Publié par Rosaly le 22 octobre 2016

lesbos

Que fait une armée d’occupation quand elle s’installe dans un pays ? Elle l’occupe et oblige les habitants à suivre sa façon de vivre. Elle instaure des mesures contre la population, y propage ses croyances et utilise la force pour les imposer.

C’est triste à dire, mais c’est ce qui se passe en Grèce : les migrants, qui semblent oublier avoir été accueillis, forcent les Grecs à se sentir comme des invités dans leur propre pays.

Toute personne fuyant la guerre ou la persécution ne devrait-elle pas normalement, une fois arrivée dans le pays qui lui offre généreusement l’asile, se montrer reconnaissante envers son pays hôte, respecter son histoire, ses habitants, ses valeurs et ses lois ? Cela devrait aussi être valable pour tout migrant qui souhaite s’installer dans un pays où il espère trouver un avenir meilleur.

Or en Grèce, les migrants illégaux — hypocritement qualifiés par les médias de « réfugiés » dans le but de les légaliser dans la conscience morale des citoyens — sont en train d’occuper des espaces qui ne leur appartiennent pas, utilisent la violence, bloquent les rues, vandalisent les biens publics, agressent les résidents et la police, et se sentent offensés quand ils aperçoivent des symboles du christianisme. Les invités semblent vouloir prendre possession de la maison Grèce et y dicter leurs propres lois.

Il y a quelques semaines, dans l’île de Mytilène, 200 Nord-Africains et Pakistanais qui souhaitaient la quitter provoquèrent des émeutes pendant la nuit.

Tout en scandant « Jihad ! Jihad ! », ils saccagèrent les voitures des habitants dans le centre de l’île et effrayèrent la communauté locale. La raison de leur colère envers les autorités et les habitants de l’île trouva sa source dans une information reçue par téléphone, selon laquelle sept migrants étaient morts sur un bateau. La police et les travailleurs d’une ONG leur expliquèrent qu’il s’agissait d’une fausse information, mais les 200 migrants n’étaient évidemment pas intéressés à écouter cette vérité. Ils étaient prêts à faire le jihad, car ils croyaient en la rumeur sur cet évènement, dont la responsabilité, même s’il s’était avéré exact, n’aurait pu être imputée au gouvernement grec ni aux habitants de l’île. Les autorités ne réussirent pas à les calmer ni à les faire revenir dans le centre d’accueil.

Comme ce fut prouvé par la suite, la rumeur était fausse. Le soulèvement fut une « erreur », mais la police et les habitants durent passer la nuit à rechercher les réfugiés et les migrants dans les rues de Mytilène.

L’information sur la mort des sept migrants, parvenue par le biais d’appels téléphoniques, présente toutes les caractéristiques d’une opération secrète sous couverture, selon des sources policières officieuses, et ce dans le but d’exciter les migrants.

Quelques jours plus tard, le 19 septembre, toujours sur l’île de Mytilène, il y eut une nouvelle révolte des migrants dans le district de Moria. Cette fois-ci, les migrants avaient entendu qu’ils seraient renvoyés en Turquie, information qui s’avéra à nouveau être tout à fait erronée. Ils mirent immédiatement le feu à 16,5 hectares de plantations d’oliviers, ainsi qu’à leur camp.

Les 300 migrants qui s’étaient échappés entre-temps de leur camp pour manifester dans le centre de l’île incendièrent les environs du camp jusqu’à ce que la police les arrête et les ramène dans le camp, où ils essayèrent à nouveau de tout brûler.

Les habitants virent leurs bosquets d’oliviers se réduire en cendres, ainsi qu’une grande partie du camp des migrants, 3 conteneurs maritimes, des vêtements et des chaussures de marche.

Certains migrants illégaux prenaient des selfies pendant l’incendie et criaient « Allahou Akbar ».

Le port de Mytilène fut transformé en un champ de bataille, où les migrants et de nombreux gauchistes essayèrent d’empêcher le contingent militaire de baisser les Couleurs en face du vieux port.

Les gauchistes détestent le drapeau national. Ils semblent préférer les états multinationaux, sans aucune référence aux fondements de l’état national. Ils chantaient des slogans et provoquaient à la fois les militaires et les habitants de l’île qui, de l’autre côté de la rue, observaient stupéfaits la scène. Il s’agissait d’une démonstration de force de la part des gauchistes et des migrants illégaux. De nombreux citoyens de l’île ne purent supporter de voir ces migrants illégaux et les gauchistes les provoquer et essayer d’arrêter le baisser du drapeau.

Des citoyens furieux se dirigèrent vers les fauteurs de troubles et engagèrent des combats de rue.

Chaque dimanche matin, sur l’île de Mytilène, les soldats hissent le drapeau et le soir, une heure avant le coucher du soleil, ils baissent les Couleurs.

Une semaine après cet incident, des milliers de Grecs réunis autour des soldats et du drapeau, chantèrent l’hymne national grec, montrant par là leur foi et leur respect envers le symbole de la nation.

Les gens ont peur. Ils se réunissent derrière le drapeau et l’armée car ils sentent qu’ils sont en train de perdre leur patrie et leur souveraineté aux milliers de migrants illégaux qui occupent leur île.

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Non, tous les citoyens ne sont pas anesthésies, avachis, lobotomisés par la propagande gauchiste destructrice de nos valeurs, de nos pays, de nos peuples, de notre civilisation et cette vidéo le prouve. L’attitude de ces patriotes grecs est une bouffée de fraîcheur, une fleur d’espoir.

Le 26 septembre dernier, dans la région de Tympaki en Crète, les gens découvrirent partout dans les rues des citations du coran. Le texte, signé par les Frères musulmans de l’île de Crète, s’adressait aux musulmans et spécifiait entre autres :

« Vous êtes les êtres supérieurs de ce monde. Seule votre foi compte et vous seuls avez le droit de vie et de mort et le droit de propriété sur quiconque ose contester votre leadership et n’embrassera pas votre foi.

Allah demande aux croyants d’être les maîtres de la terre où ils vivent et eux seulement ont le droit à la propriété et seulement eux seront les propriétaires de la terre.

Allah a dit que nous devrions conquérir toute la planète et les croyants posséderont ainsi la terre et les récoltes.

Les infidèles ne peuvent posséder la terre et les récoltes, car elles nous appartiennent à nous les croyants.

Les incroyants ne recevront de nous, comme le saint coran nous l’assure, que des aumônes. »

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  • Le même jour, le 26 septembre, dans la région d’Asprovalta près de la ville de Thessalonique, un home de 49 ans en provenance de France, arrivé en Grèce via la Turquie, fut suivi par des officiers de police, car il était suspecté d’être un jihadiste. Quand il vit la voiture de police, il prit la fuite en criant « Allahou Akbar ». Il fut arrêté et le procureur local ordonna son expulsion.
  • Il y a un mois, les habitants de Vavilon, un petit village de Chios, une autre île qui accueillit un grand nombre d’illégaux, décidèrent de se faire justice eux-mêmes, car l’État ne semblait pas vouloir les protéger. Ils constituèrent une milice pour protéger leurs familles et leur propriété des agressions des migrants illégaux. En une semaine, ils avaient enregistré plus de 10 vols et d’importants dégâts aux propriétés.

Les médias couvrent ces « incidents » comme ils couvrent les tremblements de terre, seulement, quand une secousse importante crée des dommages majeurs, les petites secousses n’ayant aucun intérêt à leurs yeux.

Les médias manifestent également la même glaciale indifférence envers les problèmes quotidiens causés par les migrants illégaux aux habitants.

Par contre, ils s’intéressent aux trafics de drogue, aux conflits entre les migrants de différentes sectes, aux rébellions dans les camps, aux querelles entre ethnies et aux viols des mineurs (garçons et filles).

  • Le 24 septembre dans la région de Moria, quatre migrants pakistanais de 17 ans violèrent un compatriote de 16 ans et enregistrèrent le viol sur leur téléphone portable. La police arrêta les violeurs qui faisaient chanter le garçon avant de le violer.
  • Des migrants illégaux ont également bloqué des rues dans plusieurs villes, perturbant le trafic pendant des heures. Ils occupent les routes comme bon leur semble, la police assiste, impassible et n’arrête personne.

Le gouvernement grec s’est montré amical envers les migrants.

  • Les illégaux, dans une apparente démonstration de leur pouvoir, ont demandé aux conducteurs grecs de montrer leurs cartes d’identité et leur permis de conduire.
  • Ils ont établi des « check points » comme le ferait une armée d’occupation.
  • La police et le gouvernement ne sont pas intervenus.
  • Effrayés par le grand nombre de migrants leur intimant l’ordre de montrer leurs papiers, les gens obéissaient.
  • Ils craignaient pour leur vie et leur voiture et voulaient éviter que la situation ne s’envenime. En outre, comme la police se contentait d’observer passivement, ils n’avaient pas vraiment le choix.

Chaque jour, les migrants illégaux bloquent une route ou l’autre sous prétexte qu’ils ne

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