Faits, réalisme et miracles
Il y a cinquante ans, en juin 1967, suite aux multiples tentatives d’attaques de la Syrie, de l’Égypte et de la Jordanie contre Israël, Tsahal lance l’opération Focus, l’une des plus grandes opérations militaires de l’histoire moderne et qui marque le début de la guerre des Six Jours.
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À la surprise du monde entier, Israël réussit à battre en six jours toutes les armées arabes qui l’agressaient pour la troisième fois avec la volonté délibérée d’éradiquer l’État d’Israël.
Des hommes d’extrême valeur ont défendu Israël, mais il est difficile de ne pas discerner l’aide du Gardien Éternel du Peuple Juif.
Nous avons pensé que nos amis seraient intéressés par la relation d’une partie des miracles réalisés durant cette courte guerre. Rappelons David Ben Gourion : “Celui qui ne croit pas au miracle, surtout en Israël, n’est pas réaliste”.
Nous avons choisi de traduire et d’adapter le récit du premier jour de la guerre, le 26 Iyar 5727-5 juin 1967, tel que relaté par le Dr Haggui Ben Artzi (1), historien habitant Beit-El en Judée-Samarie dans son livre “Mégilat Shéshèt Hayamim”(Le Récit de la guerre des Six Jours), paru en 2014 (2).
Haggui Ben Artzi (1) raconte :
“La période qui a précédé le déclenchement de la guerre des Six-Jours a été caractérisée par une tension immense au sein de la population israélienne qui ne comptait en 1967 que 2.5 millions d’habitants. Les pays arabes, l’Égypte en tête – qui avaient expulsé les observateurs de l’ONU de la péninsule du Sinaï et bloqué les détroits de Tiran en Mer Rouge – avaient massé aux frontières d’Israël des troupes numériquement très importantes et équipées d’armement et de radars modernes et très sophistiqués pour l’époque fournis par les Soviétiques. Ces différentes actions et les déclarations belliqueuses des pays arabes entourant Israël constituaient tous les éléments d’un casus belli flagrant. Les forces des pays arabes, Égypte, Syrie, Irak et Jordanie avaient été placées sous le commandement unique d’un général égyptien.”
(1) Le Dr Haggui Ben Artzi est conférencier en histoire juive contemporaine et enseigne à l’Université Bar-Ilan. (2) Le livre “Mégilat Shéshèt Hayamim” en hébreu est publié par les éditions “Bibliothèque Beit-El”. Pour les personnes désireuses d’acquérir la traduction anglaise du livre, “The Six-Days War Scroll” : Editions Bibliothèque Beit-El, téléphone +972-2-642-7117 www.beitel.co.il.
Israël savait que les nations occidentales, malgré leurs engagements et promesses, ne lui porteraient aucune assistance. L’objectif déclaré des pays arabes : l’extermination des juifs et d’Israël.
L’État d’Israël décide de constituer un gouvernement d’union nationale et mobilise les forces de réserves. Le 4 juin 1967, le gouvernement présidé par le premier ministre Levy Eshkol entérine le programme nommé “Nah’shonim” proposé par l’État-Major. But de l’opération : destruction de l’armée égyptienne qui avait envahi le désert du Sinaï. Les chefs de Tsahal sont confiants dans la victoire de l’armée israélienne, mais ne cachent pas leur crainte de lourdes pertes humaines, “mais il n’y a pas d’autre choix s’il l’on veut défendre le peuple et le pays d’Israël”.
25 Iyar 5727, 4 juin 1967 à 7:45. L’ordre de l’opération, dont le code général est “Drap rouge”, est donné et Tsahal lance son opération défensive pour écraser l’ennemi décidé à exterminer le peuple juif en Israël.
“Ils disent : allons, rayons-les du nombre des nations; que le nom d’Israël ne soit plus mentionné!” Psaumes 83:5.
1 Cantique des degrés. Vers l’Éternel j’ai crié dans ma détresse, et il m’a exaucé.2 Seigneur, délivre-moi des lèvres mensongères, de la langue perfide. 3 Quel profit te donnera-t-elle, quel avantage, cette langue perfide, 4 [pareille] aux flèches des guerriers, aiguisées aux charbons ardents des genêts? 5 Quel malheur pour moi d’avoir séjourné à Méchech, demeuré près des tentes de Kédar! 6 Trop longtemps mon âme a vécu dans le voisinage de ceux qui haïssent la paix. 7 Je suis, moi, tout à la paix, et quand je la proclame, eux ne méditent que guerre. Psaumes Chapitre 120
Déroulement des événements du 26 Iyar 5727 – 5 juin 1967
- 7:15 du matin : deux cent avions de l’armée de l’air israélienne décollent avec comme mission attaquer l’armée de l’air égyptienne et ses aéroports. Seuls douze avions de combat restent au sol pour assurer la défense de l’espace aérien d’Israël. Les risques encourus par l’opération Focus, première étape de l’opération aérienne préventive de Tsahal, sont immenses. Les Égyptiens avaient déployé d’importants moyens de défense anti-aérienne très sophistiqués fournis en grandes quantités par l’URSS. Du côté israélien, la plupart des avions qui équipaient l’armée de l’air étaient des avions de fabrication française déjà anciens et guère adaptés à la mission ambitieuse qu’ils devaient réaliser. Si les avions de Tsahal avaient été repérés par la défense anti-aérienne égyptienne, l’armée de l’air aurait subi de lourdes pertes et aurait perdu de son efficacité. Un miracle s’est produit : tous les avions israéliens sont parvenus à leurs objectifs, les aéroports égyptiens, dans le Sinaï, le long du Canal de Suez et du Nil, sans être repérés par l’armée égyptienne. L’ensemble du dispositif de détection et de défense anti-aérienne de l’Égypte s’est effondré et n’a pas réagi de façon quasi absolue.
La providence divine soutint la bravoure des pilotes israéliens engagés dans une mission très périlleuse. Les pilotes avaient coupé toute communication électronique et volaient à une altitude très basse [pour déjouer les radars ennemis], à 20 mètres au-dessus de la mer, démontrant une maîtrise opérationnelle prodigieuse. Cette prouesse était le fruit de dix ans d’entraînements extrêmement rigoureux.
- 7:45 : les avions de Tsahal atteignent tous les aéroports égyptiens visés et détruisent avec des bombes spéciales développées par l’industrie militaire israélienne toutes les pistes de décollage. Puis, immédiatement, l’aviation israélienne attaque et anéantit l’aviation égyptienne au sol, dont pratiquement aucun avion ne réussit à décoller. En une heure d’opération, plus de deux cent avions égyptiens sont mis hors d’usage, représentant la moitié des avions de l’armée de l’air égyptienne.
L’armée de l’air israélienne subit des pertes : cinq pilotes sont tués, l’un fait prisonnier et un autre est sauvé in-extremis par l’équipage d’un hélicoptère au terme d’une opération particulièrement périlleuse. Huit avions sont abattus. Ni le gouvernement ni l’état-major israélien n’avait escompté des pertes si réduites pour un tel résultat.
“Qui saura relater la toute-puissance de l’Éternel et exprimer toute Sa gloire ?” Psaumes 106:2.
Mais la tâche n’est pas encore achevée : la moitié de l’aviation égyptienne n’a pas été détruite et les Égyptiens commencent à les rassembler sur l’aéroport international du Caire. Et de fait, à 9:45, une deuxième vague d’avions de combat israéliens détruit les avions de combat stationnés au sol et les autres aéroports égyptiens. De nouveau il se passe quelque chose qui tient également du miracle : la défense anti-aérienne égyptienne ne parvient à abattre qu’un seul avion d’Israël, dont l’aviation réussit à détruire au sol plus de deux cent avions et à neutraliser tous les aéroports tant militaires que civils ! La providence divine se joint à la bravoure exceptionnelle des pilotes israéliens, qui n’hésitent pas à affronter les batteries anti-aériennes égyptiennes. Trois heures après le déclenchement de l’opération Focus, 300 avions égyptiens sont détruits, ainsi que tous les aéroports.
Le miracle n’est pas terminé : les pays alliés de l’Égypte, la Jordanie, la Syrie et l’lrak croyant la propagande de désinformation mensongère annonçant les réussites militaires de l’Égypte, n’hésitent pas à rentrer dans la bataille pour participer à la “victoire finale” sur les juifs et Israël. Leurs aviations tentent d’attaquer des villes et des bases militaires israéliennes, mais sont rapidement neutralisées par la défense aérienne et les avions de combat d’Israël. Suite à cette contre-offensive réussie, Israël décide de poursuivre l’opération Focus et de détruire les armées de l’air et les aéroports syriens et jordaniens. À 12:45 commence la troisième phase de l’opération et en trois heures de combat, plus de cent avions jordaniens et syriens sont détruits ainsi que tous les aéroports de ces deux pays.
Au terme de la première journée de combat, l’aviation des trois belligérants principaux n’existait plus et l’armée de l’air israélienne, qui avait subi des pertes minimes, avait pris le contrôle intégral de tout l’espace aérien du Moyen-Orient.
L’armée de l’air complète sa mission le deuxième jour de la guerre : une formation composée d’avions de combat Vautour et Mirage attaque l’aéroport irakien H-3 et détruit les dizaines d’avions qui y étaient stationnés et se préparaient à la guerre contre Israël. Un avion libanais qui s’approchait de la frontière est abattu, mettant ainsi un terme à la participation du Liban à la guerre.
Ces succès de l’armée de l’air permettent à l’aviation israélienne dès le second jour de la guerre de donner un appui tactique aux forces terrestres de Tsahal en portant des frappes décisives aux armées arabes et en permettant une victoire-éclair stupéfiante d’Israël sur ses ennemis.
La victoire incompréhensible de la guerre des Six-Jours n’a pas été obtenue en six jours, mais en six heures.
Les pilotes et des spécialistes de l’armée de l’air ont été bien entendu, grâce à leur talent, leur courage et leur héroïsme, les artisans de cette victoire, liée intrinsèquement aux miracles évidents accomplis par le D.ieu d’Israël. La providence divine a accompagné les pilotes de Tsahal, l’Armée de Défense d’Israël, dans leur tâche et a permis au peuple d’Israël de réaliser un résultat sans pareil dans l’histoire militaire.
De nombreux experts en aviation définissent le déroulement de l’opération Focus comme étant “l’opération d’attaque aérienne la plus brillante jamais réalisée dans l’histoire de l’aviation militaire”. L’armée de l’air israélienne qui comptait deux cent avions de fabrication française techniquement déjà dépassée à l’époque, a dû affronter trois pays arabes possédant six cent avions de combat et d’interception ultra-perfectionnés, MiG 19 et MiG 21, ainsi que des bombardiers soviétiques Tupolev.
Est-il nécessaire d’expliquer l’immense sentiment de reconnaissance que les Israéliens ressentent chaque année vis-à-vis de la providence divine lors de la commémoration de la victoire du 5 juin 1967 :
“Ce jour, le Seigneur l’a préparé, consacrons-le par notre joie et notre allégresse”. Psaumes 118:24.
Dans notre joie, nous n’oublions pas en Israël le lourd tribut payé à cette guerre de délivrance : vingt-cinq pilotes morts au combat et quarante-six avions abattus”.
Nous avons décrit jusqu’à présent le déroulement de l’un des événements les plus exceptionnels de l’histoire militaire connue jusqu’à nos jours.
Haggui Ben Artzi continue et relate comment la providence divine s’est manifestée.
Jugez vous-même :
“La providence divine se révèle dans de multiples “petits détails” qu’aucun être humain ne peut prévoir. Lorsque ces “petits détails” s’assemblent, nous obtenons une image complète avec une signification très claire et nous comprenons alors qu’une main suprême, non humaine, dirige tous ces faits.
Voici quelques exemples de faits et d’événements liés à l’opération Focus :
Le 4 juin 1967 le vice-président de l’Egypte et ministre de la Guerre, ‘Abd El ‘Hakim ‘Amar, décide d’organiser le lendemain matin un vol aérien d’inspection dans le Sinaï, puis de rencontrer le commandement de des forces stationnées à la frontière avec Israël. Le groupe devait décoller avec un vol spécial au départ du Caire à 7:00 du matin. Le ministre avait également invité dans un vol séparé une délégation militaire irakienne de haut niveau dirigée par le premier ministre d’Irak. Dans le but de sécuriser le vol des personnalités importantes participant à ce vol, le ministre de la Guerre égyptien avait donné l’ordre à toutes les unités de défense anti-aérienne de ne pas utiliser de façon absolue les batteries anti-aériennes de 7:00 à 8:00 du matin. Nous avons vu précédemment que cette heure était critique dans l’implémentation de l’opération Focus : heure précise de décollage de tous les avions de combat de l’armée de l’air d’Israël. L’ordre donné stipulait que l’utilisation des batteries anti-aériennes nécessitait un l’accord personnel du ministre de la Guerre égyptien. Cet ordre eut deux conséquences décisives dans la réussite de l’opération “Focus”. Les unités de défense anti-aériennes de l’armée égyptienne étaient passées à un mode non-opérationnel et les officiers et soldats de ces unités allèrent donc tranquillement prendre leur petit-déjeuner au réfectoire …
Lorsque les avions de l’armée de l’air d’Israël surgirent au-dessus des aéroports égyptiens, les militaires n’ouvrirent pas le feu, étant donné l’ordre impératif et absolu venu du ministre de la Guerre en personne. Lorsque les officiers comprirent enfin ce qui se passait et tentèrent de réagir à l’attaque israélienne, il était trop tard.
Les services de renseignement d’Israël n’avaient absolument pas eu connaissance des circonstances et faits décrits ci-dessus.
Au moment précis où les avions de Tsahal apparurent au-dessus du Sinaï, les officiels égyptiens s’apprêtaient à atterrir à l’aéroport de Bir Gafgafa (Réfidim de la Bible) situé à 90 km à l’est du Canal de Suez. Les pilotes des avions égyptiens voyant les pistes d’atterrissage détruites décidèrent au dernier moment de ne pas atterrir. Les pilotes des avions de chasse israéliens demandèrent l’autorisation d’abattre les deux avions de transport géants de type Iliouchine 14, mais celle-ci leur fut refusée par le QG de l’armée de l’air … de crainte que les avions égyptiens transportent des passagers civils. C’est ainsi que ces derniers, dont le ministre de la Guerre et le haut-commandement égyptien, échappèrent involontairement aux chasseurs israéliens.
Plus étonnant encore : plusieurs vols de reconnaissance de l’armée de l’air égyptienne étaient effectués chaque matin de 4:30 à 8:30 par une escadrille de quatre MiG 21 ultra-modernes au-dessus des rives du Sinaï. Le but de ces vols était de prévenir et de contrer une possible attaque aérienne d’Israël.
Le matin du 5 juin 1967, le vol de reconnaissance de 7:30 n’eut pas lieu à l’heure fixée. Le général El ‘Hamid Al Dagigi, chef du commandement de l’est de l’armée de l’air égyptienne exigea de connaître la raison de ce retard inhabituel. Le commandant de la formation des MiG 21 s’excusa du retard du vol de reconnaissance et expliqua qu’il avait retardé à son domicile pour des raisons personnelles et qu’il était en route pour la base aérienne. Lorsqu’il arriva, il était déjà trop tard : l’aviation israélienne avait bombardé et mis hors d’usage les pistes de décollage et neutralisé les MiG 21 au sol. Il ne fait aucun doute que les choses se seraient passées différemment si l’aviation égyptienne avait été dans les cieux durant cette phase de l’opération Focus de Tsahal.
L’enquête menée par l’État-Major égyptien après la guerre révéla la raison réelle du retard fatal de la mission aérienne fixée comme chaque matin à 7:30.
La veille au soir le commandant de l’armée de l’air égyptienne, Sidney Mahmoud, avait décidé d’organiser … une soirée festive pour tous ses pilotes, afin de leur “remonter le moral”. Des pilotes expérimentés d’autres bases aériennes furent également invités au bal organisé à l’aéroport Ain Shams, situé près du Caire. La soirée fut riche en mets de choix et en boissons et agrémentée par un spectacle de danseuses du ventre et se termina aux petites heures de la nuit.
À l’heure même où les pilotes israéliens avaient envoyés à leurs quartiers pour se reposer avant le jour décisif du début de la guerre, les pilotes égyptiens participaient à une soirée de danses endiablées. Il n’est donc pas étonnant qu’ils aient eu quelques difficultés à se réveiller le lendemain matin pour accomplir leur mission.
Mais plus étonnant encore que tous ces faits imprévisibles et inexplicables, qui ont grandement aidé à la réussite de l’attaque défensive d’Israël est ce qui va suivre.
En dehors de stations de radars égyptiens dirigées vers Israël, une unité de radars ultra-moderne avait été installée à Ajloun en Jordanie [ville située au nord de Rabat-Amon, la capitale de la Jordanie et à environ 80 km à l’est de Netanya]. Cette station radar couvrait entièrement le territoire de l’État d’Israël et la côte méditerranéenne.
Nous avons précédemment mentionné que l’armée jordanienne avait été placée sous le commandement de l’État-Major égyptien et en conséquence les deux armées avaient convenu de codes de transmission unifiés. À 7:20 du matin du premier jour de la guerre, les écrans des radars jordaniens affichèrent des dizaines de petits points noirs se dirigeant à grande vitesse en direction des côtes égyptiennes. Le contrôleur jordanien identifia immédiatement qu’il s’agissait d’avions israéliens. L’attaque israélienne avait commencé. Le contrôleur s’empressa de transmettre à l’État-Major égyptien le mot de code prévenant d’une attaque israélienne : ‘Anab (Raisins). Mais les services de renseignement de l’armée égyptienne ne réussirent pas à le décrypter, de sorte que personne ne put comprendre le message répété plusieurs fois ‘Anab, ‘Anab, par le contrôleur jordanien. Les Égyptiens coupèrent avec rage la communication avec la station de radar d’Ajloun. C’est ainsi que les avions de combat israéliens purent surprendre l’Égypte. En fait, le mot de code avait été changé à minuit par les services de renseignement égyptiens et le
Je m’en souviens très bien: j’étais sur l’un des bateaux envoyés pour recueillir nos ressortissants habitant Israël:
Ce fut la joie à bord lorsque nous avons fait demi-tour à vide.
en effet la providence divine a fait la différence ! HM a protégés son peuple ! ” amen amen ” !
hi
il est evident que la providence de l univers et la ,providence divine a joué
ceci dit
je sias que l armée de tsahal s interessais aussi aux effets PSI ( parapsychologique)
et l exploitation d urie geller par tsahal le demontre
et avant liu de meme ;a certainnement joué un role
les nouvel theorie quantique et autre demontre qu il y a deux univers distancte
un generale et collectif
et
un spacifique , individuel
et les effet psi peuvent etre donc ou collectif ou individuel
uri geller et jean pierre girad en psychokinese on demontrer qu une personne ou plusieures a la fois peuvent generer des effet pk ou psi
il est ai de meme pour tous autres effet psi
en somme on peut agir sur un objet ou plusoieures a la fois par effet psi
comme une personne ou plusieure peuvent avoir des effet psi sur un objet ou plusieures a la fois
si on peu tordre une cuileere ou faire une premonition
on peu aussi agir sur autrui(s)
retardre son reveil , bloquer un ou des radar etc
jean pierre girard pouvais guider un mi_ssile pour qu il atteigne pratiquement a 100% sa cible quelques soient le type de missile ou quelque soient la facon ou ils etaient tiraient
donc acte
effet psi collectif exemple
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by
Mais oui Yoni… bien sûr… c’est cela même…
“effet parapsychologique”…
et si ma tante en avait, elle serait mon oncle.
Et les cochons volants, vous en avez vu beaucoup ?
PS: C’est inutile de massacrer volontairement et à chaque fois vos textes et votre orthographe, ça ne fait rire que vous.
Rico,
pourquoi êtes vous grossier envers une personne qui a commenté ? chacun a le droit à son point de vue, et le respect d’une prétendue intouchable “langue française” n’est pas un préalable, me semble-t-il.
Yonii commence son texte par “hi”, soit “salut” ou “bonjour” dans le monde anglo-saxon, alors non, il n’y a pas de quoi rire, mais alors pas du tout !
Par ailleurs, moi non plus, je ne crois pas en un quelconque dieu, quelle que soit la religion d’ailleurs, alors une supposée intervention divine me laisse au delà du perplexe, mais je sais l’exprimer poliment.
Ceci dit, cordialement.
@ Chinook
L’argument “effet parapsychologique” est juste grotesque. On parle ici d’une immense victoire militaire qui, jusqu’à la dernière minute, n’était pas gagnée. Cette écrasante victoire militaire a été analysée et disséquée par les plus grands experts et stratèges militaires du monde, et elle n’a encore pas livré tous ses secrets.
C’est vous qui avancez ici une “intervention divine”, pas moi. Je ne vois donc pas le rapport, ni ce que vous essayez de démontrer ici…
Et ce “Hi” ne présume de rien : je peux moi aussi saluer en mandarin ou en bassa, mais ça ne fera de moi ni un Chinois ni un Camerounais.
Mr Yoni écrit par ailleurs parfaitement bien le français. C’est pourquoi je n’ai pas prétendu une seule seconde le corriger, et c’est pourquoi j’ai bien dit qu’il lui est inutile de massacrer *volontairement* ses propres commentaires, ne serait-ce que par respect vis-à-vis des autres.
Bravo Rico ! Donc votre tante n’en a pas. Mais qui est-ce qui dirige le ménage ? Et qui sont les vrais héros, les seuls dont il faut chanter les louanges ? Tsahal.
Si l’auteur de l’article avait interprété l’Holocauste, comment s’y serait-il pris ?
Rico, vous citez les cochons volants, êtes-vous anglais ? “When the pigs will fly”. En français, ça se traduit par “Quand les poules auront des dents”.
Les Arabes et leurs alliés socialistes occidentaux, y compris les Juifs de la diaspora gauchiste, n’ont pas encore compris, depuis plus de 70 ans qu’ils s’efforcent de détruire Israël, qu’ils perdent leur temps. Ils poursuivent obstinément leurs petites magouilles sur l’échiquier politique, ils continuent de pomper comme les Shadoks sans réaliser, ces malfaisants, qu’ils ont affaire à Celui qui tire les ficelles de toute éternité et qui se moque de leurs singeries comme de colin tampon.
Tant qu’Israël se maintiendra dans la voie qu’Il lui a tracée, les Israéliens n’ont rien à craindre.
Entre parenthèse, si les pilotes égyptiens avaient besoin qu’on leur remonte le moral à la veille de s’attaquer à un ennemi 6 ou 7 fois plus faible qu’eux, c’est qu’ils n’étaient pas si sûrs de la justice de leur cause.
Je me souviens encore des photos de rangers abandonnées dans le désert….
Il est vrai que pieds nus sur le sable brûlant, ça fait courir plus vite…
Etant moi-même militaire à l’époque, beaucoup d’entre nous ont applaudi la pâtée.
“Entre parenthèse, si les pilotes égyptiens avaient besoin qu’on leur remonte le moral à la veille de s’attaquer à un ennemi 6 ou 7 fois plus faible qu’eux, c’est qu’ils n’étaient pas si sûrs de la justice de leur cause.”
Excellent, excellent, excellent, … merci beaucoup.
Any time.
Lors du blocus du canal de Suez, Israel avait lancé des appels aux puissances occidentales; ceux-ci étant restés sans réponse, la guerre des six jours fut lancée et, dès qu`elle fut terminée, l`ONU demande immédiatement le retrait total des nouveaux territoires conquis de 1967. Cependant, l`histoire ne mentionne pas si l`ONU garantirait la protection du canal, essentiel à l`approvisionnement des Israéliens…à ce que je sache, du moins.
L’ONU n’a jamais eu le pouvoir de garantir quoi que ce soit étant donné qu’elle n’a jamais disposé d’aucune force d’intervention, dissuasive ou autre. Elle est à la merci totale des Etats qui en sont membres et qui violent leurs engagements en toute impunité depuis plus de 50 ans.
Seul le respect général que pouvait inspirer un Secrétaire général tel que Dag Hammarskjold par exemple aurait pu freiner les abus des Etats Membres, mais ces derniers se sont empressés d’élire des nullités incapables de mettre le holà à leurs abus en tous genres.
Et les sanctions économiques pour lutter contre l`Apartheid en Afrique du Sud? Elles ont fonctionné et ont donné des résultats.
Le commentaire auquel j’ai répondu concernait la protection du Canal de Suez que seule une intervention manu militari aurait pu assurer – mais l’ONU n’a aucun droit de pénétrer sur le territoire de ses Etats membres sans leur autorisation d’une part, et d’autre part elle ne dispose d’aucune force armée. Les Casques bleus n’existent que pour faire ‘tampon’ entre deux factions qui s’affrontent, et les Etats membres ne lui permettent même pas de jouer ce rôle, comme au Rwanda.
Quant aux sanctions économiques, elles peuvent en effet gêner l’Etat incriminé – pour autant qu’elles soient appliquées par tous les autres Etats membres, ce qui n’arrive jamais, chacun agissant selon son intérêt immédiat. Si de telles sanctions étaient efficaces, il y a longtemps que l’Iran et la Corée du Nord, par exemple, auraient renoncé à leur course folle aux armements nucléaires. Quant à la fin de l’apartheid en AS, bien d’autres facteurs y ont contribué en dehors des sanctions votées par les Etats membres de l’ONU.
Quels sont ces autres facteurs?
Il faut quand même dire qu’au vu des interventions lorsque la France et l’Angleterre ont envoyé un corps expéditionnaire en 1956 à Suez!
Belle occasion perdue de régler le problème.
Alors les E-U, la France et l`Angleterre n`ont pas réagi lorsque leur protégé en avait le plus besoin, en 1967. Je ne sais pas pourquoi alors l`ONU demande toujours l`application de cette résolution (retrait des territoires «occupés»), aujourd`hui en 2017?
Ce sont les media porte parole des Etats arabes qui font allusion à cette résolution 242 sans l’avoir jamais lue – à moins qu’ils ne mentent comme des arracheurs de dents, comme d’habitude. L’ONU n’y fait pas allusion, et pour cause.
Parce que la résolution 242 n’a jamais exigé d’Israël le retrait de tous les territoires qu’il avait repris aux envahisseurs arabes.
Elle demandait à Israël le retrait de ses troupes d’une partie de ces territoires (et non de toute la Judée, de la Samarie et de la bande de Gaza) à définir par la suite, et EN CONTREPARTIE aux Etats agresseurs arabes de reconnaître la souveraineté de l’Etat d’Israël et de s’abstenir dorénavant de tout acte d’agression à son égard.
Merci Atikva de m`avoir renseigné. Je ne sais pas si Israel a obtempéré en regard du retrait demandé, mais, suivant votre terme En contrepartie, il est aussi vrai que les arabo-musulmans n`obéissent pas à la logique de la réciprocité; c`est-à-dire un idéal «donnant donnant». Merci pour votre information…
poulvou ké sa doulle
hi
merci rico
pour ceux que cela interresse
dans cet ouvrage l armee egyptienne etait interesé par les resultat des effet psi et donc leur exploitabilité militaire de la parapsychologie
https://www.amazon.fr/PROJET-ALEXANDRIE-STEPHAN-SCHWARTZ/dp/B00EPLBOKK/ref=sr_1_2?s=books&ie=UTF8&qid=1500218384&sr=1-2
par ailleurs
il en est de mmee pour tsahal dans ectte ouvrage
https://www.amazon.com/Phenomene-Uri-Geller-lepreuve-Science/dp/B0014SAYEY
il et certain que la providence tout court
et de meme que la providence divine a joué un grand role .cela ne fait aucun doute ….
mais la parapsychologie interressait tsahal bien avant uri geller et il est evident qu il a certainnement etait exploité aussi d un piont de vue militaire , comme moyen complementaire donnant un avantage contre l ennemi
a un moment ou un autre dans certainnes guerre ou combat de tsahal
tous moyen permettant de vaincre son ennemi son bien venu
et l histoire humaine a prouvée l utilité militaire des effet parapsychologique depius fort longtemps
la premonition a etait exploiter par le peuple juifs dans les temps ancien . de meme que d autre peuple . donc la parapsychologie aussi piusque l un est l effet de l autrre
c est ce piont que je souligné
on estime que environ 70% des personne qui d habitude prenne tel ou tel moyen .
n ayant pas prie ou aller dans un avion , train , ou les tours de new york en 2001
a un momnet données ne l on pas fait a cause de premonition d un futur danger
ce qui leur a permit de survivre
de tel chose ce deroule aussi en temps de guerre
voir cet article
William E. Cox, « Precognition: An Analysis, II », Journal of the American Society for Psychical Research, no 50, 1956, p. 99–109. 67
https://www.amazon.fr/Perceptions-extrasensorielles-Russell-Targ/dp/2841976459/ref=pd_rhf_ee_s_cp_3?_encoding=UTF8&pd_rd_i=2841976459&pd_rd_r=XR4VKXTX5TFHEY1J5EGA&pd_rd_w=PFg9S&pd_rd_wg=D7nBh&psc=1&refRID=XR4VKXTX5TFHEY1J5EGA
p 163 etc
by
“Extraordinaire, ainsi que peuvent l’être toutes les expériences d’Israël avec son Eternel Gardien!
« Afin que le monde sache qu’il y a un D.ieu pour Israël.. » Oui, toute la Bible en fait le récit. Tous ceux qui en douteraient encore et voudraient défier Israël, tels des Goliaths, qu’ils aillent fêter par avance leur victoire, avec festivités, danses et bon vin, ils sont prévenus… d’imprévisibles retards pourraient leur être fatal ! ! A bon entendeur..