats aux USA comme si une vengeance venait d’avoir lieu à leur grande satisfaction !
La télévision et la radio dites de “service public” ne sont que des organes de propagation de la pensée gauchiste, donc anti-française et islamophile.
Dimanche soir, parcourant le programme TV, je vois que la chaîne LCP Public Sénat (un nom qui sonne ô combien respectable) proposait un documentaire intitulé “Algérie, notre histoire”. Intrigué, je regarde d’un peu plus près, et je vois que ce reportage est signé Jean-Michel Meurice, personne se présentant comme documentariste et artiste-peintre, et en fait, un des fondateurs de la chaîne européiste de gauche Arte et déjà auteur, entre autres, d’un “documentaire” intitulé “Des patrons et des hommes : l’histoire secrète des relations opaques entre les partis politiques et le monde de l’entreprise” dont le seul titre laisse deviner l’orientation très partisane et très hostile à la libre entreprise.
Pour ce “documentaire” sur l’Algérie, son SEUL invité : Benjamin Stora, historien et (ça ne s’invente pas) longtemps membre d’un groupe trotskiste : “Alliance des jeunes pour le socialisme”…
Vous avez dit service public orienté ?
Je ne regarde JAMAIS ces émissions… même si je peux comprendre qu’il faille parfois se soumettre à cette torture pour en dénoncer le lamentable contenu.
Jacques Ady. Moi aussi je “régardé” cette émission sur l’Algérie. Ecoeurant et pourtant j’ai passé 4 ans en Algerie, militaire Légion étrangère et Transmissions On avait l’impression que c’est l’OAS qui a fait partir les Pieds noirs en 1962 et non les fellouzes.
On estime que 80 millions d’Hindous furent massacrés en Inde par les hordes musulmanes. (Chapter 4-Islam and India) https://francoisgautier.me/2008/04/16/rewriting-indian-history-complete-book/ C’est le plus grand massacre jamais perpétué sur une population. C’était la faute du colonialisme ?
Tous les Hindous d’Afghanistan furent massacrés par les musulmans vers l’an 1000. La région est encore connue sous le nom de Hindu-Kush (Hindou-Massacre). C’était aussi la faute du colonialisme ?
Tous les bobos cucul a pralounette me font chier . Il y a plein d’émissions que je zappe .
Heureusement qu’il y a des sites comme Dreuz…
Car jusqu’à ce jour… les médias français sont une machine à enfermer les gens dans un goulag intellectuel, utiliser la novelangue, empêcher quiconque d’exprimer une opinion contraire, interdire tout avis qui ne va pas dans la bienpensance, faire de la propagande nazislamiste pour faire disparaître notre civilisation par une politique de grand remplacement, et surtout accuser de tous les maux les juifs, les chrétiens, l’occident.
Une bonne télé est une télé éteinte.