Fustigeant le monde arabe, l’écrivain algérien et ancien observateur de la Ligue arabe en Syrie Anouar Malek, exilé en France, a déclaré dans l’émission phare d’Al-Jazeera La direction opposée :
« En toute honnêteté, les Arabes sont tellement arriérés, qu’ils ne sont pas du tout adaptés à la civilisation ! »
Lorsque l’animateur de l’émission demande ce qu’un grand pays arabe comme l’Égypte a à offrir, Malek répond :
« L’Égypte n’a que des fèves, et je le dis avec toute l’ironie du monde. (…) Elle vit de l’aide américaine. Sans elle, les Égyptiens mourraient de faim. »
L’émission de débat a été diffusée sur la chaîne panarabe Al-Jazeera le 3 mars 2009.
Mis à part que c’est vrai, je veux bien suivre l’écrivain algérien Anouar Malek, mais je reste dubitatif sur ce terme pompeux de l’ « homme arabe » qu’il utilise à tort et à travers. La logique est grevée d’emblée par cet universalisme de l’arabisme (sous-entendu : exclusivement islamique) et du pan arabisme mort ou moribond.
Au nom des nationalismes arabes depuis plus de 60 ans, devenus « arabité islamique » avec le temps, ces pays d’Orient ont menti du point de vue historique, ethnique, culturel et même génétique pour nous imposer un mensonge avec ce monolithisme qui est la négation de toute altérité autre que arabo-islamique.
Après les juifs – et les pieds-noirs – chassés du Maghreb, d’Égypte et du Proche-Orient, vient maintenant tous les autres non-musulmans, au fond non-Arabes. Du point de vue de la génétique des populations, les Égyptiens y compris les musulmans, par exemple, sont des nilotiques, ethniquement tous des Coptes, c’est-à-dire des Égyptiens (mais, culturellement, partiellement arabisés), les Maghrébins sont largement des berbères (qu’on arabise et islamise à outrance). Même les palestiniens sont apparentés aux juifs, étant en plus pour une part non négligeable les descendants des convertis à l’islam des époques lointaines des conquêtes islamiques (et celles des omeyyades/abbassides/ottomans) d’ethnies non-arabes et non-musulmanes du Proche-Orient.
De plus (et en quelques mots), comme nous le savons, les non-musulmans étaient (et sont) contraints de se marier entre communautés non-musulmanes depuis les origines de l’islam. Autrement dit, en bref, ce sont les Arabes du Proche-Orient qui sont génétiquement un mélange hautement hétéroclite de tous les millions de convertis du passé et non le contraire comme on tente de nous le faire croire par des inversions mensongères.
Du point de vue culturel, cette arabité est une imposture que l’OCI (Organisation de la coopération islamique) et la Ligue Arabe ont imposée (Arabie Saoudite en tête) au nom de l’islam. Le reste serait du verbiage falsificateur. Car, on occulte tous les autres apports culturels et civilisationnels des non-musulmans – notamment des juifs et des chrétiens – à cette « arabité ».
Mais là n’est pas le vrai problème, qui viendrait en second. Le vrai problème, le premier, est celui de l’islam auquel Anouar Malek ne s’attaque pas et ne peut pas s’y attaquer. C’est cette idéologie politico-religieuse totalitaire qui est responsable de cette déchéance. Mais combien d’intellectuels en Orient osent s’y attaquer ? Très peu, à l’exemple des égyptiens Sayyed Al-Qimni, Islam al-Behairy, Hamed Abdel-Samad, les journalistes Fatma Naout, Bishoy Boulous Armia, Amr Adib, Ibrahim Issa, et bien d’autres.
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Et puis, mépris pour mépris, ce “bédouin” ferait mieux de balayer devant sa porte (l’Algérie) plutôt que de s’attaquer à l’Égypte qui reste la mère des civilisations (avec la Mésopotamie) dans ces régions. C’est la France qui a fait de son Algérie une nation à proprement parler dès 1830, lorsque l’Égypte avait déjà inventé l’État-nation près de 3000 ans avant notre ère.
Du blabla d’ “arabisé” qu’on connait depuis longtemps…
En 1830 l’Égypte était à l’ère de Méhémet Ali et non un ramassis de bédouins qui se faisaient la guerre à mort depuis des siècles, soumis à l’esclavage des ottomans pendant 350 ans. Et c’est justement depuis que l’Égypte nassérienne a abandonné son identité égyptienne et ses racines multimillénaires ainsi que le projet moderniste d’ouverture sur l’Europe de Méhémet Ali, et de suivre les Arabes que ce pays a connu les guerres, la ruine et la déchéance, lorsqu’au XIXe siècle Le Caire rivalisait par sa modernité avec Paris et Londres !
Mon père parlait ainsi dans les années 1950-1960, je n’étais pas encore né… mais il rigolait ironiquement de cette arabité (islamique) et ce pan arabisme en prédisant à son entourage que ces notions (procédant de l’islam arabe) vont mener l’Orient à la ruine totale. Et nous y sommes !
« Qui n’a pas de racines n’a pas d’avenir », dit l’adage…
Cet écrivain algérien de mauvaise foi et amnésique (ancien observateur de la Ligue arabe islamo-raciste, ne l’oublions pas !) est en retard d’un demi siècle au moins, en plus n’a pas le courage de dire que c’est l’islam qui en est responsable. Il préfère insulter l’Égypte qui, malheureusement, les avait aidé du temps de Nasser dans leur guerre d’Algérie et d’indépendance de 1954-1962, et par la suite.
Comme dit un ancien proverbe égyptien (déjà des temps pharaoniques) : « lorsqu’on est incapable de maîtriser son bourricot, on s’acharne sur son bât ».
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.
L islam est le désastre des peuples arabes.
Ces peuples sont tellement arrièrés que seules des dictatures peuvent les tenir en laisse.La plus grosse erreur de l’occident a été la destitution de sadam hussein, qui tenait tout ce beau monde a la cravache, puis il y a eu la lybie ravagée pour de basses considèrations d’interets electoraux, depuis , c’est un pays en ruine ,sans parler de bachard el assad qui , lui aussi tenait ces sous développés de main de maitre; Mais quelle imbécilité de vouloir imposer des démocraties a des peuplades aussi arrièrées; Ils sont incapables de se démocratiser, mieux , ils ne veulent pas , laissons la liberté aux peuples de disposer d’eux même comme on aime a le claironner en occident
C’est fou de constater comme cette espèce “d’arriérés” parasites prolifère dans les Pays Civilisés.
Je ne sais pas si vous connaissez l’Egypte…..mais vous êtes en train de tout confondre dans votre article pathétique tant sur le plan culturel qu’intellectuel
D’abord cher ami l’Egypte moderne n’a strictement aucun lien avecl’Egypte ancienne,zero(à gauche en bon français)et deuxiemement Mohamed ALI (qui n’était pas égyptien entre parenthèse)avait réuniautour de lui des gens de multiples origines (arméniens albanaiss, français,grecs )qui initié l’ouverture et la modernisation de l’Egypte moderne.Il n’y a strictement aucun racisme dans les propos de M.Malek (que je ne connais pas) mais qui sont révélateurs des dommages civilisationnels incalculables qu’induit et provoque la stricte obédience des dogmes (dans toutes religions) mais surtout en Islam.L point que ne soulève malheureusement pas M.Malek est que l’obédience stricte et aveugle à toute doctrine est génératrice d’aveugkements sur le plan culturel et de nouveau à un point débilitant dans la religion du Coran. En effet cet ouvrage, dont personne ne connaît en fait le(s) auteur(s),consiste en un code juridique peu cohérent et en même temps en une doctrine
religieuse qui ne souffre pas de contestation et par conséquent la réflexion.D’ou la faction religieuse (qui finalement a revetu un rôlepolitique ) et qui prévalu tuant dans l’œuf les tentatives de grands hommes d’esprit tels que Ibn Sina,Ibn Arabi,Ibn Rush et Ibn Khaldoun (pour n’en citer que quelques uns) pour laisser le champs libre aux intégristes et autres fanatiques aveugles de l’époque d’Al Ghazali à Hassan Al SABBAH ( le créateur de la sympathique secte des “assassins” ça vous dit quelque chose????).Même les doux Soufis (de l’excellent Jallal El Din Roumy)qui ont fait de grands efforts couronnés de succés un certain temps chez les ottomans ont peu à peu été éliminés par les rigoristes fanatiques et aveugles qui vont mener irrémédiablement le monde arabo-musulman (mais probablement pas les autres???)
à de grands malheurs.Voilà monsieur un peu de culture qui permet d’éclairer vos propos pour le moins réducteurs sinon obscurantistes. vant de terminer je ne voudrais pas oublier de vous rappeler que les vrais descendants des égyptiens sont les coptes qui représentent facilement un 15% de la population égyptienne au cas où vous l’auriez oublié. OMAR (….mais comme Al Khayam pas l’autre……)
Vous ne contredisez en rien l’article de François Sweydan , vous ne faites qu’apporter des précisions bienvenues. Ceci dit, dire que l’Egypte ancienne n’a rien à voir avec l’Egypte d’aujourd’hui revient à nier son histoire…
Cher Omar Al Khayam, je vous réponds brièvement, et par la même à Edmond 99.
Premièrement, les déterminations génétiques des populations ont été faites depuis un moment déjà. Nous avons les preuves de ce que j’avance, en ce qui concerner toutes les communautés que je cite dans mon modeste papier. Je suis tout de même un universitaire qui se renseigne…
Première erreur que vous faites en ce qui concerne l’Égypte est d’affirmer que les vrais Coptes sont les seuls descendants des Égyptiens. Détrompez-vous ! Coptes n’est pas en fait un terme à connotation religieuse surtout mais ethnique. Il a été dévoyé par les nationalistes du pan arabisme et par les Frères musulmans de son sens premier et de son premier sens. Copte veut dire tout simplement “Égyptien” ; le mot est d’ailleurs d’origine pharaonique désignant tous les habitants de la vallée du Nil. Les musulmans d’Égypte sont donc aussi coptes que les chrétiens de ce pays que je connais bien. De plus, la génétique l’a démontré, comme pour les berbères du Maghreb : une solide relation avec l’Égypte ancienne (vous trouverez cela en ligne, sinon ici il me faudra des pages).
Deuxièmement, je vous proposerai de vous renseigner correctement sur ces penseurs de l’islam (“de grands hommes d’esprit” ? ) que vous voyez d’un bon œil !… Tous, y compris les grands maîtres du soufisme, ont été de fanatiques notoires. C’est un mythe de nous affirmer que les grands soufis ont été de “doux” agneaux !… Vos grands penseurs de l’islam ont été aussi fanatiques que les autres intégristes que vous dénoncez.
Deuxième erreur, le soufisme supposé mystique, tolérant et pacifique dont les grandes figures (al-Ghazâlî ; Ibn cArabî ; et Rûmî) furent d’une intolérance et d’un mépris singulier pour juifs et chrétiens, appelant TOUS à être particulièrement sévères avec les trinitaires chrétiens “associationnistes”, ainsi qu’appelant au jihâd actif, armé et offensif. Certains ont même participé au jihad, n’en déplaise à ces factions de la secte soufi qui tentent de nous faire croire du contraire.
Le plus pathétique dans votre réponse est de considérer les “khawagas” (les européens), ceux dont les ancêtres sont venus s’installer en Égypte au XVIIe et XVIIIe siècles comme étant toujours des “étrangers”. Du temps de la royauté en Égypte, durant le XIXe et la première moitié du XXe siècle dans le parlement égyptiens, il y avait des députés égyptiens juifs de religion, d’autres d’origine arménienne, grecque, albanaise, italienne, ottomane, levantine, etc., aux côtés de Coptes (musulmans et chrétiens). Les considérer toujours comme des étrangers ?
Méhémet Ali avait initié une modernité que l’arabisme nassérien et l’islamisme des Frères musulmans ont annihilé.
Je m’arrête là, car il y a au mois trois ou quatre autres objections (et erreurs de votre part) qui démontrent votre grande méconnaissance du sujet.
C’est votre développement qui laisse à désirer par des confusions inadmissibles pour un historien, fort réducteur culturellement parlant pour un ethnologue.
Cordialement
FS
Merci pour vos réponses aussi passionnantes que votre texte .
Pour connaître la réalité ethnique des pays dits arabes il faudrait faire des recherches sur l’ADN de ces populations.C’est génétiquement incorrect…exit l’ADN.
Dommage car il y a eu les invasions arabes et je doute que les descendants des Coptes soient majoritaires en Égypte.Les peuples vaincus ne font pas d’enfants et sont soumis à des massacres ou à l’esclavage.Que de tragiques conséquences d’une invasion qui expliquent par exemple la presque disparition des amérindiens .
De toute façon ce journaliste arabe ne manque pas de courage pour ces affirmations iconoclastes.
Beau discoure, mais ce brave oubli de mentionner que le seul problème des arabes est l islam.
Le “problème” ne vient-il pas d’une confusion entre arabité “ethnique” (ADN à l’appui) et arabité “culturelle” – à savoir, pratique de la langue arabe, laquelle véhicule, comme toute langue, une pensée, une tournure d’esprit particulière ; mais aussi, pour beaucoup, islam, dont on peut d’ailleurs se demander si cette religion n’est pas partie intégrante, expression de la “culture” arabe ?
Car entendu sous l’angle culturel, le terme “arabe” employé par cet écrivain algérien et les qualificatifs dont il le gratifie ne me choquent pas plus que cela.
Le débat ne serait-il pas finalement, de voir dans quelle mesure l’islam n’est pas l’expression MAJEURE de l’esprit et de la culture arabes ? Combien d’Arabes (culturels) musulmans ? Combien d’Arabes (culturels) non musulmans ?
Le problème, cher M. Addy, est bien cette confusion – et collusion – entre arabité « ethnique », voire par extension à la limite “raciale” dans l’esprit tordu des “arabisés”, et arabité « culturelle », sous-entendant religieuse exclusivement islamique.
Lorsque par surcroît l’ont sait que dans les faits beaucoup de communautés non-musulmanes en Orient n’ont jamais été des Arabes ni ethniquement, ni génétiquement parlant. Et même du point de vue culturel, un chrétiens d’Égypte, un syriaque ou un araméen, un (ex) séfarade parlant l’arabe et par extension de culture arabe (imposée), n’est pas tout à fait exclusivement et surtout de cette culture. Il y a l’héritage culturel, linguistique (ou ce qui en reste), religieux de sa communauté non-musulmane à ajouter à la dimension ethnique que l’arabisme (islamique) et le pan arabisme ont tenté (et tentent) de gommer. Que fait-on de la transculturalité, concept ethnologique détesté par les tenants de cet “homme arabe” universel ?
C’est bien la religion de l’islam, comme vous le dites si bien, qui a opéré cette collusion factice qui, de facto, exclut en Orient tout non-musulman ethniquement, culturellement et religieusement parlant, et même maintenant les Arabes (culturels) non-musulmans. D’où ce nettoyage ethnique et religieux qui s’opèrent encore sous nos yeux au nom de l’islam génocidaire de l’altérité.
C’est dans ce sens que c’est choquant de la part d’un supposé écrivain algérien, un supposé intellectuel (toutefois réfugié en France, tout en se réclamant d’un mythe totalitaire !…), dont les référents sont brouillés par plus de 60 ans de nationalisme arabe couplé d’islamisme inconscient (ou conscient), amnésie de l’histoire manipulée, même maintenant, hélas, dans les manuels scolaires de France.
Faites l’expérience et demandez à un Algérien (surtout de Kabylie), un Égyptien (musulman comme chrétien), un libanais (surtout un maronite), un chrétien, un sabéen, un nazaréen, un yazidis d’Irak s’il est un arabe ? Et que vous répondra un juifs originaire d’Afrique du Nord, d’Égypte ou du Proche-Orient qui a pratiqué la langue arabe ?
Vous constaterez par vous-même une certaine schizohrénie culturelle et des contradictions dans la définition de l’appartenance. Les uns vous diront formellement qu’ils ne sont pas arabes, d’autres leur réponse douteuse laisse perplexe par cette dramatique amnésie des racines ethniques et culturelles.
Relisez attentivement mon texte ainsi que mon dernier commentaire. De plus, du point de vue ethnographique j’ai pris intentionnellement l’exemple de l’Égypte pour montrer que cette arabité “universelle” est un leurre. Car il y a bien une relation ethnique, génétique (pour les chrétiens autant que pour les musulmans) et culturelle de ces Coptes avec le passé, celui des anciens Égyptiens, malgré cette arabité culturelle abusivement ethnicisée qui s’est particulièrement imposée durant le XXe siècle.
En définitive, en conclusion, on voit sous nos yeux un retour des identités dans ces régions. Lorsque une culture est menacée dans sa survie et son existence, il y a un retour aux racines.
Cordialement
FS
Nos ancêtre les gaulois/celtiques qui sont allés jusqu’en ………………………………Indes!
Vous avez sans doute raison.Il faut parler d’arabité culturelle et non raciale.Les Libanais sont-ils arabes car ils parlent l’arabe mais certains ne sont pas musulmans( libanais chrétiens ) ? Et les Berbères ,Kabyles …etc… Vaste débat mais mineur car c’est l’Islam le ciment de ce populations arabes.
Assez ahurissant que cet homme ait pu parler ainsi.
Je pense que les dirigeants possèdent des statistiques ethniques que l’on ne communique pas au grand public car j’aimerai bien connaître le taux de réussite scolaire chez les arabo-musulmans garçons français ( je ne parle pas pour les étudiants étrangers ) : dans les facs ils sont sous-représentés par rapports aux autres groupes , c’est sûr . ( Non plus quel est le ratio de ceux qui ont déjà eu des ennuis avec la justice , autant ne pas en parler ) .
Il ne faut pas parler d’Arabes mais de musulmans car, hélas, beaucoup d’autres races ont été obligées de se soumettre à cette secte islamique ! Les muzz ne s’adapteront jamais, c’est pour cette raison que, plutôt que d’évoluer, ils veulent ramener la terre entière à leur barbarie du 7ème siècle !
Magnifique cette vidéo on m’en avait parler mais la MDR!!! Et il argumente en plus ce que les autres sont incapables de faire!
La responsable de cet état de fait réel, c’est l’ Islam . Les musulmans ne veulent pas voir en face la vérité historique : Mahomet était un voleur et un assassin, et tout est dit. On
a cette triste réalité sous nos yeux aujourd’hui en permanence. Comment Dieu, par définition Parfait, aurait pu confier une mission à un voleur et un assassin, je ne comprends pas que les musulmans ne réfléchissent pas davantage. Pour des raisons multiples ils refusent la vérité historique et s’enferment dans la bêtise , et le terrorisme pour certains.