Publié par Jean-Patrick Grumberg le 26 avril 2017

Radio-Canada accuse Dreuz d’être un site de la “droite identitaire” – encore. Radio-Canada fait du fascisme médiatique – encore.

Une toute simple recherche sur Google aurait permis à l’imbécile journaliste Jeff Yates qui nous attaque – encore – de constater que Dreuz est un site chrétien américain, conservateur, pro-israélien ce qui n’a pas grand-chose à voir avec la “droite identitaire” (quelle droite ? Quelle identité ? le malhonnête Yates ne le sait pas lui-même).

Mais Jeff Yates est trop fainéant, trop incompétent, trop incapable, et trop mal intentionné pour faire une simple recherche sur Google.

Cette radio qui pratique le fascisme médiatique n’a aucune tolérance envers les idées différentes des siennes. Jeff Yates qui défend la diversité n’a que de la haine envers la diversité d’idée. Lui qui rejette la haine n’a que haine pour tout ce qui n’est pas progressiste et très à gauche.

Voilà des journalistes incapables de débattre, de réfléchir, d’argumenter, alors ils insultent pour faire taire toute opinion conservatrice. Et comme ils n’y parviennent pas, ils s’enfoncent dans le ridicule des accusations infondées.

Animés de cet esprit totalitaire, des petits flics de la pensée de Radio Canada comme Jeff Yates s’imaginent s’en tirer à bon compte en lançant leurs flèches empoisonnées sur tous ceux qui osent ne pas penser comme ils voudraient qu’on pense. Mais l’on se rit d’eux en les voyant ainsi se vautrer dans la stupidité et les clichés usés.

Dans son article, Yates voulait dénoncer les fausses rumeurs. C’était sans doute pour faire oublier que Radio Canada s’est retrouvée très récemment au centre non pas d’une mais de deux méchantes polémiques pour avoir fait circuler des fausses rumeurs, des Fake News.

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Elles pleuvent elles pleuvent, les Fake News à Radio-Canada :

  • Lise Ravary, dans le Journal de Montréal du 6 mars dernier, se demandait comme Radio-Canada a pu “transformer un minable mémoire de maîtrise vieux de deux ans rédigé par une étudiante en sociologie à l’UQAM dont personne n’a jamais entendu parler, en nouvelle d’intérêt public ?” pour attaquer et tenter de faire taire un journaliste honorable, Richard Martineau, pour la seule et unique raison qu’il a une opinion à lui, honnête et indépendante, que le fascisme médiatique ne tolère pas. “Seule réponse possible”, conclut Ravary, “avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de mauvaise foi.”
  • Le 6 avril, autre dossier qui fait polémique, une affaire de «Fake news» à l’émission “Enquête”, destiné à traîner dans la boue Martin Prud’homme, le directeur général de la Sûreté du Québec au moyen de mensonges et de calomnies : “Contrairement à ce que l’émission Enquête a affirmé avec tambours et trompettes, Martin Prud’homme, le grand patron de la SQ, n’était pas dans le sud lors de la grosse tempête. Il était à son bureau” écrit Richard Martineau dans le Journal de Montréal.
     
    Le coup est humiliant.
     
    Martineau poursuit : “non seulement son adjoint Sylvain Caron n’était pas à une fête destinée à souligner le départ à la retraite d’un collègue, comme l’ont affirmé les journalistes d’Enquête, mais il n’y avait même pas de fête cette journée-là !”Aïe !

    Et Martineau porte le coup final aux Fake News de Radio Canada :

    “Comment le magazine d’information numéro Un de Radio-Canada a-t-il pu diffuser des informations aussi erronées ? Sans prendre la peine de les corroborer ?

    Se pourrait-il qu’à force de vouloir régler des comptes, les journalistes d’Enquête oublient parfois de… faire enquête ?

    On a de plus en plus l’impression que l’équipe d’Enquête est plus intéressée à « planter » certaines personnes et à défendre certaines idées qu’à présenter des faits de façon objective, sans idée préconçue ni agenda caché.

    C’est comme si on se disait : « Voici l’idée que nous voulons défendre (il n’y a pas d’islamistes à Montréal, Martineau et Bock-Côté sont des islamophobes, la SQ n’a rien fait lors de la tempête, etc…). Maintenant, arrangeons-nous pour trouver des « faits » qui appuient notre idée de départ… »

    Il y a une différence entre une chronique et un reportage. Or, certains topos d’Enquête ressemblent plus à des chroniques subjectives qu’à des reportages objectifs…

    « Never let the facts get in the way of a good story », comme disent ironiquement les Anglos.

     
    Ne laissez jamais des faits objectifs démonter une bonne histoire…

     
    Est-ce la nouvelle devise d’Enquête ? Quand on veut planter quelqu’un ou défendre telle ou telle idée, tous les coups sont bons ?

    Même utiliser des “faits alternatifs” ?”

La gifle est sévère mais méritée. Enquête a eu le caquet rabattu.
 

Conclusion :

Mouché le morveux méchant petit Jeff Yates. Mouchés les journalistes d’Enquête. Mouchée Radio Canada.

Petite leçon de morale : avant d’attaquer les autres, balayer la saleté devant sa porte.

Elles ne sont pas nées, les racailles journalistes qui feront taire les Dreuz info, les Richard Martineau, les Mathieu Bock-Côté, les Sean Hannity, Ann Coulter, Ivan Rioufol, Lise Ravary, Elisabeth Levy, et autre voix libres, par l’insulte et la diabolisation.

A condition bien entendu, et je le signale à mes confrères, que nous mettions le holà à ce totalitarisme médiatique qui ne dit pas son nom et cherche à faire taire toute opinion conservatrice ou seulement différente. Nous devons désormais rendre coup sur coup, durement, sans quoi, d’ici quelques années, si nous n’y prêtons pas garde, plus aucune opinion qui n’obéit pas au dogme gauchiste ne sera audible, elles auront toutes été étouffées par la peur d’être vilipendées – le rêve de ces bolcheviks de la pensée qui sont d’autant plus agressifs que leur proie faiblit.

Le malhonnête propagandiste gratte-papier Jeff Yates qui se cache lâchement derrière la jadis respectable Radio Canada (Lise Ravary, dont les propos lui appartiennent, salue par exemple “l’excellent travail des Sébastien Bovet, Jean-François Bélanger, Marie-Eve Bédard et Catherine Kovacs”), qui vit terré derrière ses mensonges, à s’imaginer à l’abri, abuse de la crédulité de son public et d’une certaine manière, lui crache au visage en assénant ses mensonges.

Je ne suis pas sûr que les auditeurs de Radio-Canada accepteront encore longtemps d’être pris pour des imbéciles.

Mon père m’a éduqué avec cette règle : celui qui te ment une fois, honte sur lui, s’il te ment deux fois, honte sur toi.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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