Publié par Paz le 24 juillet 2017

Le journaliste de gauche du Spiegel, Sven Böll, avoue qu’il ne comprend plus le monde.

En tant que membre du jury du tribunal pour enfants de Berlin, il aperçoit comment « la loi se fait ridiculiser », en laissant les migrants sortir libres et impunis, pendant que leurs victimes ont été abandonnées.

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« J’ai participé à plus d’une douzaine de cas, je n’ai encore jamais vu une femme accusée. Ce sont toujours des hommes, des jeunes hommes. La plupart avaient ce que l’on appelle une origine de la migration.»

Les accusés deviennent de plus en plus violents

« Près d’un quart des suspects ont moins de 21 ans.  Certains ont plus des dossiers criminels que leur âge. » 

Sven Böll témoigne de son expérience à la Cour pénale Moabit, la plus grande cour criminelle d’Europe. L’an dernier à Berlin, 16 000 personnes pour 100 000 habitants ont été attrapées pour avoir commis des crimes (et il y a tous ceux qui n’ont pas été attrapés). Et ce sont essentiellement des migrants.

« Blessures corporelles, abus sexuels, extorsion de fonds. Ce sont les “métiers” qui se développent. Après chaque cas, les criminels testent les limites du système en devenant de plus en plus brutaux», écrit Böll dans son reportage.

L’État se fait ridiculiser

« C’est pas possible !», s’exclame le journaliste de gauche outré, quand il apprend qu’un criminel d’Afrique du Nord a été libéré. Il a cambriolé et harcelé des gens sans défense et il a mené la cour par le bout du nez. Comme d’habitude chez les migrants, il a prétendu être adolescent en donnant un faux âge, en sachant qu’il serait condamné par le droit pénal de mineurs, bien plus clément.

L’effet des verdicts : proche de zéro

« Ce ne qu’a l’âge de 21 ans qu’on est traité comme des adultes », dit Böll, qui considère les verdicts trop cléments. 

« Secrètement, je ne suis probablement pas le seul dans la salle qui craignait qu’il disparaisse des radars après sa libération et que la justice ne le retrouve plus. Par conséquent, non seulement une sensation désagréable s’est installée en moi, mais en plus, nous –l’Etat de droit– avons l’air plutôt ridicules », admet Böll.

Le journaliste du Spiegel reconnaît clairement: « finalement, c’est notre Etat qui est en train d’échouer. »

Voici de quoi vous faire vous aussi péter les plombs : la statistique des crimes et délits commis en Allemagne selon le pays d’origine :

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Paz pour Dreuz.info.

Source: https://www.wochenblick.at/auslaenderkriminalitaet-spiegel-redakteur-platzt-der-kragen/

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