Publié par Rosaly le 26 juin 2017

Zones de non-droit islamistes

Le ministère de l’Intérieur suédois et le NOA (National Operation Department) ont mis à jour la liste des zones de non-droit, pudiquement définies, « particulièrement vulnérables » pour l’ordre public ; il s’agit de zones à haut taux de criminalité et de marginalisation, dans lesquelles, les policiers sont priés d’utiliser des techniques d’intervention particulières.

Selon le chef de la police Dan Eliasson la situation est gravissime et hors contrôle : violences et brutalités s’accentuent. Il a lancé un appel à l’aide à tous les acteurs sociaux.

Johan Patrick Engellau, un expert, spécialisé dans l’étude des causes de déstabilisation d’un pays, ayant travaillé pour l’ONU et autre organisation opérant dans les régions en crise, a déclaré :

« Je crains, que nous assistions à la fin de la Suède, bien organisée, respectueuse et égalitaire, que nous connaissions jusqu’à présent. Personnellement, je ne serais pas surpris si une forme de guerre civile devait éclater. Dans certains endroits, la guerre civile a déjà commencé. »

Et d’ajouter : « Le gouvernement ne semble pas comprendre, qu’il a perdu le contrôle. Il y a un moment où vous ne pouvez plus arrêter le développement d’une situation. Je ne sais pas si la Suède a atteint le point de non-retour en ce qui concerne les conséquences de l’immigration, mais j’ai bien peur que nous nous en approchions. Si, maintenant, nous décidions d’agir de manière claire et ferme, ce qui suppose l’arrêt de l’immigration et de la promotion politique du multiculturalisme, nous pourrions peut-être, non sans quelques difficultés, encore sauver la Suède. »

Hélas, les élites politiques suédoises ne semblent guère prêtes à prendre de telles décisions, elles n’ont même pas encore commencé à parler de ces problèmes !!! Elles continuent à planer sur leur nuage de chimères multiculturelles.

La Suède aura bientôt besoin de l’aide étrangère L’appel à l’aide du chef de la police suédoise s’adressait à des partenaires potentiels à l’intérieur du pays, mais très bientôt, la Communauté internationale devra intervenir, si l’on veut éviter une catastrophe humanitaire.

La situation en Suède est désastreuse selon Magnus Ranstorp, un expert en radicalisation et terrorisme.

Dans les zones de non-droit, la loi suédoise a été rejetée et remplacée par un mélange de loi de la jungle et de charia. Des gangs musulmans armés et des islamistes radicaux sont en train de découper le pays en morceaux et de s’en approprier. L’armée suédoise est quasi inexistante.

Ces zones de non-droit étaient au nombre de 15 en 2015 et aujourd’hui elles s’élèvent à 61. A celles-ci s’ajoutent 53 districts « vulnérables » où la situation n’est pas aussi critique, mais risque de dégénérer. Drogue et violences sont en plein essor. Les districts “vulnérables” sont localisés dans les villes les plus importantes du pays : Stockholm, Göteborg, Malmö, Uppsala.

Le rapport spécifie que les districts « vulnérables » sont majoritairement habités par des migrants islamiques et qu’il est difficile ou quasiment impossible pour la police d’accomplir sa mission.

Dans ces zones:

  • des structures communautaires parallèles à celles de l’État prolifèrent ;
  • l’extrémisme religieux viole systématiquement les droits des personnes ;
  • le nombre de délits est particulièrement élevé ;
  • le recrutement de futurs djihadistes pour l’armée du califat y prospère.

Il s’agit de véritables zones de non-droit, comme signalé par le quotidien Danske Nyeter, qui fut le premier à publier le rapport. Ces zones représentent un risque pour le vivre ensemble dans un pays de 10 millions d’habitants.

Le gouvernement suédois minimise cette situation pourtant dramatique et rejette obstinément l’image d’une dérive islamique du pays.

Toujours est-il qu’en avril dernier, les responsables de Post Nord, la Société des postes suédoises ont annoncé la suspension des services de livraison dans certains faubourgs de Stockholm à cause de risques d’agressions pour le personnel (techniquement la suspension a été qualifiée d’arrêt “protectif”).

Un mois plus tôt, le syndicat paramédical des Ambulanciers suédois avait introduit une demande expresse d’équipement militaire, pour son personnel travaillant dans les quartiers à risque des grandes villes, notamment les quartiers à forte concentration de migrants musulmans.

La Suède, modèle de multiculturalisme, mythe de la social-démocratie européenne, symbole depuis des décennies de l’intégration arc-en-ciel, semble se réveiller d’un long et profond sommeil.

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Apartheid multiculturel

Nima Gholam Ali Pour est un intellectuel suédois d’origine iranienne. À l’instar de nombreux immigrés, intégrés dans la société suédoise, ayant accepté et partagé les valeurs occidentales, il est conscient du danger, qui menace le pays, contrairement aux dirigeants, qui continuent à se bercer dans la dangereuse illusion d’un multiculturalisme parfaitement réussi.

Récemment, dans un article publié par Gatestone Institute, Nima Gholam Ali a dénoncé « l’apartheid du multiculturalisme » dans ce pays, autrefois un petit paradis. Et si la Suède demeure encore un pays ultralibéral, il existe certaines zones dans les villes où les femmes ne peuvent plus porter des mini jupes et où les homosexuels sont persécutés. Aujourd’hui, l’intolérance fait tout simplement partie de la nouvelle Suède multiculturelle…

Paradoxalement, depuis des années, ce sont les immigrés musulmans intégrés, craignant pour leur avenir et celui de leur pays d’adoption, qui dénoncent les risques de faillite du modèle multiculturel suédois.

Les politiciens suédois continuent à donner de la Suède l’image d’une superpuissance humaniste, féministe, d’un paradis libéral et tolérant. Toutefois, la situation dans les banlieues, où vivent la plupart des migrants est la preuve vivante qu’une partie importante de la population suédoise ne fait pas partie de cette Suède paradisiaque libérale et féministe. Dans ces communautés règne l’intolérance. Les droits fondamentaux suédois sont niés aux femmes musulmanes dans ces sociétés parallèles islamiques, soumises à la police religieuse. Les organisations islamistes se renforcent, grâce au soutien de l’Arabie saoudite, des agences gouvernementales suédoises, des médias et de la classe politique au pouvoir, aveuglée par ses chimères.

Ceux qui gouvernent la Suède ne sont pas issus des banlieues, déjà soumises à la charia, ils ne connaissent rien de la réalité quotidienne vécue par les habitants de ces quartiers et ne leur prêtent clairement aucune attention. Les mouvements LGBT et féministe préfèrent réduire au silence les rares courageux, qui protestent contre l’oppression islamique dans les banlieues.

En Suède, comme dans d’autres banlieues européennes, la répression, que certains réfugiés avaient fui dans leur pays d’origine, semble les accompagner dans leur pays d’accueil. Des ombres noires barbues jettent l’effroi chez les femmes musulmanes, qui veulent mener une vie à l’occidentale, libres de tout carcan « religieux » leur imposé par des hommes.

En 2015, le cas de Nalin Perkul suscita une violente polémique. La parlementaire sociale-démocrate kurdo-suédoise, musulmane pratiquante, fut obligée de quitter Tentsta, un quartier de Stockholm, où elle vivait depuis trente ans, suite aux menacés proférées à son encontre par les intégristes islamistes. Son tort : avoir choisi de s’habiller à l’occidentale et de vivre comme les mécréants ! Tentsta, avec 70% de résidents immigrés (dont 40% vivent d’allocations sociales) et 95% d’enfants musulmans dans les écoles, est devenu l’une des enclaves de l’islamisme radical de la capitale suédoise.

Le rôle du Qatar et des Frères musulmans

L’islam suédois a des liens étroits avec le Qatar et les Frères musulmans. Le Qatar a investi 3 millions d’euros pour construire à Malmö la plus grande mosquée de Scandinavie, inaugurée en mai dernier.

Étrangement, en Suède, l’évènement passa inaperçu. Seule la presse du Qatar décrivit l’évènement avec emphase, tandis que les autorités suédoises locales, présentes à l’inauguration, se limitèrent hypocritement à parler de l’inauguration d’un centre culturel et non d’une mosquée…

La construction fut réalisée par le Wakf de Suède, la fondation islamique de soutien à la communauté musulmane, organisation, qui par le passé avait noué de liens étroits avec le sulfureux imam danois Abu Laban, décédé en 2007, connu pour ses positions extrêmement radicales. Lié aux Frères musulmans, il fut l’inspirateur de la révolte du monde arabe contre les caricatures de Mahomet. Cet homme qualifia Osama bin Laden de « combattant de la liberté” et justifia le carnage de touristes occidentaux en 1994 en Algérie, affirmant qu’ils transmettaient le sida dans le pays, tout comme les Juifs le diffusent en Égypte. Bref, un modèle de « nouveau citoyen suédois » débordant d’amour et de fraternité pour son prochain, respectueux des valeurs occidentales!

La Suède a été le premier gouvernement européen à nommer un ministre, dont les sympathies pour les intégristes musulmans n’étaient un secret pour personne : Mehmet Kaplan, ministre turco-suédois pour le développement urbain, membre des Verts et de la gauche et lié aux FM. Il compara les djihadistes suédois combattant aux côtés de l’EI à de jeunes volontaires communistes, qui partirent combattre en Finlande contre l’invasion soviétique en 1939.

Les combattants étrangers en Syrie et en Irak (Foreign Fighters)

Selon le rapport du « Centre international pour l’Étude de la radicalisation » émis en 2015, la Suède est la troisième nation européenne, ayant, par rapport à sa population, le plus grand nombre de combattants enrôlés dans les armées de l’EI et d’al- Qaïda, après la Belgique et le Danemark.

Dans une étude plus récente, le CATS (Center for Asymmetric Threat Studies) a réalisé une radiographie précise des quelque 300 combattants  “suédois” partis faire le djihad: 34% ne sont pas nés en Suède et plus de 70% sont originaires de ces quartiers qualifiés de « vulnérables » par les Autorités. Et si d’un côté, le nombre de départs vers les zones de conflit de Syrie et d’Irak s’est fortement effondré cette année, le nombre d’intégristes islamiques, par contre, a augmenté en Suède.

Lors d’une interview récente, le directeur du SAPO (le Service de Sécurité suédois) a déclaré qu’aujourd’hui, la Suède compte des milliers d’islamistes radicaux. Ils étaient 200 en 2010 !

Nonobstant le fait que la Suède ait mis en place de très généreux projets de réintégration sociale des djihadistes de retour de Syrie et d’Irak, le modèle d’intégration est en train d’échouer. En outre, le « politically correct » imposé par les gardiens de l’orthodoxie multiculturaliste n’a pas réussi à cacher la vérité, qui devient de plus en plus perceptible.

Un tel aveuglement est incompréhensible

 

Le ramadan: une tradition suédoise!

 

La transformation de la Suède en un pays de plus en plus islamisé illustre bien la conséquence désastreuse de l’aveuglement sans limites de ses dirigeants gauchistes successifs.

Eurabia n’est pas un parcours linéaire, mais se meut en zigzaguant, en pénétrant dans les systèmes les plus fragiles et dans les nations où les classes dirigeantes sont les plus corrompues idéologiquement au verbe de la dissolution identitaire, imposée par le pouvoir technocratique de Bruxelles..

Nous sommes nombreux à nous poser cette question:

“Comme est-il possible que les gouvernements occidentaux ne se rendent pas compte du processus en cours de désintégration de l’Europe, de ses modèles sociaux et de ses valeurs, par l’immigration musulmane sans limites et l’imposition d’un multiculturalisme débridé, aux effets des plus pervers? “

C’est incompréhensible pour nous, mais peut-être très compréhensible pour certains, car c’est ce projet de désintégration que le pouvoir mondialiste exige pour redessiner l’ordre global, avec la collaboration des musulmans, œuvrant à leur propre ordre mondial soumis à la loi d’Allah. Les alliés d’aujourd’hui seront les ennemis de demain.

Et les peuples occidentaux, pris en otage entre les globalistes et les islamiques, somnolent, tandis que se joue leur avenir. Dans leur torpeur, ils ne s’aperçoivent pas que leurs dirigeants les mènent tels des somnambules tout droit vers la catastrophe.

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Le rêve d’un avenir utopique au sein duquel la pauvreté serait surmontée par les systèmes de redistribution sociale, et la violence serait vaincue par l’amour et un esprit d’ouverture est en train de détruire l’Occident.

Parmi les acteurs de cette désintégration planifiée de l’Europe judéo-chrétienne et de ses peuples, Soros, le maléfique, le machiavélique, le diabolique, est le plus actif et le plus écouté par l’oligarchie occidentale. Il appartient à l’aristocratie la plus vile, la plus corrompue, la plus dangereuse, qui soit, celle de l’argent. Crises économiques et guerres sont la sève vitale de ces ennemis des peuples. Ses milliards, sa puissance, il les a obtenus en mettant à genoux les économies de la moitié de la planète. Et si la déstabilisation de l’économie est son travail, celle des gouvernements est son hobby. Ses proies actuelles en Europe sont la Hongrie et la Pologne.

Pour cet homme et ses amis de l’élite financière, la démocratie est un luxe du passé, comme l’écrivit le Financial Times, la bible du gotha financier et les mécanismes de souveraineté populaire et de représentation parlementaire sont un obstacle à la gestion directe du pouvoir.

Le processus d’immigration induite sert à cela : désarticuler l’ordre social et culturel, créer des conflits endémiques (des guerres entre les pauvres) imposer les législations les plus autoritaires, altérer l’équilibre démographique et générer un abaissement de la stratification sociale afin de réduire le poids ce cette classe moyenne, en conflit avec les élites depuis toujours.

Pour Soros et ses amis, une Société a deux niveaux est beaucoup plus fonctionnelle : une élite disposant d’un grand pouvoir économique et décisionnel, à même de gérer les flux d’informations et une masse de plus en plus pauvre, dépendants de cette élite et de l’imaginaire qu’elle crée. Et dans le projet globaliste, les identités nationales et religieuses, dangereuses, car elles donnent un sens à la vie, doivent être éradiquées au sein de cette masse indistincte et parfaitement soumise au système dominateur.

Le rêve d’un monde, gouverné par quelques élus, passe par la dissolution de l’Occident, tel que nous le connaissons et l’immigration musulmane de masse, légitimée dans les déclarations officielles des technocrates sur l’immigration substitutive, sert à transformer leur rêve de domination en un cauchemar dantesque pour les peuples européens.

Le nouvel ordre mondial, voulu par les globalistes est tout aussi mortellement néfaste pour l’Occident, que le rêve d’islamisation de la planète des soldats d’Allah. Hélas, les Européens, dans leur majorité, semblent avoir choisi le camp des zombies, futurs esclaves manipulables et corvéables à merci.

Endormis, leurrés, séduits par la désinformation et la propagande des élites, des technocrates, de l’oligarchie, des responsables politiques, des médias, les peuples européens se laissent manipuler, dès lors, le devoir sacré de tout citoyen, conscient du danger, est de lutter par la diffusion de l’information et de la vérité. Les gens doivent prendre conscience de l’avenir funeste, que leur concoctent les disciples du nouvel ordre mondial, alliés aux adorateurs d’Allah et agir en conséquence. Autrement, leur indifférence sonnera le glas de l’Europe et le leur, en tant qu’êtres libres.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources : Svezia islamica : l’apartheid culturale – Il Giornale.it/ Sweden on the Brink of Civil War, National Police Chief: Help us, Help us! (Nicolai Sennels – Jihad watch).

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