Paris–A l’invitation du KKL France, en ce dimanche 29 janvier 2017, dans la salle même de l’UNESCO où la France et les pays arabes ont approuvé le 15 avril et le 13 octobre 2016, deux résolutions scélérates et négationnistes niant tout lien entre Jérusalem et le peuple juif, sont venus des représentants d’Israël et des communautés juive et chrétienne de France pour dénoncer vigoureusement les tentatives d’Etats musulmans et européens de délégitimer l’existence d’Israël en portant le fer au plan culturel, historique et linguistique.
Cette session s’est déroulée sous la présidence de son Excellence Carmel Shama Hacohen, ambassadeur d’Israël auprès de l’UNESCO, avec monsieur Dany Attar, président mondial du KKL, de monsieur Robert Zbili, président du KKL France, et de monsieur Yisrael Katz, ministre israélien du Renseignement et des Transports, avec la participation de journalistes, hommes de cultes, élus nationaux et communautaires, écrivains et responsables d’associations. Dreuz était invité en la personne de l’auteur de ces lignes.
Ce jour célébrait à la fois Tou- Bichvat, le Nouvel An des arbres dans le calendrier hébraïque et l’établissement d’une Charte générale 5777 avec la signature de la Charte de Jérusalem.
Sous le regard limpide et attentif du président de séance Michaël Bar Zvi, les orateurs se sont succédé au micro pour animer deux tables rondes : l’une pour réaffirmer l’attachement du peuple juif et d’Israël à Jérusalem, sa capitale, et le lien indéfectible entre la ville millénaire, le Mont du Temple, le judaïsme et les fondements du christianisme. Et l’autre, pour cerner, analyser et dénoncer le nouvel antisémitisme.
Pour Jérusalem, je ne me tairai pas…
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Dany Attar : «Sans Jérusalem, le peuple juif ne peut pas exister ni affirmer son droit historique sur l’Etat d’Israël»
Dany Attar s’est dressé contre la résolution du 13 octobre 2016, dénoncée par la présidente de l’UNESCO elle-même, déclarant que ce vote purement antisémite ne peut occulter que chaque juif se tourne chaque jour vers Jérusalem dans ses prières, comme le fit le peuple juif durant son exil à Babylone, et que le lieu où deux temples furent édifiés est dans la mémoire collective et personnelle de chaque Juif. Il n’y a pas de Jérusalem sans peuple juif et pas de Juif sans Jérusalem.
Les Juifs ont vécu avec cet espoir tout au long de leur vie. Les découvertes archéologiques sont des «encres concrètes». Des milliers de documents prouvent ce lien, qu’une résolution pro-palestinienne antisémite ne détruira pas.
Ce vote est l’aboutissement d’une stratégie mise en place par Yasser Arafat, qui pour saper les liens entre les Juifs et Israël a décrété que le 1er temple était au Yémen. Cette tentative de nier tout lien entre les Juifs et Israël ne doit pas être prise à la légère.
Malgré tout, cette résolution de l’UNESCO visant à définir le Mont du Temple comme site musulman restera symbolique et ne sera pas adoptée, du fait qu’elle n’a pas recueilli l’unanimité des voix. Seize Etats s’y sont opposés, la France s’est abstenue.
«Il est impossible de nier l’histoire qui s’appuie sur des écrits et sur des milliers de documents et découvertes archéologiques, qui décrivent le lien historique qui date de milliers d’années, on cherche une plateforme politique tordue sur laquelle on pense pouvoir prétendre que le jour est la nuit et que la nuit est le jour. C’est ce qui est arrivé à l’UNESCO».
Tout le monde a pris conscience des implications de cette résolution qui du même coup sape les fondements du christianisme.
Evoquant les discussions tendues qui se tiennent actuellement en Israël au sujet du transfert de l’Ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem, Attar incite tous les responsables politiques israéliens de droite comme de gauche à ne pas craindre ce transfert et à soutenir la démarche de Donald Trump.
Puis il a conclu en lançant un appel à d’autres Etats :
«Transférez votre ambassade à Jérusalem, elle était, est et sera notre capitale éternelle».
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Robert Zbili a rappelé que 5777 marque à la fois le 50e anniversaire de la réunification de Jérusalem, les 120 ans d’existence du sionisme et les 115 ans du KKL.
Il a déploré la position de la France qui par ses votes nie le lien entre Jérusalem et le peuple juif, avec un rappel historique très fort : «Nous sommes face à la Cour de l’Ecole Militaire où Dreyfus fut dégradé. Parmi les témoins se trouvait Théodore Herzl.»
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Israël Katz, ministre des Infrastructures, ministre du Renseignement et membre du Likoud a rappelé les liens de coopération avec la France dans la lutte contre le terrorisme islamique tout en dénonçant vigoureusement les votes scandaleux d’avril et octobre 2016 qui portent atteinte à Israël.
Rejetant en bloc les décisions internationales iniques prises à l’encontre d’Israël, il a martelé son refus que le Mont du Temple apparaisse sous son nom arabe, que la résolution 2234 de l’ONU votée en décembre, s’ajoutant aux 24 décisions prises par l’Assemblée générale, qualifie Israël de puissance occupante, que les «Palestiniens» tentent de réécrire l’Histoire, et a soutenu avec véhémence : «Non, ça ne se fera pas, personne ne peut rompre le lien entre le peuple juif et Jérusalem».
Il a souligné qu’aucun vote, aucun texte ne pourra contredire la réalité des preuves historiques, que de nouvelles découvertes et révélations sont apportées chaque année, comme ce papyrus datant du 7e siècle avant notre ère, découvert en 2014, et ces monnaies frappées à l’effigie de la liberté de Sion. Jamais nous n’abandonnerons Jérusalem, centre spirituel d’Israël, ni le Mont Moriah, restés dans notre cœur même en exil comme dans le livre des Psaumes écrit à Babylone, a-t-il asséné.
Il a évoqué ce jour de 1967 où les soldats de Tsahal débordant d’une émotion partagée par les juifs du monde entier libérèrent le cœur de Jérusalem et le Kotel, tandis que dans les décombres résonnaient les poèmes de Nelly Sachs, prix Nobel de littérature. En ce lieu, à partir de ce jour, pour la première fois a régné la liberté pour toutes les religions. Jérusalem est réunifiée pour toujours.
Mais face au développement de l’antisémitisme en Europe, la décision de l’UNESCO donne raison au terrorisme tandis qu’Israël est confronté à la délégitimation et au boycott.
En tant que ministre des Infrastructures, il a confirmé que dans le cadre du rattachement de la ville juive antique de Ma’aleh Adumin à Jérusalem, une ligne de train rapide reliera très prochainement Jérusalem à Tel-Aviv avec une nouvelle station «Le Mur», mettant ainsi l’aéroport à 20 minutes de la ville sainte.
Il a également évoqué les dangers d’un Iran potentiellement nucléaire, dont la présence en Syrie aux côtés du Hezbollah à qui il fournit des armes est source d’instabilité : «L’Iran est le problème, en aucun cas la solution».
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Le maire de Ma’aleh Adumim, Benny Kasriel, a confirmé la décision de rattacher cette ville antique à Jérusalem située à 5 km.
Ma’aleh Adumim fut créée après la capture de Jéricho à l’époque biblique, comme «Veilleur», gardien de la sortie orientale de Jérusalem.
En 1975, la ville a été rétablie par Itshak Rabin, et l’aide du FSJU. Sans Ma’aleh Adumim, il n’y a pas de possibilité depuis Jérusalem de sortir vers le Nord, de prendre l’autoroute. «Il ne peut y avoir qu’une seule Jérusalem unifiée, il n’y aura pas de division et Ma’aleh Adumim sera rattachée à Jérusalem» a-t-il affirmé.
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Son Excellence Carmel Shama Hacohen, ambassadeur d’Israël auprès de l’UNESCO, a souligné que dans cette enceinte où tous les six mois, il rencontre les représentants des pays arabes, il est rare d’évoquer l’amour d’Israël.
Ces résolutions négationnistes qui participent aussi de la volonté de réécrire l’histoire du christianisme ont été soutenues par des dictatures. L’UNESCO s’est mise en danger et Irina Bokova reconnaît qu’il faut que cela cesse, sinon l’UNESCO n’a plus d’avenir.
Jérusalem est centrale à Israël et au peuple juif et l’ambassadeur rappelle les paroles de Bonaparte : «Je veux que par les droits octroyés au peuple juif, ils trouvent ici en France leur Jérusalem» et celles de Winston Churchill : «Il faut permettre aux Juifs de retourner à Jérusalem».
Et pourtant, les Juifs n’ont pas le droit de poser le pied sur le Mont du Temple rebaptisé Esplanade des Mosquées et n’ont pas le droit d’y murmurer une prière.
- Claude Goasguen qui vient de recevoir le Prix Théodore Herzl a fait une courte apparition, étant retenu par d’autres obligations. Il a tenu à manifester comme d’habitude toute sa solidarité avec Israël et le peuple juif.
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Antisémitisme : Le procès Bensoussan est dans tous les esprits
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Gilles William Goldnadel a pris ensuite la parole avec son brio habituel
«Nous sommes victimes d’un DENI ; le mensonge est humain, la vérité est inhumaine. Ce qui nous arrive aujourd’hui illustre le mariage entre les “néga-sionistes” et les “DENI oui, oui”, fruits monstrueux de cette union contre nature»
La puissance de l’antisémitisme au sein du monde musulman et chez les nationalistes palestiniens, l’affaire Bensoussan avec le travail de sape d’associations antiracistes dévoyées, tout cela indique que les DENI oui oui sont puissants et à la manœuvre.
La presse a occulté l’antisémitisme de Mahmoud Abbas qui honore les Shahids ou désigne à la vindicte les «Juifs qui viennent avec leurs sales pieds souiller le Mont du Temple.»
Goldnadel établit «trois niveaux de DENI pour nier l’indéniable».
- Les archéologues israéliens sont privés de leur site archéologique le plus précieux. A la recherche de témoignages de la présence juive, ils sont contraints d’aller fouiller dans les débris et détritus laissés par le Waqf sur le Mont du Temple.
- La France a voté Oui à la Résolution d’avril 2016 puis s’est abstenu à celle d’octobre, illustrant le mariage des antisémites et des DENI oui oui. Au sein du Quai d’Orsay sévissent des «Hors sols» qui n’ont aucune considération pour les racines chrétiennes de la France, détestent de la même manière les faits nationaux et Israël en tant que nation.
- Le troisième volet de ce DENI est l’abandon par les nations, les organismes internationaux et les associations, des Juifs et d’Israël. Les gens qui aujourd’hui protestent contre la décision de Trump d’interdire le sol américain à certains ressortissants de pays arabo-islamiques terroristes n’ont pas élevé la moindre protestation devant l’interdiction des Israéliens d’entrer dans les pays arabes.
Sa conclusion apporta une note d’optimisme cocasse «Il faut rire du ridicule, il finira par les tuer».
- Philippe Val citant le titre de son dernier ouvrage «Cachez cette identité que je ne saurais voir*», nous dit d’emblée avec beaucoup d’humour : «Je ne voudrais pas être juif, ni homo en Iran, ni à la mode dans un quartier sensible. Un quartier sensible est un quartier dont la sensibilité a disparu. C’est un lieu de crime».
Ce que l’on constate, c’est que les propos antisémites sont peu condamnés. Manuel Valls dans un discours au lendemain des attentats a souligné que «La France sans les Juifs ne serait plus la France». Mais ce fut le désenchantement.
Philippe Val évoque avec humour le désastre moral et industriel des médias prétendument contrôlés par les Juifs. «Mais si les Juifs tenaient les médias, vous croyez qu’on en serait là ?».
Les différents dénis et reniements qui jalonnent notre histoire depuis l’antiquité nous conduisent vers la barbarie. Mais avant qu’elle ne commence vraiment, je vous signale que «Notre Dame n’a rien à voir avec le christianisme et Jérusalem, rien à voir avec le judaïsme».
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Pour Ivan Rioufol, nos destins sont liés autour d’un ennemi commun qu’il faut dévoiler
Aujourd’hui on peut mourir en France pour être juif (Ilan Halimi, Hyper Casher), on peut mourir en France pour être islamophobe (Charlie Hebdo).
En substance il voit dans la lutte contre les Juifs, qui va de pair avec la lutte contre le monde libre et contre
Jérusalem est a Israel , Jérusalem est au Peuple Juif et Unesco ou pas …….. cela sera toujours ainsi tel est la volonté de l’Éternel
Amen !
Les résolutions de l’UNESCO de même que celles de l’ONU n’ont aucune valeur juridique faisant partie du “Droit International” puisque non contraignantes.
L’ONU n’est pas générateur de “Droit International”
Ces décisions ne sont pas des éléments du “Droit International” , … Puisque ni l’ONU ni l’UNESCO n’ont d’autorité pour les faire appliquer.
Vous allez le comprendre :
Toutes décisions gouvernementales ont “Force de Loi”, … Puisqu’elles peuvent être appliquées par la force. Un Tribunal use de la force militaire ou de la force civile pour faire appliquer ses décisions. Regardez ce qu’il se passe en Israël à Amona.
Lorsqu’un Tribunal prend une décision, … Pour la faire appliquer, le Tribunal se sert de la “Force Publique” ne serait-ce que pour activer l’intervention d’un huissier ou le Contrôleur des Impôts en recouvrement d’une dette ou d’une amende. Nous le voyons bien, a chaque prise de décision, le Tribunal assorti celle-ci par l’utilisation de la force publique.
Or en ce qui concerne l’ONU et l’UNESCO, ces organismes ne peuvent pas utiliser la force. C’est contraire et même interdit par leur charte.
Les premières lignes de la Charte de l’ONU disent clairement que l’ONU a « interdiction d’user de la force »
… « La Charte des Nations Unies
Convention internationale, la Charte des Nations Unies codifie les grands principes des relations internationales, depuis l’égalité souveraine des États jusqu’à l’interdiction d’employer la force dans ces relations.
La Charte a été signée à San Francisco le 26 juin 1945, à la fin de la Conférence des Nations Unies pour l’Organisation internationale, et est entrée en vigueur le 24 octobre 1945. Le Statut de la Cour internationale de Justice fait partie intégrante de la Charte. »
Par contre la signature de la Charte des Nation Unies par chacun des Gouvernements fait partie des « Engagements Internationaux » que chaque pays s’oblige à respecter. Alors que nous savons très bien que peu de pays ne respectent la Charte Onusienne
Pour preuve :
Sur 193 Etats membres de l’ONU qui pour être acceptés en tant que « Membres » qui ont eu l’obligation de signer et faire la leur, la « Déclaration Universelle des Droits de l’Homme » … Sauf que sur 193 Etats Membres, 57 Etats ont préféré signer le 5 août 1990 La « Déclaration des Droits de l’Homme en Islam » abondamment imprégnée de « Charia », … Alors que leurs votes respectifs sont pris en compte à l’ONU
… « La Déclaration des droits de l’homme en islam, adoptée au Caire le 5 août 1990 par l’Organisation de la conférence islamique, est une adaptation particulière de la Déclaration universelle des droits de l’homme aux pays musulmans. Cinquante-sept États l’ont ratifiée.
Cette adaptation se traduit notamment par une forte imprégnation religieuse, l’affirmation de la primauté divine, la limitation de la liberté de choisir sa religion et d’en changer et par l’inégalité des droits entre l’homme et la femme.
Ce texte est précédé de la « Déclaration islamique universelle des droits de l’homme de 1981 » proposée par le Conseil islamique d’Europe et promulguée le 19 septembre 1981, lors d’une réunion organisée à Paris par l’Unesco ».
Depuis le 5 Août 1990, les décisions Onusiennes doivent être déclarées caduques, puisque non conformes.
KKL !, …………. Tout le monde connait ?
Le Fonds national juif (FNJ) ou Keren Kayemeth LeIsrael (KKL), en hébreu, littéralement : « fonds pour la création d’Israël », est un fonds qui possède et gère plusieurs centaines de milliers d’hectares de terres en Israël. Fondé en 1901 à Bâle (Suisse) en tant que fonds central du mouvement sioniste, il s’occupa du rachat de terres en Palestine et de la préparation des futurs pionniers sur le terrain. Il est connu pour avoir planté de nombreuses forêts.
Le KKL est créé en 1901, à l’initiative du professeur Tzvi Herman Shapira faisant suite à une décision du 5e Congrès Sioniste à Bâle.
La proposition du professeur Shapira de racheter des terres qui constitueront le territoire de la nation future, avait été faite à la Conférence de Katowice en 1884, ainsi qu’aux premier (1897), troisième et cinquième (1901) Congrès sionistes. En 1903, 800 acres (320 hectares) sont achetées près de Hadera et les premiers arbres, des oliviers sont plantés à Houlda en 1908. Dès la première décennie du xxe siècle, le KKL participe à la fondation de Tel-Aviv et du kibboutz de Degania et à l’achat de terrains pour la forêt de Ben-Shemen. Jusqu’à la fin de la Première Guerre mondiale, le KKL cible ses activités dans l’achat de terrains et dans l’installation des pionniers. Avec la création du Keren Hayesod, le KKL limite ses activités au rachat de terres.
Sans l’Occident qui maintient à coups de centaines de millions d’Euros et de Dollars, et surtout à coups de mensonges ignobles, des populations Arabes sur le sol d’Israël, …
Cela ferait bien longtemps que les Juifs pourraient vivre en Paix dans leur Nation.
Voilà bientôt 70 ans que ce problème existe. La “Solution à Deux Etats” aurait du voir le jour depuis très longtemps.
Il faut se rendre à l’évidence, et constater les dégâts par le nombre de morts aussi bien Arabes que Juifs, qui est immense.
Puisque depuis 70 ans, cette solution n’a pas pu voir le jour. Il faut arrêter de s’entêter. Il est grand temps de faire d’autres propositions. Les Britanniques ont bien proposé aux juifs en 1903, d’aller s’établir en Ouganda !, … Alors que la Palestine fut sous son mandat.
N’ont-ils pas déjà une Reine ?
Histoire éternelle. L’incroyable vie de Rania de Jordanie
Rania Al-Yassin, de son premier nom, n’était pas destinée à monter sur le trône de Jordanie. Rien d’aristocrate chez la jeune femme, fille d’un médecin palestinien qui a dû quitter la Cisjordanie pour échapper à la guerre. Cette même horreur de la guerre rattrapera, quelques années plus tard, Rania et toute sa famille qui devront fuir un Koweït assailli par Saddam Hussein.
Merci Nancy pour ce remarquable compte-rendu.
Par la bouche des participants se sont exprimées la Vérité, la Raison, l’Intelligence. Mais, elles se heurtent au mur du Mensonge, de la Déraison, de l’Aberration, de l’Aveuglement, de la Corruption et de la Haine toute puissante anti-juive.
Cette entité nuisible islamisée, appelée UNESCO, est devenue l’outil de la propagande mensongère au service des nations musulmanes.
La réécriture de l’histoire d’Israël à la lumière de l’islam est l’une des plus grandes escroqueries de ce siècle : celle de l’appropriation du patrimoine historique et culturel de la nation juive par les arabo-musulmans, fidèles à leurs traditions. Le fait nouveau, c’est de voir des pays occidentaux aux racines judéo-chrétiennes cautionner ce mensonge, et approuver ce vol.
Je partage l’avis d’Ivan Rioufol. Elisabeth Levy est une nature optimiste.
L’amitié déclarée de Donald Trump envers Israël va, à mon avis, créer encore plus d’animosité islamique envers les citoyens européens de confession juive. En Allemagne, de terribles insultes et menaces émanent des communautés turques à l’égard des Juifs et d’Israël.
Comme vous l’écrivez, le mal est profond et l’avenir sombre, mais, la fleur de l’espoir reste malgré tout vive.
Amitiés !
Merci Rosaly pour ton commentaire. C’est la première fois que je “palpe” autant de pessimisme dans l’ambiance d’un colloque. Chacun pressent quelque chose de terrible au niveau de la France et de l’Europe.