« Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste. » Blaise Pascal.
L’homme progressiste refuse de reconnaître les crimes de l’islam, non parce qu’il est naïf, tolérant ou gentiment modéré. Il refuse car, inconsciemment ou subconsciemment, il a déjà accepté l’islam comme la religion du salut. Tout comme il acceptait le stalinisme, l’hitlérisme, la maoïsme et les Khmers rouges avant l’islam.
Joseph de Maistre, un aristocrate français du début du 19e siècle, avait soutenu que l’homme ne pouvait vivre sans religion, non pas la religion en tant que telle, mais la tyrannique, l’impitoyable. Il fut maudit et détesté, considéré comme à l’antipode du progrès et de la liberté, voire comme un précurseur du fascisme. Toutefois, les progressistes ont maintes fois prouvé qu’il avait raison.
Dans son extase nihiliste, l’homoprogressicus descendit Dieu de son piédestal, foula au pied l’idéal humaniste de Pétrarque, d’Alberti et de Leonardo Bruni, qui s’appuyait sur la raison et cherchait la vertu, et se retrouva dans un vide béant.
Les humains réalisèrent alors qu’ils ne pouvaient pas vivre sans un Dieu-homme — l’idole, le leader, le dirigeant — qui s’appuierait sur l’inébranlable, l’impitoyable idée du salut — non dans l’autre monde, mais dans ce monde et maintenant. Et avec la passion si inhérente à leur nature instable, infantile et superficielle, ils se ruèrent à la recherche de leur « prince » sur un cheval blanc.
Les idoles des progressistes étaient des tyrans animés par l’idéologie la plus progressiste. Robespierre, et après lui Staline, Hitler, Mao, Pol Pot, Fidel Castro, Hugo Chavez et enfin l’islam.
Au XXe siècle, l’intelligentsia occidentale était infectée par les bacilles rouges et bruns.
- Walter Duranty (journaliste anglo-américain, correspondant du NY Times à Moscou) nia ardemment l’Holodomor (1932-1933) ou l’extermination par la faim de 7 millions d’Ukrainiens par le régime de Staline.
- Bernard Shaw et Romain Rolland justifièrent la terreur de l’OGPU, la police d’Etat de l’Union soviétique et celle des tribunaux fantoches de Moscou.
- Aragon, Barbusse (l’auteur de la biographie apologétique de Staline, Staline : Un monde nouveau vu par l’Homme) et Jean Richard Bloch glorifièrent le « Père des Nations ».
« Je ne ferai rien contre Staline en ce moment, j’ai accepté les procès de Moscou et je suis prêt à accepter ceux de Barcelone » déclara André Malraux pendant le massacre des anarchistes du POUM (parti ouvrier d’unification marxiste) par les communistes à Barcelone en 1937. »
- « Solitaire et autoritaire… assez désagréable, amical et ordinaire, doté d’une intelligence bien au-delà du dogmatisme… il fumait pensivement sa pipe, après avoir demandé poliment la permission… Je n’ai jamais rencontré un homme plus juste, sincère et honnête. » C’est ainsi qu’Herbert G. Wells, père de la science-fiction moderne, décrivit Staline.
Que de souffrances furent causées par les journalistes progressistes, se souvint Solzhenitsyn.
Ces derniers, après avoir visité le Goulag, louèrent les villages Potemkin, qui alignaient des baraquements chauffés, où les prisonniers politiques avaient l’habitude de lire les journaux soviétiques, assis à des tables bien propres et nettes.
Parmi ces journalistes et auteurs progressistes, qui causèrent tant de souffrances, on peut citer :
- Arthur Ransome du Guardian ;
- La journaliste américaine et fan de Mao : Agnes Smedley – New York reporter,
- Lincoln Steffens, qui écrivit après une rencontre avec Lénine : « J‘ai vu l’avenir et cela fonctionne”.
- La journaliste australo-britannique Leonore Winter (auteur du livre « Red Virtue » : les relations humaines dans la nouvelle Russie) et de nombreux autres, qui sympathisèrent avec les Bolchéviques de l’Union soviétique).
- Juan Benet, un écrivain espagnol célèbre, qui suggéra de renforcer les gardes du Goulag pour que des gens comme Solzhenitsyn ne puissent pas s’échapper.
- Le Los Angeles Time, qui publiait des articles d’Alexander et Andrew Cockburn, des admirateurs de Staline.
- Knut Hamsun, le romancier norvégien qui reçut le Prix Nobel, et décrivit Hitler dans une rubrique nécrologique comme « un combattant pour l’humanité et pour les droits des nations”.
- L’amour de Martin Heidegger pour le “leader” du Troisième Reich était bien connu. Dans les années trente, dit-il, “le Führer était une personne très respectée aux yeux des mass-medias.”
- Anne O’Hare Mc Cormick, la correspondante à l’étranger du New York Times — Prix Pulitzer — décrivit Hitler après une entrevue avec le Führer, comme : “un homme plutôt timide et simple, plus jeune, plus grand, plus robuste que l’on pensait. La couleur de ses yeux avoisine celle du delphinium peint sur le vase derrière lui, il est curieux comme un enfant et candide… Sa voix est aussi calme que sa cravate noire et son costume double croisé… Herr Hitler a la main sensible de l’artiste.”
L’élite française aussi était fascinée par Hitler, Staline et Pol Pot.
- Ferdinand Céline affirma que la France ne participera pas à “la guerre juive” et déclara qu’il y avait une conspiration juive pour commencer une guerre mondiale.
- Le ministre français des Affaires étrangères Georges Bonnet rendit les honneurs à Von Ribbentrop,
- et le romancier Jean Giraudoux exprima son accord avec Hitler, quand ce dernier dit qu’une politique atteint son sommet quand elle est raciale.»
- Si les Gardes rouges de Mao provoquèrent des convulsions mortelles en Chine, ils exercèrent une fascination extatique sur Jean Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Jan Myrdal, Charles Bettelheim, Alain Badiou et Louis Pierre Althusser.
- Barbusse et Aragon créèrent le « monstre de poche Enver Hoxha”, le dictateur albanais, à la Sorbonne.
- Sartre soutenait la Révolution des Khmers rouges de Pol Pot, Hu Nima et Ieng Sary.
- Noam Chomsky qualifia les preuves du génocide commis par Pol Pot de “troisième ordre” et les fruits d’une vaste campagne de propagande sans précédent contre les Khmers rouges.
- Gareth Porter, qui remporta le Prix du journalisme Martha Gellhorn, déclara en mai 1977 : “L’idée que la direction du Cambodge démocratique adopta une politique génocidaire de catégories entières de gens était… un mythe.”
Dans les années septante, le monde entier connaissait déjà la vérité sur les Gardes rouges. Toutefois, la jeunesse allemande de l’Union des Etudiants manifestait dans les rues arborant fièrement les portraits du “Grand Timonier” et chantait le chant révolutionnaire culturel “The East is Red”.
Aux USA, les manifestants déployaient des drapeaux rouges, des portraits de Trotsky et du ‘Che’ et rêvaient de ‘baiser’ le système, à l’instar de leur idole, Abbie Hoffman.
La haine des philistins moralisateurs et des snobs petits-bourgeois, comme Trotsky qualifiait les gens ordinaires, tout en rêvant à la guillotine, aux baïonnettes et à la ‘terreur rouge’, continuait à inspirer les intellectuels occidentaux comme Tarik Ali, l’auteur du manuel révolutionnaire ‘Trotsky pour les Débutants.’
“La classe moyenne fut conquise par ‘le bolchevisme bohémien bourgeois’ ” écrivit Pascal Bruckner.
Staline, Mao, Pol Pot passèrent l’arme à gauche, mais de nouveaux héros firent leur apparition.
Des journalistes de premier plan de CNN — Peter Arnett, Prix Pulitzer pour sa couverture de la guerre du Vietnam, le producteur Robert Wiener et directeur des informations Eason T. Jordan — entretenaient d’excellentes relations avec des associés proches de Saddam Hussein, et prétendaient n’avoir pas été au courant des atrocités commises par le dictateur.
Ne ratez aucun des articles de Dreuz, inscrivez-vous gratuitement à notre Newsletter.
Des stars d’Hollywood avaient organisé une course de Pèlerinages pour Castro et Chavez…
Des professeurs néo-marxistes et des intellectuels progressistes comme Dario Fo, Jean Baudrillard et Martin Amis, saluèrent le triomphe d’Al-Qaïda le 11 septembre 2001.
La ‘romanticisation’ de la ‘main de fer’, l’adoration de l’homme solitaire, autoritaire, à la main sensible de l’artiste, expliquent la surprenante facilité avec laquelle les anarchistes, les pacifistes, les marxistes, les athées récents, se sont sentis attirés par la ‘religion’ la plus primitive, la plus barbare, la plus despotique de notre temps : l’islam.
Ils ne veulent pas du Bouddhisme, du Bahaïsme, du Zoroastrisme, de l’Ahmadisme. Ils veulent une religion qui les écrasera, violera leurs corps et leurs âmes, détruira leur ego ; une religion qui les terrifiera et les fera trembler de peur, d’infirmité et d’impuissance. (Ils vont être gâtés avec l’islam : leurs vœux seront pleinement exaucés.)
Seul l’islam médiéval, assoiffé de sang, peut aujourd’hui accomplir cela. Seul l’islam possède en lui une cruauté illimitée et la volonté de tout brûler sur son chemin. Et ils s’assemblent, tels des papillons de nuit, volant joyeusement vers la flamme, qui les détruira :
- Les communistes Roger Garaudy, ‘Carlos le chacal’, Trond Ali Linstad, Malcolm X, Alys Faiz, les défenseurs des droits de l’Homme Jemima Goldsmith et Keith Ellison, Uri Davis, le combattant pour les droits des Palestiniens ;
- Les pères favorisent Castro, comme Oliver Stone ; leurs fils acceptent l’islam, comme Sean Stone ;
- Ken Livingstone (membre du Labour Party, maire de Londres de 2000-2008), Jeremy Corbyn (leader de la gauche britannique, pro-palestinien), John Brennan (ancien directeur de la CIA sous la présidence Obama entre 2013 et 2017), grand amoureux de l’islam ;
- Des stars d’Hollywood ;
- Ylva Johansson, ministre suédoise de l’intégration qui à l’instar de Stefán Löffven, Premier ministre suédois, prétendit qu’il n’y avait aucun lien entre la criminalité, pourtant en progression inquiétante, et l’immigration (Ah, ce déni tenace de la réalité, qui aveugle tant de dirigeants gauchistes européens et met en danger la vie des Européens non musulmans.)
- Michael Fabricant, un ex-vice-président du Tory, qui déclara que certains Anglicans conservateurs n’avaient rien à envier à l’Etat islamique.
- Les politiciens allemands, qui viennent d’instaurer la surveillance des médias et leur a ordonné de censurer l’origine ethnique et la religion des criminels dans leurs articles ;
- Lord Phillips Chief Justice d’Angleterre et du Pays de Galles, pour qui la reconnaissance des tribunaux de la Charia en Grande-Bretagne est inévitable ;
- Les Libéraux canadiens, qui soutiennent la motion anti-islamophobie ;
- Jonatan Brown, professeur à Georgetown, qui justifie l’esclavage et la viol des femmes esclaves ;
- Wendy Ayres-Bennett, une professeure britannique qui exhorte les élèves britanniques à apprendre l’Ourdou et le Punjabi afin que les migrants musulmans se sentent bien accueillis. (Après l’imposition de l’apprentissage de la langue arabe en France et en Allemagne, les Européens devraient en outre se familiariser avec d’autres langues, pratiquées par les envahisseurs, car c’est aux Européens de s’intégrer aux migrants et non l’inverse. Quoi de plus normal pour ces illuminés du multiculturalisme.)
- L’université de l’Ohio, qui créa un cours intitulé : ‘Comment les musulmans aidèrent à construire l’Amérique. »
(Idée plébiscitée par Barack Hussein Obama, au cours de son mandat :
‘Nous avons vu les bienfaits apportés par des générations d’immigrés musulmans : les agriculteurs et les ouvriers d’usine, les travailleurs qui construisirent les chemins de fer, les maçons qui édifièrent nos villes, les musulmans innovateurs qui aidèrent à la construction de nos plus hauts gratte-ciel et ceux qui contribuèrent à percer les secrets de notre univers.
Cette expérience guide mes convictions que le partenariat entre l’Amérique et l’islam doit être basé sur ce qu’est l’islam et non sur ce qu’il n’est pas. Et je considère que c’est ma responsabilité, en tant que président des USA, de lutter contre tous les stéréotypes négatifs diffusés sur l’islam, peu importe où ces derniers apparaissent et se propagent.
Je sais aussi que l’islam a toujours fait partie de l’histoire d’Amérique.’)
- L’agence d’État Lernia, qui a récemment lancé une campagne visant à remplacer la forme standard du suédois par une version plus inclusive pour les migrants. Le ‘nouveau standard suédois’, développé en collaboration avec le linguiste Mikael Parkvall, mélange les accents et les dialectes communément parlés en Suède.
- Les féministes américaines, qui brandissent des slogans ‘Allah Akbar’ et ‘I love islam’ et soutiennent les pernicieux mouvements BDS à l’encontre d’Israël.
- La ministre du Commerce suédois Ann Linde et plusieurs femmes du gouvernement suédois (premier gouvernement féministe du monde) qui défilent voilées devant les barbus de Téhéran…
- De pures et fières féministes, comme Elena Gustafsson et Gudrun Schyman, qui défendent les violeurs musulmans de jeunes filles suédoises.
Tous ces gens et des milliers d’autres se sont déjà tournés vers l’islam, de facto si ce n’est pas de jure.
Ces personnes se sont tournées vers l’islam pour fuir leurs peurs, leurs complexes, leurs sentiments de désespoir et d’incompétence. Elles ont choisi le despotisme du corps et de l’esprit afin de se priver de leurs libertés, cette liberté qui a toujours été un fardeau insoutenable pour leurs pauvres et faibles âmes, remplies de chimères. Elles aspirent à l’esclavage et l’idéologie islamo-nazie leur offre la réalisation de leurs rêves.
Elles sont aujourd’hui attirées par l’islam. Mais si demain l’islam est éradiqué (le rêve) et qu’apparaisse un nouveau Gengis Khan avec ‘sa religion des Steppes’ ou si le royaume des Aztèques devait renaître avec ses prêtres arrachant le cœur des victimes encore vivantes, ces personnes se rueraient passionnément vers ces nouvelles idéologies, car elles aspirent à la tyrannie, et détruiront tout ce qui dresse sur leur chemin.
A cause de ces personnes : ‘Nous quitterons ce monde aussi stupide et diabolique que nous l’avons trouvé en y arrivant.’ Voltaire.
‘Que répondre à un homme qui vous dit qu’il aime mieux obéir à Dieu qu’aux hommes et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ?’ Voltaire.
En fait, rien ne change. Les ‘faiseurs d’opinions’ d’autrefois admiraient aveuglément le nazisme et le communisme et niaient les génocides commis par leurs leaders vénérés ; ceux d’aujourd’hui encensent l’idéologie islamo-nazie et ferment pudiquement les yeux sur les massacres commis en son nom, afin de ne pas stigmatiser la ‘meilleure communauté qui soit’, peu importe le nombre de victimes.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
Source : “ Fifty Shades of Green” Alex Maistrovoy, auteur d’Agony of Hercules or a Farewell to Democracy (Notes of a Stranger) (traduit et adapté par Rosaly)
Rosaly Shalom,
Comme à l’accoutumée, excellent article. Toute idéologie d’intolérance et de violence meurtrière – de “gauche” comme de “droite” est la religion païenne des imbéciles et des incapables.
La citation de Blaise Pascal en exergue dit tout : “Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste”.
Excellent article.
“Ils ne veulent pas du Bouddhisme, du Bahaïsme, du Zoroastrisme, de l’Ahmadisme. Ils veulent une religion qui les écrasera, violera leurs corps et leurs âmes, détruira leur ego ; une religion qui les terrifiera et les fera trembler de peur, d’infirmité et d’impuissance. (Ils vont être gâtés avec l’islam : leurs vœux seront pleinement exaucés.)” Y a t- il quelque chose a ajouter?
Ce que je peux ajouter c’est cette vidéo qui va tout à fait dans votre sens : islam=terreur ;
http://www.christianophobie.fr/la-une/lislam-religion-de-paix-dignitaire-musulman-dit-contraire?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#.WPiCSjqkL7M
maintenant c’est officiel … j’ai peur pour le futur de l’Europe avec des gens comme lui
Exactement, les malfaisants ont toujours sous la main une idéologie qui leur permet d’assouvir leur haine du vivant et de la civilisation; d’ailleurs, pas plus que les militants communistes ou nazis n’avaient lu les œuvres écrites de leurs leaders, pas plus les islamistes n’accordent un réel crédit aux élucubration intellectuel de leur timonier. Ce qui compte c’est de détruire, de briser. Choc des civilisations ? Non : guerre entre la Civilisation et la barbarie;
Pauvre Europe qui a perdu son Point de repaire et se laisse domine par la “religion” d`amour et folie, les dingue d`Islam, sottise des “naives” intelligent, a crevee.
Les progressistes sont les éternels cocus de l’Histoire ! Cocus avec le communisme ! Cocus avec le socialisme ! Cocus avec l’hitlerisme (80 % des Français de gauche ont collaboré avec le nazisme) ! Cocus tout le temps, mais pas amphitryons avec ces idéologies ! Par contre, avec l’islam(isme) ils seront non seulement cocus, au sens propre et au sens figuré, mais également amphitryons ! Ils n’auront pas à proposer leurs femmes, elles seront prises de force pour assoupir les besoins ” bestiaux ” de ces barbares dont l’idéologie est, a été et sera toujours mortifère ! Jusqu’à ce qu’elle disparaîtra d’elle-même, du fait d’atrocités insoutenables, comme nous le voyons aujourd’hui, mais encore à une petite échelle ! Des textes hébraïques parlent de l’islam (ishmaël) depuis des milliers d’années, allant même jusqu’à dire que cette idéologie dominera le monde, vers la Fin des Temps ! Mais succombera d’elle-même ! Incha Allah ! Incha Allah (avec l’aide d’Allah) et cette fois, l’on pourra dire tous ensemble ” Allah ou Akbar ! (D.ieu est grand !” ; et l’on boira une bonne coupe de champagne, pour fêter l’évènement ! En espérant le vivre !
Le fou asservi aime son bourreau plus que lui même et ne recherche plus sa liberté. Les dirigeants devenus fous utilisent la main criminelle de l’islam qu’ils aiment pour asservir les peuples européens qu’ils détestent!
Excellent article dont on apprend encore beaucoup sur les faits tragiques de notre histoire. Puissent les scrupuleux et les hésitants s’il en reste encore..voir clairement d’où vient le cancer qui déstructure nos civilisations, et cela, tant que l’acceptation sera plus forte que le rejet massif.
Bonsoir, Rosaly! et merci pour votre traduction de cet intéressant article.
Je ne suis pas vraiment d’accord avec sa teneur, cependant.
Si, concernant le nazisme et le communisme, il y eut une vraie
adhésion de nombre d’intellectuels, d’hommes politiques, de gens de médias
et d’une partie non négligeable de la population espérant de meilleures conditions
de vie, l’emballement de ce qui, alors, passait pour “l’ élite” — de R. Rolland à Sar-
tre—, visait les “masses”.
Les poètes, artistes, écrivains ” communistes” vivaient-ils en communistes?
Permettez que je vous donne un exemple.
A Mexico, lors d’un voyage en 1998, visitant des sites archéologiques peu connus,
à COYOACAN, l’on me proposa de visiter la maison des peintres : Frida KAHLO
et Diego RIVERA, communistes bien connus, elle pour ses tableaux , lui, pour
ses fresques murales encombrant les murs du Palacio Nacional, entre autres,
à la gloire des travailleurs mexicains, le tout dans le genre ethnique — et
dans le style soviétique ( ce qui revient, à mes yeux, à tuer deux fois ces
pauvres Indiens).
J’entrai dans la ” Casa Azul”.
Croyez-vous que l’on y voyait des fresques murales?
Nenni!
Ce charmant intérieur bourgeois n’avait rien de communiste.
Ces staliniens avaient un goût prononcé pour le confort, le beau,
l’ancien.
De merveilleuses statuettes pré-colombiennes étaient amassées là.
Eh bien, sachez que les concurrents de Rivera, autres peintres de
fresques socialistes, ne se sont pas laissés prendre à son imposture.
Voici ce qu’écrit SIQUEIROS, dans ” The New Masses”, en 1934:
Rivera est accusé ” davoir une vision idéalisée et fausse des
indigènes, d’être un touriste mental ( parce qu’il s’est “planqué” à
l’étranger durant la révolution, un snob, un saboteur du travail
collectif, le peintre de la nouvelle bourgeoisie et des millionnaires,
techniquement dépassé; accusé de dépendre des subsides du gouver-
nement et d’être un de ses agents”…
Aujourd’hui, les populations, en tout cas, n’adorent pas l’islam: elles
en ont peur.
Les bobos, bardés de leur attirail branché: portable avec écouteurs, trottinette
ou roller, bébé en kangourou, passant près des arabes en tenue archaïque,
se frôlent SANS SE REGARDER.
Ils ne s’informent pas.
Les attentats islamistes, vite engloutis par les médias chloroformants,
sont oubliés.
Nombre de Français qui portent un keffieh autour du cou, le font pour
afficher leur soumission à l’ennemi.
Quant aux manifestations vraiment pro-islam, essentiellement pro-
hamas, elles sont, chacun le sait, anti-israéliennes; nul n’est plus
dupe.
Léon Bloy : « L’histoire des Juifs barre l’histoire du genre humain comme une digue, pour en élever le niveau »
Paul Johnson : « Assurément, un monde sans Juifs aurait été un endroit radicalement différent. L’humanité aurait pu, tôt ou tard, finir par trébucher sur toutes les valeurs juives. Mais rien n’est moins sûr. Toutes les grandes découvertes conceptuelles de l’intellect humain semblent évidentes et incontournables une fois qu’elles ont été révélées, mais il faut un génie particulier pour les formuler pour la première fois. Les Juifs ont eu ce don. C’est à eux que nous devons l’idée d’égalité devant la loi, tant divine qu’humaine ; celle de la sainteté de la vie et de la dignité de l’être humain ; celle de la conscience individuelle et donc celle de la rédemption personnelle ; celle de la conscience collective et donc celle de la responsabilité sociale ; celle de la paix en tant qu’idéal abstrait et de l’amour comme fondement de la justice, et bien d’autres notions qui constituent le substrat moral fondamental de l’esprit humain. Sans les Juifs, [le monde] aurait pu être un lieu bien plus vide.»
Migros Magazine 52, 22 décembre 2008 : […]
Quel rôle ont joué les martyrs dans la naissance du christianisme ?
Un rôle non négligeable, dans la mesure où l’opinion publique était frappée par ces gens prêts à mourir publiquement et dans d’atroces conditions simplement parce qu’ils ne voulaient pas renoncer à leurs convictions (il suffisait d’y renoncer pour échapper au martyre). On sait aussi par les textes que bien des chrétiens – y compris des femmes dont le statut prenait ainsi un caractère aussi héroïque que celui des hommes – aspiraient délibérément au martyre, le provoquaient afin d’accéder plus vite au Royaume de Dieu, et de témoigner le plus publiquement possible de la foi chrétienne. […]
Mark Twain 1899: « Si les statistiques sont exactes, les Juifs constituent à peine un pourcent de la race humaine. Cela suggère une faible nébuleuse de poussière perdue dans l’éclair de la voie lactée. Normalement, on ne devrait guère entendre parler du Juif, mais on en entend parler, on en a toujours entendu parler. Il est aussi important sur la planète que n’importe quel autre peuple, et son importance économique est d’une extravagante proportion comparée à la petitesse de sa taille. Ses contributions à la liste du monde des grands noms de la littérature, de la science, des arts, de la musique, de la finance, de la médecine et des apprentissages complexes sont également de loin hors de proportion avec la faiblesse de son nombre. Il a fait dans ce monde un combat merveilleux, à toutes les époques ; et il l’a fait avec les mains attachées derrière le dos. Il aurait pu être vaniteux, et être excusé pour cela.
« Les Égyptiens, les Babyloniens, les Perses se sont élevés, ont rempli la planète avec leur retentissement et leur splendeur, puis se sont évanouis dans un rêve. Les Grecs et les Romains ont suivi, et ont fait beaucoup de bruit, puis ils ont disparu ; d’autres peuples ont vu le jour et ont tenu leur flambeau très haut pour un temps, mais ce dernier s’est éteint, et ils sont maintenant assis dans la pénombre, ou ont disparu.
« Le Juif les a tous vus, tous battus, et maintenant, il est ce qu’il a toujours été, ne présentant aucune décadence, aucune infirmité de l’âge, aucun affaiblissement de ses composantes, aucun ralentissement de ses énergies, aucun ternissement de son esprit alerte et combatif.
« Toutes les choses sont mortelles, sauf le Juif ; toutes les autres forces passent, mais lui reste. Quel est donc le secret de son immortalité ? »
QUESTION:
Savez-vous qui sont les auteurs de la stèle ci-dessus à la mémoire de l’Holodomor et attribuant la responsabilité de cette horreur aux Juifs et non à Staline ?
– Entrez!
Le pasteur se tourna du côté de la porte au moment où une femme imposante pénétrait dans la pièce. La visiteuse semblait en proie à une vive agitation. Aussitôt elle s’emporta:
– Il paraît que vous ne voulez pas confirmer ma nièce!
Le pasteur tenta de l’apaiser:
– Eh bien! Commencez par vous asseoir. Et maintenant laissez-moi vous expliquer tout tranquillement les choses. Votre nièce, voyez-vous … enfin vous savez aussi, puisqu’elle vit complètement avec vous depuis la mort de ses parents, qu’elle est faiblement douée sous le rapport de l’intelligence. C’est pour cela qu’elle a fréquenté l’école spéciale pour enfants arriérés. J’ai essayé de l’instruire. Mais elle n’a pas été capable de retenir un seul chant, sans parler du catéchisme. C’est pourquoi vous devez comprendre qu’il m’est impossible d’admettre à la confirmation un enfant aussi faible …
– Je vois ce que vous voulez dire, repartit la femme en interrompant les explications du pasteur.
– Mais il faut que je vous raconte quelque chose:
– Dieu a usé de cette pauvre et faible enfant comme instrument pour transformer toute notre maison.
Le pasteur leva des yeux étonnés:
– Comment cela s’est-il passé ? demanda-t-il.
– Je ne sais si vous avez connaissance de ceci: nous tenons un café. Il me faut avouer franchement qu’il régnait chez nous un esprit mauvais et … déréglé. A la mort de ma sœur, il y a une année de cela, j’ai recueilli sa fillette chez nous. La pauvre petite faisait peine à voir. Comme je ne disposais pas de beaucoup de place, je mis un lit supplémentaire dans la grande pièce où dorment les deux filles que j’emploie au café.
Alors il se passa quelque chose d’étrange. Le premier soir, leur travail terminé, les deux servantes emmenèrent l’enfant avec elles dans leur chambre commune.
Il était tard. Comme elle avait appris à le faire, la petite une fois couchée joignit ses mains et récita sa prière:
– Mon Dieu crée en moi un cœur pur et me donne un esprit nouveau et bien disposé. C’est le seul verset qu’elle ait jamais retenu.
Vous pouvez bien imaginer ce qui arriva: les deux filles se mirent à rire et à se moquer. Mais l’enfant ne s’en souciait pas. Puis elle s’endormit et le lendemain matin, aussitôt réveillée, elle redit sa prière, sans être troublée le moins du monde par l’hilarité des autres.
Mais le second soir, lorsque la même scène recommença et que l’une des deux servantes se mit à pouffer comme la veille, l’autre lui dit avec sérieux:
– Tu sais, la petite a raison. C’est ce qui nous manque à nous, un cœur pur. Oh! mon Dieu oui, que ça me manque … Je prie avec elle!
– Ce qu’elle fit, répétant mot à mot ce que ma petite nièce avait dit: – Mon Dieu, crée en moi un cœur pur et me donne un esprit nouveau et bien disposé.
– Trois jours après, l’autre servante priait aussi pour recevoir cet esprit nouveau. Eh bien! vous savez mieux que moi, monsieur le pasteur, que quand on demande le Saint-Esprit, il vient. Bref, les deux filles changèrent complètement. Je leur demandai ce qui les avait transformées ainsi. Elles me rapportèrent ce qui s’était passé et ajoutèrent pour finir:
– Si l’esprit ne change pas ici, dans la maison, nous partirons.
– Alors j’ai pris peur. Et j’ai senti qu’elles avaient raison. Et je me suis mise à prier, moi aussi.
Et maintenant tout est changé chez nous, absolument tout. Mon mari participe à notre culte du matin. Après l’esprit du diable, c’est le nouvel esprit de Dieu qui règne dans ma maison. Et tout cela est venu par cette enfant. Le pasteur avait écouté ce récit avec une profonde attention. Il était très ému.
– Merci de m’avoir expliqué, dit-il, l’enfant sera confirmée!
Source: ‘Un chant dans le chaos’ de Wilhelm Busch
I Corinthiens 1.27-29 : Mais Dieu a choisi ce que le monde estime fou pour couvrir de honte les sages; il a choisi ce que le monde estime faible pour couvrir de honte les forts; il a choisi ce que le monde estime bas et méprisable, ce qui n’est rien à ses yeux, pour détruire ce qu’il estime important. Ainsi aucun être humain ne peut se vanter devant Dieu.
Matthieu 18.3 : Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux.
G. Schwerzmann: l’enfant dispose, entre autres, des caractéristiques suivantes, caractéristiques auxquelles Jésus fait allusion dans Matthieu 18.3:
• un enfant se sait dépendant
• un enfant veut grandir
• un enfant a soif d’apprendre
Plus tard, Jésus fût crucifié entre deux brigands et le dialogue suivant s’instaura (Luc 23.39):
L’un des malfaiteurs crucifiés l’injuriait, disant: N’es-tu pas le Christ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous !
Mais l’autre le reprenait, et disait: Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation? Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes; mais celui-ci n’a rien fait de mal. Et il dit à Jésus: Souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit: Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.