Publié par Dreuz Info le 7 mars 2017

esclaves, conservent les aveugles et innocentes superstitions de leurs ancêtres, ce qui fait que LES MAHOMETANS LES APPELLENT» KAFIRS”, c’est-à-dire infidèles.

AUx pages 48-40, il note LA PRATIQUE DE LA CHARIA : «Comme les Nègres n’ont point de langue écrite, ils jugent en général les affaires d’après leurs anciennes coutumes. Mais depuis que la loi de Mahomet a fait de grands progrès parmi eux, LES SECTATEURS DE CETTE CROYANCE ONT, INSENSIBLEMENT, introduit, AVEC LEURS PRECEPTES RELIGIEUX, PLUSIEURS DES INSTITUTIONS CIVILES DU PROPHETE ; et lorsque le Koran ne leur paraît pas assez clair, ils ONT RECOURS A UN COMMENTAIRE APPELE» Al SCHARRA”, qui contient, dit-on, une exposition complète des lois civiles et criminelles de l’islamisme».

Peut-on mieux exposer les choses ?

La loi coranique doit, cependant, à cette époque, composer avec la superstition propre aux Africains :

P. 65 : «Il est impossible de ne pas admirer en cela ( amulettes ornées de versets du coran) combien la superstition est contagieuse. Quoique la plupart des Nègres soient païens et rejettent absolument la doctrine de Mahomet, je n’en ai pas vu un seul qui ne fût pleinement persuadé du pouvoir de ces amulettes».

Plus avant dans son voyage, Park se retrouve prisonnier des Maures à Benown.

Un chef, Ali, croyant qu’il a voulu s’évader, le tracasse et tente de l’humilier, en l’insultant.

Dans un autre registre, il a affaire à l’indiscrétion des femmes maures.

P. 151 «L’importunité des dames maures m’avait tracassé depuis mon arrivée à Benown. Dans la soirée du 25 mars, il en arriva une troupe dans ma cabane… Elles me firent entendre que l’objet de leur visite était de vérifier si la loi qui ordonne la circoncision était suivie par les Nazaréens comme par les sectateurs de Mahomet. L’on peut aisément juger de ma surprise en apprenant qu’elles avaient un pareil dessein. Pour me dérober à l’examen dont j’étais menacé, je pris le parti de traiter la chose comme une plaisanterie. J’observai à ces dames que, dans ces sortes de cas, l’usage de mon pays n’était pas de donner des démonstrations oculaires devant un aussi grand nombre de jolies femmes, mais que si elles voulaient se retirer, à l’exception d’une seule, je satisferais la curiosité de cette belle. En même temps, je désignai la plus jeune et la plus jolie de la troupe.»

P. 167, Park reprend les observations faites sur les Maures, rive nord du Sénégal. «Chaque tribu, note-t-il, est gouvernée par un chef ou roi, qui jouit d’une autorité absolue. Les Maures sont pasteurs… Ils passent alternativement de la voracité à l’abstinence… Les Nègres leur fournissent du grain, de la toile de coton… Les MAURES sont assez adroits pour faire des piques, des couteaux avec le fer natif que leur fournissent les Nègres ; mais ils achètent des Européens des sabres, leurs armes à feu et leurs munitions, et ils LES PAIENT AVEC DES NEGRES QU ILS ENLEVENT DANS LES ROYAUMES VOISINS. Les MAURES SONT MAHOMETANS RIGIDES. Ils ont non seulement la bigoterie et les superstitions de leur secte, mais toute son intolérance.» Les entraves au relevé du cours du Niger s’étant accumulées, Park regagne Londres, non sans avoir vécu d’autres aventures édifiantes. ( Livre de Poche, ED. La Découverte).

Enfin, un livre pour la jeunesse clôturera ce survol de l’épineuse question concernant l’esclavage des Noirs.

«L’esclave du batteur d’or», écrit en 1958, par Henry de Monfreid, ami de Joseph Kessel, conte l’histoire d’une jeune fille somalie, vendue pour dettes par son père, à un batteur d’or. L’ami de la jeune Amina fera tout pour la retrouver, et l’épouser.

P. 27-28 : «Saïd Safi était un Arabe du Yémen… Son nom de Saïd le désignait au respect des croyants comme un descendant du Prophète. Partout il leur imposait la stricte observance des jeûnes et les oraisons ajoutées aux cinq prières du jour.

En un mot, c’était un saint homme, ainsi qu’il convient quand on a pour mission de procurer des esclaves de choix pour le service de hauts dignitaires. En d’autres termes, SAID SAFI ETAIT MARCHAND D ESCLAVES.»

P. 29 Le paysan somali, père d’Amina, ne satisfaisant pas à l’appât du gain du collecteur d’impôts Ato Gezzao, se voit enchaîné et conduit à la tente de Saïd Safi. Le père est soupçonné de garder du grain par-devers lui. Mais entre bons musulmans ( Arabes ou Africains), tout s’arrange.

P. 36 De connivence avec Ato Gezzao, SaÏd Safi se montre bon prince :

—- ” Tu es musulman, et il me déplaît de te savoir dans la peine pour une faute que tu n’as sans doute pas commise. Peut-être aurais-je le moyen de te venir en aide puisqu’il semble qu’Allah — que sur lui soient la prière et la paix — t’ait inspiré l’idée d’amener ta fille… Elle est en âge de se marier, et un homme riche t’en donnerait sûrement le prix que vaut sa beauté…»

Il ajoute : «Combien dois-tu lui ( au collecteur) payer ? — Deux cents thalers, et il me prend mes vaches ! — Certes, c’est une bien grosse somme, et remercie Allah de m’avoir mis sur ta route, car nul ne t’offrirait en échange de ta fille… —- Que veux-tu dire ? — Rien que de très simple. J’ai vu Amina ; elle me convient, et je t’en offre précisément le prix de ton amende»…

CONCLUSION
————–

Des «Amina», il y en a, par milliers, nées LIBRES, en France.

Elles vont à l’école, au lycée. Toutes les chances de réussite leur sont offertes.

Allez à leur rencontre. Demandez-leur si elles veulent retourner au Mali, au Sénégal, ou au Burkina Faso ( ex Haute-Volta). Les réponses seront unanimes.

L’ARABIE, plus que jamais HEUREUSE ( grâce aux pétrodollars) a-t-elle jamais eu des lubies de repentance pour l’esclavage des Noirs ?

La situation, en Afrique, s’est-elle améliorée, depuis la décolonisation ?

Vous avez la réponse, chaque jour, dans vos journaux : Boko Haram, au Nigéria, s’est spécialisé dans l’enlèvement, le viol, de jeunes filles chrétiennes.

Du Darfour, du Biafra, les échos qui nous parviennent devraient alerter l’ONU — qui, du même coup, s’occuperait des vraies victimes : (africaines) de l’islamisme, et non des victimes fantasmées, d’une «occupation israélienne» comparable à «la période la plus sombre»…

En France, en Amérique, le même type de politique communautariste ayant pour effet majeur d’attiser le ressentiment anti-blanc de la population noire, doit, impérativement, pour la pérennité de nos démocraties, prendre fin.

Les émeutes constantes de «jeunes», encouragées par des démagogues et une presse complaisante, ne peuvent, évidemment, être contenues par des policiers qui, mal armés, reçoivent, de surcroît, des ordres contradictoires — et donc, paralysants — de leur hiérarchie.

L’Amérique reste, pour le monde entier, le phare de la Liberté, et la terre de tous les possibles.

Les dirigeants ( ou aspirants) français doivent, cela va de soi, mettre un terme à la repentance tous azimuts.

Faire enseigner l’histoire, dans sa complexité, suffit.

Les Africains, plutôt que de rester dans un éternel état de dépendance vis-à-vis de l’Europe ( sans résultat : plus de 2000 milliards d’aides, en 50 ans» — B. Lugan, dans un article d’Atlantico de 2013) doivent se choisir des chefs d’Etat non corrompus, avec une vision pour le continent africain qu’ils doivent soustraire à l’emprise de l’islam.

Leurs luttes inter-tribales sont d’un autre âge. Les exporter en France, entre autres, est absurde.

Repenser la démographie là-bas, en fonction des ressources agricoles, obtenir le retour au pays, des élites formées en Europe est une vraie gageure.

Les pays d’Afrique ont A ECRIRE LEUR HISTOIRE, SANS FARD, AVEC L’ECRITURE QUE LES EUROPEENS LEUR ONT APPORTEE AU 16e siècle.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Lorraine pour Dreuz.info.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading