Publié par Jean-Patrick Grumberg le 22 décembre 2016
« Ils ne sont pas dangereux, ils sont en danger »

L’attentat qui vient d’être perpétré en Allemagne permet de tirer un certain nombre de leçons.

La première est qu’aucune leçon ne sera tirée.

La seconde est qu’aucun dirigeant politique ne dira que le terrorisme islamique puise ses racines, son inspiration, ses ordres, sa motivation, dans le coran. Le dieu de l’islam oblige le bon musulman à soumettre par la violence l’ensemble de la planète pour imposer sa loi. Les meilleurs parmi les bons musulmans sont donc des terroristes en puissance. Ne pas le dénoncer, c’est le permettre.

La troisième leçon est que le terrorisme islamique vise toujours les mécréants. C’est une guerre territoriale de religion et rien d’autre qu’une guerre territoriale de religion pour installer l’islam sur la terre entière. En Europe, en Israël, au Moyen-Orient, en Inde, en Afrique, en Amérique. Pas au Japon, en Corée du sud et du nord pour l’instant – trop impénétrables.

Les chiites sont des mécréants pour les sunnites. Les sunnites sont des apostats pour les chiites. Les chrétiens, les juifs, les athées sont regardés comme non-croyants qui doivent être soumis ou exterminés.

Le lendemain de l’attentat de Berlin, sur les ondes, les médias faisaient dire à des experts qu’il est scandaleux d’amalgamer terrorisme et immigration. L’interdiction du débat continuait sur les cadavres empilés. J’ai la tristesse de penser que 10 000 morts ne les feront pas changer d’avis, car ils n’expriment pas un avis, mais une croyance. Le mal, pensent-ils, se situe parmi les blancs, le bien parmi les barbares.

Cet attentat s’est produit dans le pays le plus tolérant, le plus accueillant, celui qui a le plus grand ouvert les bras à la migration.

Ceux qui ne tireront aucune leçon ne verront pas que l’islam est plus violent lorsqu’il a en face de lui un pays docile à conquérir.

C’est une loi bien connue en Occident : il est toujours plus difficile de nager à contre-courant. L’attitude tolérante de l’Allemagne envers l’Islam est un encouragement à l’invasion, les méthodes classiques de l’islam incluent le terrorisme.

L’Etat islamique vient de frapper le pays le plus progressiste du monde occidental envers l’immigration de millions de musulmans, le plus généreux envers l’islam, celui qui offre aux réfugiés les meilleures conditions d’accueil, qui ne met pas les délinquants musulmans et les prédateurs sexuels musulmans en prison.

Le Portugal, considéré comme le pays européen avec la population musulmane la plus faible, moins de 1 %, n’a pas connu d’attentat depuis 1983, quand l’ambassade de Turquie fût attaquée par l’armée révolutionnaire arménienne — même pas des musulmans. L’islam sait qu’il ne fera pas plier un Portugal déjà raidi contre lui en commettant des attentats. Il sait que l’Allemagne, la France, la Belgique aux gouvernements et médias déjà soumis sont des cibles molles faciles à dominer. C’est là que se concentreront les futurs attentats, jusqu’à la soumission totale.

Les dirigeants européens sont tous atteints de dysfonctionnement mental : ne pas comprendre qu’on ne peut pas savoir qui sont les terroristes infiltrés et les vrais réfugiés si l’on ne fait pas le tri avant qu’ils arrivent relève du crétinisme.

Ne pas tirer les conclusions de la présence de 75 % d’hommes jeunes, en âge et en état de combattre parmi les migrants, ne pas vouloir se demander pourquoi les plus vulnérables parmi ceux qui fuient la guerre ne sont pas majoritaires dans les flots de réfugiés, relève d’une sérieuse déficience mentale.

Ne pas chercher à connaître le passé, le casier judiciaire, les intentions d’instaurer la loi de l’islam des millions de migrants venant de pays islamistes aux multiples nids de serpents jihadistes est une attitude criminelle envers les peuples dont les dirigeants ont la responsabilité.

Afficher de l’humanisme envers les barbares pour accepter la barbarie parmi les humanistes européens, c’est exposer aux dangers sa population sur son propre sol, pour protéger du danger des étrangers sur leur sol.

Lorsque la vague de migrants a commencé à déferler, et que Dreuz a dénoncé la présence parmi eux de terroristes, les médias nous ont insultés. Nos informations étaient bonnes. Les leurs étaient bidons. Les nazes aujourd’hui, ce sont eux, pas nous.

Car la pensée de droite est libérée, celle de gauche est toujours bornée par ses préjugés.

Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.

Libre, l’homme aborde les sujets, les examine avec réalisme, ce qui est impossible à gauche puisque les cerveaux des intellectuels sont verrouillés par les nombreux interdits qu’ils s’imposent.

Interdit de penser librement, interdit de penser en dehors de l’idéologie, interdit de la remettre en cause et de poser des questions, interdit de réfléchir sur les sujets qui se trouvent en dehors du champ autorisé de la réflexion correcte.

Tant que la pensée de gauche refusera de laisser la réalité affaiblir ses théories, les cadavres s’empileront, et l’histoire recommencera. C’est la gauche pacifique qui a laissé les 11 millions de morts du nazisme s’empiler.

Tant que la gauche estimera que la validité de ses théories progressistes est certaine, qu’elles sont strictement comparables à ce qui existe et a fait ses preuves, et que la droite acceptera cette escroquerie intellectuelle, le monde empilera les cadavres. Préparez les cercueils.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading