Publié par Sidney Touati le 26 mai 2017

L’aigle prussien plante ses serres dans la chair tendre de la douce France ; c’est la capitulation de Sedan le 1er septembre 1870.

C’est à Versailles que le IIe Reich est proclamé le 18 janvier 1871.

L’empire allemand déploie ses ailes noires sur l’Europe et donne ici et là de terribles coups de bec aux nations apeurées qui refusent de se soumettre à sa puissance hégémonique.

Ivre de sa jeune force économique, commerciale, militaire, l’Allemagne plonge le monde dans le cauchemar de la Première Guerre Mondiale qui fera 11 millions de victimes et d’incalculables dégâts.

Vaincu en 1918 par une coalition de nations, le monstre refuse la défaite et n’est animé que par une unique obsession : Dominer ! Dominer par la force brutale déchaînée, sans limites, l’Europe puis le monde.

Hitler proclame la naissance du III Reich qu’il qualifie de millénaire et l’Allemagne renoue avec des rites païens.

Hitler réalise l’union des pays européens sur la haine et l’extermination des Juifs, base de la doctrine nazie.

Écrasée, la France ne se relèvera jamais de la défaite de juin 40 et des infamies commises pendant l’Occupation. Entre autres, Pétain et sa clique de misérables livreront les Juifs aux bourreaux allemands, après les avoir dégradés et les avoir dépouillés de leurs biens et qualités.

Le Reich millénaire aura duré 10 ans. Cette folie meurtrière provoquera la mort de quelque 60 millions de personnes.

Avec l’aide active de ses ennemis d’hier, le Reich renaîtra pourtant de ses cendres, de la boue, du sang et des gravats.

Il aura fallu un siècle, deux guerres mondiales, le dramatique épisode de la Shoah et l’effondrement du bloc soviétique pour que le Reich allemand étende de nouveau sa toute-puissance sur une Europe soumise.

Quelle différence entre une Angleterre soucieuse de son indépendance, qui sort de l’Europe car elle refuse d’être inféodée à la toute puissante Allemagne et une France dont le nouveau Président, Monsieur Macron, s’empresse de faire à peine élu, allégeance sans retenue au nouveau maître Allemand, se présentant comme le plus zélé de ses serviteurs. L’esprit de Vichy plane sur la France.

Avenir de l’Europe allemande

Macron aurait-il osé déclarer qu’il n’y a pas de culture allemande

Honteuse de ses racines chrétiennes (qui dit chrétiennes dit automatiquement, ô abomination suprême ! Juives) l’Europe sous domination allemande, a-t-elle un futur ?

Ce futur n’est-il pas enfermé dans le douloureux processus de disparition des peuples broyés sous le poids de la dette, noyés dans le flot d’immigrés ; cibles d’un gigantesque processus de déculturation et d’abrutissement ?

Monsieur Macron n’a-t-il pas déjà entériné cela en déclarant «Il n’y a pas de culture française.“? Aurait-il osé déclarer qu’il n’y a pas de culture allemande ?

Depuis sa tombe, le sinistre Goebbels n’aura nul besoin de sortir son revolver ! Macron a déjà fait feu.

Mais les peuples se laisseront-ils, tels les Tibétains, marginaliser, folkloriser, sans broncher ?

Accepteront-ils de perdre leur âme ?

Consentiront-ils à voir leur vie réduite à trois fonctions : consommer-se divertir –se reproduire ?

Accepteront-ils de perdre leur histoire, leurs traditions, leur spécificité, leur identité ?

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Avec l’Islamisation massive de l’espace sociétal, ce futur terrifiant peut devenir réalité. La conquête musulmane pratique l’art de la tabula rasa.

C’est la raison pour laquelle, les dirigeants européens malgré les innombrables crimes commis en son nom, soutiennent l’Islam y compris l’Islam politique, et qu’ils condamnent Israël.

L’Islamisation est l’une de leurs principales armes de domination-avilissement-soumission des peuples.

À côté de ce modèle d’asservissement-islamisation, il existe un autre modèle, le «miracle israélien».

Seul un réveil de type sioniste peut sauver les peuples européens de leur disparition programmée.

C’est la raison pour laquelle, les partisans de cette Europe du déni de soi, détestent le sionisme.

Quoi de neuf en Europe ? Le sionisme entendu comme retour à soi, reconquête de son héritage, de son identité, de sa culture. Condition sine qua non d’une authentique ouverture à l’autre et d’échanges fructueux entre toutes les cultures.

L’Amérique vient de la comprendre.

La visite de Trump en Israël (ça n’est pas pour rien que les islamistes le qualifient de «sioniste») en est la manifestation éclatante.

Le retour à Sion, s’il perdure, sauvera l’Amérique de la religion du déclin dans laquelle Obama l’avait inscrite.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Sidney Touati pour Dreuz.info.

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