Le monde est en crise, en Occident les peuples trahis par leurs élites ont perdu leurs repères, ils vivent et se débattent dans un présent anxiogène.
La modernité, naguère si orgueilleuse et sûre d’elle, s’essouffle, elle ne génère plus autant d’enthousiasme et son avenir semble de moins en moins assuré. La crise est spirituelle et morale, elle remue profondément les gens et rares sont ceux qui se disent confiants et sereins.
Durant les deux cents dernières années, le succès continu de la civilisation occidentale a entretenu chez les gens un sentiment de toute-puissance, tout est devenu possible. Ce sentiment a atteint son point culminant au cours des cinquante années qui ont suivi la fin de la seconde guerre mondiale. L’homo occidentalis, tout à sa quête du succès et du bonheur, a cessé de chercher un sens à sa vie. Sa foi dans un progrès continu sur tous les plans lui a paru amplement suffisante, du coup sa vie spirituelle s’en est trouvée atrophiée. Avec le temps le sentiment de toute-puissance a laissé peu à peu la place à l’inquiétude et au mal-être, un doute profond a remplacé la foi dans le progrès, c’est qu’on ne s’aventure pas sans conséquences dans le désert spirituel: en cessant de croire le monde occidental a cessé d’espérer, il se projette de moins en moins dans l’avenir et fait de moins en moins d’enfants.
Mais cette misère spirituelle n’a pas épargné l’Église et en particulier ses clercs et sa hiérarchie. Dans un monde sans cesse captivé par des nouveautés éphémères, elle a largué les amarres et s’est laissée emporter par le courant dominant. Plus préoccupée d’idéologie que de vertus théologales, elle a troqué son droit d’aînesse pour le plat de lentilles “libéral” et “progressiste”. L’Église n’est plus ce lieu où les brebis se rassemblent, et le pasteur ne songe plus à paître ses brebis.
Le séisme qui secoue le monde musulman n’est que la contrepartie de la crise profonde et de la misère spirituelle qui minent l’Occident post-chrétien. La modernité n’a pas exorcisé les démons de l’islam, elle s’est même laissée intimider par eux. Née du judéo-christianisme, elle s’est coupée de ses origines comme une branche qui se coupe de l’arbre pour mieux affirmer son originalité. Ce faisant elle n’a trompé qu’elle-même et ses adorateurs, mais certainement pas l’islam qui l’a rejette à cause de ses racines chrétiennes et de la menace qu’elle exerce sur lui.
L’islam vit constamment dans la crainte
L’islam s’est édifié au septième siècle en opposition au christianisme et spécifiquement au mystère chrétien de la rédemption et du salut ; depuis il n’a cessé de lui faire la guerre. Le rêve réactualisé d’un califat universel découle certes de l’idéologie islamique des origines, mais il traduit également une inquiétude profondément ancrée, qui a pour objet la pérennité de l’islam et de la tyrannie qu’il exerce sur les esprits. L’islam vit constamment dans la crainte, et il continuera à se sentir en danger tant qu’il fera face à son ennemi séculaire.
La crise qui frappe l’islam découle des sentiments d’échec et d’impuissance que l’oumma islamique est incapable de gérer. L’échec de l’islam est patent et n’a d’égale que l’impuissance des musulmans à le surmonter ; il est d’autant plus humiliant qu’il contraste avec le succès éclatant de l’Occident. Du coup l’ennemi chrétien apparaît à la fois invincible et indispensable ; invincible en cas de conflit armé, et indispensable du fait de l’arriération et de la dépendance des musulmans dans tous les domaines.
L’échec et le sentiment d’impuissance ont donné naissance au ressentiment et à la colère. Le monde est régulièrement témoin de l’agressivité et des explosions de rage des musulmans, quel que soit l’endroit où ils se trouvent. L’oumma islamique gaspille son trop plein d’énergie dans cette rage impuissante, mais également dans des incantations sans fin sur l’infinie supériorité de l’islam et sur son passé glorieux. C’est ainsi que des peuples, jadis vaincus et convertis de force à l’islam, font de leur antique malheur un objet de fierté.
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L’oumma refuse catégoriquement d’envisager la possibilité que l’islam soit la cause principale de son échec. Bien plus, dans un élan irrésistible de fuite en avant, les musulmans ont décidé que pour réussir il leur fallait davantage d’islam ; l’échec n’aurait d’autre cause que la non-observance du vrai islam, d’où le slogan-piège des frères musulmans : “l’islam est la solution”. Sans surprise les réformateurs sont tombés dans le piège des islamistes, eux aussi refusent d’envisager le salut autrement qu’à travers l’islam, mais un islam “réformé”, sans dire en quoi consiste cette “réforme” et s’il y a consensus quant à la nécessité de sa mise en œuvre.
C’est peu de dire que l’islam est dans l’impasse, il n’y est pas contre son gré mais par choix, car c’est dans cette impasse fantasmatique qu’il emmagasine et mobilise ses énergies. En épousant la violence l’islam est mort spirituellement, il n’est plus en quête d’un renouveau, et encore moins d’une place honorable dans ce monde moderne qu’il rejette, mais dont il a absolument besoin pour survivre et perdurer. L’islam est la seule religion qui sait qu’elle joue sa raison d’être à quitte ou double, contrairement au christianisme, il lui est impossible d’embrasser la modernité sans se réduire à l’insignifiance. C’est pourquoi, au risque de se saborder, il lui faut détruire et la modernité et le christianisme.
L’islam est conscient de la misère spirituelle de l’Occident, elle lui ouvre une fenêtre d’opportunité incroyable qu’il s’empresse d’exploiter à fond. Il sait qu’elle peut être réversible dans un avenir plus ou moins lointain, c’est pourquoi il se hâte et prend tous les moyens, pour imposer des changements définitifs partout où il étend sa présence. Du sentiment de danger naît l’opportunisme, l’islam n’hésite pas à s’allier aux ennemis de son ennemi, même si le seul point commun qu’il partage avec eux est la haine du christianisme. Cependant cette haine ne gêne en rien ses rapports avec l’Église. Trop heureux d’exploiter le filon qui s’offre à lui, il profite de la main tendue pour désarmer moralement l’ennemi et le persuader de baisser la garde. Si du point de vue de l’Église le “dialogue” est la voie vers la paix, pour l’islam le dialogue est une autre façon de faire la guerre.
La crise spirituelle en Occident et la mort spirituelle en islam se mélangent dans un bouillon de sorcière propre à tuer notre civilisation. L’élan vers l’abîme semble de part et d’autre bien engagé : victime et bourreau semblent en parfait accord, qui pour mourir et qui pour percer la bouée de sauvetage qui le maintient en vie. Dans un monde où la Sagesse n’a plus sa place, la Bêtise affiche tous les jours son sourire triomphant ; il vaut mieux selon certains jouir du moment présent, car on ne peut rien contre le courant du Destin.
Qui a dit que Bêtise et Fatalité sont les deux faces de la même monnaie ?
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hélios d’Alexandrie pour Dreuz.info.
Excellente lecture de l’époque et très divertissante.
Bravo Hélios pour cet article.
Je suis en train de lire “la trahison des clercs d’Israël” de Pierre Lurçat, ça fait partie du même paysage !
C’est exactement ça! La foi renaîtra en Occident, mais pas avant que les Occidentaux n’aient payé le prix de leur aveuglement.
@Atikva. Je ne vois pas où il est dit dans cet article que la foi renaîtra en Occident? Par contre, le déclin de notre civilisation judéo-chrétienne est le résultat de sa capitulation spirituelle. Et l’Islam s’engouffre dans notre vide spirituel pour tenter de s’imposer et surtout nous soumettre à son idéologie mortifère. Au plan politique la laïcité prônée par nos élites ne remplace pas notre vide spirituel mais n’est qu’une conséquence logique de celui-ci. La laïcité est l’expression élégante du vide spirituel. L’homme devient dieu sans Dieu. Il s’exonère ainsi, à peu de frais, de la responsabilité de son échec au lieu de revenir vers ses racines vivifiantes. Nous avons oublié par négligeance que le judéo-christianisme a été porteur des plus grands progrès dans l’histoire de l’humanité.
@gigobleu
“C’est exactement ça!” marquait mon appréciation de cet article d’un intérêt exceptionnel.
Ne voyant pas l’intérêt de répéter le contenu de l’article, le reste de mon commentaire concernait simplement ma propre vision de l’avenir en fonction de l’analyse de l’auteur.
@Atikva. Merci, nous sommes bien d’accord. C’est aussi tout l’intérêt d’un débat d’un autre niveau que celui d’hier (Macron/MLP) … que je qualifierais volontiers de caniveaux. Comme vous, je considère cet article d’un intérêt exceptionnel. Je doute, hélas, qu’il suscite une avalanche de réactions. Et pourtant …
Entièrement d’accord avec vous, “gigobleu”
@Atikva,
Cet article resume a mes yeux totalement la situation.
” La foi renaîtra en Occident, mais pas avant que les Occidentaux n’aient payé le prix de leur aveuglement.” Et ce prix sera d’autant plus eleve qu’il n’y a plus de berger pour conduire le troupeau. Les bergers etaient plutot du style “apres moi le deluge” J’ajouterai que je ne suis pas de ceux qui pensent que les francais sont des veaux. ILs ne sont que le pur produit de 200 ans d’enseignement de la laicite dans les ecoles de la republique par les hussards noirs de cette meme republique. Il n’y a pas eu que de mauvaises choses dans cet enseignement mais un appauvrissement progressif du au fait qu’il n’y a pas de valeurs morales dans la laicite mais un refus. Et aujourd’hui plus personne a mon humble avis ne peut plus récupérer le systeme en place, ni l’ameliorer.
@ vendusud
Au point de vue politique, vous avez tout à fait raison, mais on ne peut pas blâmer exclusivement les dirigeants d’un pays qui s’effondre lorsque depuis plus de deux siècles ils ont été élus et maintenus au pouvoir par un peuple souverain qui n’exerce plus cette souveraineté.
Depuis plus de deux siècles les Français se grisent de mots ronflants au mépris de la réalité éternelle, ils n’ont plus les pieds sur terre. Ils ont lâché la proie pour l’ombre, laissé s’écouler le bébé avec l’eau sale du bain. Et avec les moyens de désinformation modernes, ils ont constitué une proie facile pour les bonimenteurs assoiffés de pouvoir, déterminés à les plier sous leur férule. Au point où ils en sont, je crois que la plupart de ces rêveurs impénitents accueilleront leur esclavage islamo-socialiste avec indifférence, voire satisfaction – du moins au début.
Le redressement n’est qu’une question de temps, ou plutôt de génération. Celles qui viennent n’auront pas de mots trop durs pour blâmer leurs ancêtres de cette honteuse capitulation – et ils auront raison.
et pourquoi l’aveuglement de l’Occident ? simple, manque d’information et les consequences de cette ignorance est d’avoir voulu construire une globalization construite sur du sable sans connaissance de cause….Comme quoi, il faudrais bien s’informer a qui on ouvre la porte de sa maison avant de le laisser entrer, comme quoi il faudrias reviser le concept “droit de l’homme” jusqu’a maintenant mal compris…..
Helas, la planete est en plein dans une re-evolution de la pensee et dans la plus part des cas cette evolution coute chere mais ca vaut la peine de la vivre car nous prenons chaque jour un peut plus de conscience de ce que signifie notre devoir tant que nous somme sur notre terre.
Notre metamorphose est individuelle non collective et en plus, intouchable car indetectable, donc, c’est dans les actes dont on s’exprime le mieux et non pas dans les paroles.
Le meilleur diagnostic de notre société qu’il m’a été donné de lire depuis longtemps. On aurait envie de dire bravo, si ce n’était aussi dramatiquement vrai.
Vous avez tout compris.
Constat lumineux et lucide auquel je souscrit totalement! Mais comment faire renaître la Foi en Occident ou le matérialisme a remplacé Dieu? Tant que la doxa gauchiste dominera dans la société mondialisée, il n’y aura pas d’espoir de résurrection de la Foi en Dieu, je pense.
Je souscris pardon
Bonjour Hélios.
Excellente analyse, qui plus est bien structurée et bien rédigée. Je ferai néanmoins deux remarques :
1) je ne pense pas que l’islam soit dans la crainte, je pense qu’il est mû par une volonté hégémonique et violente qui est le moteur de l’islam, il doit conquérir le monde par tous les moyens, en convertissant, à défaut en soumettant, à défaut en tuant. S’y ajoute un sentiment de frustration, car les musulmans qui sont supposés être supérieurs aux autres hommes se voient concrètement inférieurs, donc leur haine contre les non musulmans n’en est que plus forte. D’où ce besoin également de mettre en avant l’Islam des lumières qui aurait tout inventé.
2) Si l’islam est né en opposition au christianisme, par contre le chrétien n’est pas le seul ni même le premier ennemi du musulman. Si c’était le cas, on pourrait d’ailleurs penser que l’effondrement du christianisme calmerait l’islam. En fait sa haine du juif est encore plus importante que celle du chrétien. Et n’oublions pas que « les gens du livre » que sont chrétiens et juifs sont encore relativement privilégiés aux yeux des musulmans par rapport aux mécréants. L’islam sera ce qu’il est jusqu’à avoir conquis la terre entière, et il ne peut changer car le Coran est supposé être la parole incréée d’Allah.
Cordialement
Bonjour Riche,
Merci pour votre appréciation et votre commentaire:
1) Historiquement la volonté hégémonique de l’islam était bien servie par sa puissance militaire et les ressources, tant humaines que matérielles, prélevées sur les peuples conquis. Ce n’est plus le cas à notre époque, comme je l’ai expliqué dans mon article, l’adversaire de l’islam (l’Occident chrétien) est à présent “…invincible en cas de conflit armé, et indispensable du fait de l’arriération et de la dépendance des musulmans dans tous les domaines.”
Paradoxalement, c’est cette volonté hégémonique qui fait naître la crainte dans l’islam. Habitué à imposer sa domination par la force, il n’en est que plus conscient de sa propre faiblesse, et de sa dépendance dans tous les domaines. On peut percevoir l’agressivité islamique comme une preuve de sa force, mais c’est tout le contraire. Dans les faits c’est plutôt le complexe de culpabilité de l’Occident à l’égard de l’islam qui permet à ce dernier de s’imposer et de s’étendre. Le jour où cette culpabilité se résorbera, l’islam se retrouvera tout nu face à l’Occident, et cela les musulmans l’ont compris bien mieux que les occidentaux.
2) Vous avez raison en ce qui concerne la haine que l’islam voue aux juifs bien plus qu’aux chrétiens, mais elle est d’une autre nature, elle ne découle pas des différences doctrinales qui séparent l’islam du judaïsme, elle a plutôt pour objet les juifs en tant que peuple dépositaire de l’ancienne révélation et imperméable à la nouvelle, cette haine est donc en partie raciale et en partie religieuse.
Historiquement le principal adversaire de l’islam est chrétien, tant sur le plan doctrinal que militaire. L’opposition doctrinale est illustrée par la plus ancienne inscription islamique connue, on peut la lire à l’intérieur du dôme du rocher érigé sur le mont du Temple à Jérusalem, elle reproduit des versets du coran qui nient le dogme chrétien de l’Incarnation et de la Trinité, mais qui reconnaît que Jésus est la Parole d’Allah et un Esprit émanant de lui. L’islam, du moins à ses débuts, apparaît ainsi comme une hérésie chrétienne et non comme une religion structurée. Après la défaite des perses, le monde chrétien est demeuré le principal adversaire de l’islam, toutes les tentatives de le dominer n’ont connu que des succès partiels et temporaires. Au dix-neuvième et au vingtième siècles l’islam était en retrait partout, d’ailleurs la plupart des pays islamiques ont été colonisés par les chrétiens d’Occident.
Les mécréants autres que les juifs et les chrétiens sont majoritairement asiatiques, leur poids démographique, militaire et économique est énorme, bien plus ils n’entretiennent aucun sentiment de culpabilité à l’égard de l’islam, c’est même le contraire. Je ne crois pas que les musulmans prendraient le risque de se frotter aux indiens et aux chinois, ils sont tout sauf suicidaires.
Merci encore une fois pour votre commentaire.
Hélios d’Alexandrie
Peut-être un retour au judaïsme s’imposera-t-il ?
On peut se demander si le problème ne tient pas à la religion chrétienne elle-même qui peut être considérée factuellement comme la première hérésie du judaïsme.Les impasses de la civilisation européenne seraient alors dûes aux caractéristiques du christianisme qui n’auraient pas retenu la totalité de l’esprit de la religion fondatrice hébraïque. Pour cette raison ayant arrivé au bout de ses possibilités, le christianisme n’aurait plus de ressort civilisationnel, de sorte que la foi chrétienne s’évaporerait.
Riche, vous semblez tout-à-fait savoir de quoi vous parlez. Il faudrait encourager la lecture du Coran, dont les innombrables appels au meurtre en désillerait peut-être les yeux de certains. L’interdiction (Cf. “Mein Kampf”, en Germanie) ne ferait que valoriser cet irréfragable document.
@Jean-François Gille. Plutôt que la lecture du Coran et de Mein Kampf, je suggère la lecture et l’étude de la Bible. Il n’y a aucune comparaison entre le livre des livres, la Bible, et tout le reste. De plus, la lecture des deux autres livres maléfiques et anxiogènes que sont le Coran et Mein Kampf est une lecture non seulement ennuyeuse mais aussi dangereuse. On est toujours marqué par les influences auxquelles on se soumet. Si on regarde un film d’horreurs, il ne faut pas s’étonner de se sentir mal après. Ceci dit, faites ce que vous voulez, je ne suis pas un censeur. Ce n’est qu’une opinion, pas une injonction.
La mienne d’opinion (*), c’est qu’il faut ABSOLUMENT s’imposer la lecture de ces torchons. Dans le cas du Coran, je vais même plus loin, il faut s’en imposer l’étude, ce que j’ai fait, malgré le dégout que m’imposait cela. Comment voulez vous, dans le cas inverse, être capable de répondre aux propagandistes qui vous citent des versets abrogés, mal traduits ou sortis de leur contexte ? Comment voulez vous être capables de combattre le brainwashing de vos enfants ? Par de simples injonctions sans bases ?
La première des choses, quand on veut combattre efficacement son ennemi, c’est de le connaître et surtout le comprendre. L’une des grandes misères de notre époque, c’est d’avoir oublié cela, ce qui a eu (entre autres) pour effet que les gens font de l’ethnocentrisme et s’imaginent que, non, il n’est pas possible qu’un milliard et demi de leurs semblables soient intellectuellement cablés d’une façon complètement différente d’eux, et deviennent de ce fait incapables de se défendre.
* : ce n’est d’ailleurs pas une opinion, mais une évidence. Pour la peine, c’est même une injonction que je vous fais, mais pour votre bien, uniquement pour votre bien. Libre à vous de la refuser, mais ne venez pas vous plaindre des conséquences : “Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes” – Bossuet
@Gally. Cher Gally, merci de votre réaction, celle-ci illustre parfaitement mon propos. La lecture de ces torchons comme vous dites provoque en nous de l’agressivité que nous répercutons ensuite involontairement sur nos interlocuteurs. On ne va pas demander à un pompier d’affronter le feu en short, tee-shirt et sandales. Il vaut mieux qu’il soit parfaitement équipé de la tête aux pieds. De même, on ne s’aventure pas sans risques de retour de flammes dans les textes fondateurs de doctrines qui se sont révélées les plus meurtrières de l’histoire. Heureusement, il n’est pas nécessaire de lire le Coran ou Mein Kampf en entier pour s’en faire une idée. Le moyen le plus efficace pour affronter et réfuter ces doctrines reste selon moi, une solide connaissance de la Bible. Comme vous, je déteste l’Islam, par contre j’ai de la compassion pour ceux qui en sont les premières victimes, les musulmans, qui sont nés dedans et qui ignorent qu’il y a autre chose. Bien cordialement,
Ah parce que pour vous, quand j’appelle un chat un chat, je suis agressif ? Eh bien amen, restez dans votre bulle rêveuse, on en reparlera le jour où votre enfant se sera fait enfumer la tête par un prosélyte musulman, comme cela se voit malheureusement souvent (y compris chez des familles pratiquantes chrétiennes) et que quand il aura fallu que vous puissiez lui répondre, vous en aurez été incapable et n’aurez donc pas été à même de le sauver.
Désolé de vous signifier que cela, ce refus de faire ce qu’il faut pour se défendre, ce refus de comprendre le monde au nom d’une soit disant pureté à préserver, cela porte un nom : la lâcheté. Maintenant, auto-congratulez vous en vous félicitant de ne pas “avoir versé dans l’agressivité”, si cela vous aide à garder la tête dans le sable, missel à la main, en attendant que le cimeterre sépare ladite tête de ses épaules.
Note : moi aussi, moi surtout même, j’ai de la compassion pour le musulman prisonnier de sa doctrine. L’immense différence entre vous et moi, c’est que votre compassion n’est que formelle, une forme de satisfaction égoïste, alors que moi, j’ai été à même de faire apostasier plusieurs d’entre eux parce que, justement, connaissant leurs textes, j’ai pu contrer les mensonges de leur éducation et de leurs imams, j’ai pu leur prouver qu’ils s’égaraient quand ils me parlaient de religion de paix, j’ai pu leur démontrer, de façon indiscutable, que le verset de la Mecque (tolérant) qu’ils me citaient était un verset mansûkh (abrogé), que j’ai pu leur démontrer que leur “pas de contrainte en religion” ne s’appliquait pas vu que les versets qui ordonnaient d’exécuter l’apostat tout comme ceux ordonnant de combattre le mécréant l’abrogeaient. Et comme, au fond d’eux, ils étaient des braves gens, ils se sont arrachés à leur carcan, les arguments que j’ai pu leur fournir les aidant dans leur démarche d’ouverture des yeux. L’immense différence entre vous et moi, c’est que moi je les ai suffisamment respectés pour chercher à les comprendre, alors que vous vous êtes resté claquemuré dans vos certitudes égoïstes et votre refus d’approfondir votre connaissance (notons là aussi les traces de la contre réforme, pas par hasard si la quasi totalité des authentiques résistants à la barbarie islamique viennent du monde protestant. Pas par hasard non plus si le monde catholique se meurt pendant que le monde protestant s’épanouit)
Méditez un peu sur cette différence, si du moins vous cherchez réellement le bien et pas à vous satisfaire de votre bisounourserie bonhomme et satisfaite.
@Gally. Je suis professeur de religion protestante, ce qui ne m’empêche pas de dénoncer avec force, par exemple, l’antisémitisme crasse de Luther qui a inspiré et sur lequel se sont fondés les nazis pour préparer leurs crimes. Et je vous assure qu’avec cette prise de position, je ne me suis pas fait que des amis. D’autre part, mes grands-parents étaient considérés par la Gestapo comme des terroristes. Leur crime? Avoir sauvé des enfants juifs de la barbarie nazie. Ils ont été désignés justes par l’Etat d’Israël.
Le jour ou nous serons assaillis par une armée ennemie, je n’hésiterai pas une seule seconde à prendre les armes pour défendre les miens. Mais la première mission que Christ nous a confié c’est de témoigner de notre foi pour arracher à la perdition un maximum de personnes. Notre corps humain n’est qu’une enveloppe provisoire et la durée de notre existence ici-bas n’est rien par rapport à sa qualité et surtout sa finalité. Sans rancune et bien cordialement,
Autant pour moi, sans que cela ne change le fond de mon analyse de votre refus de vous donner les armes intellectuelles nécessaires.
Tout le passage sur vos grands parents : pour reprendre votre parallèle (intéressant en soit, vu que vous assimilez vous même le nazisme à l’Islam, ce en quoi je ne risque pas de vous contredire) : n’avez vous pas légèrement l’impression que nous sommes plus en 1942 qu’en 1930 ? En ne négligeant pas qu’en 1930 une attitude attentiste a donné comme résultat ce que tout le monde sait ? Ne pensez vous pas qu’il aurait été de bon goût qu’en 1930, plus de personnes, de simples citoyens lambda, aient lu Mein Kampf et aient largement publicisé le danger que représentait son auteur, au lieu d’attendre qu’il gagne le pouvoir en jouant sur l’ignorance qu’avaient ses concitoyens de ses visées réelles ? Ne pensez vous pas qu’il aurait mieux valu le bloquer tant qu’il était encore temps, plutôt que de devoir faire ce que l’on pouvait pour limiter, et seulement limiter, ses ignominies ? (ce qui n’enlève évidemment rien au mérite de ceux qui le firent). Ne voyez vous réellement pas le parallèle, les ressorts communs entre cette époque et la notre ?
30759 attaques terroristes depuis le 11/09/2001, sans compter les multiples assassinats “classiques” ou les encore plus nombreuses intimidations, accompagnées de violences ou non : que vous faut-il de plus pour reconnaître que nous sommes déjà en guerre ? Insuffisamment de vos frères chrétiens se sont fait assassinés en raison de leur foi pour que vous continuiez à faire comme ci de rien était ? Insuffisamment, aussi bien depuis le début du siècle qu’au court des 14 précédents, qui virent plusieurs des foyers de la chrétienté disparaître corps et âme alors que les racines de ladite chrétienté s’y trouvaient, bien plus qu’à Rome ou à Wittemberg ? (pour les non initiés, le premier lieu où furent diffusées les 95 thèses de Luther)
SI vous étudiez ne serait-ce qu’un strict minimum l’Islam, si vous sortiez de votre ethnocentrisme et faisiez l’effort de comprendre réellement la personne en face de vous, son éducation, son background, ses ressorts mentaux, vous comprendriez qu’à des infimes et non significatives exceptions près, le témoignage de votre foi ne sert strictement à rien. Si vous voulez déconditionner un musulman, il faut “l’attaquer” de front, être capable de le contrer point par point, être à même de l’obliger à faire face à ses contradictions, il est éduquer non seulement à mépriser la faiblesse (et c’est ainsi qu’il voit votre témoignage de foi paisible) qu’à considérer tout ce qui vient de vous comme un mensonge et une perversion :
Sourate 5 verset 51 « Ô les croyants ! Ne prenez pas pour amis les Juifs et les Chrétiens ; ils sont les amis les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour amis devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes. »
Sourate 5 verset 47 « Que les gens de l´Evangile jugent d´après ce qu´Allah y a fait descendre [Comprendre : le Coran]. Ceux qui ne jugent pas d´après ce qu´Allah a fait descendre, ceux-là sont les pervers. »
Sourate 3 verset 110 « Vous êtes la meilleure communauté qu´on ait fait surgir pour les hommes vous ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah. Si les gens du Livre (la Bible) croyaient, ce serait meilleur pour eux, il y en a qui ont la foi, mais la plupart d´entre eux sont des pervers. »
Et la fameuse fatiha, prononcée des milliers de fois dans la vie d’un musulman, qui annonce les chrétiens comme étant des égarés. Vous pensez réellement qu’avec un background pareil, votre interlocuteur est à même d’éprouver de l’empathie envers votre témoignage de foi ? Non, bien évidemment que non, il va falloir commencer par le déconditionner avant d’envisager cela, et pour se faire, il va falloir être capable de se battre pied à pied avec lui sur le terrain théologique (ce qui firent d’ailleurs en leur temps les chrétiens, au tout début de l’Islam, et avec succès, c’est bien pour cela que l’Islam s’est complètement fermé à la discussion théologique vu qu’il savait pertinemment n’avoir aucune chance face à un chrétien ou un juif sur ce domaine).
Arrêtez de rêver, vous êtes déjà en guerre. Au mieux, vous êtes à un moment où vous pouvez encore utiliser les armes intellectuelles à défaut d’utiliser les armes physiques (encore qu’il est déjà bien tard, bien trop tard en réalité, malheureusement) alors ne refusez pas les premières avant que les secondes ne vous soient imposées. Et si réellement votre but est “d’arracher à la perdition un maximum de personnes”, donnez vous les moyens de le faire, pensez à eux au lieu de pensez à vous et à votre “pureté”. Ce n’est certainement pas en préservant le blanc immaculé de sa tunique que l’on sauve les gens engoncés dans la boue.
@Gally. En fait, nous sommes d’accord, seulement nous avons choisi des armes différentes pour lutter contre le même ennemi, dans ce cas-ci, l’Islam.
Que vous ayez eu le courage et la persévérance d’approfondir le Coran pour essayer d’en arracher quelques uns à son emprise est tout à votre honneur. Tout le monde n’a pas cette capacité et vous admettrez que son contenu nauséabond est sans équivoque.
Comme je l’ai dit autrement et pour le dire plus vulgairement, je n’ai pas besoin de me nourrir de la m…. (le coran), l’odeur me suffit à me donner la nausée. Et, si cela peut être utile, une connaissance approfondie du Coran n’est pas absolument nécessaire pour affronter l’ennemi. Ce ne sont pas les moyens techniques et stratégiques qui manquent dans la Bible pour pouvoir le faire. Nous aussi, chrétiens avons-nous eu la joie d’arracher des musulmans à l’emprise de l’Islam et, pour plusieurs d’entre nous, au prix de nos vies. “Le sang des martyrs est la semence de l’église” disait, je crois, Tertullien. Et puis, vous et moi, ne sommes- nous pas engagés dans ce combat sans merci au travers de la réflexion que nous menons ici? C’est l’Islam qu’il nous faut combattre, c’est lui qu’il faut vaincre dans l’esprit de ceux qui en sont victimes. Pour les chrétiens, l’ordre de mission est clair: “Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes” … et les versets qui suivent renseignent très précisément toute la panoplie des armes du chrétien: https://www.universdelabible.net/lire-la-segond-21-en-ligne/ephesiens/6,10-20/ et celles-ci nous ont été renseignées par l’apôtre Paul, du fond de sa prison…
Il s’agit donc de ne pas nous tromper d’ennemi et d’admettre que d’autres puissent utiliser des armes différentes des nôtres pour atteindre l’objectif. Que nous soyons en guerre est un fait évident et, pour le chrétien, l’Islam est clairement un ennemi mais il n’est pas le seul, hélas. Et pour nous, il s’agit avant tout d’un combat spirituel. J’espère maintenant avoir été mieux compris. A bientôt, peut-être, pour d’autres échanges de vue? Le fer aiguise le fer et c’est du choc des idées que jaillit la lumière.
Merci Hélios pour cet article remarquable!
” L’Église n’est plus ce lieu où les brebis se rassemblent, et le pasteur ne songe plus à paître ses brebis”
Non seulement, le Berger ne songe plus à paître ses Brebis, mais il les livre avec une joie “humaniste”à peine voilée à ses pires ennemis, les adorateurs de la divinité lunaire, invite ses Brebis à les accueillir chaleureusement et avec affection et défend, sans gêne aucune, au nom du chimérique “dialogue interconfessionnel islamochrétien” l’idéologie islamique antichrétienne, quitte à trahir sa propre foi et Celui, qu’il est censé servir sur terre…
« L’islam vit constamment dans la crainte »
En effet, l’islam, créé sur le Mensonge, a peur et il demande à ses adeptes de distiller la peur dans le cœur des infidèles par la force de la terreur, tâche dans laquelle ils excellent …
Semer la destruction, la souffrance et la mort est une injonction de la « religion de paix, d’amour et de tolérance. »
« C’est pourquoi, au risque de se saborder, il lui faut détruire et la modernité et le christianisme. »
Le Père Boulad l’explique aussi très bien :
«L’Islam a vis-à-vis de l’Europe un sentiment ambivalent : fascination et rejet. Amour et haine. En psychologie, on connaît cela, l’ambivalence. L’Islam a d’autant plus de haine et de rejet qu’il admire l’Europe, car il voudrait être comme elle. Mais il n’y arrive pas, à cause des contraintes de la religion dans laquelle il se débat, qui l’empêche d’ouvrir son esprit et d’entrer dans ce processus des valeurs de droits de l’homme, de démocratie et de réflexion critique. Alors ce qu’on n’arrive pas à imiter et à être, on le démolit, par dépit face à un défi qu’on n’arrive pas à relever. »
Il existe sans doute une crise spirituelle en Occident, mais je ne pense pas que la foi chrétienne soit à l’agonie. Au contraire, elle se revivifie face au danger islamique et si certaines églises se vident, d’autres lieux de culte se remplissent.
Selon moi, la fatalité n’existe pas, c’est à l’être humain à prendre son destin en main s’il souhaite changer le cours de l’histoire.
Bravo et que de questions soulevées…
Certains s’interrogent sur la foi chrétienne face à cet Islam conquérant.
Oui hélas, bien des clercs et pasteurs ont revêtu un habit qui n’est pas celui du pasteur en charge de la part de Dieu de nourrir conduire et prendre des soins de leurs brebis. Ils sont bien trop occupés à des fuites en avant de toutes sortes qui ne sont que des abandons de poste. Mais des pays nous montrent l’avenir comme les pays musulmans où les chrétiens ne vivent pas un christianisme de confort mais de conflit. Ou la Corée du Nord et la Chine. Là les églises sont fortes et remplissent leur mission première, elles annoncent la Bonne Nouvelle avec joie, avec foi et avec succès, mais aussi dans la douleur. Notre société occidentale décadente craint cet envahissement musulman, et déjà des milliers d’entre eux demandent à connaitre ce Dieu qui ne demande pas la mort du pécheur. Le Magreb l’Egypte mais également l’Indonésie sont des pays où les enfants de Dieu sont pressés d’annoncer l’Evangile sinon d’être absorbés par la société musulmane… Oui d’accord avec vous Rosaly, de belles raisons d’espérer, mais en sortant de notre christianisme confortable égoïste et bien peu attirant!
Bonjour Pasteur Foisil
Le christianisme n’est jamais aussi fort, aussi vivant, aussi puissant que lorsqu’il est menacé et ses fidèles persécutés. La foi et le courage des Chrétiens dans les pays que vous citez en sont une preuve flagrante.
Le cyclone islamique, qui va s’abattre sur l’Occident, réveillera la foi endormie de ses habitants. Dans le malheur, ils se tourneront à nouveau vers Dieu et oublieront leurs idoles de papier.
Cordialement!
Rosaly
“Il existe sans doute une crise spirituelle en Occident, mais je ne pense pas que la foi chrétienne soit à l’agonie. Au contraire, elle se revivifie face au danger islamique et si certaines églises se vident, d’autres lieux de culte se remplissent.” J’ai fait la même constatation chère Rosaly. La foi progresse dans l’ombre et ce n’est pas la quantité, mais la qualité des croyants qui finalement remettra la maison à l’endroit.
@ Atikva. Juste une petite précision dans ce débat intéressant. Lorsque le Nouveau Testament parle des derniers temps, il s’agit des temps qui s’écoulent entre l’ascension de Jésus et son retour. Nous sommes donc dans les derniers temps (ce qui ne veut pas dire que la fin est pour demain), ce qui nous permet de mieux comprendre le sens de nombreux textes du Nouveau Testament. D’après ceux-ci, il me semble plutôt que nous avançons vers des temps d’apostasie, de rejet de la foi. En ce qui me concerne, cela ne me décourage pas car lorsque je lis certains textes et que j’observe ce qui se passe autour de nous, je pense que la fin de ces derniers temps est proche. Je vous laisse quelques références que je vous invite à consulter vous-même:
Luc 18:8; Matthieu 24: 36à39; 1Timothée 4:1à5; 2Timothée 3:1à5.
Lorsqu’on lit ces textes on est saisi par la ressemblance avec le temps présent. Bien cordialement,
“La foi progresse dans l’ombre et ce n’est pas la quantité, mais la qualité des croyants qui finalement remettra la maison à l’endroit.”
Agree 100% with you dear Atikva.
Merci Rosaly pour votre commentaire chaleureux.
Je vous cite: “Non seulement, le Berger ne songe plus à paître ses Brebis, mais il les livre avec une joie « humaniste »à peine voilée à ses pires ennemis…”
La conduite de l’Église n’est ni rationnelle ni conforme à l’Esprit évangélique. Elle relève à la fois du déni et de l’orgueil.
Déni de la réalité de l’islam dont la doctrine subversive nie et condamne les mystères chrétiens. Déni également de la haine distillée chaque jour par les religieux musulmans contre tous ceux qui professent une autre religion que la leur.
Orgueil de ceux qui se pensent moralement supérieurs parce qu’ils doutent des fondements de leur foi et l’abaissent au niveau de la foi islamique, certains que de cette façon ils agissent par “charité chrétienne”.
Ces “pasteurs” vont jusqu’à se réjouir de voir des chrétiens se convertir à l’islam et invectiver tous ceux qui amènent les musulmans au Christ. Car il est important pour eux de donner des gages de leur “ouverture d’esprit” et de la “sincérité de leur accueil”. À l’inverse convertir les musulmans au christianisme est de nature à créer la “méfiance” chez les imams et à perturber l’idylle qu’ils entretiennent avec eux. Ces mêmes “pasteurs” éconduisent les ex-musulmans qui demandent le baptême, en effet la ferveur des convertis leur est insupportable, car elle leur fait prendre conscience de l’inanité de leur “foi”.
Ceci dit moi non plus je ne pense pas que la foi chrétienne soit à l’agonie, elle se revivifie comme vous le dites face au danger islamique, mais également face aux égarements des clercs et de la hiérarchie de l’Église. Ce ne sont pas seulement les retrouvailles avec la foi qui donnent de “l’énergie” mais également toute la dimension affective qui l’accompagne.
Amitiés,
Hélios d’Alexandrie
Bonjour Hélios
Merci pour votre réponse des plus instructives et qui confirme les déclarations peu enthousiastes de différents prélats quant à la conversion de musulmans au christianisme et vice-versa.
“Déni et orgueil” Ce sont les mots justes pour expliquer la conduite déroutante de certains prélats de l’église catholique, de l’église anglicane et de l’église protestante.
Ces prélats, qui pensent agir par charité chrétienne sont en fait des aveugles, qui conduisent d’autres aveugles vers le précipice. Leur responsabilité est lourde. Ils encensent l’islam, qui appelle à soumettre et/ou à tuer les non musulmans, et dénigrent le christianisme, qui appelle à aimer ses ennemis. Qu’attendent-ils pour se convertir à cette belle et douce « religion » de paix ?
Bien à l’abri en Occident, ils n’osent pas parler des atrocités commises par les fidèles d’Allah à l’encontre des Chrétiens du Moyen-Orient, par crainte de nuire à l’utopique « dialogue interconfessionnel « envoyant ainsi un signe de faiblesse, voire de lâcheté au monde musulman.
Attitude décevante de la part de ces bergers, qui sacrifient leurs brebis à l’imaginaire « dialogue » islamo-chrétien.
Si ces religieux avaient vraiment la Foi, ils ne chercheraient pas à plaire à ceux qui prônent la destruction du christianisme et ce depuis 14 siècles et ne verraient pas dans l’islam la septième merveille du monde. C’est du moins mon humble avis.
Amitiés !
Rosaly
C’est le mien également, Rosaly. Si ces ‘religieux’ remplissaient la mission que leur a confiée le Christ et s’occupaient de nos âmes en prêchant la Bonne Nouvelle, au lieu de faire de la politique, ils ne verraient pas leur troupeau découragé s’amenuiser chaque jour. C’est de fermeté, d’absolu et de confiance dont nous avons désespérément besoin.
@Gally
Merci beaucoup pour ce dernier texte que vous venez d’écrire. C’est hélas la vérité.
Tant de foyers de la chrétienté ont disparu, oui, c’est très très alarmant.
L’Occident pressé, qui n’a jamais le temps, qui ne voit rien, rencontre l’Orient qui, lui, a le temps ….
Oui, c’est tragique pour les musulmans d’être dans la secte la plus détestée du monde…
Mais comme ils représentent une masse importante, diffuse et infiltrée aucun système juridique n’ose faire un procès à un mouvement criminel aux moeurs du moyen âge…
Les musulmans sont comme l’eau… quand l’infiltration de l’humidité sabote un mur, la moisissure, les mauvaises odeurs et le risque d’inondation fait fuir tout le monde… sauf eux et leurs kolabos… Ils sont aussi insipides que l’eau… aussi fluides avec tous les dangers des infiltrations sans les avantages de combler la soif… comme la soif de spiritualité, car jamais aucun individu ne peux atteindre la paix intérieure en participant aux rites débiles d’une secte… seule la haine et la destruction guide ces consanguins à qui il manque une case au cerveau…
L islam est une secte ,le but vise ,voler ,violer ,massacrer !
Combien de morts ,partout ou ces barbares se sont installes ,ouvrez les yeux ! Cela va continuer .
Oui l’escroquerie bien montée de l’islam c’est elle de la boule de neige… ou le conquérant envahisseur se paye sur la bête anéantie… comme tous les parasites…
jg qui que vous soyez je partage vraiment votre opinion si nous ne changeons pas le monde ils vont nous bouffer et cela se passe partout
Bonjour Hélios,
Je reviens vers vous dans ce débat intéressant soulevé par votre article, et je réponds en même temps à JF Gille, à Rosaly et à Claire.
1) « c’est le complexe de culpabilité de l’Occident à l’égard de l’islam qui permet à ce dernier de s’imposer et de s’étendre » : tout à fait d’accord, mais j’y ajouterai cette tolérance qui se veut ouverture d’esprit qui n’est que du politiquement correct. Pour ma part j’en suis à dire depuis un certain temps déjà que les plus responsables de la situation actuelle sont à chercher parmi les non musulmans qui défendent encore l’islam. Comment peut-on espérer qu’un musulman qui croit en Allah puisse mettre en cause sa croyance si des bien-pensants non musulmans disent que cette croyance est respectable ?
2) « Historiquement le principal adversaire de l’islam est chrétien, tant sur le plan doctrinal que militaire ». Je pense que l’ampleur de cette adversité vient du fait que le christianisme, surtout sous sa forme du catholicisme, a représenté, et représente encore de nos jours, une force doctrinale majoritaire sur terre. Il est donc de ce fait le plus grand « concurrent » de l’Islam hégémonique. Mais ce concurrent n’est pas en lui-même un ennemi, parce qu’il croit en un Dieu unique, l’islam se voulant le prolongement du judaïsme et du christianisme dont il a repris les textes et les prophètes. Les ‘gens du livre’ (la Bible) sont pour l’islam des croyants qui se sont égarés, parce qu’ils ont mal compris les messages des prophètes, dont fait partie Jésus, à leurs yeux. C’est pourquoi Juifs et Chrétiens ont le privilèges de pouvoir garder leurs croyances et garder la vie en se soumettant, alors que l’incroyant ou le polythéiste n’a le choix qu’entre la conversion et la mort.
3) « Il faudrait encourager la lecture du Coran, dont les innombrables appels au meurtre en désillerait peut-être les yeux de certains. L’interdiction (Cf. « Mein Kampf », en Germanie) ne ferait que valoriser cet irréfragable document. ». Tout à fait d’accord, je pense même que l’enseignement des religions doit être assuré de façon factuelle et objective par l’enseignement public. Les religions ont été un paramètre extrêmement important de l’histoire de l’humanité de nos sociétés, il est invraisemblable que ce ne soit pas enseigné dans les matières de base. Le problème ici étant d’être effectivement objectif.
4) « Le Père Boulad l’explique aussi très bien : “L’Islam a vis-à-vis de l’Europe un sentiment ambivalent : fascination et rejet. … L’Islam a d’autant plus de haine et de rejet qu’il admire l’Europe, car il voudrait être comme elle. Mais il n’y arrive pas, à cause des contraintes de la religion dans laquelle il se débat” ». Tout à fait d’accord, j’avais également apprécié cet article du Père Boulad. Cela rejoint le sentiment de frustration et ce besoin de se référer à « l’Islam des lumières » auxquels je faisais allusion dans ma première réponse à Hélios.
5) « La conduite de l’Église n’est ni rationnelle ni conforme à l’Esprit évangélique. Elle relève à la fois du déni et de l’orgueil. Déni de la réalité de l’islam dont la doctrine subversive nie et condamne les mystères chrétiens. Déni également de la haine distillée chaque jour par les religieux musulmans. » Tout à fait d’accord. J’ai été tout particulièrement scandalisé quand le pape François a embrassé le Coran et qu’il a écrit dans son exhortation apostolique Evangelii Gaudium : « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence. ». Quel lecteur honnête peut oser dire qu’il y aurait une « adéquate » interprétation de certains versets du Coran qui exclut et même s’oppose à toute violence ??!!
6) « c’est tragique pour les musulmans d’être dans la secte la plus détestée du monde ». Tout à fait d’accord, il faut condamner l’islam et non les musulmans qui croient vraiment, ils sont les premières victimes. Et dire, comme le font de nombreux bien-pensants, qui se croient larges d’esprit et tolérants, que l’islam est respectable, c’est inviter notre frère musulman à poursuivre sur une voie mortelle.
7) Pour être tout à fait clair avec vous je dois vous dire que je suis resté chrétien au sens que je pense que le Christ représente le meilleur exemple et le meilleur message qui nous aient été donnés sur terre, et qu’à ce titre il représente un idéal à s’efforcer de suivre, mais je ne suis plus un croyant au sens de suivre une religion, je ne suis même plus un croyant sûr de l’existence de Dieu. Les religions sont des constructions humaines, qui s’interfacent entre l’homme et Dieu, si celui-ci existe. Il n’y a aucune violence, au contraire, dans l’exemple et le message du Christ, ce qui n’a pas empêché l’église catholique d’avoir des politiques hégémoniques, totalitaires et violentes : contrairement à l’islam, pour lequel ces dérives inacceptables sont dans ses racines mêmes, dans le cas de la chrétienté ces dérives sont venues de la religion des hommes. Et je ne suis même plus sûr de l’existence de Dieu pour un ensemble de réflexions. D’abord, si Dieu existe, une certitude s’impose : il n’a pas voulu que son existence puisse être connue de façon certaine par l’homme, et pourtant il en a la capacité ! Donc, si Dieu existe et qu’il est bon et juste, il ne saurait juger un homme en fonction de sa croyance, ce serait arbitraire. En outre, à moins d’être créationniste, il faudrait admettre qu’un beau jour dans le cadre de l’évolution qui a conduit à l’émergence de l’homme sur terre, Dieu ait accordé une âme à un être dont les parents sont donc des animaux, alors qu’il est le premier homme. Et comment expliquer la souffrance des innocents ? Certains pourraient donc avoir accès au paradis en ayant eu une vie normale, et pour d’autres au contraire il eût fallu souffrir le martyre ? Pourquoi cette discrimination ? Bien sûr on pourra se référer à des miracles et des apparitions, mais n’est-ce pas le propre de notre condition imparfaite que de devoir accepter que ce qui nous paraît miraculeux n’est souvent que ce que nous sommes incapables d’expliquer ? Pour ma part je me reconnais incapable de trancher la question, et je m’en tiens à un idéal, qui est un objectif que l’on veut s’imposer à soi-même, et j’écarte toute idéologie que l’on cherche à imposer à d’autres.
Bonjour Riche,
Vous avez raison quand vous dites: “… cette tolérance qui se veut ouverture d’esprit qui n’est que du politiquement correct.” Effectivement et elle permet à l’islam de s’imposer sans résistance. Cependant la rectitude politique est un tabou déguisé, le transgresser est de nature à réveiller le sentiment de culpabilité.
Je vous cite encore: “Comment peut-on espérer qu’un musulman qui croit en Allah puisse mettre en cause sa croyance si des bien-pensants non musulmans disent que cette croyance est respectable ?” C’est tout à fait cela, et d’ailleurs les islamistes qui traitent les occidentaux de mécréants et d’ennemis mortels de l’islam, se font un devoir de citer ces mêmes “mécréants” en appui à leur propagande!
Autre citation: “…Juifs et Chrétiens ont le privilège de pouvoir garder leurs croyances et garder la vie en se soumettant, alors que l’incroyant ou le polythéiste n’a le choix qu’entre la conversion et la mort.” Précision: le pacte de dhimmitude n’accorde aucun droit aux dhimmis juifs et chrétiens, au sens où on l’entend en Occident. D’une façon arbitraire ce pacte peut être rompu à tout moment par le détenteur du pouvoir. Historiquement tel fut le cas, avec ou sans prétexte justifiant les persécutions, les pogromes, les massacres, les incendies criminels d’églises et de synagogues, les conversions forcées, etc. Et cela se poursuit encore aujourd’hui dans plusieurs pays à majorité islamique, comme l’Égypte, la Syrie, l’Irak, le Pakistan.
En principe je suis d’accord avec vous quand vous écrivez: “je pense même que l’enseignement des religions doit être assuré de façon factuelle et objective par l’enseignement public… Le problème ici étant d’être effectivement objectif.” Sur le plan pratique il s’agit d’une mission quasi impossible et pour cause: enseigner objectivement les religions implique l’enseignement de leurs sources, or cela est tabou pour les musulmans, car pour eux le coran n’a pas de sources terrestres, il vient directement d’Allah.
“…le Christ représente le meilleur exemple et le meilleur message qui nous aient été donnés sur terre, et qu’à ce titre il représente un idéal à s’efforcer de suivre, mais je ne suis plus un croyant au sens de suivre une religion, je ne suis même plus un croyant sûr de l’existence de Dieu.”
Je pense qu’en ce qui concerne le fait de croire ou de ne pas croire, la lucidité et la sincérité sont des éléments importants. Le reste est une question de disponibilité: être disponible implique de ne pas s’interdire d’être touché par le message et l’exemple du Christ.
“…si Dieu existe, une certitude s’impose : il n’a pas voulu que son existence puisse être connue de façon certaine par l’homme, et pourtant il en a la capacité !”
Que serait la liberté de l’être humain, si Dieu qui est esprit et par conséquent ne peut être appréhendé objectivement, s’imposait impérativement à lui? Dieu respecte sa liberté de croire ou de ne pas croire, parce que croire c’est entrer en relation avec Dieu.
“…il faudrait admettre qu’un beau jour dans le cadre de l’évolution qui a conduit à l’émergence de l’homme sur terre, Dieu ait accordé une âme à un être dont les parents sont donc des animaux, alors qu’il est le premier homme.”
Si l’apparition de l’homo sapiens est le produit d’une mutation génétique, alors il faut admettre que le premier spécimen a démontré une intelligence et des aptitudes infiniment supérieures à celles de ses parents, le tout représentant un saut qualitatif radical. Mais ce premier spécimen d’homo sapiens aurait quand même “baigné” dans une “culture” non pas humaine mais animale, “étrangère” à sa nature profonde. Et ce n’est qu’après des générations qu’il se serait dégagé graduellement de cette culture en créant laborieusement la sienne, c’est à dire une culture primitive axée sur la survie, où son intelligence lui donnait un avantage et un ascendant sur les autres créatures. C’est en prenant conscience de lui-même et de tout ce qui le distingue des animaux que l’homo sapiens a accédé à la condition humaine. Il a procédé très tôt à l’ensevelissement des morts, a inventé les rites funéraires et a laissé des indices de sa foi dans un au-delà. L’être humain a possiblement acquis son âme graduellement à mesure qu’il se libérait de son animalité.
“…Et comment expliquer la souffrance des innocents ? Certains pourraient donc avoir accès au paradis en ayant eu une vie normale, et pour d’autres au contraire il eût fallu souffrir le martyre ? Pourquoi cette discrimination ? ”
La souffrance des innocents constitue un scandale pour ceux qui pensent que Dieu, s’il existe vraiment, devrait intervenir directement pour l’empêcher. Dieu aurait donc créé une nature imparfaite et devrait passer son temps à corriger ses errements! Il s’agit à mon avis d’une vision étroite de la réalité de Dieu et de la nature. La souffrance, physique et morale, est inscrite dans la condition humaine; l’être humain est confronté à sa propre souffrance et à celle d’autrui, son attitude et sa réaction à cette souffrance peuvent l’élever sur le plan moral ou l’abaisser. Quel que soit son choix il demeure libre.
Bien à vous,
Hélios d’Alexandrie
@Hélios d’Alexandrie. Décidément, cher Hélios, votre article suscite de nombreux commentaires captivants. En préambule, j’aimerais vous faire part de cette citation, ma préférée, de Blaise Pascal: “Sans l’Ecriture qui n’a que Jésus-Christ pour objet, nous ne connaissons rien”.
La Bible, d’abord transmise oralement, a été rédigée sur une période d’environ 14 siècles par une quarantaine d’auteurs différents qui ne se sont forcément pas concertés et pourtant elle forme un ensemble cohérent et sans erreurs. Rien que ce simple fait, parmi de nombreux autres, atteste, à mes yeux, de son origine divine. C’est époustouflant. Elle n’a rien a voir avec le Coran qui est une tromperie, une falsification et qui rabaisse Christ au niveau d’un simple prophète. Jésus est le Fils de Dieu, l’incarnation de Dieu lui-même, qui s’est approché de nous en prenant forme humaine et en versant son sang sur la croix une fois pour toutes pour racheter l’humanité perdue. Il est ressuscité et est remonté au ciel attestant de sa divinité et il reviendra, selon les Écritures, pour juger les vivants et les morts. La Bible n’est pas une démonstration, Dieu, le créateur, n’a rien à nous démontrer. Il montre et, en se sens, la Bible est une “monstration” (terme inventé à l’instant pour les besoins de la cause). L’homme n’invente rien, il ne fait que découvrir et éventuellement transformer ce qui existe déjà. Le débat création/évolution est un débat inutile selon moi. L’un n’exclu pas l’autre. Au premier chapitre de la Genèse, nous apprenons que Dieu a créé l’homme au sens de toute l’humanité et au chapitre 2, il crée Adam et Eve auxquels il se révèle. Plus tard, lorsque Caïn a tué Abel il dit à Dieu: ” quiconque me trouvera me tuera”. Réponse de Dieu: “Si quelqu’un tuait Caïn, Caïn serait vengé sept fois …”. Et plus loin, Caïn connut sa femme (?) … “il bâtit ensuite une ville (??). Cela fait vraiment beaucoup de monde et laisse donc penser que, contrairement à la croyance généralement admise, Adam et Eve ne seraient pas les premiers humains, mais, peut-être les premiers auxquels Dieu s’est fait connaitre? A ce sujet, j’aime rappeler l’humour de Dieu à Job: “Ou étais-tu lorsque j’ai fondé la terre?” …
Si l’amour de Dieu était contraignant, l’homme serait vaincu par Dieu et non convaincu. Dieu est Amour et l’amour se propose mais ne s’impose pas. Jamais.
Bonjour Gigobleu,
Merci pour votre commentaire, je retiens votre dernier paragraphe:
“Si l’amour de Dieu était contraignant, l’homme serait vaincu par Dieu et non convaincu. Dieu est Amour et l’amour se propose mais ne s’impose pas. Jamais.”
C’est l’un des points importants qui séparent le christianisme de l’islam. Dans le coran on peut lire ceci: “Et nous (Allah) n’avons créé les humains et les djinns que pour qu’ils adorent.”(coran 51/56)
Allah a donc assigné une obligation incontournable à l’humanité: l’adorer, mieux que cela, il s’agit là de l’unique raison pour laquelle elle a été créée. Ceux qui n’adorent pas Allah, s’opposent à sa volonté et en même temps perdent à ses yeux (et par le fait même aux yeux des croyants observants) leur droit à l’existence.
Comme on peut le constater, pour l’auteur du coran l’être humain n’est pas libre, son existence sert à procurer à Allah l’adoration qu’il réclame de droit. Il n’est pas question ici d’amour et encore moins de relation librement choisie, il s’agit uniquement de soumission c’est à dire d’islam.
La soumission à Allah va encore plus loin, le croyant commet un sacrilège s’il s’avise de questionner ou de s’interroger sur le bien-fondé de tel ou tel verset du coran, car cela équivaudrait à une rébellion lui ôtant automatiquement son droit à l’existence.
L’islam c’est la robotisation de l’être humain, sa transformation en machine à adorer, à prier et à exécuter scrupuleusement les ordres d’Allah. Cependant ce dernier a compris qu’il fallait accorder aux vrais croyants des avantages en échange de leur soumission. Des avantages moraux: “Vous êtes la meilleure communauté suscitée parmi les gens, vous ordonnez le licite et interdisez le défendu…” (coran 3/110) et des avantages matériels ici-bas, c’est à dire les jolies captives pour l’esclavage sexuel et du butin en abondance (la prédation sacrée). Sans oublier les avantages matériels dans l’au-delà: fruits, vins et houris pour l’éternité (le paradis lupanar cher aux jihadistes)
Dire qu’il y en a qui croient encore au dialogue interreligieux!
Hélios d’Alexandrie
@Hélios d’Alexandrie. Selon cette analyse, l’Islam serait donc la forme la plus raffinée d’une dictature totalitaire puisqu’il obtiendrais par la force la soumission volontaire de ses sujets à ses préceptes absolus. Quel dictateur ne rêverait pas d’une telle soumission à son programme? Le seul bémol et il est de taille, c’est que, dans cette perspective, on évacue complètement la notion d’amour, totalement absente en Islam, et son corollaire la liberté.
http://www.delitdimages.org/terrifiant-genie-lislam/
Cela répondra à votre interrogation.
@Helios : Tu participais bien à Poste de Veille n’est ce pas ? L’article original (en français s’entend) était chez eux à l’origine et bizarrement maintenant il amène sur une page blanche. Si tu es toujours en contact avec eux, tu pourrais leur en toucher un mot ? Ce texte est à mon avis fondamental.
@Gally. Merci Gally pour le lien intéressant. En tout cas, s’il y a bien un sujet sur lequel je me suis initialement “planté” c’est cet article d’Hélios. Je pensais qu’il susciterait peu de réactions et je constate avec surprise et ravissement que je m’étais lourdement trompé. Au plaisir de “croiser le fer” encore avec vous sur l’un ou l’autre sujet.
@ Gally,
L’article ne figure plus dans les archives de Poste de Veille. J’ignore pourquoi, cependant peu de gens se préoccupent de fouiller dans les archives. Il est donc important que chacun de nous le diffuse le plus largement possible, en particulier sur les réseaux sociaux.
Ceci dit le terrifiant génie de l’islam a produit un système politico-religieux tyrannique et totalitaire qui porte en lui-même les germes de sa propre destruction. Cela se vérifie tous les jours, le monde islamique est en voie d’effondrement, Hélas il ne s’effondrera pas seul, il entraînera avec lui l’Europe occidentale.
Hélios d’Alexandrie
Je vais le republier sur JSSNews histoire d’être sur qu’il ne disparaisse pas.
Totalement d’accord avec votre conclusion, je profite que nous échangions ici pour vous remercier de vos nombreux articles que je lis depuis des années : vous avez été parmi les premiers à tirer les signaux d’alarme et tout le monde ne peut que vous en féliciter.
L’islam c’est un parasite comme le lierre… il ressemble à une plante libre et naturelle, alors que sans mur porteur ( ou arbre ) il meurt… il n’est ni libre , ni autonome… mais une aberration toxique qui asphyxie et détruit tout ce qui le laisse se développer à son détriment… A la mort de l’arbre ou à la coute du mur le lierre se dessèche et crève… l’adepte de ce culte débile est incapable de se rendre compte qu’il est un parasite à moins d’être aussi un faux cul ( pléonasme ) car ni il n’a ni l’intelligence, ni le recul de se rendre compte à quel point sa posture est ridicule et malsaine…
Soit le mur se sépare de cette plaie qui vas l’effondrer soit il meurt avec lui… c’est la loi de la jungle dont les sociétés civilisées voulaient se protéger… Sans complicité l’islam n’existe pas… Son manque d’autonomie seras sa perte car en matière humaine rien n’est éternel… et surtout pas une escroquerie au chantage prosélytiste…
Je vous en prie et au plaisir 😉