Les propositions américaines visant à renforcer les frontières et le contrôle de l’immigration ne pourront être allégées qu’à la condition de réduire cette menace terroriste importante encore mal comprise.
Le Hezbollah, soutenu par l’Iran, est en guerre en Syrie aux côtés de Bachar El Assad, et menace Israël sur le Golan.
Mais son champ d’action est depuis longtemps l’Amérique latine :
- On l’a vu opérer en Argentine, le 17 mars 1992 lors de l’attentat à la bombe contre l’ambassade d’Israël à Buenos Aires, qui a fait 29 morts et 242 blessés ;
- Puis l’attentat à la voiture piégée commanditée par l’Iran contre l’Association mutuelle israélite argentine (AMIA), le 18 juillet 1994, qui a fait 84 tués et 230 blessés,
- Et plus récemment l’assassinat du juge Alberto Nisman en 2015.
- En juin 2016, l’ex directeur opérationnel de la DEA, le département des Drogues et Médicaments américain Michael Braun expliquait que le Hezbollah “transporte des tonnes de cocaïne” d’Amérique du sud vers l’Europe.
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Face aux oppositions à sa politique sécuritaire, Donald Trump n’a pas d’autres choix que de démontrer que le djihad mondial – en particulier pro-iranien – qui tisse sa toile depuis des décennies est bel et bien présent aux Etats-Unis et au sud des Etats-Unis, et qu’il est prêt à passer à l’attaque.
C’est ce que souligne dans Algemeiner du 8 mars Steven Emerson, dans un article intitulé « La menace permanente du Hezbollah envers la sécurité nationale américaine »
Selon Steven Emerson,
Le groupe terroriste maintient une présence significative dans et près des États-Unis, menaçant la sécurité nationale américaine.
[…]
Un article récent d’Al-Arabiya examine la capacité du Hezbollah à construire des tunnels avancés à la frontière sud des États-Unis, permettant aux terroristes du Hezbollah et aux cartels mexicains de s’infiltrer aux États-Unis. Les relations entre les agents soutenus par l’Iran – dont le Hezbollah – et les cartels de la drogue en Amérique latine sont bien établies. Les membres de gangs mexicains acquièrent de l’expérience de combat et d’utilisation d’armes avancées auprès du Hezbollah. Le Hezbollah, à son tour, tire une partie importante de ses finances du commerce de la drogue et autres activités illicites.
Ces dernières années, les responsables de la Sécurité dans les États du sud-ouest des États-Unis ont remarqué une hausse des tatouages portant l’insigne du Hezbollah parmi les cartels emprisonnés. Cette tendance surprenante indique une relation renforcée entre le groupe terroriste et les membres de gangs mexicains. En outre, les agents iraniens qui s’infiltrent en Amérique latine cherchent à convertir les individus à son idéologie chiite extrémiste. Au fil des ans, des sites pro-iraniens ont proliféré à travers l’Amérique latine, en vue de cultiver le soutien à la République islamique.
De puissants politiciens latino-américains aident également l’Iran et le Hezbollah à pénétrer dans la région et menacent les États-Unis.
En février, la CNN a reçu un document de renseignement secret de plusieurs pays d’Amérique latine qui démontre les liens entre le vice-président vénézuélien Tarreck El Aissami et 173 cartes d’identité et passeports vénézuéliens délivrés à des gens du Moyen-Orient – y compris des agents du Hezbollah. El Aissami “a pris en charge l’émission, l’octroi de visas et la nationalisation de citoyens de différents pays, en particulier Syriens, Libanais, Jordaniens, Iraniens et Irakiens”, indique le rapport.
En outre, les agents de l’Iran et du Hezbollah ont cultivé et consolidé des bases opérationnelles en Amérique du Sud, en particulier dans la région tri-frontalière de l’Argentine, du Brésil et du Paraguay. La région compte une importante population musulmane, avec un nombre important de sympathisants du Hezbollah, et est donc bien en mesure de recruter et de se livrer à la contrebande d’armes et de trafic de drogue. Le Hezbollah continue d’exploiter d’autres communautés de la diaspora chiite libanaise, y compris aux États-Unis, pour renforcer sa présence dans le monde entier.
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En 2011, les États-Unis ont déjoué un complot mené par le Corps de la Garde révolutionnaire iranienne (IRGC) en coopération avec un cartel mexicain de la drogue pour assassiner l’ambassadeur de l’Arabie saoudite à Washington.
Le lien problématique entre le Hezbollah et les cartels de drogue mexicains permet au Hezbollah de faire des incursions aux États-Unis par sa frontière poreuse avec le Mexique.
Certains rapports du Renseignement américain montrent également que le Hezbollah maintient un important réseau de cellules dormantes aux États-Unis.
Bien que le Hezbollah n’ait pas mené d’attaque majeure sur le sol américain, le groupe pourrait décider de frapper des sites américains clés si les relations américano-iraniennes se détériorent.
Les préparatifs pour lutter contre le terrorisme islamiste doivent largement considérer la menace protéiforme et croissante du Hezbollah pour la sécurité nationale américaine.
Reproduction autorisée avec la mention suivante :Traduction et adaptation © Nancy Verdier pour Dreuz.info.
Nancy, merci ce très intéressant état des lieux :-)))
Pourriez-vous, maintenant faire le même état des lieux, mais version sunnite, après la version shit présente ?
C’est le NAZISLAM dans son ensemble qui DOIT être enlevé de l’équation du risque planétaire !!!
Peu importe dans quel pays on vit, qu’on aime, déteste qui ou quoi que ce soit, car, comme j’ai déjà eu l’occasion de l’écrire, les MONDIALISTES se servent du NAZISLAM pour faire le sale boulot de destruction des peuples occidentaux, il y a suffisemment d’éléments allant en ce sens !!
S’il le faut, je peux écrire un article et le démontrer !!! et par les FAITS !!!
L’Etat des lieux concernant la version sunnite désignerait des pays comme le Qatar et l’Arabie Saoudite, financiers et soutiens de l’intégrisme. Il décrirait l’islamisation des banlieues, l’islamisation de certains territoires comme le Nord-pas de Calais, le Sud avec Marseille, les grandes agglomérations et progressivement des pans entiers de la société française. Egalement les prêches haineux dans les mosquées, les prières des rues, la volonté affichée d’installer des mosquées partout sur le territoire français ou de transformer des églises en mosquées. L’achat d’immeubles et d’entreprises par des pays arabo-islamiques est favorisé par des aides fiscales consenties par les gouvernements Sarkozy et Hollande.
Cette situation est valable aussi dans d’autres pays européens comme la Suède, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre. Il y a des réticences aux Pays-Bas avec l’opposant Gert Wielder.
Mais que trouve-t-on en face la plupart du temps ? Le politiquement correct et des gouvernements européens prêts à se soumettre en accompagnant volontairement cette islamisation: c’est Eurabia tel que décrit par Bat’Yeor. Avec la complicité des eurocrates de Bruxelles et de Terra Nova, l’immigration massive de ces dernières années, a permis la diffusion de l’Islam dans tous les rouages de la société, y compris dans les lois comme la Loi El Khomri et à l’Education Nationale où une Najat Belkacem pousse à l’enseignement de l’Arabe dès l’enfance. La violence au quotidien a envahi nos sociétés et la justice n’y fait pas face. C’est une démission complète face à la troisième génération d’immigrés du Maghreb qui normalement auraient dû s’intégrer.
Force est de constater que l’intégration des musulmans sunnites dans nos sociétés occidentales ne fonctionnent pas.
La Charia fait progressivement son apparition en Allemagne, en Angleterre et la France ne sera pas épargnée.
Ajoutée à cela, les attentats terroristes djihadistes d’ampleur, dont la France et la Belgique ont été victimes., quelques années après ceux de Londres et de Madrid. Au Canada, le bellâtre Justin Trudeau se veut le protecteur de l’Islam au nom de la diversité, de la tolérance et du multiculturel. Il compte introduire le délit de blasphème.
Demain, tous ces gens se rendront compte – ou pas – de leur erreur mais la guerre civile, et le djihad seront durablement installés.
Si en plus nous devons faire face à une guerre nucléaire ou des attaques terroristes chiites, la perspective de notre avenir est plus que dramatique. C’est pourtant ce qui se prépare et ce sera à l’image des drames syriens et irakiens où s’affrontent chiites et sunnites prenant la population en otages.
Pour Emmanuel Macron, l’islam et l’islamisation ne sont pas des problèmes : Tout ce qui compte est “d’aller de l’avant avec la finance et le peuple devra suivre” (en Marche est en fait un mouvement fasciste de type mussolinien)
François Fillon est le seul à avoir compris les dangers de l’Islam sunnite. Malheureusement, il prône une politique de rapprochement avec l’Iran qui en ce moment précis est en train de s’allier à la Corée du Nord.
Trump a parfaitement compris les enjeux : il n’évitera peut-être pas tous les conflits mais il protégera les USA et sa population envers et contre tous.
Obama restera le traître de l’Histoire : introduction des Frères musulmans dans les rouages de l’administration américaine et ouverture avec l’Iran, lui permettant de se doter de l’arme nucléaire.
Les dangers de l’Islam sunnite sont bien connus et pourtant ignorés de nos dirigeants. POURQUOI ? BOBBY FR 94 : Faites donc un article pour DREUZ. J’ai juste fait un topo très banal et général. Il faut maintenant trouver les moyens de sortir de cette situation : COMMENT ?
Shitt ou sunnites = nazislamisme !
Tout à fait d’accord.
Comment se fait-il qu’ils évoluent au sud des USA,là où les gens sont WASP,au Texas où ils n’aiment pas beaucoup les étrangers et les orientaux?
si jamais le Hezbollah attaque des civils , des militaires , des biens Américain au USA ou hors des USA alors la cible direct sera l’iran a grand coup de missiles sur téhéran donc les muzz vont y penser 2 fois avant de faire cette bétise avec Trump au pouvoir
Tant qui il y a des mizilmons la menace est plus que permanente
Les convertir en masse au christianisme par des cours d Histoire non frelates par les Saoudiens ou theologistes musulmans.