Les informations que vous allez lire vont en surprendre plus d’un.
New York, avec Wall Street, la place boursière la plus célèbre au monde, sa 5e avenue, ses boutiques de grand luxe, ses gratte-ciel, et le prix moyen des appartements atteignant 2 millions de dollars, est une ville de gauche au bord du gouffre.
A New York, lors de l’élection présidentielle, Hillary Clinton a reçu près de 79 % des votes contre 18 % pour Donald Trump.
La ville est devenue une sorte d’Etat providence qui a tout fait pour prendre en charge sa population.
New York, c’est 8,5 millions d’habitants, soit un peu plus que la Suisse, composée ainsi :
- 32 % de blancs
- 29 % d’Hispaniques
- 24 % de noirs
- 14 % d’Asiatiques
- 38 % de la population est née à l’étranger
- 17 % ne sont pas américains.
Economiquement, les New-Yorkais ne parviennent pas à joindre les deux bouts, et ils ne s’en sortent qu’avec l’aide de la ville, dont la dette atteint 100 milliards de dollars, qu’elle ne pourra jamais rembourser.
- 27 % des résidents se nourrissent grâce à des bons alimentaires— soit 1,7 million de personnes. Coût : 250 millions de dollars par mois.
- 5 % de la population est «invalide». Tout le monde sait qu’il s’agi289t d’une gigantesque escroquerie, mais personne ne veut enquêter. Le coût : 252 millions de dollars par mois.
- 600 000 New Yorkais, soit 7 % de la population, reçoivent une aide au logement.
- Les autres aides diverses représentent un autre billet de 100 millions de dollars chaque mois.
Cette population dont le cordon ombilical avec la municipalité lui permet de survivre, ne va certainement jamais voter pour un parti républicain qui encourage les gens à se prendre en charge au lieu de quémander les aides de l’Etat. Aussi la gauche maintient ces gens en état de dépendance. Elle met tout son talent au service de la destruction du tissu social, en s’assurant que les entreprises ne puissent pas créer d’emplois, exactement comme ce que vous vivez en France.
Cette situation ne peut changer que si l’économie décolle, que les entreprises embauchent, et que les pauvres sortent de la misère par le travail.
Et c’est exactement ce que Donald Trump a promis de faire, raison de sa présidentielle victoire.
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Donald Trump a décidé de baisser fortement les impôts des entreprises, de réduire énormément les coûts d’exploitation par la suppression de nombreuses réglementations (les conditions d’agrément auprès de l’EPA, l’Agence pour la protection de l’environnement, ont été tellement durcies par l’administration Obama que certaines entreprises attendent des années une réponse, pour finalement se voir refuser leurs projets), et l’élimination des taxes destinées à compenser le réchauffement climatique auquel Trump ne croit pas.
Si Trump réussit son pari— et tout laisse à croire qu’il va réussir— il va aspirer une partie des électeurs démocrates, et cela, les analystes démocrates l’ont parfaitement compris. Le parti démocrate va tout faire— en s’appuyant sur les médias— pour tenter d’entraver la réussite de Trump, car chaque victoire, chaque emploi créé, chaque famille qui sauvera sa maison de la saisie, rapprochera la gauche de ses funérailles.
La gauche va tout faire pour empêcher l’Amérique de retrouver sa grandeur, comme elle a tout fait pour détruire des pays jadis plutôt en bonne santé. Comme la France par exemple, dont l’industrie a été livrée aux mains des prédateurs syndicats communistes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Les chiffres ont été compilés par Bill O’Reilly sur Fox News.
Logique :
Les bolchéviques ont bien utilisé le trésor des tsars tant qu’il restait un kopek.
Tout ce que la gauchiasse sait faire c’est prendre le produit du travail des autres, sans oublier au passage, de se gaver de champ.-caviar.
La “gôôche”, c’est comme la Tumeur:
Maligne.
Question: Que se passerait-il si le socialisme était instauré au Sahara ?
Réponse: Pendant 50 ans rien du tout, … après il y aurait pénurie de sable au Sahara.
Voir tous ce miséreux déambuler la nuit pour dormir devant les devantures des magasins les plus chics du centre ville de San Francisco, de Los Angeles, à San Diego c’est pire que pire.
Le brave OBAMA de nos merdia, laissera une très grande misère dans son pays.
Dès que la nuit profonde tombe autour de Powell avenue, Union Square.. à San Francisco on est loin des films ou séries : ce n’est que misère et odeur de pisse.
Vous avez raison : San Francisco a toujours eu son quartier de Tenderloin où se réunit les laissés pour compte … Mais ce secteur s’agrandit et l’on rencontre partout des SDF. Oui, à San Francisco sur la place du Capitole quand tombe la nuit : une faune déboule et cela fait peur.