Dois-je dire que l’hystérie anti-Trump devient délirante, ou devrais-je dire qu’elle l’a été dès le commencement ?
Les discours tenus dans les médias politiquement corrects de toute la planète au moment où Donald Trump a présenté sa candidature ont été moqueurs et condescendants. A mesure que la campagne électorale américaine a avancé et qu’il est devenu clair que Donald Trump serait le candidat républicain, les moqueries et la condescendance se sont transformées en haine. Lorsque Donald Trump a affronté Hillary Clinton, la haine est devenue frénétique. Passé le choc qu’a été l’élection de Donald Trump, la haine frénétique s’est transformée en signes convulsifs. Les démocrates américains ne se sont toujours pas remis et passent leur temps à trépigner, en proie à des troubles obsessionnels compulsifs qui leur font voir la main de Moscou partout et à des hallucinations qui les conduisent à imaginer que Donald Trump va être confronté de manière imminente à une procédure d’empêchement. Les grands médias américains, qui ont renoncé à prétendre être des organes d’information et sont devenus des déversoirs de propagande bilieuse se font les relais des troubles obsessionnels compulsifs et des hallucinations. Les médias de nombre de pays, dont, à de très rares exceptions près, les médias français s’abreuvent aux déversoirs de propagande bilieuse jusqu’à l’ébriété, et publient des articles si nuls et si biaisés qu’ils en deviennent pathétiques et grotesques.
Je tente, avec Jean-Patrick Grumberg et quelques autres, de rappeler les faits, simplement les faits. Mais ce n’est pas facile en pareil contexte.
Contrairement à ce que dit la propagande bilieuse, l’abrogation de l’Obamacare a, pour l’essentiel, eu lieu. Et malgré les obstructions de l’establishment républicain et des démocrates hallucinés, une loi de remplacement sera promulguée et mise en œuvre.
La quasi-totalité des réglementations mises en place par le biais de l’EPA (agence de protection de l’environnement) a été abolie, et, que les Etats-Unis restent ou non officiellement dans le cadre des accords de Paris, ils sont déjà de facto en dehors de ceux-ci, ce qui y permet un retour à la liberté d’entreprendre et de produire des ressources énergétiques.
Le mur sur la frontière avec le Mexique est en cours de réalisation, et l’action des agents des border patrols a été renforcée, si bien que l’immigration clandestine et le transfert de drogue depuis le Sud ont connu une très forte diminution. Les services de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) ont d’ores et déjà procédé à des milliers d’arrestations de criminels présents illégalement dans le pays.
Les créations d’emplois et les investissements ont redémarré de façon très nette.
La sécurité planétaire s’est, un peu, améliorée. Pas suffisamment encore pour que les immenses dégâts laissés derrière lui par Barack Obama aient trouvé un remède. Mais suffisamment pour que des situations délétères soient stabilisées. Le régime Assad a calmé ses ardeurs depuis le tir de cinquante-neuf missiles Tomahawk. L’Etat Islamique est en net reflux en Syrie et en Irak. L’endiguement de l’Iran a commencé à se mettre en place. Le régime nord-coréen est, pour l’heure, endigué.
La possibilité pour Donald Trump d’agir ne s’en trouve pas moins freinée. L’establishment républicain semble souvent prêt à mener un travail de sape aux fins que Trump ne puisse pas atteindre pleinement ses objectifs, et paraît avoir pour but un retour à une ligne plus modérée et plus consensuelle qui aurait pu être celle d’un Jeb Bush s’il avait jamais eu la moindre chance de devenir Président. Les démocrates hallucinés veulent eux carrément détruire la présidence Trump et reprendre le pouvoir par tous les moyens.
C’est dans ce contexte que doit se lire la destitution de James Comey, le directeur du FBI par Donald Trump.
Cette destitution aurait dû avoir lieu depuis longtemps, et nul ne saura vraiment un jour, sans doute, pourquoi Donald Trump l’a décidée en mai et non quatre mois plus tôt. Des démocrates très hostiles à Donald Trump ont d’ailleurs dit dans un premier temps que Donald Trump aurait dû procéder à la destitution dès le 20 ou le 21 janvier. Les démocrates n’ont cessé depuis des mois de réclamer la tête de James Comey : ils n’ont cessé de lui attribuer une large part de responsabilité dans la défaite d’Hillary Clinton et lui reprochent le réquisitoire qu’il a prononcé contre leur candidate au mois de juillet dernier. Les républicains, y compris les membres de l’establishment, reprochent, eux, à James Comey d’avoir, aussitôt prononcé le réquisitoire contre Hillary Clinton, d’avoir recommandé au Ministère de la Justice de ne pas poursuivre Hillary Clinton.
L’administration Trump reproche, elle à Comey, outre le fait d’avoir terminé son réquisitoire contre Hillary Clinton et d’avoir recommandé au Ministère de la Justice de ne pas poursuivre, d’avoir ouvert une enquête sur des collusions entre des membres de l’équipe de campagne de Donald Trump et la Russie et d’avoir poursuivi cette enquête sans le moindre milligramme de commencement de preuve et alors que l’ensemble des dirigeants des services de renseignement de l’administration Obama ont du reconnaître que le dossier était vide. L’administration Trump a vu là une intention de nuire et un abus de la part de James Comey.
L’administration Trump a aussi du constater que James Comey avait refusé d’ouvrir une enquête sur les fuites de documents basés sur des écoutes illégales des membres de l’équipe de campagne de Donald Trump, alors que ces fuites constituent des crimes fédéraux et que les écoutes illégales constituent elles-mêmes des crimes fédéraux.
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Ce qui peut expliquer la décision tardive de destitution prise par Donald Trump est, peut-être qu’à un moment donné, James Comey est apparu comme ayant commis l’acte de trop après tant d’actes de trop. Devant une commission d’enquête du Congrès la semaine dernière, James Comey a édulcoré la réalité du transfert de documents classés secret défense par Huma Abedin, assistante d’Hillary Clinton, sur l’ordinateur de son mari, l’exhibitionniste Anthony Weiner. L’édulcoration était si flagrante qu’un communiqué du FBI a dû être publié pour rétablir la réalité des faits, qui auraient dû conduire à une mise en examen d’Huma Abedin et, sans doute, d’Anthony Wiener.
Un rapport du vice-ministre de la Justice Rod Rosenstein publié la veille de la destitution de James Comey résume tous les reproches justifiant la destitution, et recommande celle-ci. Rod Rosenstein a pris ses fonctions il y a quinze jours. Sa nomination a reçu l’approbation de quatre-vingt-seize sénateurs, ce qui constitue une quasi-unanimité.
Que les démocrates fassent des bonds et gesticulent en disant que la destitution de James Comey est une décision fasciste est ignoble. Ils voulaient cette destitution. Qu’ils disent que cette destitution est dictée par l’imminence de la découverte du fait que Donald Trump était peut être un agent de Moscou est grotesque, abject et contredit totalement par les témoignages des dirigeants des services de renseignement de l’administration Obama qui ont, sous serment, dit que le dossier était vide.
Ce que craignent vraisemblablement les démocrates est une réouverture du dossier Hillary Clinton : le contenu du réquisitoire prononcé par James Comey en juillet 2016 est toujours valable, et le dossier, là, est accablant. James Comey à l’époque a gravement outrepassé ses fonctions, qui sont celles d’un enquêteur, pas celles d’un procureur. Le Ministère de la Justice de l’administration Trump est tout à fait à même de demander la mise en examen d’Hillary Clinton, celle d’Huma Abedin, celle d’Anthony Wiener, et cela pourrait conduire tout ce joli monde en prison.
Il est très grave pour les institutions américaines que les démocrates se comportent comme ils se comportent en ce moment.
Il est préoccupant que les grands médias américains aient cessé d’être des organes d’information.
Il est navrant de voir que les médias de nombre de pays, dont, à de très rares exceptions près, les médias français publient des articles pathétiques et grotesques et de constater que seuls des médias comme Dreuz fassent encore un travail d’information digne de ce nom.
Il est très largement temps que le FBI puisse faire son travail et retrouver pleinement son honorabilité sous un directeur intègre.
L’hystérie anti-Trump, la propagande qu’elle véhicule, la tentative de déstabilisation des institutions américaine qui en résulte portent atteinte au bon fonctionnement des Etats-Unis, et vu la place des Etats-Unis sur cette terre, sont un danger immense pour la liberté planétaire.
© Guy Millière pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
ho la la la!!!!je passe l article dans FACEBOOK ,
thank Dreuz Info the Number One ,encore Bravo a vos Real Journalistes.
On va voir s’il passe !
Merci à Dreuz de ce coin de ciel bleu dans la grisaille médiatique uniforme de la pensée unique.
L’ystérie anti FN lui ressemble beaucoup….. Le monde occidental est aveugle !
Ceux qui n’ont rien entre les oreilles et les Merdias-collabos ne savent pas qu’ils ont engagé leur propre disparition.
la démocratie n’a jamais existé en occident, Israel n’est pas la seule démocratie du moyen orient, c’est la seule démocratie du monde. Comme dit le rav Haim Dynovisz il n’y a pas plus occidental qu’Israel, car le monde occidental n’est qu’une façade alors qu’Israel l’est vraiment.
Je lis les réactions sur le forum de mon petit quotidien régional. Certaines de celles-ci sont passibles du délit d’insulte à un chef d’était. Les gens régurgitent ce qu’ils lisent et ce qu’ils entendent ….
C’est là qu’on constate la baisse de notre enseignement. Les valeurs de saines critiques et de jugement ont été abolies. On formate les futurs adultes.
C’est pour ça que je pense que notre système de suffrage direct est une hérésie: Il ne sert qu’à faire veauter en fonction des désirs personnels du premier pouvoir: les Merdias.
Il y a longtemps que les futurs adultes sont formatés: j’ai l’exemple d’un lycée voisin, où dès les années 70, les élèves rentraient à la maison avec le cartable rempli de tracts politiques…. je ne vous dis pas leur couleur…
L’hystérie française anti Trump n’a d’égale que son hystérie pro Macron.
Avec les merdias aux instruments de musique.
Comme le dit Mark Levine, il est consternant de voir à quel point les commentateurs politiques ne connaissent ni l’histoire politique des Etats-Unis, ni le fonctionnement du gouvernement fédéral. Ils comparent le limogeage de Comey à la tentative de limogeage de Cox par Nixon ! Nixon avait demandé au ministère de la justice de limoger Cox, qui était procureur spécial du procès de Watergate (qui lui a coûté la présidence) et le ministère de la justice avait refusé.
Plus récemment, l’enquête ne s’arrête pas avec Comey, ils en ont fait une semelle de crêpe qui travaille tout seul ! Non seulement, la recommandation de limogeage ne vient pas de Trump, mais du supérieur direct de Comey (Rosenstein), mais Trump lui-même n’était pas mis en examen, ce que Comey a confirmé à trois reprises (voir lettre de remerciement de Trump à Comey).
C’est hallucinant de voir à quel point tous ces commentateurs politiques mentent, ne font pas l’effort d’apprendre le fonctionnement de la machine politique de leur pays, ou les deux.
http://www.realclearpolitics.com/video/2017/05/11/mark_levin_on_comey_a_lot_of_legal_and_historical_illiterates_posing_as_tv_hosts_and_commentators.html
calomniez, calomniez il en restera toujours quelque chose
les démocrates !!!!! préparent les élections de mi mandats ?
Réalisations :
1- l’emploi redémarre
2- stop Obamacare sous réserves , il a besoin d’un vote
3- vidage de Comey qui était haï de tous, et des démocrates et des républicains et surtout de ses cadres
qui l’accusaient de forfaiture et de déshonorer le FBI pour n’avoir pas poursuivi H.Clinton sur le contenu des mails qu’ils ont fini par balancer à WikiLeaks
– non-poursuites contre Clinton pour prises illégales d’intérêt , corruption majeure et notoire, financement par des puissances étrangères
– non-annulation de la vente d’uranium stratégique à la Russie signée par Clinton, c’est une forfaiture en échange de centaines de millions de $.
– le mur
– l’expulsion de tout étranger coupable de crime ou délit grave
– pas d’enquête poussée sur le Pizzagate ni sur les “dîners ”
Le FBI voulait bouger, le chef de la police de NY aussi. Impuissants, ils ont dû balancer à WikiLeaks
– sortie immédiate de la Cop 21. Obama a signé sans le vote du Congrès
– politique étrangère : une catastrophe, il est devenu Sorosien
Trump est de bonne volonté mais il doit aller plus vite, frapper partout pour étourdir l’adversaire
Et stopper tout soutien au terrorisme
On parle d’une guerre entre Trump et la CIA où il serait soutenu par le Pentagone
Plausible puisqu’ils se détruisaient déjà par proxys interposés en Syrie
Alors qu’il fonce !
Il a apporté trop d’espoir pour que ca se termine en fiasco lamentable
America great again, que ce pays devienne le phare du monde libre !
Et cesser d’être naif et ne pas se priver de combattre et faire ce que font des agences comme France Presse et autre média étatique peupler de journalistes gauchistes malhonnetes qui reçoivent des subventions tout en se livrant a la désinformation en utilisant une sémantique journalistique typique de la gauche ou les ragots et les rumeurs inventer sont présenter comme de faits avérer et qui ne servent que de plateforme de propagande pour la gauche et ses journalistes gauchistes visant a saper les institutions démocratiques et la démocratie partout en occident
Un voice of América médiatique avec un financement comme en reçoive les agence de propagande de gauche comme France Presse et les média de la gauche étatiques qui sauras déconstruire et répondre partout dans le monde libre aux arguments mensongers et a la désinformation d’une presse gauchiste devenu carrément staliniste
Et qu’est devenu John Brenann, chef de la CIA pendant la mandature Obama. Est il vrai qu’il se serait converti à l’islam?
c’est une évidence !! et j’ai été stupéfaite d’entendre Sarkozy déclarer qu’il était “grossier” ce qui dans la bouche du “casse toi povcon” ne manquait pas de saveur et également fillon dire qu’il était quelque chose comme un imbécile (je ne me souviens pas exactement du mot)
on a vu le résultat : macron à l’Élysée et fillon et les républicains nettoyés de la présidentielle
j’espère que ça va leur servir de leçon pour les législatives
J’aimerai bien que vous partagiez avec moi le nom de ces ”quelques exeptions près” qui informent convenablement leur public parmis les medias francais Mr Milliere svp
A Radio Canada le sourire est revenu chez les journalistes gauchistes qui se délectent des ragots véhiculer par le Washington Post propriété du démocrate Jeff Besos qui as largement contribuer en financement a la campagne électorale d’Hillary Clinton
Hier Charles Philippe David de la clique gauchiste du Trump bashing de Radio Canada est venu répéter devant Anne Marie Dussault que la preuve est encore faite que Trump est un narcissique et autre dogmes du Trump bashing de la gauche médiatique et journalistique
Céline Galipeau parlait de la présidence de Trump et elle as enchainer avec les élections en Iran avec leur journaliste voilée sur place en disant que le président Iranien ne faisait pas lui non plus l’unanimité
En faisant un subtil rapprochement tendancieux entre Trump qu’ils ont basher durant cinq bonnes minutes auparavant et Hassan Rohanil d’Iran qui lui non plus ne fait pas l’unanimité, la journalistique de Radio Canada essaie de faire croire que Trump et Hassan Rohani d’Ìran ..c’est la même chose et du pareil au même ..c’est de faire croire que finalement le peuple se révolte autant contre Trump au USA que contre Hassan Rohani d’Ìran
Du journalisme idéologique d’une gauche de caniveau
Pas de danger que Céline Galipeau de Radio Canada comparerait Hassan Rohanil d’Iran au socialo marxiste Maduro du vénézuéla qui s’accroche au pouvoir malgré les dizaines de manifestants assassiner par son régime socialiste .
La brute Maduro du vénézuéla et Hassan Rohanil…deux despotes qui utilisent la violence pour éliminer toute opposition `
La gauche médiatique est très discrète sur les graves événements qui ont cours au vénézuéla par affinité idéologique avec le régime du socialo marxiste Maduro