Publié par Christian Larnet le 29 décembre 2016

Sept migrants syriens ont frappé un bébé âgé d’un an et demi dans un bus de la ligne 1 qui se dirigeait vers Lechhausen, puis ont frappé à coups de ceinture les infirmiers qui tentaient de lui porter secours.

Ce choquant nouveau témoignage des bienfaits de l’immigration s’est produit dimanche soir vers 21 h, à Augsburg, une des plus vieilles villes d’Allemagne.

Souvenez-vous, 50 000 résidents ont été évacués suite à la découverte d’une bombe d’1,5 tonne de la Seconde Guerre mondiale, et des habitants se trouvaient dans un bus affecté à cet effet lorsque l’agression s’est produite.

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Les agresseurs, des réfugiés syriens, ont laissé exploser leur rage parce qu’un landau prenait trop de place dans le bus. Ils ont alors jeté des projectiles sur les passagers. Quatre des musulmans, utilisant les barres et les poignées du bus pour se balancer en l’air, se sont mis à violemment attaquer les femmes et les personnes âgées afin de les provoquer à la bagarre, selon des témoins oculaires.

Dans leur sauvagerie, frappant indistinctement les passagers, l’un d’eux a frappé le bébé au visage d’un violent coup de poing.

Selon un autre passager cité par Augsburger-allgemeine.de, environ 20 hommes se trouvaient à l’arrière du bus. Une dispute a éclaté entre les Syriens, qui a complètement dégénéré en une agression contre tous les passagers du bus. A un moment, un des Syriens a sauté dans le landau et a frappé le bébé à coups de pied.

Les services de secours, appelés par des passagers, sont alors arrivés sur place pour apporter des soins aux blessés, mais les hommes commencèrent à les attaquer à coup de ceinture quand ils ont commencé à vouloir soigner le bébé— et ils ne se sont arrêtés que lorsque la police est arrivée sur place.

La police a lancé une enquête. Des charges très légères seront retenues contre les agresseurs, un message qui veut clairement dire : nous n’envisageons pas de vous empêcher de recommencer.

Pendant ce temps, les Allemands renoncent petit à petit à leurs libertés de mouvement, pour éviter d’être victimes d’agressions.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

Sources :

express.co.uk
augsburger-allgemeine.de
de.sputniknews.com
welt.de

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