Publié par Rosaly le 22 février 2017

En avril 2015, à bord d’un bateau de clandestins en provenance de Libye et faisant route vers les côtes italiennes, 15 migrants musulmans condamnèrent à mort 12 réfugiés chrétiens pour avoir refusé de prier Allah : trois Nigérians et 9 Ghanéens furent jetés sans pitié à la mer un à un.

Débarqués en Sicile, ces hommes, suite aux témoignages des rescapés, furent arrêtés et emprisonnés.

Jugés par la troisième chambre de la Cour d’Assises de Palerme, six accusés viennent d’être condamnés à 18 ans de prison pour homicide volontaire, et les neuf autres ont été acquittés. Ils seront libérés et expulsés.

Toutefois, la circonstance aggravante de « haine religieuse », pourtant soutenue à l’origine par le Parquet, a étrangement été rejetée. Selon les juges, les victimes ne furent pas jetées à la mer par les musulmans à cause de leur confession religieuse, mais en raison de leur ethnie et de leur nationalité, et pour faire de la place sur le bateau surchargé.

Pour la défense, une lutte a bien eu lieu, mais non pour des motifs religieux. Les esprits étaient surchauffés à cause d’une avarie et la surcharge du bateau… et si les victimes étaient toutes chrétiennes, et les bourreaux tous musulmans, c’est le fait du hasard.

L’islam n’incite pas à la haine des chrétiens, non ! L’affirmer serait de la pure désinformation, puisque l’islam est une religion de paix, d’amour, de tolérance, de fraternité, comme l’actualité le démontre jour après jour.

Il fallait sacrifier des passagers pour faire de la place sur le bateau surchargé et ce n’est qu’un pur hasard si les personnes choisies pour le sacrifice étaient toutes de confession chrétienne.

La propagande gauchiste islamophile « l’islam, ce n’est pas cela » influence malheureusement aussi les serviteurs de la justice.

Les Ivoiriens Ousmae Camara (21 ans), Hamed Doumbia (23 ans), Kabine Konate (31 ans), le Malien Mohamed Kantina (26 ans) et Morizio Mouri (25 ans) de Guinée-Bissau, ont été condamnés à 18 ans de prison. Peine qui sera probablement réduite à quelques années.

Le passeur Seckou Diop (25 ans), aussi originaire de la Côte d’Ivoire, a été condamné à 4 ans de prison et à une amende de 1,2 million d’euros.

Le Ministère public avait pourtant requis la prison pour tous les accusés.

Dans 90 jours, les motivations éclairant la décision de la Cour d’Assises d’exclure la circonstance aggravante de la » haine religieuse » malgré les témoignages des rescapés de ce voyage de l’espoir qui vira au cauchemar, seront rendues publiques.

Et pourtant, c’est bien la haine religieuse qui est au centre des témoignages donnés par les chrétiens ayant échappé à la mort, en luttant, puis en formant une chaîne humaine contre les assaillants, tous musulmans.

« Sur le bateau, nous étions divisés en groupes selon notre ethnie, expliqua un des survivants aux enquêteurs, Agyamang Kweasi. D’un côté, il y avait les clandestins du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et autres pays africains, parlant français et de l’autre, les Ghanéens et les Nigérians, majoritairement chrétiens »

Le dimanche 12 avril, les chrétiens se mirent à prier et peu après, la haine religieuse des musulmans se déchaîna : « Les infidèles devaient être éliminés »

« Une pluie de coups s’abattit sur les passagers coupables d’avoir une autre foi. Puis ils décidèrent de jeter à la mer certains d’entre nous. Je vis mourir dans les eaux neuf Ghanéens et trois Nigériens.”

Le récit des survivants ayant échappé de peu à la mort est glaçant. Les condamnés à mort par les migrants musulmans essayèrent de se défendre comme ils le pouvaient, parfois en mordant leurs agresseurs.

Augustin Kwadwohona, un rescapé, confirma son témoignage en désignant un homme dont le gros orteil avait été mordu par un chrétien dans une dernière tentative désespérée d’échapper à son sort. Hélas, il périt en mer, englouti par les vagues.

Un autre survivant, Jamal Osman, témoigna à son tour :

“Un Malien me dit : comme vous ne priez pas Allah et ne croyez pas au même Dieu, vous devez périr dans la mer.”

Heureusement, le bateau panaméen Ellensborg apparut à l’horizon et porta secours aux migrants. Assassins et survivants furent transbordés sur le navire pour être débarqués à Palerme. Et là, les témoins racontèrent toute l’horreur vécue. Le Procureur adjoint de Palerme, Maurizio Scalia, qui coordonne un groupe spécialisé dans le trafic d’êtres humains et l’immigration clandestine, ouvrit l’enquête, qui aboutit à la condamnation des meurtriers.

Mais la persécution de réfugiés chrétiens par des migrants musulmans se poursuit également une fois arrivés en Europe. Elle est même favorisée par la naïveté des autorités, s’obstinant à nier la nature violente et haineuse de l’islam qui gangrène aussi l’esprit des musulmans vivant en Europe.

En Allemagne par exemple, plusieurs rapports démontrent que les traducteurs musulmans minent les efforts des demandeurs d’asile chrétiens qui cherchent refuge dans les pays.

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Le Pasteur Gottfried Martens, dans une lettre adressée au Ministère allemand de l’Immigration et des Réfugiés (BAMF) a accusé les “traducteurs presque exclusivement musulmans” d’avoir délibérément faussement traduit les réponses des convertis pour nuire à leurs demandes d’asile.

Gottfried Martens a également sévèrement critiqué l’Église catholique et l’Église protestante EKD, qui se sont opposées à la séparation des logements des chrétiens et des réfugiés musulmans, car cela pouvait suggérer que les deux religions ne puissent pas cohabiter pacifiquement...

L’Allemagne de Merkel

En outre, des fonctionnaires musulmans de la BAMF rejettent les demandes d’asile des chrétiens persécutés en Irak.

La chaîne allemande Welt24 a rapporté il y a quelques jours que le député CDU Wolfgang Bosbach avait rencontré une famille irakienne chrétienne à Nordrhein-Westphalie (sa circonscription) ayant récemment introduit sa demande d’asile auprès d’un bureau de la BAMF (Office Fédéral allemand des migrations et des réfugiés). A sa grande stupéfaction, la famille fut confrontée à une employée la tête recouverte d’un foulard islamique. Et c’était cette fonctionnaire musulmane qui allait décider de son sort.

“Je ne peux pas comprendre pourquoi seuls des musulmans du BAMF décident si les chrétiens, qui ont fui les musulmans radicaux, ont le droit de rester dans la République fédérale d’Allemagne” s’exclama Bosbach.

Il exhorta la famille chrétienne à introduire une plainte auprès de la BAMF, contre le rejet de sa demande d’asile, mais la famille craint de voir sa plainte examinée par une autre fonctionnaire portant le foulard islamique.

Ainsi, les vrais réfugiés chrétiens sont rejetés, tandis que les faux réfugiés islamiques envahissent l’Europe et l’Amérique, telles des nuées de sauterelles.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources :

Cristiani gettati in mare: in cella i migranti islamici. Il giornale.it

Muslims officials in Europe reject asylum requests by persecuted Iraqi Christians. Daniel Greenfield –FrontPage Mag

 

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