Publié par Daniel Frédéric Gandus le 28 mai 2017

Voici quelque temps, observant que le niveau général des élèves dans les premières années d’université est en baisse, j’ai proposé à un célèbre institut scientifique présent autant en France qu’en Israël, d’y remédier (sans prétentions abusives et autant que faire se peut) à l’aide d’un programme à définir ensemble.

Après discussion avec son président, par ailleurs très sympathique, nous fixons de nous recontacter et pour cela, il me donne son téléphone portable.

Quelques temps après, nous échangeons des messages pour préparer le rendez-vous téléphonique et il conclut même par « formidable ».

Mais quand j’appelle au moment convenu, la voix de mon interlocuteur n’est plus la même :
Il semble assez gêné et s’en suit une série de quiproquos, semble-t-il “techniques” qui font que la communication est systématiquement coupée.

Je rappelle plusieurs fois et à chaque fois, cela ne répond plus, alors que nous sommes bien à l’heure du rendez-vous fixé.

J’ai compris, en me “googlant” moi-même, que parmi mes plus récentes références en français, j’étais repéré comme auteur pour Dreuz.

En fait, ce n’est pas la première fois que cela m’arrive (y compris avec d’autres références). Il est clair que ce genre de décideur – et il est dans son rôle en cela – vérifie entre-temps à qui il a affaire sur Internet.

Mais il n’est plus dans son rôle, ou plus exactement, il est dans le rôle du censeur, une fois qu’il refuse de discuter simplement parce que l’on écrit sur un site qui ne lui plaît pas.

Ayant à mon tour vérifié certains de ses écrits, je me suis aperçu que c’est un “macroniste” pur et dur.

J’aurais espéré que s’agissant d’un enseignement en l’occurrence scientifique, il fasse abstraction de toute considération politique (comme je fais d’ailleurs avec l’ennemi “falestinien” quand je sauve leurs animaux).

Mais visiblement, ce genre de décideur juif de haut niveau, très politiquement correct, peut voler beaucoup plus bas qu’un villageois “falestinien” qui peut avoir une secrète admiration pour le Hamas et autres.

Précédemment, j’ai proposé à une nouvelle structure censée aider l’alyah de France, des interventions sur le thème de l’intégration des Juifs de France en Israël.

L’accueil fut plutôt froid car c’est un milieu où, une fois encore, les élus de la communauté juive se cooptent pour ne laisser entrer dans leur système que les profils «sûrs » c’est-à-dire « maîtrisables ».

Quand j’ai rappelé, on m’a dit « rassurez-vous M. Gandus, nous ne vous avons pas oubliés ».

Quand ces gens-là vous parlent, si la phrase est à l’affirmative, il faut la traduire par sa forme négative …et vice-versa.

J’ai alors fait une recherche sur le responsable de la structure et j’ai trouvé que c’était un certain Monsieur K.

Le même personnage à qui j’avais remis, de par sa fonction en laquelle il pouvait alors fort aider, il y en a environ un an et demi, un projet d’immigration de masse des Juifs de France vivant dans les quartiers islamisés pour une alyah en Israël (dans une version actualisée d’un document présentée plus tôt encore à une certaine agence dont c’est le rôle d’aider l’installation en Israël, il y a plus de 20 ans, en prévision de ce qui allait advenir avec l’islamisation qui explose maintenant partout).

Tous ces gens-là me connaissent bien et n’ont jamais voulu m’écouter tandis que je les prévenais de ce qui était déjà prévisible, et ils s’enfuient en courant dès qu’ils me voient, comme s’enfuyaient en courant mes professeur, il y a aussi plus de 20 ans, quand ils ne me voyaient débarquer dans les couloirs de la Sorbonne aux décorations moulées (dont je reste bêtement amoureux) avec mon sujet qu’ils considéraient assassin de vouloir les réveiller : « Le retour du Jihad et l’impréparation de l’Occident à y faire face ».

Dreuz a besoin de votre soutien financier. Cliquez sur : Paypal.Dreuz, et indiquez le montant de votre contribution.

Je repense à présent un texte récent de Guy Millière qui, comme moi et beaucoup d’autres ici, a perdu des amis pour défendre des positions justes et aujourd’hui, on devrait dire « d’enjeux de survie pour l’Occident ».

Comme je le disais en commentaire de son texte, dans l’espoir de le consoler, il faut voir cette situation d’isolement et de pertes comme une purification de relations en lesquelles on avait surinvesti ou sur lesquelles on s’était probablement trompé tant que n’entraient pas en jeu le dilemme d’avoir à choisir des valeurs fortes.

Je dirai même que l’on se sent, une fois que l’on a intégré ce principe, plus léger, plus près de l’air pur qui règne au sommet, même si, tristement, l’on se sent comme un survivant.

Car l’esprit est fait pour s’élever et ne peut s’encombrer de scories.

De la même manière, l’oxygène se raréfie avec l’altitude.

N’espérons plus des microbes anaérobies qu’ils nous suivent à l’air libre et moins encore dans notre projet d’élévation personnelle ou spirituelle.

Pour les croyants, je citerai ceci :

“Zacharie 13:9
 Je mettrai ce tiers dans le feu, Et je le purifierai comme on purifie l’argent, Je l’éprouverai comme on éprouve l’or”

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Daniel Frédéric Gandus pour Dreuz.info.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous