Publié par Sidney Touati le 20 décembre 2016

Crime commis au nom de l’Islam. Madrid, Londres, Paris, Bruxelles, Berlin… les autistes de la politique préparent la guerre civile en Europe.

Après les écoles, les journalistes, les Juifs, l’Eglise, les entrepreneurs, les simples passants… c’est Noël qui est la cible des tueurs musulmans en Allemagne. Déjà un attentat meurtrier contre le marché de Noël à Strasbourg avait été déjoué il y a quelques années, évitant un véritable carnage.

Comment réagissent les dirigeants face au fanatisme musulman ? Comme des gens qui n’ont jamais entendu parler de l’Islam. Qui n’ont jamais lu la moindre ligne du Coran ; qui ignorent tout de la conquête musulmane.

Pour eux, les crimes commis au nom de l’Islam par des fanatiques qui se sentent investis d’une mission sacrée sont un véritable mystère. Pour eux, l’Islam est et demeure, envers et contre tout, une religion d’amour et de paix. Sous l’occupation allemande, la propagande officielle agissait de même. Quelle que soit l’étendue des crimes commis par les Allemands, jamais leur responsabilité n’était mise en cause.

Si les Allemands fusillaient 50 otages, et bien la faute en incombait aux résistants. A Radio-Londres. Aux Juifs !

Ainsi, nos dirigeants actuels opposent au fanatisme islamique un autre fanatisme, celui du déni absolu des réalités. Les fanatiques de la protection de l’Islam gouvernent l’Europe.

L’Islam s’exprime ainsi de deux manières : par le moyen des crimes terroristes et par la bouche de nos dirigeants qui se font les défenseurs inconditionnels de cette religion.

Leur politique face au crime islamiste est simple. Elle est directement inspirée par celle mise en place par les dirigeants des pays musulmans.

Cette politique se résume en deux volets :

Premier volet :

Augmenter les systèmes de contrôle non des seuls musulmans, mais de toute la population. Restreindre le champ des libertés ; s’attaquer aux autres religions et aux traditions (par exemple interdire les crèches dans les lieux publics, stigmatiser les catholiques lorsqu’ils défendent les valeurs qui leur semblent fondamentales, stigmatiser les Juifs à travers Israël…

Deuxième volet :

Protéger l’Islam, interdire tout débat le concernant. Pratiquer le déni des réalités.

Assurer la protection des mosquées alors qu’aucune mosquée n’a été la cible d’attaque armée ; interdire toute critique de l’Islam et traduire devant les tribunaux toute personne qui oserait émettre des jugements non politiquement corrects sur cette religion ; bâillonner la presse et pratiquer la censure dans les médias. Diaboliser toute personne qui émettrait un doute ou une interrogation ou une opinion contraire à celle des gouvernants… accuser les Corses de racisme alors qu’ils ne font que défendre leur tradition et liberté face aux agressions des islamistes.

Lisez les commentaires faits par Madame Merkel ou par Monsieur Hollande. Que disent-ils ? Ils évoquent un acte terroriste commis par un demandeur d’asile.

Pas de référence à la cause au nom de laquelle ces crimes sont commis et à la religion dudit demandeur d’asile.

On connaissait les alcooliques anonymes, le CV anonyme, nos dirigeants ont inventé l’information anonyme ! Pour eux, l’Islam est une religion anonyme peuplée de tueurs anonymes ou déséquilibrés, et de malades mentaux. Pour nos dirigeants, l’Islam est par définition irresponsable des crimes commis en son nom. Ce fait est présenté comme une vérité a priori. Il ne tolère aucune discussion.

Avec cette logique du déni et de la répression, nul doute que les tueurs islamistes ont de beaux jours devant eux, qu’ils percevront comme autant de signes de faiblesses et de lâcheté la politique suivie par les gouvernements européens.

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Combien de morts, de blessés, de victimes faudra-t-il compter pour que nos dirigeants renoncent à leur politique de soumission à l’expansionnisme islamiste ?

Car le crime terroriste musulman n’est que la face apparente de la croisade de l’Islam en « terre chrétienne ». Le combattre avec les uniques forces policières, c’est s’attaquer au symptôme, jamais à la cause qui le produit.

Il y a ces milliers d’actes quotidiens qui imposent jour après jour les normes de la Charia dans les pays démocratiques occidentaux. Il y a ces quartiers où il est dangereux de circuler si vous êtes non-musulmans, mortel si vous êtes juifs et portez une kippa ; on n’hésite plus à brûler des policiers, à agresser les pompiers et toute personne symbolisant la République.

Il y a ces bars où on ne vend plus d’alcool ; où les femmes sont interdites d’accès ; il y a ces milliers de mariages forcés ; il y a l’excision pratiquée sur les petites filles ; il y a cette terreur larvée qui envahit des millions de gens… il y a cette violence dans les écoles, dans les transports en commun sur les lieux de travail… ce chauffeur de métro qui refuse de s’asseoir sur le fauteuil occupé par une femme… ces trafics en tous genres… l’imposition de la viande halal dans les écoles, dans les boucheries, les supermarchés, avec interdiction d’indiquer le mode d’abattage des bêtes ; il y a ces mosquées financées avec les fonds publics en violation de la loi portant séparation des Eglises et de l’Etat… il y a la honte de soi pratiquée par nos « élites », la honte d’être français, de revendiquer fièrement ses racines, ses traditions…

Nos dirigeants ne voient rien.
N’entendent rien.

Ne comprennent rien.

Les dirigeants ne cherchent plus l’intégration. Ils savent la chose impossible

Ils ont parfaitement intégré ce qui constitue l’essence de la religion musulmane : la soumission.

Ils se soumettent et tentent de soumettre le pays qu’ils dirigent aux nouvelles normes islamiques. Ils ne cherchent plus l’intégration. Ils savent la chose impossible. Alors ils optent pour le contraire. Ils mettent en place une politique qui rendrait possible l’assimilation de la République par l’Islam. L’Etat exerce une violence inouïe sur la société civile. On a pudiquement coiffé ce processus de violence d’un capuchon appelé « l’Islam de France ». Le label « France » décerné à l’Islam rendrait, comme par miracle, cette religion compatible avec les valeurs de la République.

On ne peut franciser ou russifier ou italianiser… l’Islam.

Je mets au défi quiconque de donner une définition de cette notion d’Islam de France. C’est un leurre, une appellation destinée à masquer les réalités. Il n’y a pas, il n’y aura jamais un Islam de France. C’est une contradictio in adjecto. Il y a par contre, une France de l’Islam ou une France islamisée.

Nos dirigeants restent sourds face à la montée des périls. Ils sont les héritiers d’une culture politique qui n’a pas levé le petit doigt face à la montée du nazisme.

Ils invitent les peuples à vivre sous la menace de la terreur musulmane, comme s’il s’agissait d’une calamité naturelle contre laquelle on ne peut pas grand-chose, si ce n’est se protéger et attendre !

Ces autistes de la politique organisent le déclin et préparent les guerres civiles européennes de demain. A quand le réveil des peuples ? A quand le grand coup de torchon ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

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