Près de 70 pays vont se réunir ce dimanche 15 janvier, à Paris, pour une conférence internationale qui va tenter de relancer le processus de paix israélo-palestinien. Gilles William Goldnadel regrette le «parti pris» de la communauté internationale dans ce dossier.
Encore un spectacle. Encore une séance photo pour dire «je suis important» et pour donner l’illusion de «faire quelque chose». Mais la paix sera perdante. C’est ce qui nous attend à la conférence de Paris sur le Proche Orient de ce week-end.
Comment encourage-t-on deux peuples à faire la paix ? En les aidant à s’asseoir et à discuter pour qu’ils parviennent à se réconcilier et à résoudre leurs différends. En les préparant à la nécessité de faire de douloureux sacrifices, parce que c’est le prix à payer que la paix mérite.
La conférence franco-palestinienne du 15 janvier à Paris est sur le point de faire très exactement le contraire. Plutôt que de faire également pression sur les dirigeants palestiniens afin qu’ils retournent à la table des négociations avec Israël, cette conférence va encourager leur détermination à éviter à tout prix de négocier.
La paix entre Israéliens et Palestiniens ne nécessite pas de conférences grandiloquentes avec plusieurs douzaines de participants se terminant sur des déclarations dénuées de sens. Pour promouvoir la paix, les nations du monde ont aussi besoin de dire aux Palestiniens l’évidente vérité: il faut oser leur dire que la paix passe par une reconnaissance d’Israël en tant qu’Etat du Peuple Juif et que le seul moyen d’y parvenir reste la négociation directe.
Il faut leur dire qu’Israël est un partenaire de paix et est prêt à faire des concessions douloureuses, comme cela a déjà été fait par le passé. Il faut dire aux Palestiniens qu’eux aussi auront à accepter des compromis difficiles avec Israël concernant les frontières, les réfugiés, la sécurité et Jérusalem ; que c’est le seul moyen de ramener l’espoir et d’assurer un avenir meilleur à leurs enfants et aux futures générations.
Le chemin de la paix entre Jérusalem et Ramallah passe justement par là : Jérusalem et Ramallah. Pas par New-York. Ni par Paris. Ni par l’ONU de parti pris, les condamnations unilatérales ou des conférences bavardes. La paix se construit avec des négociations bilatérales, où des dirigeants se parlent en tête-à-tête, prêts et désireux de travailler ensemble. Ce fut le cas lorsqu’Israël et l’Egypte firent la paix en 1979. Ce fut la leçon tirée de la paix israélo-jordanienne en 1994. De l’Irlande du Nord au Sud Soudan, région après région, ce sont des pourparlers directs qui ont pavé le chemin de réelles solutions pacifiques.
Suite à la fantasque résolution unilatérale 2334 récemment adoptée par le Conseil de Sécurité de l’ONU, qui qualifie les lieux les plus saints de la religion juive à Jérusalem de «territoires palestiniens occupés», la conférence franco-palestinienne de Paris est programmée pour servir de nouvelle plateforme pour une énième flagellation publique et unilatérale d’Israël, un autre forum grandiose qui évitera aux dirigeants palestiniens de prendre leurs responsabilités.
Les israéliens ont, à maintes reprises, prié le Président de l’Autorité Palestinienne, de les rencontrer. Pourtant, plutôt que de soutenir et de s’associer à cette demande, la communauté internationale se montre complaisante vis-à-vis de la dérobade d’Abbas à l’idée de pourparlers directs. En effet, pourquoi Abbas négocierait-il avec Israël, quand il sait qu’il peut, sans effort, faire en sorte que seul Israël soit incriminé par la communauté internationale ; une communauté internationale qui ignore soigneusement la culture de la haine et de la violence qui se répand sous son nez au sein de la société palestinienne.
Israël est prêt à négocier directement avec les dirigeants palestiniens, n’importe où, n’importe quand, sans préconditions. Mais les Palestiniens ont fui les négociations à maintes reprises, à Camp David en 2000, avec Ehud Olmert en 2008, et à Paris et Washington en 2014.
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La conférence de Paris ne sélectionnera probablement les problèmes à traiter que dans le but d’apaiser les Palestiniens, et ne fera ainsi que renforcer leur intransigeance et perpétuer le conflit, portant de ce fait atteinte au peuple arabe de Palestine plutôt que de servir ses intérêts.
La tentative des Palestiniens d’internationaliser le conflit, facilitée par certains leaders mondiaux, permet à leurs dirigeants d’éviter de parvenir à un accord définitif. Cela prouve aussi que ce conflit n’a jamais porté sur la question d’un Etat palestinien. Il porte, et a toujours porté, sur le droit d’Israël à exister, quelles qu’en soient ses frontières. Trouver une solution au conflit implique que les Palestiniens soient prêts à vivre en paix aux côtés d’Israël, et non à la place d’Israël.
Les israéliens restent majoritairement engagés en faveur de la solution de deux Etats pour deux peuples vivant en paix. Le conflit peut être résolu si les dirigeants palestiniens souhaitent y mettre fin, en discutant directement avec leurs partenaires israéliens et en trouvant, ensemble, des solutions aux différents enjeux.
Si les nations du monde cherchent vraiment à faire avancer la paix, elles devraient envoyer un message clair et sans équivoque à Abbas : «Arrêtez de soutenir la violence et le terrorisme, arrêtez de promouvoir les discours de haine, et arrêtez d’éduquer les enfants Palestiniens à tuer des juifs. Apprenez-leur qu’Israël existe bel et bien, et que des relations de paix avec Israël doivent être les fondations d’un futur Etat palestinien».
Tandis que le sang continue de couler à flots dans la Syrie voisine, certains dirigeants, impuissants sur le dossier, préfèrent s’affairer à organiser une parodie de conférence, éloignée de toute réalité et en exigeant tout de l’un et rien de l’autre. D’une certaine manière, la conférence de Paris d’aujourd’hui est un rassemblement des dirigeants d’hier. La communauté internationale, comme on l’appelle, devrait pouvoir faire mieux si elle entend vouloir rester digne de ce nom.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation du Figaro Vox.
Le tumulte parmi les nations qui s’élèvent contre Dieu et contre son Oint.
Abbas a déclaré ce matin que tout Jérusalem est territoire palestinien conquis, sûrement en prévision de la volonté de Trump de transférer l’ambassade américaine à Jérusalem. Et c’est à cette crapule que vous allez demander de reconnaître Israël ? Vous êtes un Juif extrêmement intelligent, au fait de l’actualité, profondément sioniste, mais totalement influencé par le concept laïc de la paix, vous confondez avec la paix dont parle nos textes… Sachez qu’en Israël, on ne veut pas de la paix arabe ou laïque. Mais malgré votre volonté et votre sincérité, vous ne pouvez pas comprendre ce que la “solution à deux Etats” veux dire : pour Israël ce n’est que du temps. Nous ne sommes pas stupides, nous savons que de tout temps nos ennemis n’ont jamais compris que la puissance militaire, et c’est elle que nous renforçons chaque jour, en déclarant que nous sommes favorables à une “solution à deux Etats”… Nos conditions ne seront jamais acceptées par les Arabes, nous le savons, et nous savons qu’ils déclencheront les forces du monde contre nous, c’est leur plan, pas d’être en paix ou d’avoir un Etat, sinon ils l’auraient depuis longtemps, tout au moins depuis 1947. Ils considèrent cette terre comme terre d’islam, et rien ne les fera changer. C’est ce blocage “religieux” qui a empêché Arafat de signer avec Barack et Abbas avec Olmert. Maintenant, nous sommes en position de force, c’est-à-dire complètement lucides face à leur prétention et leur arrogance, et rien ne nous fait peur.
Les arabes, endoctrinés dès leur plus jeune âge à la haine envers le peuple juif sont tout simplement incapables (….) à changer de logiciel! Ce sont des menteurs, des assasins, des voleurs……Le peuple juif ne peut et ne doit jamais partager son magnifique pays avec ces barbares!
Pour ma part, je suis convaincu que cette conférence n’est pas le fruit d’une réflexion du Quai d’Orsay. Des conflits mille fois plus meurtrier sont en cours en Syrie ou au Yemen, mais ce qui obnubile le gouvernement, ” la mère de toute les batailles ” comme disait l’idiot Fabius, c’est Israël. Cette obsession révèle un manque singulier de lucidité et d’ honeteté; il y a aucune logique à se focaliser sur ce “pseudo-conflit”. Tout ce que je remarque, c’est que la décision d’organiser cette conférence a été prise peu de jours après l’accord sur le nucléaire Iranien.
J’émets l’hypothèse que la Diplomatie Française n’est plus entre ses mains, mais vendu au plus offrant ou acheteur d’Airbus, comme Téhéran ou Doha.
“arrêtez d’éduquer les enfants Palestiniens à tuer des juifs.”
En admettant qu’ils acceptent, il faudra attendre au moins une génération pour voir le changement dans la société. Je pense qu’avec le lavage de cerveau de leurs enfants, ils se sont mis d’eux-mêmes dans une impasse.
Le bon côté des choses pour eux, c’est qu’ils sont entretenus par la “communauté internationale”.
Ce que vous demandez là est simplement la désacralisation du Coran. Si la plupart des intellectuels du monde arabe évolué l’ont déjà fait dans le secret de leur coeur, il reste encore trop de fanatiques et trop de factions intéressées qui ne se soucient guère d’humanité et pour qui la souffrance humaine, du moins celle des autres, est un facteur négligeable.
Trouver la vérité absolue est une chimère. Qui donc peut se targuer d’en connaître toutes les facettes ?, sinon Dieu lui-même. La “Vérité” devient de plus en plus relative avec le temps qui passe et les entorses faites en son nom.
Si une solution, autre qu’un statu-quo imposé de force, peut-être apportée, elle le sera par l’Amour et le Pardon, mais cela, c’est une solution chrétienne!
Même si on ne peut connaître la vérité sous toutes ses facettes , à l’heure actuelle n’essayant même pas de s’en approcher , je vois apparaître dans de nombreux articles médiatiques le terme de ” post- vérité ” ; que mettent- ils dedans , cela reste un mystère ???
Pour moi , ayant un esprit binaire , ce ne peut être que le mensonge .
Je suis totalement d’accord avec vous .
C’est la raison pour laquelle je pense qu’il est grand temps pour Israel et les Juifs sionistes dans le monde d’affirmer et défendre notre vérité avec force et courage , sans tergiverser , ni craindre le “qu’en diront -ils ” des autres dirigeants . Ils ne prennent pas de gants pour nous nuire en prétextant de leur amitié et de leur désir de nous aider à vivre en paix .
Témoignage diplomatique :
Les dessous du Quai d´Orsay comme vous ne les verrez jamais ailleurs que dans ce cours http://www.ravdynovisz.tv/video.php?video_id=32568
Tout a fait d’accord avec l’exposé du Rav .
Corolaire essentiel à ce qu’il dit:
Ceux qui nous ont précédé ont témoigné pendant tous ces siècles de leur attachement indéfectible à laTorah , à l’unicité de notre peuple en dépit de sa dispersion au péril de leur vie et de leur bien-être , sans aucun réconfort .
Notre génération et celles à venir qui ont eu la chance de voir se réaliser des prophéties , ont le devoir impératif de montrer aux nations que sa MATRICE est la terre d’ Israel et ne rien céder en ce domaine quelque soit le prix à payer , la réalisation du projet dont nous sommes chargés est certaine si nous restons déterminés et unis .
Mr Goldnadel , vos articles sont toujours excellents , mais je ne suis pas d’accord avec celui-ci .
Toute personne sensée sait que si on a pu rendre le Sinaï à l’Egypte , Gaza ( ex territoire philistin) au Hamas , faire la paix avec la Jordanie qui ne réclamait rien , le probléme est totalement différent en ce qui concerne Jerusalem et la Judée – Samarie , c’est un probléme ontologique et d’autant plus sur un simple plan politique au vu de l’embrasement régional et mondial .
Ne pensez -vous pas Mr Goldnadel qu’il est temps d exposer cet autre point de vue , même si cela n’est pas diplomatiquement correct : les ennemis d’ Israel n’ont quant à eux aucun scrupule pour nous déligitimer .
Par le matraquage de leurs dénis , ils sont parvenus à faire de leurs mensonges une vérigé ( ou une post – vérité , terme tout nouveau qui désigne quoi : ? ) .
Je rajouterai qu’il est temps de donner un point de vue tout simplement JUIF , et advienne que pourra . Le monde musulman affirme le sien sans vergogne .
A force de ne pas oser dire les choses nous nous enferrons et nous perdons la bataille d’une vraie paix .
Mais , peut- etre , est-il trop tôt , la Providence et le temps joueront pour nous .
Je suis toujours étonnée que le ” printemps arabe” a été déclenché par un marchand de primeurs , un jerrycan , et une allumette .
Monsieur Goldnadel, dans un précédent commentaire dans Dreuz, sous un article récent de Guy Millière, j’avais écrit :
L’équation est simplissime dans sa complexité. Allons au fond des choses.
Du point de vue historique, la culture palestinienne du XXe et début du XXIe siècles est celle des origines coraniques : l’injonction de Mahomet de haïr et de supprimer les juifs (comme les autres non-musulmans, d’ailleurs). C’est LA constante multiséculaire, et cette culture palestinienne nihiliste de l’altérité a trouvé, dès les années 1940, comme mode opératoire de cette haine judaïque l’association du nazisme à la démarche jihadiste des fondateurs des Frères musulmans (Sayyid Qutb et Hassan el-Banna) ; le retour aux origines.
Dans un de mes derniers papiers :
Où sont les sites archéologiques arabes palestiniens ?
Publié le 27 octobre 2016
http://www.dreuz.info/2016/10/27/un-etat-palestinien-oui-mais/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
j’écris : « En un mot, c’est une guerre de religion islamique qui ne dit pas vraiment son nom et qui dure depuis les débuts des conquêtes du calife Omar ibn al-Khattab, dès 638. »
Plus loin : « Un État palestinien qui veut se bâtir dans la négation coranique séculaire du juif, et sur un conte merveilleux et fantasque, produit de l’imaginaire ? Est-ce vraiment une réalité historique incontestable ou sommes-nous en pleine imposture ? Le mythe fut pris pour le réel, cautionné par la propagande religieuse islamiste fanatique « moderne » des Frères musulmans dès 1935 avec Hadj Mohammed Amin al-Husseini, le grand Mufti de Jérusalem et proche de Hitler », etc.
Enfin : « En un mot, au-delà du mythe et de ses protagonistes politiques des années 1940, la réalité est ailleurs : c’est le passé islamo-impérialiste des origines, comme celui assurément implicite et sous-jacent au nationalisme panarabe des années 1935-1948, qui est perpétuellement réactualisé. (…) Il est incarné aujourd’hui par le Hamas (et même par l’autorité palestinienne) dans la ligne directe de l’idéologie religieuse et nazie d’Amin al-Husseini et des Frères musulmans. »
« Que des Européens [notamment les Anglais*], des Américains, et des Israéliens refusent de voir fait d’eux des complices de meurtres passés, présents, et à venir » est une cécité feinte et sélective. Elle s’aveugle d’une réalité historique fanatique beaucoup plus profonde, atavique et aussi ancienne que le Coran, les injonctions anti judaïques de Mahomet et les premières conquêtes du calife Omar ibn al-Khattab de la terre de Palestine (prise à l’Empire byzantin), devenue islamique dès 637-638 mais perdue avec les britanniques et Israël.
Dans l’imaginaire mythique des musulmans il faut reconquérir à tout prix cette terre perdue en tant qu’ancienne dâr al-islam, la « maison de l’islam », comme pour ce qui est de l’Andalousie, Poitiers et autres terres perdues et à reconquérir (d’où l’activisme frénétique des salafistes et des Frères musulmans en Europe à l’heure actuelle, avec ce projet islamo-impérialiste, rêve obsessionnel de reconquête en Espagne, en France et la résistance à l’islam en Europe centrale).
Sans fard et sans détours, c’est là le fond du problème de l’islam et des musulmans avec la Palestine et Jérusalem. En attendant, depuis plus d’un siècle les occidentaux pêchent dans l’eau trouble (notamment la France actuellement) au risque de voir surgir un monstre des profondeurs au bout de la ligne au sein même de l’Europe…
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(*) Maurice Saliba, « Quand les Anglais livraient le Levant à l’État islamique », par Lina Murr Nehmé (publié le 13 novembre 2016) : http://ripostelaique.com/quand-les-anglais-livraient-le-levant-a-letat-islamique-par-lina-murr-nehme.html
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Et sous un autre article publié par Bat Ye’or le 3 janvier 2017 :
La fatwa sur Jérusalem qui interdit aux pays Européens d’y installer leurs ambassades
http://www.dreuz.info/2017/01/03/la-fatwa-sur-jerusalem-qui-interdit-aux-pays-europeens-dy-installer-leurs-ambassades/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29
j’avais écrit :
Il ne s’agit pas seulement d’ambassades occidentales à installer à Jérusalem… Il s’agit du tabou mythique et légendaire (inventé) qui ferait de la capitale d’Israël le nombril unique de la oumma islamique, à l’exclusion de toute autre religion.
On en vient à la conclusion terrifiante qu’un conflit majeur serait sans doute inévitable avec ce monde arabo-musulman qui n’a cessé la guerre sainte obsessionnelle depuis la première conquête de Khalid ibn al-Walid de la Syro-palestine et la bataille de Yarmouk (636). Deux ans plus tard, le deuxième calife, Omar ibn al-Khattâb, acheva d’annexer les territoires de Syrie et de Judée ; Jérusalem, capitula, elle aussi. La Palestine était conquise à son tour par l’islam.
Territoires considérés comme islamiques jusqu’à la chute de l’Empire ottoman (1923), le monde arabe ne se résigne pas à l’idée de la création de l’État d’Israël (mai 1948).
Au nom d’Allah, Jérusalem est donc exclusivement islamique aux yeux des musulmans…
Ne reste donc que l’affrontement final ? Il est à craindre le pire tant que le sunnisme/wahhabisme n’abandonne pas l’idée de reconquête intégrale des terres perdues de l’islam.
Et c’est ce qui semble se profiler avec le noyautage systématique des organisations internationales (ONU, UNESCO…) par l’OCI et la Ligue arabe.
À terme, c’est la guerre de l’islam (déjà à l’œuvre) contre Israël et les pays occidentaux qui s’y rattacheraient.
D’où l’actuelle lâcheté perfide de la France, et l’imposture du Mur des Lamentations musulman.
Mais l’issue sera fatale pour les Arabes, selon les paroles rapportées (vraies ou fausses) de Mahomet lui-même dans un hâdith…
Il est cependant dit dans le Coran (en sourate 17, verset 104, Al-Isra, Le Voyage nocturne) : « Nous dîmes, après lui, aux fils d’Israël : ‟Habitez la terre, et lorsque s’accomplira la promesse de la vie dernière, Nous vous ferons revenir en foule [entrelacés]” », et « Ô fils d’Israël ! Rappelez-vous Mon bienfait [grâce] dont Je vous ai comblés, et que Je vous ai préférés [favorisés] à tous les peuples » (sourate 2, verset 47, Al-Baqarah, La Vache). CQFD !
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Plus haut dans les commentaires, Nicolas Carras (« Le palestinisme, de sa genèse à aujourd’hui, du Mufti, à Mahmoud Abbas en passant par Arafat, le Hamas, le Fatah, est une idéologie qui est par essence antijuive »), et ilan S. (« Ils [les Palestiniens] considèrent cette terre comme terre d’islam, et rien ne les fera changer. C’est ce blocage « religieux » qui a empêché Arafat de signer avec Barack et Abbas avec Olmert »), ont mis le doigt dans la plaie, si l’on peut s’exprimer ainsi.
« C’est un problème ontologique », comme a écrit Star.
Roger Depaus a écrit les mots justes et tabous : « la désacralisation du Coran » (incréé pour les musulmans), celle qui pourrait permettre une vérité en la matière et la possibilité d’une paix.
Hormis cela point de salut…
Bien cordialement,
FS
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Totalement d’accord avec vous comme avec ceux de Nicolas Carrasco .
Mais ce n’est pas demain que nous verrons la désacralisation du Coran : il faut reconnaître au monde musulman son absolu fidélité à ses dogmes , son incapacité à se remettre en question ou à lâcher quoique ce soit , car n’importe qui peut lancer une fatwa mortelle sur l’individu contestataire .
C’est une religion qui depuis l’origine dans sa divulgation à fait la preuve de son fanatisme .
Seule solution selon moi , lui opposer notre volonté et notre détermination sans compromis .
Pour entamer des pourparlers de paix, encore faut-il que dans chaque camp, une élite soit persuadée que la paix est moins préjudiciable que la poursuite du conflit. Désolé de constater que du côté Pas- lestinien (mais presque ) on serait bien en peine de trouver cette autorité , malgré le titre que ses représentants se sont accordé.
Après ce minable ” baroud” ( un terme de ta tribu, Barack Hussein ) emmène-donc tes caniches hollande et merkel cacapoupouter ailleurs; apprends-leur le caniveau.