Publié par Christian Larnet le 26 février 2017

“C’est bien du rap de sale naigre” (sic) tweetait Oulaya Amamra, l’actrice française qui vient de recevoir le César du meilleur espoir féminin pour le film Divines de la réalisatrice Houda Benyamina (qui elle, est ouvertement antisémite), sans qu’aucun média ne s’offusque.

Les pensées d’Oulaya Amamra inspirent un dégoût qui n’a d’égal que les tentatives des médias de lui trouver des circonstances atténuantes.

 

Sur son compte Facebook, Oulaya Amamra partage des photos de quenelles nazies de l’antisémite Dieudonné.

Et puis ses tweets homophobes :

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Et racistes :

D’ailleurs elle est bien entourée. Qui se ressemble s’assemble, la voici sans honte avec un autre antisémite violent Mehdi Meklat.

 

Clairement, comment les gens seraient-ils informés si nous n’existions pas. Comment cette gauche en perdition qui crache maintenant les valeurs dont elle a fait sa fierté, la défense des minorités, des noirs, des homosexuels, des juifs, peut-elle être tombée si bas ?

Personne d’autre que Dreuz n’osera montrer la profonde malhonnêteté du CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France) qui dort si profondément lorsqu’une beurette insulte sa communauté, qu’on croirait le silence du CRIF lorsque des socialistes se mêlent aux manifestations où l’on hurle “Mort aux juifs”, ou quand Benoît Hamon incite à la haine de l’Etat juif.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

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